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Vacances de neige – Chapitre 7




MERCREDI

Line se réveille la première. Quest-ce qui la gêne contre sa cuisse ? Elle y porte la main et sourit en reconnaissant la forme de la queue de Luc dure comme un morceau de bois. Comment ils appellent ça les garçons ? Ah oui ! Un matin triomphant. Elle samuse à manipuler le barreau. Luc grogne se tourne sur le dos facilitant la caresse. Au bout de quelques instants, la jeune fille fronce les sourcils. Ce nest ni dans la main ni dans la bouche quelle veut recevoir lengin mâle. Hier sa chatte a été brimée. Les divers exercices buccaux, si passionnants quils aient pu être, ne lont pas assouvie. Après son initiation récente par le même Luc, les sucettes sont insuffisantes pour la satisfaire, elle souhaite, non, elle veut que la hampe quelle masturbe, la remplisse. Déjà elle sent la rosée sourdre de son vagin anticipant le plaisir attendu. Sans lâcher son trophée, elle se positionne au-dessus du garçon.

— Que quest-ce que tu fais ? interroge celui-ci à moitié endormi.

— Chut ! Laisse-toi faire Aaah ! soupire-t-elle lorsque le gland force le passage et sengage dans sa grotte intime.

Luc, maintenant bien réveillé, maintient la jeune fille par les hanches, puis soupèse les seins de ses paumes en coupoles. Elle monte et descend lentement sur le sceptre de chair, savourant chaque millimètre de pénétration. Leurs mouvements réveillent Marc qui sourit. Quoi de mieux quune bonne baise pour débuter la journée ? Il se tourne vers Marjorie qui dort la bouche ouverte. Il prend la main de la jeune fille et la pose sur la tige durcie de son sexe, puis samuse à triturer les tétins, à les faire raidir entre les doigts. La jeune fille grogne, ouvre les yeux sur le couple qui fait lamour à ses cotés. Reconnaissant ce quelle tient en main elle tire sur le prépuce.

— Aaah ! gémit Marc qui lembrasse à pleine bouche.

Il veut sintroduire entre les cuisses de Marjorie.

— Non, pas comme ça.

Prestement elle se dégage et se met à quatre pattes regardant Marc dun air mutin.

— Comment il a dit Bernard que tu faisais avec Lucille ? En levrette ?

— Oui ma cocotte, je te montre.

Marc se place derrière la jeune fille. Il écarte de la main les lèvres intimes et introduit sa queue raidie.

— Aaah ! gémit Marjorie.

Le garçon se penche et caresse la poitrine.

— Ouii !

— Cest cest bo bon ? interroge Line qui chevauche Luc.

— Aah ! tu tu de Aah ! devrais essa Ouiii ! essayer, balbutie sa cousine à qui son cavalier chatouille le petit bouton.

Chacun senferme dans son plaisir, sefforçant de ne pas extérioriser leur jouissance, inutile dalerter Bernard et subir ses reproches. Line succombe la première. Elle saffaisse sur Luc qui proche de léjaculation, prend la relève en jouant du bassin. Marc et Marjorie qui avaient pris du retard au début jouissent ensembles dans un concert de gémissements étouffés.

Ils mettent plus dune minute à reprendre leur souffle. Marc sursaute.

— Hé ! Luc, Cest lheure.

Le garçon qui a de la difficulté à se dépêtrer de Line, se lève enfin. Les deux cousines couchées sur le ventre les observent en souriant, shabiller. Une fois les garçons sortis, Marjorie sapproche dans le dos de Line et la serre dans ses bras.

— Quest-ce que tu fais ?

— Chut !

Timidement Marjorie pose la main sur un sein. Line nose bouger, laissant les doigts samuser avec les tétins, honteuse de les sentir sériger. Ce nest que lorsque la main descend sur le ventre et atteint les poils pubiens, que par un sursaut de bonne conscience, la jeune fille sécarte. Elle se lève malgré le regard implorant de sa cousine.

— Tu tu veux pas que je te caresse ? demande celle-ci inquiète.

Line ne répond pas. Marjorie ninsiste pas et les deux filles shabillent sans échanger un mot.

Les attouchements innocents sur sa poitrine ont perturbé la jeune fille qui se reproche de ne pas les avoir empêchés, de ne pas avoir écarté tout de suite la main cajoleuse. Comment a-t-elle pu jouir des caresses données par une autre fille ? Ce nest pas correct ! Cest pire lorsquau cours de la journée elle prend conscience du regret davoir interrompu la caresse sur son sexe. Elle nen revient pas dêtre aussi dépravée ! Même les gestes de Lucille quand celle-ci vient à son aide après une chute sont chargés à ses yeux de sous-entendus érotiques. Son énervement va croissant au fur et à mesure que la soirée savance et elle se jette sur Marc dès leur entrée dans la chambre sous le regard amusé de leurs compagnons.

