Salut c’est votre folle de lycra.

Je vais essayer de reprendre une suite l’histoire que j’avais commencé voilà quelques mois mais dont le chapitre deux avait été refusé et du coup le troisième l’avait été aussi. Cela s’appelait "le loup dans la bergerie" donc je vais essayer de faire une variante mais dans le même style.

Étant à la recherche d’un boulot en région parisienne, j’avais fini par accepter un poste en province, un poste de responsable de magasin ou plutôt de grande supérette. Quand je suis arrivé il n’y avait pas beaucoup de temps pour les présentations et préparatifs car le directeur précédent s’était fait jeter pour magouille. J’avais déjà eu à gérer des supérettes mais celle-ci était un peu plus grande que les autres car il n’y avait facilement presque 20 employées. Je me permets d’insister sur le ÉES car en fait il n’y avait pas un seul homme dans la société. Je ne vous citerai pas le nom de la ville mais ne vous donnerais que deux indices c’est qu’actuellement ils sont très bien classés au top 14 en 2017 et que cela se trouve en bord de mer.

J’avais un beau bureau et la caissière centrale un beaucoup plus petit accollé au mien. J’avais deux glaces sans teint, une qui donnait sur le magasin car nous étions en hauteur et la deuxième qui donnait sur le bureau de la caissière centrale prénommée Coralie. Mon bureau me servait surtout pour accueillir les fournisseurs car l’enseigne se faisait un point d’honneur à vendre des produits locaux. Coralie était la numéro 2 du magasin une très jolie fille grande et qui savait se faire écouter. Il y avait aussi 2 collaboratrices gradées, si je puis dire, qui se prénommaient Laetitia et Élodie. Toutes les trois faisaient facilement le mètre 80 et j’étais toujours très flatté de les avoir à mes côtés. Toutes les trois avaient entre 35 et 40 ans et moi j’en avais 40.

Une complicité s’est très vite installée entre nous et nous passions notre temps à nous chambrer, je pense que c’est plus sympa que de se faire la gueule au boulot. Toutes les trois avec des parfums différents mais ces trois parfums étaient formidablement enivrants. L’avantage c’est que ainsi je savais qui était passée dans le bureau et qui se trouvait dans un rayon. Coralie adorait s’habiller de façon provocante et il y a des fois où cela ne me laissait pas indifférent. Autant quand on voit certaines femmes porter des jupes on se dit c’est vraiment affreux; par contre quand mes 3 collaboratrices portaient des jupes c’était un plaisir pour les yeux elles avaient toujours de la classe pour s’habiller. Elles savaient mettre leur corps en valeur tout en restant fonctionnelles pour le travail. Le plus beau c’est quand Coralie mettait ses cuissardes, c’était un appel au viol.

Mon petit doigt me disait qu’elle savait très bien qu’elle me chauffait à chaque fois, en fait je pense que les 3 filles adoraient ne pas me laisser indifférent sur leurs tenue. Quand il y avait un problème en caisse Laetitia ou Élodie descendaient régler le problème, quand cela se compliquait c’est Coralie qui descendait car elle alliait le charme et la fermeté. Ainsi je n’avais que très peu l’occasion de descendre régler les soucis avec les clients; en général c’est que c’était vraiment chaud quand je descendais, avec ma carrure imposante les gens étaient tout de suite d’accord. Quand il pleuvait j’avais le privilège d’avoir leur manteau qu’elles venairent déposer chez moi pour les faire sécher du coup souvent un de leurs manteaux se retrouvait sur mon siège et il parfumait ce dernier pour mon plus grand plaisir.

Quand il pleuvait, elles mettaient aussi de long ciré en vinyle rouge ou noir, ça aussi, ça m’emoustillait… J’ai toujours veillé ne jamais me faire surprendre pour harcèlement; je veillais à rester correct, même si au fond de moi, la tentation n’était pas loin. En fin d’année j’ai découvert l’ambiance inventaire avec l’équipe et là je suis tombé sur le cul. Nous fermions une journée pour pouvoir compter le tout, l’idéal était de tout bien préparer en amont pour que ce jour-là tout se passe bien. Selon les rituels de la société dans cette ville nous fermions le mardi car c’est un des jours où l’on fait le moins de chiffres. Ce jour-là nous arrivions à 6h du matin et toutes les filles amenaient un petit quelque chose pour un pique-nique improvisé en réserve. Vu qu’il n’y avait pas de clients les filles parlaient bien plus fort en magasin et toutes avaient l’air toutes excitées. 

