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Pauline – Années étudiantes – Chapitre 9




Chapitre 9

Ce lundi matin, Amandine s’est assise à côté de moi avant que le cours ne commence.

Pauline, t’as pu avancer sur le devoir ? C’était chaud.

Oui, j’ai pas mal galéré. J’espère ne pas avoir écrit trop de conneries. Pondre vingt pages en un week-end…

Vingt ? J’ai bossé comme une malade et je n’en suis qu’à 7. Comment tu fais ? En plus, tu étais de sortie samedi soir.

Qui t’a dit ça ?

Je t’ai vue sur la page facebook de Fred.

Fred ?

Ben oui, le pote de JC. Je ne savais pas qu’il t’avait invitée. Tiens, regarde

Elle me montra sur son téléphone. Il y avait une photo de JC et de son autre copain ensemble, et une autre de moi, alors que j’étais encore habillée. En dessous, il avait mis en commentaire "Merci à mes deux meilleurs potes pour ce super anniversaire. Et un grand merci à la fabuleuse Deep Blue que je recommande chaudement".

Ca s’est passé comment la soirée ?

Bien… Je ne suis pas restée longtemps… A peine une heure.

A oui ? T’étais habillée sexy, ils devaient baver sur toi. Deep Blue ? "Que je recommande chaudement" ?

Rien, un délire c’est tout.

Ok. Alors, il n’y a aucune raison d’être aussi nerveuse.

C’est juste que je n’ai pas beaucoup dormi à cause de ce devoir. Pardon, je suis un peu à cran.

J’avais surtout des sueurs froides et les mains moites. L’interrogatoire d’Amandine ne me plaisait pas. Elle voulait trop en savoir et je ne sais pas mentir sans que ça se voit.

Plus tard, je vis Amandine discuter avec JC. Ca semblait houleux. Je n’y ai pas plus prêté attention que ça, j’ai préféré continuer mon chemin. Cependant, JC me rattrapa

Pauline, attends… Je voulais te prévenir que mon pote a mis une photo de toi sur son compte facebook, mais rien de osé…

Je sais, Amandine m’a montrée.

Elle a fait quoi ? Putain, j’avais oublié qu’il l’avait mise dans sa liste d’amis… Je comprends mieux son caca nerveux.

Elle t’a fait une crise de jalousie ?

Ben oui. Elle aussi voulait qu’on se voit samedi soir et je lui ai dit non. Elle m’a dit qu’elle savait qu’il y avait une fille sans me dire qui.

Ha… Je ne savais pas que vous couchiez ensemble.

C’est arrivé qu’une fois et il n’y aura pas d’autres fois. Je sais qu’elle espère plus, et ça ne m’intéresse pas. Et vue comme elle est jalouse alors qu’on ne sort même pas ensemble, je n’ose pas imaginer ce que ça serait.

T’es en train de me dire de me méfier d’elle…

Je ne pense pas qu’elle soit méchante, mais reste sur tes gardes tout de même. LA réputation d’Alexandra n’est pas connue de tous par hasard

Qu’elle se tape un mec à chaque soirée ?

Oui, parce qu’elle était en concurrence avec Amandine sur Lucas à un moment. Et pourtant, je connais quelques autres filles qui font bien plus de choses…

Mais, tu ne me diras pas.

Non… J’organise une petite teuf privée le samedi juste avant la reprise des cours. Si tu veux venir, histoire de découvrir…

Je ne sais pas encore. Je reviendrais tout juste de chez mon père, je serais peut-être fatiguée. Tu veux tout de même m’inviter malgré ce week-end ?

Je t’ai dit, je t’aime bien, et tu t’entendras avec les autres. Mais si t’espères qu’il se passera quelque chose entre nous, laisse tomber.

Non, c’est bon, j’ai parfaitement compris.

Après les cours, alors que je sortais de l’ascenseur pour rentrer chez moi, André ouvrit la porte. J’avais oublié… Je n’en avais pas vraiment envie, j’étais fatiguée. Mais, d’un autre côté, je ne désirais pas être seule. Et la présence d’André m’était bien agréable et apaisante.

J’ai déposé mes affaires de cours chez moi et suis allée chez lui. Il commença par me demander comment s’était passé mon week-end. Je ne lui ai rien dit à part "studieux". Lorsque par politesse je lui ai demandé pour son dimanche, il me répondit "ennuyeux". Nous n’avions envie ni l’un ni l’autre de s’étaler sur ce que nous avions fait. Alors, je me suis déshabillée et lui ai demandé

Quelle pose voulez-vous que je prenne ?