— Marjorie ! Aide-moi à le déshabiller ! réclame la jeune fille.

Sa cousine se précipite, pendant que Luc vient au secours de son copain. La mêlée est générale, les vêtements volent dans toute la pièce. Une fois tout le monde à poil, les garçons se calment. Après un clin dil complice, ils se couchent sur le dos. Les filles se placent à quatre pattes entre leurs cuisses et avec une simultanéité qui les fait rire, empoignent la verge de leur partenaire et y portent la bouche.

— Oh ! Mais je vois quon ne nous a pas attendus ! sexclame Bernard qui vient de pousser la porte, suivi par Lucille.

— Eh oui ! le nargue Line, vous devrez attendre votre tour.

Elle reprend la sucette un instant suspendue. Les deux culs attirent le regard du directeur. Il était venu pour se faire pomper, mais le spectacle des fesses proéminentes lui donne une autre idée.

— Je men voudrais de vous interrompre mesdemoiselles, jai là de quoi me faire patienter.

Il sapproche du lit et caresse les postérieurs, sur les rondeurs dabord puis dans la raie. Les filles laissent faire. Seul le tremblement de leurs lèvres sur la tige trahit leur émotion. Encouragé Bernard enfonce une phalange.

— Non ! Pas ça !

Marjorie sursaute et se dérobe, tandis que Line gémit en murmurant.

— Que quest-ce que vous faites ?

— Ne vous a-t-on jamais aimé par-là ?

— No non.

— En tout cas ce ne serait pas de notre fait, affirme Marc que linitiative du directeur intéresse.

— Vous vous me ferez pas mal ?

— Mais non ma petite Line, mais, non. Il suffit que tu restes bien décontractée comme maintenant, la rassure-t-il en introduisant un doigt.

Marjorie craintive a abandonné la verge de Luc et contemple assise le majeur entrer et sortir du fondement de sa cousine.

— Tas pas mal ? demande-t-elle.

— No non.

— Mais non elle na pas mal, renchérit Bernard en ajoutant un autre doigt.

Il assouplit la rondelle. Line respire fort. Elle na plus la force de sucer la verge qui hoquète entre ses mains.

Le directeur monte sur le lit, écarte sa robe de chambre et présente le gland face à lanus.

— Aidez-moi vous autres.

Marc et Luc se précipitent. Ils tirent chacun de leur coté sur les fesses faisant saillir la rosette.

— Attends !

Lucille se précipite et embouche la queue qui sapprêter à forcer le passage. Elle lenduit de salive sur toutes les faces.

— Voilà, tu es prêt, dit-elle en plaçant le sexe mâle doù pend une goutte, sur lorifice.

— Han !

— Aïe !

Bernard suspend son effort. Le bouclier du gland a disparu, avalé par le sphincter. Il pousse un peu. La tige senfonce de quelques millimètres. Line gémit doucement.

— Tu as mal ? sinquiète-t-il.

— No no non.

— Je peux y aller alors ?

— Ou oui.

Maintenant la jeune fille par les hanches, il senfonce jusquà venir buter sur les fesses. Bernard laisse Line shabituer à la grosseur qui encombre ses intestins. Personne ne bouge, comme si les spectateurs attendaient un événement exceptionnel. Au bout de longues secondes, le directeur se retire de quelques centimètres.

— Oooh ! gémit Line.

— Ça ça fait mal ? sinquiète Marjorie.

— No non, ment sa cousine qui ne peut réprimer un rictus de douleur quand la verge senfonce à nouveau.

Bernard accentue ses coups de rein. Lucille passe la main sous le ventre de Line et chatouille les lèvres du sexe.

— Ouii ! la remercie la jeune fille à qui ces attouchements font oublier le tiraillement du cul.

Peu à peu, le frottement combiné aux caresses de Lucille, lémeut. Elle ressent comme une montée du plaisir diffus qui rayonne à partir de son ventre.

— Aah !

Elle donne même de timides coups de cul au devant de la queue qui la transperce à la grande satisfaction de Bernard qui accélère le mouvement.

— Hein, que tu

Il arrête sur ses lèvres la réflexion salace qui fusait. Seul avec Line, il se serait laisser aller mais là, il a peur de braquer lautre cousine qui parait moins malléable. Cest quelle doit y passer aussi ! Les grossièretés, ce sera pour plus tard, quand léducation de ces demoiselles sera achevée.

Line sarque boute sur ses quatre membres pour résister aux poussées de son cavalier. Elle sourit à Lucille, contente de sentir les doigts de la monitrice fouiller son sexe. Elles sont loin ses préventions contre les caresses féminines ! Elle tend les lèvres, mais ses mouvements désordonnés ne lui permettent pas dembrasser la jeune femme. Les gémissements des deux jouteurs emplissent la pièce. Ils samplifient jusquà lexplosion de plaisir de Bernard qui se vide dans lintestin accueillant.

