Mariée depuis 18 ans avec Vincent, nos relations sexuelles toujours excellentes, nous nous racontons nos phantasmes, nos rêves. Mon homme fantasmais souvent sur une relation a trois avec une autre femme, avec qui je ferais l amour en sa compagnie, elle n était très chaude a l idée de se gouiner.Son rêve et phantasme récurrent est d une relation avec plusieurs hommes, de mon coté, je n étais pas très enthousiasme a l idée de la voir se faire prendre par d autres bites.
Après une folle soirée arrosée entre amis afin de fêter mon anniversaire, mon Vincent m avait préparé une surprise deux hommes nous attendaient sur le pas de porte, il sagissait de Dimitri et Olivier, deux amis avec lesquels je navais pas eu le plaisir de partager la soirée. Olivier me plaisait depuis le jour où je lavais aperçu ; Dimitri était un pote, sans rien de plus.
Dimitri et Olivier nous suivirent. Jouvrais la porte et les inviter a rentrer.
Ils sinstallèrent dans le canapé, jétais entre eux. Victor, mon homme, sortit les boissons et entama une discussion dont je ne me souviens plus le sujet. Je ne pensais quà la cuisse dOlivier, collée à la mienne. Des bouffées dexcitation me submergèrent. Je posais ma main derrière nos corps, je sentais le bout de ses doigts. Tout en tremblant, ma main se laissa prendre par la sienne, ses doigts touchèrent dabord les miens puis enveloppèrent ce quil restait.
Tout dun coup Dimitri se pencha sur moi et membrassa. Ses lèvres étaient si douces, la main dOlivier toujours présente, que je répondis à son baiser. Mes envies étaient exacerbées Victor, qui se tenait en face de moi, me souriait. Quelques secondes après Olivier membrassait dans le cou. A partir de ce moment je ne pouvais résister et me laissais faire.
Dimitri passa une main entre mes jambes. La présence active dOlivier me faisait mouiller. Celui-ci membrassait alors à pleine bouche, et je sentis à peine quon faisait glisser mes collants le long de mes jambes. Quelques minutes après la bouche de Dimitri parcouraient mes cuisses ; il était à présent agenouillé entre mes jambes nues. Victor sétait rapproché et passait une main sous mon soutien-gorge, tout comme Olivier, qui continuait à investir ma bouche de sa langue. Ses baisers étaient dune douceur telle que je ne pouvais résister aux divers attouchements que je subissais. Dimitri me retira mon shorty et commença à passer sa langue sur mon clitoris ; Olivier souleva mon tee shirt de manière à lenlever tandis que Victor dégrafait mon soutien-gorge.
Je me retrouvais donc nue sur le canapé de notre appartement. Chacun était occupé à son poste : Olivier continuait à membrasser, je le regardais dans les yeux ; Victor se focalisait sur ma poitrine et Dimitri léchait tour à tour ma fente et mon clitoris, sattardant sur celui-ci et me faisant lâcher quelques soupirs. Peu à peu je vis leurs corps se dénuder, leurs tatouages mapparaissaient dans leur intégralité. Olivier état le plus fourni. Il fut le premier à retirer son boxer. Il sallongea derrière moi et de sa main chercha lentrée de mon vagin. Dimitri aspirait toujours mon clitoris ; Vincent, agenouillé devant le canapé, se branlait doucement en me léchant les seins. Je sentis alors le sexe dressé dOlivier contre ma fente, il poussa un peu pour entrer. Jétais tellement excitée quil neut pas beaucoup deffort à faire. IL se mit alors à faire un lent va et vient qui décupla mon plaisir. Victor se redressa et présentait son gland contre mes lèvres, je lenserrai immédiatement et le pourléchai à lintérieur de ma bouche. Il lâcha un râle de plaisir. Puis ce fût au tour de Dimitri de changer de position. Il se coucha, face à moi, et frotta son sexe contre le mien et donc contre celui dOlivier. Il insistait et finit par rentrer en moi. Je tremblais ; tout dabord la douleur de ces deux pénis en moi me parut insurmontable, mais bien vite la présence de ces deux hommes autour de moi mexcitait dautant plus. Olivier pressait sa main sur ma hanche tandis que Dimitri passait la sienne dans ma nuque. Quant à Vincent, il était toujours dans ma bouche. Je me sentais bloquée, dominée, je pensais à la queue dOlivier qui me transperçait. Les deux sexes me remplissaient, me comblaient. Je frissonnais, tandis que Victor jouissait dans ma bouche. Javalai.
Je restais avec ces deux mâles en moi. Bientôt, dun accord tacite, Dimitri glissa sous moi tandis quOlivier se positionna sur moi. La manuvre a été douce mais les deux sexes sont sortis de mon corps. Ils y remédièrent vite, et le regard dOlivier dans mes yeux lorsquil me pénétra de nouveau, au côté du sexe de Dimitri, me fît chavirer. Je les sentais aller et venir sans pouvoir faire quoique ce soit. Mes bras pouvaient à peine mempêcher de mavachir sur Dimitri alors que jaurais voulu serrer Olivier avec. Cest dans cette danse à trois que je jouis alors. Les deux sexes ne pouvaient pas plus glisser en moi. Dimitri ne fût pas long à me rejoindre. Il se retira tout en douceur, laissant Olivier libre de ses mouvements sur moi. Jécartais autant que je pouvais mes cuisses et remontais mes jambes sur ses épaules. Je voulais quil jouisse en moi, à ce moment-là je ne pensais à rien dautre. Ses yeux plongeaient dans les miens :
« Jai encore envie de te faire jouir, me dit-il »
En guise de réponse, je faufilai mes doigts entre nos deux corps et les posai sur mon clitoris. Nos bouches se rejoignirent quand ils commencèrent à sactiver. Je venais de jouir mais la pénétration dOlivier mexcitait au plus haut point. Je le regardais droit dans les yeux en me touchant, je sentais son sexe me caresser de lintérieur. Bientôt je me sentais au bord de lorgasme à nouveau.
« Plus vite, lui dis-je »
Il alla plus vite et commença à avoir le souffle court.
« Plus fort, lui dit-je »
Son visage se contracta, dans un dernier regard je sentis quil venait. Je redoublais deffort. Il jouit alors en moi, provoquant chez moi un second orgasme, et je le suppliais de ne pas sarrêter pour profiter de tous les soubresauts de plaisir qui parcouraient alors mon corps.
Il resta affalé sur moi quelques secondes avant de se retirer de moi à loccasion dun dernier baiser. Il rappela Dimitri en se rhabillant et tous deux partirent dans la foulée.
Vincent me raccompagna jusquà ma chambre, déposa un rapide baiser sur les lèvres, et me souhaita bonne nuit,
Merci, mon chéri, il n me reste plus qua exaucer ton rêve j ai trois-quatre copines qui craquent sur toi et qui ne crachent pas sur un minou.