Allongée sur le canapé, s’il vous plait.

Je me suis mise comme il voulait, les jambes serrées et un peu pliées, les bras au-dessus de ma tête, cette dernière légèrement tournée sur le côté.

Etes-vous bien installée ?

Oui, ça va.

Tant mieux, ça risque de prendre un peu de temps.

Il ne dit plus rien, moi non plus. Seul raisonnait dans toute la pièce le bruit du crayon gratter le papier. C’était comme une berceuse. Je me sentais calme et détendue. Je me suis assoupie.

Mes yeux se sont ouverts dans une pièce sombre. J’étais toujours sur le même canapé, recouverte par une couverture. André n’était pas là. Je ne savais pas l’heure qu’il était, mais il était certainement tard, et André devait dormir.

Je me suis levée sans faire de bruit. J’ai récupéré mes habits et marchant sur la pointe des pieds, je suis allée vers la porte d’entrée. Et j’ai sursauté lorsque j’entendis derrière moi

Avez-vous bien dormi ?

Vous m’avez fait peur. Je croyais que vous dormiez.

Ho, je me réveille toujours tôt le matin.

Tôt ? Il est quelle heure ?

Presque six heures trente.

Je m’excuse pour hier soir.

Allons, ne vous excusez pas. Vous aviez besoin de vous reposer et c’est tout. Et d’ailleurs, je suis plutôt fier du résultat. Voulez-vous que je vous le montre en prenant un petit déjeuner ?

Je dois arrêter d’abuser de votre gentillesse, André. Je vais rentrer chez moi. Mais, je passerai ce soir si vous voulez bien.

Ho… Disons demain soir alors. Ce soir, c’est la réunion du syndic de copropriété. On sait lorsqu’il commence, mais jamais lorsque ça se finit.

Ok pour demain soir. Bonne journée, André.

Bonne journée Pauline… Vous ne vous habillez pas avant de partir ?

Sa question me fit sourire. Et je lui répondis

Si c’est pour les enlever dès que je serais chez moi, ça n’en vaut pas la peine. Je n’ai que quelques mètres à faire et nous ne sommes que deux sur le palier.

Il est l’ordre du jour pour la réunion de ce soir d’installer des caméras de surveillance à chaque étage, idée pour laquelle j’étais plutôt pour, bien que coûteuse… Je vais peut-être réviser mon jugement.

Je suis certaine que vous me préviendrez si c’est voté.

Je suis donc rentrée chez moi. Il était bien plus tôt que l’heure à laquelle je me lève d’habitude. J’avais le temps de me faire couler un bain bien chaud dans lequel je suis restée de longues minutes bien agréables.

Je suis allée en cours, une journée normale. J’avais juste l’impression qu’Amandine me surveillait en permanence. Mais rien de spécial sinon, comme le lendemain et les jours suivants. Les vacances, bien méritées, approchaient à grand pas.

Mais, pour le moment, j’étais chez André ce mercredi soir. Il me raconta d’abord comment s’était passée sa réunion. Ca ne semblait vraiment pas palpitant. Des caméras ont été votées, mais uniquement mises aux entrées de l’immeuble. Et alors que nous n’en avions jamais parlé, il me précisa "dans le parking aussi" d’une façon pleine de sous-entendus.

D’ailleurs, je le trouvais coquin ce soir-là. Pendant que je retirai mes vêtements, il me demanda

Vous m’avez déjà démontré que vous êtes une charmante jeune femme qui n’a pas peur de montrer ses atouts. Puis-je vous demander quelque chose d’intime ?

Demandez toujours.

J’aimerai que vous preniez une position plus érotique que d’habitude.

Je pense que ça peut se faire.

Il m’expliqua son projet. J’étais folle, je lui dis que j’acceptais. Je suis même allée chercher des accessoires chez moi.

C’est très coquin ce que vous voulez. Comment l’idée vous est venue ?

Hier soir lors de la réunion. Un moment, je me suis souvenue de vous dans le parking. Dites-moi dès que vous êtes prêtes.

Je suis prête.

