Enfin le grand jour arriva. J’étais si nerveuse que j’en avais des crampes à l’estomac. Maman jugea préférable de me signer un mot d’excuse pour le lycée. Je n’ai pas pu me rendre en cours, ce jour là. Bonne mère, elle m’aida à me préparer pour ce premier hommage rendu à l’homme de ma vie. J’avais peur d’être vraiment trop étroite pour lui. J’avais peur d’avoir mal. Je n’avais encore jamais vu mon père en érection et la franche indiscrétion de ma mère n’avait pas été pour me rassurer, au contraire! C’était vraiment un beau morceau, à l’entendre. Elle avait fini par me le montrer en photo. C’était réellement impressionnant. Je pris peur. Mais, l’envie demeurait plus forte que jamais. Je tenais à ce que ce soit lui et personne d’autre.

  Papa devait rentrer du bureau vers 16h30. Ma tenue était des plus aguichantes. Maman me trouvait parfaite dans mon petit ensemble noir et mes escarpins vernis. Mignonne à croquer! Porte-jarretelles, bas noirs et culotte transparente fendue. Fardée, je faisais plus que mon âge et ma jupe en lycra épousait idéalement les formes juvéniles de mon corps frêle, mais bien dessiné. Il fallait faire pute…Et, pour le coup, c’était très réussi.

  A l’heure fatidique, je pris la pose, debout, dos à la porte d’entrée, jambes écartées, le busque légèrement penché afin d’exposer mon décolleté, je me tenais fermement au dossier de la chaise sur laquelle je prenais appui. Papa, dont la voiture venait de franchir le portail, signalait son arrivée. je tremblais d’émotion. La gorge nouée. Comment allait-il s’y prendre avec sa fille?

  _Voilà, ça c’est de la bonne petite salope, comme j’aime!!

  Une bise rapide et affectueuse à maman et le voilà qui me met sa grosse main au cul. Ma croupe lui plait, inévitablement. Je frissonne dans tout le corps. Ce cochon me toise en me palpant lourdement l’entrecuisse et les fesses.

Papa feint de s’adresser à ma mère en parlant de moi comme si je n’étais rien d’autre qu’un objet de convoitise sexuelle, à ses yeux. J’adore ça! Il me rend folle de désir avec ses mains chaudes, fermes, mais habiles. Je suis toute émoustillée malgré mes appréhensions. Y’a pas à dire, il sait y faire, le salaud! Je ruisselle à l’entrecuisse et il s’en voit très flatté. Ses attouchements me rendent dingue et il s’en faut de peu pour que je ne le supplie pas, à genoux, de me prendre sans plus attendre.

  Je sursaute. J’ai reçu une décharge douloureuse au bas-ventre. Ses gros doigts qui me fouillent l’intimité viennent d’avoir raison de mon hymen au moment même où je croyais jouir. L’excitation maximale atténue le mal qui n’est déjà plus qu’un mauvais souvenir. ça saigne un peu. Mon père va se rincer les mains au robinet des toilettes du rez-de-chaussée. Il en revient sans pantalon ni slip. Sa queue semi-bandante pendouille fièrement au-dessus d’une imposante paire de couilles. Quel engin ! Je suis captivée.

  Cette fois, il prend son temps pour n’enduire le vagin fort serré avec une crème apaisante et très lubrifiante. Je sens son index qui va profond. Maman, qui m’embrasse dans le cou en me caressant les hanches et les fesses, me recommande de me décontracter un peu. De me laisser aller. Je sens mes lèvres vulvaires plus réceptives et mes parois internes se détendre. Je m’ouvre. Papa frotte son gland contre mon périnée, puis ma vulve trempée. Je le sens qui cherche à s’introduire délicatement en moi. ça résiste. J’ai mal, à nouveau. Je m’agite:

_Bouge pas, connasse!

  Il s’y prend, patiemment, à plusieurs reprises, mais c’est à peine s’il peut faire entrer son énorme champignon décalotté. Pour ce premier essai, il abandonne au bout d’un temps qui me parait interminable, je suis affreusement frustrée. J’ai, maintenant, sa grosse pine baveuse sous le nez:

_Suce!

Je sens maman entre mes jambes, agenouillée derrière moi, qui ne tarde pas à me bouffer la chatte pendant que j’embouche papa. J’oublie ma déception et redouble de cur à l’ouvrage. J’adore téter le gros biberon paternel, lui lécher ses bourses. Papa se retourne et se penche en avant, jambes écartées pour me présenter son cul glabre à sucer. Je lui ouvre les lobes fessiers et j’y enfourne une petite langue pointue et frétillante qu’il semble aimer:

_Va s’y profond, ma bonne putasse. C’est bon ça! Oui !

  Maman s’y prend bien aussi. Je sens que je vais partir. Je tremble sur mes jambes. Je finis par vagir, le nez encore plongé dans les fesses paternelles. Je prends un pied immense qui me fait perdre l’équilibre.

A suivre.

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