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Retrouvailles dans les vestiaires – Chapitre 1




Il était 23h dans les vestiaires de la salle de sport ou j’avais l’habitude de m’entraîner. Cette salle avait l’avantage d’être ouverte 24h/24h, ce qui permet de s’entraîner à nimporte quelle heure du jour ou de la nuit en sortant du travail pour ceux qui comme moi avaient des horaires de boulot décalés (j’étais alors étudiant infirmier, et sortais de l’hôpital à 21h).

Je venais donc de finir un entraînement de 2h sans vraiment prêter attention aux autres mecs qui s’entraînaient en même temps. Quelle ne fut pas ma surprise donc quand je sentis une main sur mon épaule et une voix familière me dire « Salut Jules ! »

Je me retournai et Théo se dressait devant moi, un autre étudiant infirmier que j’avais déjà croisé à l’hôpital dans un de mes stages. Un beau brun, barbe épaisse, 1m85, assez massif genre rugbyman, et plein de charme. Je dois bien avouer qu’il ne m’avait pas laissé indifférent à l’époque, vêtu de sa blouse blanche laissant juste entrevoir ses gros bras par les manches et un torse puissant et poilu par le col.

Il se tenant donc devant moi, me fixant avec ses beaux yeux verts et tentant un sourire timide. Devant ma surprise il ajouta :

— « On était en stage ensemble l’année dernière, je ne sais pas si tu te souviens de moi ?

— Si, bien sûr ! Comment tu vas ? Je ne savais pas que tu t’entraînais ici.

— Je viens de m’inscrire, et je t’ai aperçu tout à l’heure en m’entraînant, c’est drôle de te retrouver ici » me dit-il en souriant.

S’ensuivit un échange de banalité sur nos stages actuels. Son casier étant situé juste à côté du mien, j’en profitais pour me rincer l’il tout en discutant. Théo enleva son t-shirt, et dégoulinant de sueur, il se servit de celui-ci comme d’une serviette, parcourant son torse parfaitement sculpté : ses pectoraux massif et recouvert de poils encore humides de transpiration, ses abdominaux bien taillés avec une ligne de poils au milieu descendant jusque dans son short, ses aisselles dont s’échappaient de fins poils bruns…

Devant cette vue je m’étais interrompu en pleine discussion, et devant mon absence de réponse Théo enchaîna : « On continue cette discussion sous la douche ! » Et joignant les mots à la parole, il baissa son short et son boxer, referma son casier et s’éloigna vers les douches, me laissant admirer la vue de ses fesses se balançant pendant qu’il marchait.

Je n’avais pas pour habitude de me doucher à la salle, et je n’avais donc pas prévu de serviette ou de gel douche à cet effet. Mais la tentation de le rejoindre était trop forte. Une fois ma demi-molle passée je suivis donc ses pas vers les douches.

Le vestiaire était désert à cette heure-là, et je pouvais donc apercevoir Théo de dos, seul au milieu de toute la vapeur d’eau qui emplissait les douches. Je me mis donc sous un des pommeaux, à bonne distance pour ne pas risquer une autre érection involontaire. L’eau coulait sur ses larges épaules, le long de son dos magnifiquement taillé en V jusqu’entre ses deux jolies fesses légèrement recouvertes de poils.

Je cherchais du gel douche dans le distributeur de savon mural à côté de moi pour essayer de penser à autre chose en me savonnant, mais celui-ci était vide. Comme celui d’à côté, et encore celui d’à côté… A force de tous les essayer Théo fini par me proposer de me servir de son gel douche, me le désignant posé à ses pieds à côté de lui.

En me penchant pour l’attraper je ne pus m’empêcher de jeter un coup d’il à son entrejambe. Je fus étonné de le voir à demi en érection. Théo s’en aperçut, et me dit alors gêné :

— « Désolé, ça m’arrive souvent après le sport et une grosse journée de boulot…

— Pas de problème je comprends.

— Effectivement on dirait que je suis pas le seul à qui ça fait ça » rajouta-t-il en souriant et en regardant mon sexe qui était à son tour à moitié dressé.

Théo continuait de me regarder, passant sa main pleine de savon sur son torse, sur ses cuisses, et finit par venir se caresser la queue sans me quitter du regard. Elle finit par se dresser bien fièrement, et mon érection étant maintenant aussi à son comble, Théo lâcha sa queue pour venir effleurer la mienne du bout des doigts avec un regard interrogatoire me demandant la permission. Pour seule réponse j’entourais fermement ma main autour de sa bite et commençais à la branler à mon tour. Il n’en fallut pas plus pour que l’on se retrouve collé l’un à l’autre, en train de nous embrasser à pleine bouche, nos sexes bien raides se frottant l’un contre l’autre, nos mains parcourant nos corps recouverts de savon sous l’eau brûlante.

La sensation de tous ses muscles et ses poils collés à moi, et de ses mains décalottant mon sexe ou attrapant ma nuque pour enfoncer sa langue au fond de ma bouche me rendaient littéralement dingue. Théo finit par lâcher ma bouche pour laisser descendre sa langue le long de mon torse jusqu’au bas de mon ventre. A genoux devant moi, ce beau mal tenait mes hanches entre ses mains puissantes, me regardant toujours avec ce regard interrogateur. Un petit signe de tête suffit à lui faire entrouvrir la bouche pour avaler mon sexe, commençant timidement par le gland, puis l’aventurant de plus en plus loin. Je finis par passer ma main dans ses cheveux pour l’encourager à enfoncer ma queue jusqu’au fond de sa gorge. Quel pied de voir ce beau mec me donner autant de plaisir avec sa bouche, ma queue enfoncée entre ses belles lèvres, sa salive dégoulinant sur sa barbe.