Nous ne pouvions pas mettre ça sur le dos du printemps car nous étions dans la deuxième moitié de décembre. Malgré la fraîche température extérieure toutes étaient venues dans des tenues assez légères et surtout troublantes pour moi, le mâle de la société. Si je m’étais écouté je leur aurais toutes sauté dessus, mais il fallait avoir de la retenue et surtout savoir se contenir. En fait elles mettaient des collants en lycra car cela tenait chaud, mais bordel qu’est-ce que cela leur faisait comme jolies jambes. Quand vous voyez d’aussi jolies filles travailler avec vous, vous n’êtes pas prêt de virer votre cuti en tant qu’homme. Donc le jour de l’inventaire je me suis trouvé un peu mal à l’aise car toutes les filles avaient des conversations axées sur le sexe. Ce sujet de conversation n’était pas pour me déplaire mais je me sentais quand même un peu en minorité.

C’est ainsi que j’ai découvert que toutes les employées ne s’encombraient pas à porter des culottes elles se limitaient à une paire de bas ou une paire de collant ou collant fendu. Là où j’ai perdu un peu les pédales c’est quand ces dames ont voulu savoir ce que je portais: du coton, du lycra, un slip, un caleçon. C’est ainsi qu’à l’heure du repas j’ai assisté à une scène irréelle à savoir que à tour de rôle toutes les filles soulevaient la jupe de sa voisine pour prouver qu’elles n’avaient pas de culotte. La journée était en train de déraper et je ne savais plus vraiment comment cela allait finir et surtout comment gérer l’événement. On aurait dit que toutes avaient sniffé du poppers avant le déjeuner tant elles étaient chaudes et desinhibées. Les filles étaient donc toutes complices jusque dans l’intimité au point de toutes me montrer leur entrejambes. 

Je ne savais pas trop où me mettre car mon entrejambe à moi était en train de réagir en raidissant. Il a fallu que je m’éloigne un instant pour permettre à mon sexe de se déployer et se rigidifier sans problème, tout cela sans être vu. Sans trop me demander mon avis l’une d’entre elles est venue me bander les yeux et elles m’ont dit que le jeu consistait à ce que je retrouve les collègues juste avec les mains. Au fond de moi j’étais en train de me dire que j’étais parti pour une séance de pelotage en règle. Au début j’ai refusé mais mon trio dirigeant a insisté en me disant que cela aidait à la bonne ambiance au sein de l’équipe. Dans ma tête je me disais que effectivement cela allait sacrément aider à la bonne ambiance nous allions tous mieux nous connaître après. 

Pour beaucoup je n’ai même pas eu besoin de les toucher car en fait je les ai reconnu à leur parfum. Peut-être vous souvenez-vous du remake "de parfum de femme" interprété par Al Pacino qui s’intitulait "le temps d’un weekend". Bref sur les 18 employées je n’ai eu qu’à en caresser ou plutôt toucher tâtonner 7 ; mais en même temps toutes les employées étaient magnifiques avec une plastique superbe. L’une d’entre elle a fait remarquer à ses copines comme quoi le petit jeux m’avait collé une grosse érection. En même temps moi qui ai l’odorat assez fin, je pouvais sentir des odeurs de minous désireux; autrement dit, certaines de mes employées étaient en train de mouiller abondamment. J’avais sincèrement peur que cela dégénère car je ne savais pas comment cela finirait dans ce cas. 

Là où j’ai complètement perdu la face c’est quand l’une d’entre elles m’a avoué que comme chaque année elle trempait ses tomates cerises dans son minou avant de les préparer. En même temps cela pouvait expliquer pourquoi j’en avais mangé tant… Toutes les collègues étaient au courant, je vous laisse imaginer le degré d’intimité lors de ce repas de fin d’année si je puis dire. Il y avait un côté un peu crade qui me répugnait mais en même temps il y avait un côté sexuel qui m’excitait au plus haut point. J’étais maintenant pressé que le déjeuner prennent fin car j’avais peur de nouvelles surprise dans ce genre. Une fois la pause terminée les filles ont lavé tous les ustensiles de cuisine ainsi que les couverts et assiettes et elles se sont vite remises au boulot. Élodie Coralie et Laetitia supervisaient chacune cinq employées pendant le comptage. Une fois un rayon terminée elles me montaient les chiffres pour que je les saisissent. 

À chaque fois que les trois filles montaient elle se mettaient à causer sexe avec moi. C’est ainsi que je n’ai pas réussi à débander de l’après-midi. Vers 18h l’inventaire commençait à toucher à sa fin il y avait les comptages qui étaient finis, les recomptages l’étaient aussi et les chiffres étaient à peu de chose près cohérents. En fait, je veillait à noter casse et le vol pour m’assurer une meilleure exactitude des résultats. les employées nous ont quittés et j’ai le droit à une main au cul de chacune d’entre elles. Il n’y a pas à dire cet inventaire nous avait rapproché et avait surtout soudé l’équipe. Je me suis retrouvé tout seul avec les trois responsables, vus leur regard elles ont leur comportement elles n’avaient pas projet de bosser. il n’y avait que des sous-entendus sous la ceinture. En sachant que les volets étaient baissés Laetitia et Élodie sont parties fermer les issues de telle façon à ce que nous soyons enfermés de l’Intérieur. 

