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Mon amie Barbara – Chapitre 1




Mon amie Barbara,

J’accueille Barbara avec impatience.

C’est une ravissante brune aux yeux bleus très féminine qui me fait l’amour avec beaucoup de fougue et d’imagination.

De plus, elle aime mettre en scènes les nombreux jeux de rôles qui lui viennent à l’esprit.

Aujourd’hui, elle s’est harnachée de sa lingerie la plus sexy.

— Tu vas craquer en découvrant mes dessous, m’assure-t-elle

Je m’aperçois qu’elle porte tous les artifices de l’éternel féminin.

Une jupe rouge ultra courte et un jupon vaporeux dévoilent ses jarretelles tendues sur la peau mate de ses cuisses.

Des talons de sept centimètres allongent ses jambes gaînées de bas nylon.

D’un regard provocant, elle dégrafe son corsage pour me faire admirer le galbe parfait de ses seins jaillissant de son balconnet.

J’ai une forte envie de la violer quand elle me tourne volontairement le dos pour ajuster ses bas en dévoilant ses fesses moulées dans sa culotte en satin.

Ravie de son effet, elle se redresse lentement en m’adressant un sourire prometteur.

Puis, elle m’observe à son tour.

Je me suis maquillée et habillée avec soin.

Je porte une perruque blonde bouclée et une lingerie glamour qui met ma poitrine en valeur.

Mes longues années d’entraînement devant la glace m’ont permis d’acquérir des attitudes très féminines.

Barbara plutôt satisfaite de son examen me dit:

— Ne perdons pas de temps ma chérie.

Elle me tend un verre d’eau en me glissant une pilule bleue dans la bouche.

— Avale ça, ma belle, c’est du viagra.

— Ce ne sera pas superflu si tu veux tenir toute l’après midi avec moi, car je te réserve quelques surprises.

Regarde, j’ai déjà envie de toi, me dit-t-elle de sa voix sensuelle.

Je craque quand cette belle fille aux seins sublimes soulève sa jupe en me montrant sa queue massive plaquée contre son corset.

J’admire son gland épais et sa hampe s’élargissant jusqu’à la racine de son sexe qui sont pour moi le gage d’un plaisir assuré…

— Tu dois t’occuper d’elle, rajoute-t-elle en souriant.

Encouragée par ses paroles, je tombe à ses genoux en remontant mes mains jusqu’à la lisière de ses bas.

Puis, plongeant ma tête sous son jupon, je caresse ses cuisses fuselées sur lesquelles sont tendues quatre paires de jarretelles.

Sans plus attendre, je mordille tendrement sa queue gonflée de désir.

Poursuivant mon exploration, je lubrifie son anneau en lui enfonçant un rosebud dans les fesses.

Cela me rappelle mes dernières vacances estivales dans un camp de nudistes en Ardèche.

Allongée sur le ventre, les jambes écartées, je provoque l’attroupement de jeunes éphèbes et de filles qui s’arrêtent devant moi.

Ils commentent sans réserve le bijou anal fiché dans mes fesses.

Son socle en cuivre incrusté d’un saphir bleu en verre taillé brille au soleil.

Dans l’effervescence des commentaires, j’ai le temps de donner mon numéro de chambre à l’un de mes admirateurs avant qu’une jolie femme me demande de la raccompagner chez elle.

Très entreprenante, elle m’entraîne dans son lit.

Elle prend plaisir à jouer un moment avec mon bouton de rose tout en me masturbant.

Puis, elle le retire de mon illet pour le plonger dans sa chatte.

— Viens, me dit-t-elle en m’offrant ses fesses.

Fou de désir, je la pénètre sans attendre.

Je suis fascinée par son cul qui s’ouvre comme un fruit mûr sous la poussée continue de mon sexe.

Elle me donne beaucoup de plaisir car le bijou enfoncé dans sa chatte comprime son fourreau anal en le rendant aussi étroit que celui d’une vierge.

Je la laisse partir à regret.

Revenant à la réalité, je contemple Barbara qui fait tout pour me faire craquer.

Elle se trémousse sous mes yeux en roulant des hanches et finit par sasseoir en frottant ses cuisses l’une contre l’autre pour me faire entendre le crissement de ses bas.

Ne pouvant plus résister, mes mains effleurent ses jarretières et se glissent dans ses dessous pour saisir son sexe qui me fait découvrir ses attentes.

Barbara frissonne de plaisir lorsque j’embrasse l’intérieur de ses cuisses et gémit doucement quand je tiraille du bout des lèvres le plug plongé dans son ventre.

