Le récit prend suite, juste après la nuit que Delphine et moi avons passé.
Je me réveillais détendu et heureux, comment ne pas lêtre, jai découvert cette fille sous un jour, que peu ou quaucune personne na jamais vu et javais lintention den profiter un maximum. Je la réveillais en la caressant et lembrassant mais en prenant soin ne de pas trop en donner, je voulais la laisser sur sa faim. Nous primes notre douche ensemble dans leuphorie de la nuit qui sétait passée. Je linvitais à shabiller sexy, une jupe en jean et un joli décolleté, de toute façon, avec ses seins le décolleté se fait très plongeant. Je la quitte sur un baiser, je devais repasser chez moi pour me changer, avec un « merci pour tout » qui me signifiait que cétait bien mais que la vie devait nous laisser aller de notre côté. Je décidais de ne pas aller trop vite.
Nous nous somme donc recroisez au boulot, avec la traditionnelle bise en guise de bonjour, accompagnée dun sourire inhabituel, qui ne signifiait quelque chose que pour nous deux.
Quelques jours après, je linvitais à boire un verre, au bord dune terrasse, et bien sûr je remis sur le tapis lévénement passé. Elle essaya tout dabord de me faire comprendre que cétait juste pour une fois. Elle ma dit que malgré tout elle aime son copain, et mets ses infidélités sur le dos de la distance entre eux. Elle la même appelé pour lui faire part de sa découverte et quelle était très déçue, et quapparemment même si elle nétait pas tout à fait convaincue, elle lui a donné une seconde chance.
Je lui demandais alors si elle voulait bien devenir ma confidente, étant donné ce qui sétait passé entre nous, elle accepta et me demanda par la même occasion, que je devienne le sien. Je lui précisais que jétais daccord, mais que je nallais pas lui faire part que de mes confidences dâmes et de cur, mais aussi de confidence plus intimes.
Le lendemain, je lui proposais de passer chez elle après le boulot afin de discuter de tout et de rien, de confidences et autres et Delphine accepta volontiers.
Pendant notre discussion, je lui demandais si elle se masturbait, elle devint rouge comme une tomate, jadore sa façon dêtre réservée, je lui dis que moi qui nai personne en ce moment, il y a des moments ou jai du mal à me contenir et lui dis quen toute honnêteté, elle na pas lair dêtre la fille qui se caresse pour assouvir ses envie. Elle me répondit un peu gênée quen effet elle a des envies quelle nose pas assouvir, que même si elle est seule, elle a limpression que ça nest pas bien, quelle est gênée. Je lui dis quelle devrait le faire, cest une sorte de façon de lâcher la pression, sachant quelle doit avoir pas mal de pression à lintérieur lui dis je avec un sourire. Elle me rétorqua quelle ne savait pas comment faire, et je lui répondis pour la rassurer quil ny a pas de façon de faire définie, quelle le fais comme elle le sent et lui lança un « pourquoi pas maintenant? ». Avec de grands yeux, elle me regardait sans répondre comme bloquée, je lui dis quétant donné ce qui cétait passé entre nous, elle navait pas de gêne à avoir.
Je lemmenais sasseoir sur son canapé, elle me suivait comme étant tiraillée entre le désir de le faire et sa conscience qui le lui interdisait. Elle était assise, rigide, comme nétant pas à sa place, je mapprochais de son visage et lembrassa, puis elle me dit « non, cétait juste une fois, nen profite pas! », je lui ai dis que cétait pour la détendre, puis repris mon baiser, lui caressant ses seins que jaime tant. Elle se détendait enfin, je lui pris la main et lui fit parcourir son propre corps, ses seins, entre ses jambes, linvitait à quitter ses vêtements, puis observais ce corps superbe, sa belle poitrine dans ce soutient gorge blanc à dentelle avec la culotte assortie. Je mécartais delle afin quelle se prenne en main toute seule, si on peu dire ainsi. Elle me regardait en parcourant son corps, prenant ses seins en main de plus en plus intensivement, passa sa main sur sa culotte qui laissait apparaître le début dune tache de sa mouille délicieuse. Pour lui montrer que jaimais ce que je voyais, je me mis nu et commença à me branler aussi, pour mon plaisir mais aussi pour lexciter.
Me voyant, elle approcha sa main de ma bite, je lui précisais alors que cétait ma masturbation et quelle devait soccuper de la sienne. Elle quitta ses sous vêtement et entrepris franchement sa masturbation, elle se caressait fortement le clitoris puis avec lautre main attrapa un de ses seins quelle porta à sa bouche, vu la grosseur elle y arrivait sans problème. Je métonnais devant sa façon de faire, pour une novice en la matière. « Tu mexcites beaucoup là » lui dis je, elle me répondait entre deux gémissement quelle avait envie de jouir, que ma bite lexcitais. Mon plan commençait à fonctionner. Delphine y mettait beaucoup du sien, tantôt le clitoris, tantôt deux doigts dans le vagin, tantôt les deux. Elle sapprochait de lorgasme et moi aussi tant mieux, je ralentissais un peu ma masturbation pour la rejoindre, puis quand ses gémissements me firent comprendre quelle venait, je maccélérais et dans un grand cri de plaisir je me déversais sur ses seins pendant quelle prenait son pied.
Encore haletante, elle me prit la bite pour me la nettoyer, elle navait rien oublié de la fellation quelle mavait fait et lui dis quelle me surprenait. Delphine me dit quelle voulait plus que ses doigts. « Prend moi, prend moi sil te plaît », me dit elle dans un mélange de supplique et de désir. Un fois remis daplomb, je lui donnais ce quelle voulait, sans passer par quatre chemins. « Mets-toi à quatre pattes! », se quelle fit sans tarder. « Mmmmh, oui cest bon! » dit-elle pendant que je la pénétrai. Puis je la pilonnais, je me demandais comment elle le prendrait si je la prenais sans ménagement, et elle avait lair daimer.
« Mmmmh! Oui! Encore! Cest bon! Plus fort! » En peu de temps son second orgasme venait, elle ne voulait pas que je me finisse en elle, et se retourna et me pris en bouche. Deux minutes après je me vidais une seconde fois.
Bien détendus tout les deux, nous avons bavardé sur ce qui venait de se passer. Je lui fis part de mon étonnement quand à son attitude, complètement différente de ce quelle est dans la vie de tous les jours. Elle me dit quavec moi elle se sent différente, même avec son copain elle nest pas comme ça. Elle joui limite en silence. Jabordais ensuite le sujet délicat, je lui dis quavec ça, je vais commencer à en vouloir plus, et que la prochaine fois ça sera le point de non retour. Je me rhabillais, lembrassai avant de partir et lui dis « surtout le prend pas mal, mais jaime quand tu fais ta salope » et elle de me dire « avec toi jai envie dêtre une salope »
Je vous mettrai une suite, si vous aimez.
Merci davoir lu.
