Je n’ai jamais été très proche de ma fille, Magali. Depuis sa plus tendre enfance nous ne faisons que nous disputer. Elle s’est toujours mieux entendue avec sa mère, qui m’a quitté il y a une bonne dizaine d’années. Ma fille a aujourd’hui 35 ans et surtout une adorable petite fille, Julie, qui est tout son contraire. Ma petite fille chérie est calme, rayonnante, gentille. Un vrai petit cur ! Nous sommes très complices. Elle me confie tout, nous jouons en permanence et nous embêtons même sa maman.
Malheureusement, suite à une grosse dispute avec ma fille, je n’ai plus eu le droit de voir ma petite fille. J’ai essayé bien des fois de renouer des liens avec Magali mais rien n’y fit.
Près de 10 ans ce sont écoulés depuis cette affreuse dispute. Aujourd’hui c’est l’anniversaire de ma chère Julie. Elle fête son 18ème anniversaire. Je suis malheureux de ne pas pouvoir être là pour elle en ce jour si spécial. Je lui ai tout de même envoyé pour l’occasion une jolie lettre garnie d’une belle somme d’argent.
Quelle ne fut pas ma surprise de voir apparaitre le vendredi suivant une jolie jeune fille sur mon pallier ! Elle était recroquevillée devant ma porte, court vêtu et tremblante de froid. Je n’ai même pas eu le temps de réaliser, qu’elle me sautait déjà au cou. « Oh papi, mon papi ! Je suis tellement heureuse de te voir » me dit-elle en sanglotant. Elle me confia alors qu’elle s’était enfuie de chez elle car elle ne s’entend pas avec sa mère et lui en voulait terriblement de nous avoir séparés. Elle avait utilisé tout l’argent que je lui avais envoyé pour prendre un billet de train et me retrouver. Elle n’avait pour bagage qu’un petit sac à dos. Je lui disais combien j’étais contente de la voir. Je la réconfortais en la serrant fort dans mes bras. En sentant sa poitrine se compresser contre moi, je ne pus m’empêcher de penser que ma petite fille avait bien changé Je l’invitais à rentrer et à rester aussi longtemps qu’elle le souhaitait. Après tout, elle était majeure maintenant.
La pluie n’avait cessé de la journée et Julie était trempée. Dans sa précipitation, elle n’avait pas pensé à apporter des habits de rechange. Je lui proposais de faire une machine de ses vêtements et de lui prêter une chemise en attendant d’aller faire quelques boutiques le lendemain. Elle fila à la salle de bain et revint vêtu simplement de ma chemise qui lui couvrait le corps jusqu’au milieu des cuisses. Les cheveux lâchés, les seins libres de tout soutien-gorge, les tétons qui pointent légèrement Ma petite Julie aurait fait chavirer le cur de bien des hommes ! J’en restais moi-même bouche bée quelques secondes jusqu’à ce qu’elle me tende ses habits pour que je puisse les mettre au sale. Tout étourdi par cette vision, je me dirigeais vers la buanderie quand je remarquai un bel ensemble de dentelle rouge perdu au milieu des autres affaires de Julie. Avant même que je me rende compte de ce que j’étais en train de faire, j’avais la petite culotte rouge dans la main et je la reniflais. Un profond sentiment de culpabilité m’envahit et je balançais la petite culotte aux effluves troublantes dans la machine à laver.
Julie m’attendait dans le canapé. Je chassais mes idées coupables et je vins m’installer près d’elle. Nous nous mîmes à discuter de tout et de rien dans l’espoir de rattraper ces 10 années perdues. La nuit était déjà bien installée. Julie avait pris ses aises et reposait tendrement sa tête sur mon épaule. Cette position me donnait une vue plongeante sur sa poitrine qui se soulevait au rythme de son souffle. Je luttais désespérément mais une érection incontrôlable naquit dans mon pantalon. Afin qu’elle ne s’en rende pas compte, je fis mine de bailler pour lancer l’idée d’aller se coucher.
« D’accord papi chéri ! Mais alors tu viens me border comme lorsque j’étais petite » lança-t-elle.
Je l’accompagnais jusqu’à la chambre d’ami et lui demandais si elle avait besoin de quelque chose pour la nuit. Elle me répondit que non. Je partis me mettre en pyjama et la laissait faire de même. Alors que j’allais frapper pour rentrer dans sa chambre, je m’aperçus que la porte était mal fermée. A travers l’interstice je la vis se diriger vers le lit avec pour seul vêtement une petite culotte. Mon sexe se raidit instantanément. Je me maudissais intérieurement. Elle éteignit la lumière et m’appela « Papi, mon papi ! je suis au lit ! Viens me border comme tu me l’as promis ». J’en profitai alors pour rentrer et m’assoir sur le bord du lit.
« Tu as été une gentille petite fille, le marchand de sable va bientôt passer pour t’emporter dans le monde fabuleux des rêves » lui dis-je, moqueur, en employant le ton ridicule que l’on prend pour s’adresser aux petits enfants.
« Hahaha, très drôle papi ! je suis grande maintenant, plus la peine de me parler comme ça ! » dit-elle.
« Je vous parle comme je veux, jeune fille » lui répondis-je en me lançant dans une attaque de chatouilles.
Nous faisions régulièrement des batailles de guili lorsque Julie était enfant. Elle se tordait toujours dans tous les sens en rigolant !
Voilà bien une chose qui n’avait pas changé ! Julie poussa de petits cris puis se débâtie en riant aux éclats. Ces mouvements brusques fit glisser la couette qui la recouvrait dévoilant ses seins qui remuaient dans tous les sens. Mes doigts effleuraient son téton alors que je voulais la chatouiller sous les bras. Cette sensation me paralysa et Julie en profita pour se coller à moi et se venger en me faisant à mon tour des chatouilles.
« Oh papi ! je viens de sentir un truc étrange vers le haut de ta cuisse ! quelque chose de dur ! C’est quoi ? Dis-le-moi papi, mon papi. »
Rouge de honte que ma petite fille ait senti mon érection et en sachant si elle jouait à l’ingénue, je lui répondis « Oh excuse-moi ma chérie, tu sais c’est mécanique chez les hommes, ne m’en veut pas, je suis si heureux de te retrouver »
« Mais papi, pourquoi tu t’excuses ? Je ne comprends pas ? C’est quoi ? Qu’est ce qui est mécanique ? »
Je réalisai alors que ma petite fille était complétement novice en la matière ! Trop excité, je pris la décision d’en profiter.