Pendant ce temps-là, alors que j’étais assis dans mon fauteuil derrière mon bureau, Coralie est venue tourner mon fauteuil et s’agenouiller entre mes jambes. J’étais tétanisé et ne savais quoi faire c’est ma caissière centrale qui dirigeait les opérations. En même temps j’avais tellement de pression entre les jambes accumulée pendant toute la journée que je ne pouvais rêver mieux. Avec beaucoup de délicatesse Coralie m’a baissé mon pantalon je l’ai aidée en soulevant mes fesses du fauteuil. Elle s’est retrouvée face à face avec mon sexe tendu difficilement dissimulé derrière mon caleçon en lycra. C’est à ce moment-là que ses deux autres collègues sont revenues ils sont venues se joindre à elle. Manifestement le coup était préparé de longue date car il n’y avait pas de temps mort, j’avais l’impression que chacune avait sa mission.

Toutes les trois étaient maintenant à genoux devant moi, une entre mes jambes et les deux autres de chaque côté. Jamais je n’aurais cru que des mains pouvaient être aussi efficaces pour donner du plaisir. Au début elle me caressaient le sexe les couilles le ventre dissimulé sous mon pull et à tour de rôle, Elodie et Laetitia maintenant m’embrassaient. Maintenant je me laissais aller; je me disais que de toute façon je ne risquais rien, si ce n’est prendre du plaisir. Puis les caresses sur mon sexe sont devenues baisers puis léchouilles avant de définitivement devenir fellation. Au fond de moi je me disais que j’aimerais bien qu’il y ait un inventaire tous les mois à la place d’un par semestre. Systématiquement celle qui me suçait venait ensuite m’embrasser, leur rotation était on ne peut plus érotique.

Elles ont réussi à me faire glisser un peu sur mon fauteuil car ainsi je pouvais plus écarter les cuisses. Cela permettait maintenant aux filles de pourvoir me sucer le sexe en même temps qu’une autre me suçait les couilles. Quand je voyais la fellation que me prodiguait ces 3 filles je me disais qu’elles n’en étaient pas à leur coup d’essai. Je sentais leurs langues virevolter sur mon sexe, je sentais la dépression buccal sur mon sexe, je les sentais chercher à mettre mon sexe le plus profondément dans leur bouche. Il n’y a pas à dire aujourd’hui je pouvais afirmer comme quoi mes trois collaboratrices directes étaient des gourmandes, gourmandes de moi. Régulièrement maintenant, celle qui passait ses mains sur ma poitrine sous mon pull en profitait pour aller me pincer les tétons. J’étais assez content de tenir si longtemps et de ne pas avoir balancer la purée mais combien de temps allais je tenir encore.

Je sentais que je n’allais plus pouvoir résister bien longtemps, le coup fatal a été porté lorsque coralie est venue me caresser mon petit cul. Comme si elles avaient fait ça toute leur vie, elles se sont partagées les giclées qui partaient de mon sexe. C’est Coralie qui a récupéré le premier jet mais a fermement contracté mon sexe pour que Laetitia récupère le deuxième jet puis la même scène s’est reproduite pour Élodie. Ainsi les trois filles avaient de ma liqueur toute chaude en bouche et j’ai eu l’impression qu’elles le gardait tel un bon vin à déguster avant de l’avaler. C’est Coralie qui s’est chargé du nettoyage final et mon petit doigt me dit qu’elle était gourmande. On venait de me faire la plus belle fellation que je n’ai jamais eue, le problème c’est que c’était mes collègues qui venaient de se charger de ça. Elles ont fini par toutes avaler ma semence puis à tour de rôle sont venues m’embrasser amoureusement.

Moi qui, étant célibataire et nouveau dans cette ville, je ne pouvais que me réjouir de la tournure que prenaient les événements. Laetitia et Élodie sont rentrées car elles étaient divorcées mais avec chacune un enfant à charge alternée. Quant à Coralie elle n’avait aucun impératif et du coup elle m’a invité à venir dîner chez elle, je me suis fait prier pour la forme, mais en fait j’en mourrais d’envie car j’avais une vague idée de comment cela allait tourner. Elle habitait un grand 3 pièces au dernier étage avec vue sur la mer et sur le port, appartement qu’elle s’était achetée suite à un héritage et non grâce au ridicule salaire. Nous avons mangé à la bonne franquette et pendant le repas c’était le moment confessions mutuelles. 