L’excitation étant trop forte, je fis se relever Théo pour l’embrasser. Entre deux baisers il me dit :

— « Ta queue est vraiment trop bonne mec, si j’avais su…

— Crois-moi que si j’avais su ce qui se cachait sous cette blouse blanche j’aurais pas attendu aussi long temps non plus haha.

— Je la veux encore…

— Non c’est à mon tour !».

Et j’entrepris de lui rendre la pareille. Je laissais ma langue glisser de sa bouche à son cou, puis sur chacun de ses pectoraux puissants m’attardant sur ses tétons, faisant un détour par ses aisselles poilues, continuant le long de ces abdos et de cette ligne de poils qui descendait jusqu’à son sexe.

J’allais commencer à sucer cette magnifique queue dressée devant moi mais Theo ne m’en laissa pas le temps. Il vit demi-tour, et je me retrouvai face à ses fesses, bien galbées et poilues comme je les aime. Je laissais donc ma langue continuer à parcourir cette partie de son corps, léchant chacun de ses lobes, puis immisçant lentement la pointe dans sa raie. Sa pilosité était plus prononcée dans cette zone, mais bien entretenue. Ma langue se fraya donc un chemin jusqu’à atteindre sa rondelle. Theo ne put alors pas s’empêcher de laisser échapper un gémissement. Faire jouir ce colosse de muscle et de poils juste avec ma langue était tout aussi bon que de se retrouver entre ses lèvres. J’agrippais donc chacune de ses fesses dans mes mains pour les écarter et enfoncer ma langue un peu plus loin en lui. Heureusement que nous étions seuls dans les vestiaires à ce moment-là car les grognements de Théo auraient attiré l’attention de n’importe qui.

N’en pouvant plus tous les deux, Théo me redressa en m’attrapant par les épaules et me repoussa en direction des vestiaires tout en m’embrassant. Nos pas étaient hésitants, trop occupés à nous rouler des pelles et nous tripoter, nos deux sexes dressés à la verticale l’un contre l’autre. Théo finit par me faire m’allonger sur un des bancs du vestiaire et s’assit à califourchon sur mon bassin, ma queue entre ses deux petites fesses.

— « J’ai envie de toi » laissa-t-il échapper entre deux baisers

— « Moi aussi tu me fais vraiment envie Théo, et j’ai envie de te faire prendre ton pied, mais j’ai pas prévu tout ce qu’il faut

— Laisse-moi juste jouer encore un peu avec ta queue alors »

En me disant ça, il attrapa ma bite d’une main et la positionna juste à l’entrée de son trou. Je pouvais sentir son anus humide et recouvert de poils caresser doucement mon gland sous les ondulations de son bassin.

— « Rien que de sentir ta grosse queue sur mon cul ça me rend dingue Jules » me dit-il en gémissant.

Et effectivement je pouvais voir son sexe fièrement dressé face à moi mouiller, le liquide séminal s’écoulant de son gland sur mon torse, pendant que le mien glissait le long de sa raie encore recouverte de ma salive. A force de jouer ainsi Théo fini par s’empaler lentement mais d’une seule traite sur ma queue, lui arrachant une gémissant. Calé ainsi au fond de lui, je le regardais droit dans les yeux, conscient d’être en train de baiser ce pur mâle ultra-viril que je n’aurais jamais imaginé une seconde être passif. C’est ce qui m’excitait le plus dans cette situation.

— « Décidément ta bite est vraiment trop bonne Jules, j’adore te sentir bien raide comme ça en moi

— Et moi j’adore sentir ton petit cul tout autour de moi comme ça » je lui répondais en attrapant ses fesses entre mes mains.

Je commençais alors les va-et-vient, d’abord lents et sensuels, puis plus rapide et profond, ressortant presque entièrement ma queue à chaque coup de reins pour mieux retourner m’enfoncer au fond de son trou. La sensation de ce petit cul poilu entre mes mains allant et venant le long de ma tige était juste divine. Dans cette position je pouvais en profiter pour l’embrasser, le branler, caresser ses pecs à pleine main tout en l’enculant. Je ne sais pas combien de temps Théo continua à prendre son pied comme ça en glissant le long de ma bite, mais il finit par me dire :

— « Je vais pas tenir longtemps comme ça, tu vas finir par me faire jouir…

— Vas-y quand tu veux mec, je veux sentir ton sperme sur moi, ça sera la meilleure des récompenses »

Et effectivement Theo ne se fit pas prier, et dans un ultime mouvement de bassin je sentis sa queue se raidir entre mes mains et cracher son jus bien chaud sur mon torse, mon cou et jusqu’au coin de ma bouche en gémissant. Après avoir repris ses esprits, Théo se redressa, se mit à genoux au bout du banc et me demanda :

— « A mon tour, je veux ton jus !» en léchant ma queue de sa langue bien baveuse.

Je ne fus pas long à venir non plus, et finis par envoyer cinq ou six jets de sperme face au visage de Theo, recouvrant sa langue, ses lèvres et sa barbe, quelques gouttes coulant même sur son torse poilu. S’ensuivit un long baiser où nous avons échangé nos langues et nos jus en nous redirigeant vers les douches pour nous relaver mutuellement, mais plus sagement cette fois tout en continuant de se caresser l’un et l’autre.

En sortant il me dit : « Finalement j’ai bien fait de m’inscrire dans cette salle, je sens que j’ai trouvé une nouvelle motivation pour mes séances de sport » en me faisant un clin d’il.

Et effectivement ce n’était que le début d’une longue série de baise…

A SUIVRE

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