Les sens en ébullition, elle finit par se lever.

Sa verge en érection soulève sa minijupe et ses seins volumineux et lourds jaillissent de son corsage.

Cette vision contrastée de sa queue dressée et de son éclatante féminité m’excite énormément.

A son tour, elle contemple ma guêpière rouge sur laquelle sont accrochés mes bas à coutures de même couleur.

Ses mains explorent mes dessous en empoignant ma queue…

Elle la frotte lentement sur ses cuisses gaînées de nylon en me lançant un regard torride.

Au contact des mailles satinées quelques gouttes de sève perlent à la surface de mon gland.

— J’ai envie de te baiser, me murmure-t-elle à l’oreille.

Même si je brûle d’envie de la posséder, je suis encore plus excitée d’être l’objet de son désir.

Sournoisement, elle profite de mon équilibre instable pour me culbuter sur le lit.

Allongée sur le dos, je fais semblant de lui résister.

Avec détermination, elle plaque mes genoux contre ma poitrine en brandissant dans sa main un gode démesuré.

— Tu vas aimer, me susurre-t-elle à l’oreille.

Pour me mettre en confiance, elle le fait aller et venir doucement dans le sillon de mes fesses.

Puis, sans me quitter des yeux, elle passe à l’action.

Une douleur lancinante me traverse le ventre lorsque mes chairs s’écartent sous la pression continue de ce pieu qui m’empale.

D’un air amusé, Barbara regarde mes jambes brasser désespérément l’air pour tenter d ’échapper à son étreinte.

Elle explore les moindres recoins de ma grotte en m’amenant peu à peu au bord de l’orgasme.

-Ton clito va bientôt exploser, me dit-t-elle.

A peine l’a-t-elle pris en main, qu’un flot épais de sperme jaillit entre ses doigts et retombe sur mes bas en dessinant d’étranges arabesques blanchâtres.

Un moment plus tard, elle s’assoit devant sa coiffeuse pour faire quelques retouches à son maquillage.

Puis, elle s’approche lentement de moi.

Provocante, elle roule des hanches, le ventre en avant en me fixant de ses yeux de braise.

Dégrafant sa jupe, elle la laisse tomber à ses pieds en l’enjambant gracieusement.

Consciente de sa féminité, elle s’exhibe devant moi sous tous les angles.

Huit jarretelles tendues sur ses cuisses ont pour mission de maintenir les coutures de ses bas bien alignées.

Je la contemple en imaginant tout ce qu’il est possible de réaliser avec une transsexuelle.

Elle est irrésistible !!!

Campée sur ses bottes à talons aiguilles qui lui cambrent les reins, elle se pend à mon cou prête à céder à tous mes caprices.

En refermant sa main sur ma queue, elle prend conscience de mon trouble et m’entraîne avec un sourire carnassier vers son lit.

Elle s’allonge sur le dos en retirant le rosebud enfoui dans ses fesses.

— Viens, j’ai envie de toi, me dit-t-elle en écartant les cuisses sans aucune pudeur.

Ignorant son invitation, je lui bande les yeux avec une écharpe en soie pour qu’elle n’anticipe pas sur ce que je lui réserve.

Puis, je prends sa queue en bouche pour faire grandir son désir.

Peu après, je l’attache aux quatre pieds du lit en la laissant seule un moment pour qu’elle fantasme sur ce que je vais lui faire.

Quand je reviens, elle se tourne vers moi en entendant le crissement de mes bas.

Bien qu’aveugle, elle compense son handicap par l’exacerbation de ses autres sens.

Lorsque je pose un vibro sur son frein, sa respiration s’accélère et sa superbe poitrine se soulève en cadence.

J’attends qu’elle soit suffisamment excitée pour enfiler un gant lubrifié et glisser lentement un, deux, puis trois doigts dans son intimité.

Ayant trouvé son point G, je recourbe mon index vers le haut en le massant avec insistance avec la pulpe de mon doigt.

Submergée par le plaisir, elle se cambre en s’offrant à mes caresses.

J’en profite pour lui glisser un anneau pénien afin qu’elle conserve son érection.

Puis, je lui retire son bandeau en ayant une irrésistible envie de m’empaler sur sa queue.

Me mettant à califourchon sur son ventre, je guide son gland à l’entrée de ma grotte.

Lorsque mon illet s’ouvre, je ferme les yeux en m’empalant lentement et voluptueusement jusqu’à la garde.