J’ai placé la boule du kit SM dans ma bouche, il me l’attacha derrière la tête. Je me suis allongée sur le dos, j’ai plié mes jambes, remonté mes cuisses. Il ligota mon poignet gauche avec ma cheville gauche, utilisant une ceinture. Il fit de même avec mes membres du côté droit. Dans cette position, mon intimité était parfaitement exposée et je ne pouvais plus la cacher. Mais, je ne craignais rien avec André. Et enfin, il me banda les yeux, j’étais plongée dans le noir.

Privée de la vue, j’avais l’impression que mes autres sens étaient exacerbés. A chaque bruit de crayon, de froissement, de mouvement, je tentais d’imaginer ce qu’il se passait, ce qu’il faisait. Et, plus les minutes passaient, plus je me demandais si j’avais raison de faire confiance à André. Depuis combien de temps j’étais dans cette position ? Et si au final je m’étais trompée sur lui ?

J’ai commencé à psychoter, j’ai commencé à me faire peur. Dans cette position, il avait tout loisir de profiter de moi sans que je ne puisse bouger, réagir, dire quoi que ce soit. Et mon corps s’est mis à réagir, combattant à sa manière mon stress. Je sentais ma respiration s’accélérer, ma poitrine se gonfler, de plus en plus de picotements dans mon bas ventre.

"Je dois commencer à fatiguer des yeux, votre corps semble plus beau de secondes en secondes". Et je l’entendis gommer, puis redessiner. Je sentais mon vagin s’humidifier, s’ouvrir. D’où me dessinait il ? S’en rendait-il compte aussi ? "C’est magnifique, on dirait une fleur qui s’ouvre". Et encore un coup de gomme, puis de nouveaux traits de crayon.

Je n’arrivais pas à maitrise mon corps. Je me sens bête de m’exhibait ainsi et de lui montrer à quel point ça m’excitait. Et pourtant, j’aimais de plus en plus cette situation : offerte, sans possibilité de faire quoi que ce soit, obligée de continuer à me montrer. J’avais envie de me caresser, je savais que je ne mettrai alors pas longtemps à jouir. Plus le temps passait, plus ça en devenait un supplice.

"Pauline, vous me faites avoir des envies que je ne pensais plus possible à mon âge". Et je l’entendis poser son crayon, ouvrir son pantalon. Oui André, viens, prends-moi, j’en ai aussi envie. Mais non, les bruits que j’entendais me disaient qu’il se masturbait. Je bougeais, je tentais de lui dire de m’attendre.

Et il me détacha une main, j’ai retiré mon bandeau, il s’était rassis sur sa chaise, la tête dans les mains. J’ai enlevé le bâillon, l’autre ceinture. Je n’ai pas réussi à me lever tout de suite, mes membres étaient endoloris, le sang ne circulait plus très bien. Alors, je me suis avancée en rampant presque.

Qu’est-ce qui ne va pas André ?

J’ai si honte de moi. J’ai eu une pulsion envers vous malsaine.

Regardez-moi, s’il vous plait.

J’étais à genoux devant lui, lui souriant. Il me caressa la joue. Je pris sa main et la descendis sur ma poitrine.

Que faites-vous ?

Nous en avons tous les deux envies.

Mais… Vous êtes si jeune… Et moi si vieux.

Ce n’est pas un problème.

Ca fait si longtemps…

Il n’y a aucun problème.

Il se laissa guider. Je l’ai allongé sur le sol, ouvert son pantalon, sortit une verge un peu fripée et bien moins dure que celle que j’avais imaginée. Mais, ça n’allait pas m’arrêter. Je l’ai chevauché et l’ai insérée en moi.

Je bougeais sur lui, penchée en avant. Chacune de ses mains me pétrissaient un sein. Il n’était pas doux, mais j’aimais ça. Et j’ai commencé à moins le sentir, il débandait.

Je suis désolée, je vous avais prévenu que ça faisait bien longtemps.

Et je vous ai dit que ce n’était pas un problème.

J’ai donc changé de position et je me suis mise à le sucer. André eu une demande que j’ai acceptée : mettre ma chatte à quelques centimètres de sa tête et me caresser en même temps. Mon excitation était très forte, et un orgasme m’envahie peu après. Quelques secondes après, j’ai repris ma fellation, j’ai repris ma masturbation, il était déjà bien plus dur.

Quelque chose sorti de sa verge, du pré sperme j’imagine, mais son goût ne m’a pas plu. J’ai pourtant continué à le sucer, jusqu’à sentir sa jouissance arriver. Je me suis alors reculé, je l’ai masturbé pour le faire éjaculer sur ma poitrine.

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