Lucille le pousse pour libérer Line quelle câline, caresse pour la calmer.

— Apportez-moi une serviette, commande-t-elle aux garçons.

— A moi aussi, demande Bernard.

Prévenant, Marc tend à la jeune femme qui le remercie dun sourire, une lingette humide en plus de la serviette. La fraîcheur fait du bien à Line qui sabandonne aux mains cajoleuses. Elle ne résiste pas quand une langue sépare ses lèvres et sintroduit dans sa bouche pour senrouler autour de la sienne. Elle-même prend linitiative décarter le déshabillé de Lucille et dempaumer un sein. Les deux femmes, indifférentes aux spectateurs, sétendent sur le lit et commencent à se caresser.

Bernard les regarde quelques instants. Elles sont charmantes se prend-il à penser. Bon, ce nest pas tout, mais il lui faut retrouver sa vitalité sil veut soccuper de la cousine. Il sassied sur le bord du lit.

— Viens ici Marjorie, caresse-moi, fais-moi bander

La jeune fille sagenouille entre les cuisses et extrait la verge souple de la touffe de poils où elle disparaissait.

— Nais pas peur, je me suis bien essuyé ! encourage-t-il quand Marjorie a un réflexe de recul après avoir esquissé un baiser sur le bout. Oui ! Suce-là, montre-moi que tu nas pas oublié depuis hier soir.

Elle se précipite sur la queue. Ainsi elle échappera à la possession arrière qui lui fait peur. Elle sactive sur le sexe, alternant les suçons, les lèches et les masturbations de la tige quelle a le plaisir de sentir grossir et raidir. Bernard la laisse pomper jusquà ce que se jugeant prêt, il retire son jouet des mains et des lèvres de Marjorie.

— Ça suffit ! Place-toi à quatre pattes sur le lit.

— Oh non !

— Allez ! Cest à ton tour !

— Non, je veux pas !

— Ne fais pas lenfant, prends exemple sur Line. Elle na pas fait dhistoire, elle ! Et je suis sûr quelle ne le regrette pas.

— Non ! Je ne veux pas, je ne veux pas ! Je ne

Plaf ! Un soufflet lui cloue le bec. Marjorie dévisage Bernard les yeux pleins dincompréhension. Il la giflé !

— Allez ! Plus vite que ça ! Ten veux une autre ? A ta guise.

Il lève la main. Mâtée, la jeune fille sempresse de grimper sur le lit. Bernard se tourne vers le couple féminin toujours entrain de sembrasser.

— Excusez-moi jen ai pour une seconde.

Il trempe le majeur dans le vagin de Line, recueillant de la liqueur de plaisir dont il tartine le cul de Marjorie.

— Je veux pas, je veux pas, répète celle-ci pendant que le doigt assouplit lanus.

— Mais si, mais si, tu verras, tu en redemanderas Aidez-moi.

Luc et Marc se précipitent pour écarter les fesses comme ils lont fait avec Line.

— Je veux pas, je veux pas

— Mais oui, on le saura Ouvrez-la oui

Il pose le gland luisant contre le petit orifice. Il pousse, le bout pénètre dun centimètre.

— Je veux pas veux pas Aïe ! Aïe ! veux pas Aïe ! Laissez-moi Aïaaah !

— Trop tard ma belle !

Bernard butte contre le cul de la fille toute surprise de supporter la douleur tout compte fait pas si forte que ça.

— Je veux pas Oooh ! Je veux pas je veux paaaahh ! ve-eux pas Aaah ! Pa-a-a-ah !

Bernard amplifie ses coups de rein auxquels la jeune fille répond en lançant le cul à la rencontre du dard.

— On dirait quelle prend son pied, murmure Marc à Luc.

— Oui jaurais jamais cru.

Les « je veux pas » égrenés par la jeune fille ne trompent plus personne. Même Lucille et Line suspendent leurs caresses pour admirer le couple en pleine action.

— Je veux pas Aaah ! veux pas Aaah ! Veux paaaah ! Aah ! Aaah ! Veux paaa-aaaahh !

La jouissance de Marjorie précipite celle de Bernard.

— Aah Aaah ! Aaaah ! Arrgghh !

Il sort de lorifice dilaté une verge encore longue au bout de laquelle pend une goutte de sperme. Lucille se précipite pour lessuyer avec la serviette pendant que Line, Marc et Luc entourent Marjorie pantelante, hors dhaleine.

— Laissons ces jeunes gens en paix, dit le directeur en entraînant Lucille. Viens dans ma chambre me montrer que toi aussi tu sais me rendre ma vigueur

Le quatuor sur le lit se rend à peine compte que la lumière séteint. Les garçons se font entreprenants. Dame ! Ils ont été brimés et veulent prendre une revanche que ne leur disputent pas les filles. Une première étreinte est insuffisante à les calmer et ce nest quaprès léchange de partenaire quils sendorment pour un repos mérité.

A suivre

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