Très vite, je suis comblée par sa queue épaisse qui va et vient en moi en me dilatant les chairs.

Je réalise une fois de plus que c’est surtout son diamètre qui me donne du plaisir.

J’empoigne les seins de Barbara à deux mains en basculant mon bassin d’avant en arrière pour l’amener au bord de l’orgasme.

Je finis par la faire craquer en tournant lentement mes fesses sur sa colonne de chair.

Le souffle court, elle m’implore d’une voix suppliante:

— Ne me fais pas jouir trop vite.

Je m’arrête un instant pour lubrifier un énorme gode.

— Oh non, pas celui là, il est trop gros pour moi, proteste-t-elle d’une voix inquiète.

Sans lui répondre, je le glisse entre ses cuisses.

Elle se raidit quand je le presse à l’entrée de sa grotte en tentant désespérément d’échapper à mon emprise.

Je contemple une fraction de seconde son visage qui exprime tour à tour la surprise, l’angoisse et le plaisir.

La bouche ouverte et la poitrine palpitante, elle me fixe intensément du regard.

Elle gémit quand je lui enfonce le pal jusqu’au manche.

Quelques minutes plus tard, nous partageons un moment d’intense jouissance, totalement comblées par ces phallus qui nous possèdent.

Reprenant mes esprits, je tourne vicieusement le gode dans son ventre pour qu’elle sente ses moindres reliefs.

Quand je la vois s’agiter frénétiquement, je sais qu’elle a atteint le point de non retour.

— Laisse toi aller mon ange, lui dis-je en amplifiant mes va et vient sur sa queue.

Une vague déferlante de plaisir l’emporte et elle explose en moi le corps secoué de nombreux spasmes.

Aussitôt, je me retire pour la voir perdre dans d’ultimes soubresauts ses dernières gouttes de sève.

Nous passons un long moment à nous caresser et à nous embrasser jusqu’à ce que le désir nous taraude à nouveau.

Je me lève alors pour sortir un plug gonflable de la table de nuit.

— Ce jouet va te faire grimper au rideau, lui dis-je.

Sans attendre, je le plonge dans ses fesses en le gonflant rapidement.

La forte pression qu’exerce le ballonnet sur son point G provoque l’écoulement d’un mince filet incolore de son gland.

— Ton clito coule trop tôt ma belle, lui dis-je en souriant.

Je fais une pause lorsque la tension devient trop insupportable.

Barbara contracte ses muscles internes pour résister à la pression et gémit lorsque les vibrations du plug lui irradient le ventre.

Son fourreau anal continue à se dilater sous l’action du ballonnet.

En voyant son illet se contracter en permanence, je sais qu’elle va bientôt jouir.

Allongée entre ses jambes, je pose un vibro sur son frein avec l’intention de prolonger son plaisir.

Dés qu’une goutte de sève perle à la surface de son gland, je le soulève quelques secondes avant de le poser à nouveau pour faire apparaître la suivante.

Lorsque Barbara est au bord de l’orgasme, je gonfle fortement le plug.

A bout de résistance, elle relâche ses muscles internes en laissant le ballonnet lui écraser les chairs.

Je continue à lui dilater les entrailles jusqu’à ce que la douleur et le plaisir soient étroitement mêlés.

Je n’ai plus qu’à effleurer son frein avec ma langue pour qu’une coulée de sève sorte lentement de son gland.

Tu jouis du cul ma chérie, lui dis-je en la prenant en bouche pour recueillir sa source de vie.

Dans un râle de plaisir, elle se vide lentement dans ma gorge.

Je décide de faire un pause pour lui laisser le temps de se changer.

Elle réapparaît un instant plus tard dans une lingerie craquante qui m’enflamme les sens.

Je ne résiste pas au plaisir de la prendre dans mes bras pour l’allonger sur le lit.

A genoux face à elle, je pose ses bottes à talons aiguilles sur mes épaules en appuyant ma queue contre son illet qui cède très vite à mes ardeurs.

Je suis fascinée de voir sa rosette s’enrouler sur ma hampe quand je la pénètre et s’étirer dessus lorsque je me retire.

Je la sodomise longuement tout en la masturbant.

Soudain, son corps se met à trembler et elle explose en jets puissants sur sa guêpière.

Un instant plus tard, elle s’éponge de son mieux en me disant:

— Reste dans mes fesses.

Avant que je puisse réagir, elle m’immobilise la taille entre ses cuisses.

Ondulant du bassin, elle aspire mon sexe en cadence tout en me pétrissant la croupe.