Nous nous sommes découverts de façon plus intime et tout ce que j’apprenais d’elle me faisait craquer pour elle. Son appartement était meublé avec goût avec une majorité de couleurs orangées, elle m’a justifié ses couleurs en m’expliquant que le matin cela faisait le feu dans les pièces avec le soleil levant. Coralie c’était mise à l’aise en arrivant chez elle à savoir en nuisette très sexy; la tenue était quand même une invitation à lui sauter dessus. De mon côté j’avais tombé ma veste et m’étais défait de mes chaussures, même si à la maison j’étais quand même souvent dans des tenues très légères voire tout nu. Après le repas nous sommes passés dans le séjour où nous pouvions admirer les bateaux. En fait du canapé on ne pouvait voir que Les mats des bateaux les plus hauts.

Un peu éloignée dans le canapé, Coralie est venue se coller à moi, cela m’a immédiatement réveillé mon entrejambe. Elle a posé sa tête sur mon épaule et ses longs cheveux sont venus cacher une partie de ma chemise. C’est un moment magique, un moment unique, un moment plein de tendresse que j’étais en train de vivre à ses côtés. Je sentais que Coralie était en train de décompresser, elle qui était à ce point directive et ferme dans la journée elle était maintenant méconnaissable. J’ai pris l’initiative de lui caresser la joue avec ma main droite, elle se laissait faire, elle se laissait aller; j’étais heureux de pouvoir savourer ce moment avec elle et surtout qu’elle se lâche ainsi avec moi. Manifestement Coralie avait besoin de douceur cela tombait bien car j’étais personnellement un homme très doux. Ses deux mains reposaient sur ma cuisse gauche, j’étais en train de me demander si elle n’allait pas s’endormir.

Mon soupçon c’est confirmé quand je l’ai entendu pratiquement ronfler, c’était le contrecoup de sa journée. Je n’osais plus bouger, de peur de réveiller cette ange. J’étais là immobile à lui caresser les joues, les cheveux, les mains et manifestement elle dormait profondément. Au bout d’une demi-heure j’ai pris l’initiative de la prendre dans les bras pour aller la déposer dans son lit. Je l’ai déposé et l’ai recouverte de sa couverture pour ne point qu’elle attrape froid. Au moment où j’allais partir elle m’a appelé en me disant qu’elle voulait que je dorme avec elle. Coralie m’a avoué qu’elle attendait ce moment depuis si longtemps; que voulez-vous que je fasse, j’ai accepté. Je me suis déshabillé et me suis retrouvé dans mon boxer en lycra pour aller me coller contre elle sous les draps.

J’étais très gêné par rapport à elle car j’avais un gourdin énorme entre les jambes. J’étais dans son dos et en se rendormant elle m’a dit que je ne pouvais pas cacher ma grosse envie d’elle. Elle s’est rendormie en me tenant le sexe, j’étais un homme heureux. Je peux vous avouer que j’ai mis beaucoup de temps à m’endormir, en fin de compte j’ai fini par poser mon bras droit sur elle. J’adorais poser mon bras ainsi; il y avait un côté protecteur envers ma partenaire que j’apprécie beaucoup. J’avais ses longs cheveux dans la figure et aussi le nez dans son cou où sans aucun doute elle déposait ses petites touches de parfum. Malgré mon énorme désir j’ai fini à m’endormir aux côtés de ma caissière centrale qui me faisait vraiment très envie.

À mon réveil vers 6h30, Coralie était déjà réveillée elle se promenait nue dans la maison. Quand elle a constaté mon réveil elle est venue me voir et s’est assise sur le lit pour m’embrasser amoureusement. J’avais l’impression que nous étions en vieux couple alors que c’était la première fois que nous couchions ensemble. Pendant qu’elle l’embrassait, elle en a profité aussi pour me saisir le sexe et du coup il s’est réveillé en un instant lui aussi. Il n’y a pas à dire Coralie avait repris des forces, elle m’a allongé de force sur son lit et nos deux corps étaient l’un contre l’autre. Coralie s’est chargée de me débarrasser de mon boxer, de ce fait mon sexe s’est instantanément retrouvé callé contre son intimité. Il n’y a pas à dire elle était du matin… En 2 secondes mon sexe était recouvert de cyprine, et mon kiki était impatient d’aller visiter la belle. Ses seins étaient magnifiques et il me faisaient beaucoup d’effet sur la poitrine tant ils étaient chauds.

la suite fera l’objet d’un prochain chapitre.

Gros bisous à ceux qui m’ont lu jusqu’au bout.

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