Au moment crucial, elle m’enfonce sournoisement son doigt dans l’anus.

Tétanisée, le corps en arc de cercle, j’explose en râlant de plaisir.

Comblées, nous restons un moment enlacées et emboîtées l’une dans l’autre.

Épuisée de fatigue, je finis par m’endormir à ses côtés.

Lorsque j’ouvre les yeux, Barbara est debout devant moi en tenant une barre d’écartement dans la main.

Sans me laisser le temps de réagir, elle verrouille mes chevilles à cette barre en attachant mes mains aux barreaux du lit.

— Je vais pouvoir prendre ma revanche et te violer à ma guise, me dit-t-elle.

Allongée sur le dos et écartelée, je suis totalement soumise à sa perversité.

Elle se place entre mes jambes en agitant sous mes yeux un gode hérissé d’aspérités saillantes.

— Il va te faire de l’effet, me souffle-t-elle à l’oreille.

D’une main assurée, elle pousse lentement mais avec force le gode dans mes fesses en le tournant avec son poignet.

Quelques minutes plus tard, elle doit me comprimer la racine du sexe pour m’empêcher de jouir.

— C’est bien trop tôt ma belle, il n’est pas encore totalement rentré, me dit-t-elle dans un rire de gorge évocateur.

Collant ses lèvres contre les miennes pour étouffer mes plaintes, elle presse le gode avec son genou pour l’enfoncer jusqu’à la garde.

Le savoir faire de Barbara ne tarde pas à estomper ma douleur.

Lorsqu’elle voit le manche tressauter frénétiquement sous l’effet de mes contractions anales, elle s’arrête de me pilonner les entrailles.

C’est le moment qu’elle choisit pour s’accroupir sur moi et s’empaler sur ma queue.

Reprenant le gode à deux mains, elle me fouille les reins de plus belle.

Mes jambes se remettent à trembler et j’essaye de contenir de mon mieux la coulée de lave qui monte en moi.

Barbara s’arrête juste à temps.

Elle me retire le gode qui sort dans un bruit de succion en me laissant lillet grand ouvert.

Me retournant sur le ventre, elle s’allonge entre mes cuisses en me laissant les chevilles attachées à la barre.

— Cambre toi mon ange pour que je puisse t’enfiler à fond.

La tête dans l’oreiller, encore toute chavirée de plaisir, je fais ressortir ma croupe dans l’attente de son assaut.

D’un coup de rein, elle me transperce avec une facilité qui la déconcerte en oubliant qu’elle vient de m’élargir l’anneau.

Puis, écartant mes fesses avec ses pouces, elle s’enfonce jusqu’à la racine de son sexe.

— Te voilà bien prise ma chérie, s’exclame-t-elle en me mordillant l’oreille.

Appuyant ses mains sur mes épaules, elle me plaque contre le lit pour me montrer qui est le maître.

Mon excitation est grande lorsque je sens ses bourses me fouetter l’intérieur des cuisses.

Dans le silence de la chambre, j’entends aussi les claquements de son ventre contre mes fesses.

Je me sens comblée par sa queue qui me lime si bien.

— J’adore sentir ta verge se raidir dans ma main quand je t’encule, me souffle-t-elle à l’oreille.

— Je vais te vider maintenant, m’assure-t-elle en me renversant sur le dos

Barbara me masturbe jusqu’à ce que mon sperme jaillisse par saccades sur ma guêpière.

Dés qu’elle me retire la barre d écartement, je me mets à califourchon sur son ventre en m’empalant sur sa queue pour la faire jouir à mon tour.

Contractant mes sphincters sur sa colonne de chair, je me balance lascivement d’avant en arrière.

Je prends beaucoup de plaisir à terrasser cette queue qui ne résiste pas longtemps à mon massage fessier.

Lorsque sa sève fuse dans mon ventre, je pense à toutes ces femmes qui ont le bonheur de pomper par leurs orifices plusieurs dizaines de litres de sperme à leurs amants au cours d’une vie.

Enfin calmée, je contemple l’épaisse coulée de sève qui s’échappe de mes fesses et s’infiltre dans mes jarretières.

Tu m’a mis la dose ma chérie.

J’adore jouir dans ton cul, s’exclame-t-elle.

Je voudrai que tu fasses plus souvent la fille, rajoute-t-elle.

— Moi aussi, j’aime te sentir en moi, lui dis-je en l’embrassant pour sceller notre accord.

Nous finissons par à nous endormir dans les bras l’une de l’autre.

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