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Le bungalow du cocu heureux – Chapitre 3




Chapitre 3. Envie ou besoin? Echanger n’est pas tromper

Au matin, je vais acheter des croissants, Mylène, nue au-dessus du drap offre un spectacle émouvant. La jambe du dessus, remontée, découvre un abricot tuméfié, adorable cible, jy dépose un baiser. Trop fatiguée elle na plus pris de douche quand jai quitté son corps, son minet sent fort. Elle dort, conscience tranquille, brave épouse. En route je croise Léo. Devant le bâtiment de laccueil un attroupement attire notre attention. Nous nous renseignons. Le maître nageur a été retrouvé inanimé et on la hospitalisé. La gendarmerie enquête. Il est fort probable que le jeune homme ait été victime dun mari jaloux. Ce Gérard serait un coureur de jupons irrésistible, beaucoup de vacancières se laisseraient séduire. Tous les maris ne sont pas permissifs, tous ne sont pas aveugles. Avec qui ce don Juan de camping a-t-il passé la soirée ou la nuit? Trouvez la femme, vous aurez le mari et le coupable.

-Je crains, me dit Léo, que tu naies des emmerdes. Javais juré de ne rien dire. Mais il faut préparer une riposte. En rentrant du bal, Léa et moi avons voulu vous saluer. Ta femme était avec le beau gosse et ils samusaient à « hue-coco », jouaient à papa maman. Enfin, tu vois ce que je veux dire?

-Je sais, jai tout vu, Gérard et ma femme, toi et Léa. Jétais à proximité depuis le début de leur rencontre

-Et tu as laissé faire? Il a fallu que les empêche de continuer et toi tu regardais!

En quelques mots je lui parle de mon fantasme, du plaisir que jai pris à les regarder saimer, à voir ma femme épanouie monter au septième ciel avec enthousiasme. Il comprend. Je précise que jai connu un regain damour grâce à cette expérience. Il me félicite et se dévoile.

— Mais alors, ça change tout. Moi aussi jai un fantasme, jaimerais tellement coucher avec ta femme. Je nosais pas. Depuis des mois je tire la langue, je bave dans mon calcif. Toi tu rêves de jouer au voyeur. Pour te faire plaisir, je suis prêt à me lancer et à la farcir devant toi aussi souvent que tu le souhaiteras. Tu aimes voir ta femme culbutée par un autre? Tope là, je suis ton homme, puisque lautre est hors dusage, je vais moccuper delle. Veinard, quand les vacances seront terminées, je pourrai continuer à la baiser pour ton plaisir. Cest formidable, non?

-Mais Léa?

-Elle me secondera. Elle est attirée par Mylène. On commence aujourdhui?

-Doucement! En premier oublie ce que tu as vu. Tu ne sais rien, sauf que jai passé la soirée et la nuit avec ma femme. Si tu sais garder pour toi certaines choses, je favoriserai les contacts.

Léo sengage et va faire la leçon à Léa.

Pour massurer de son silence et me mettre à labri de soupçons aussi injustes que probables, jaboutis exactement à lopposé de mes prévisions. Je voulais briser un rapprochement entre Léo et Mylène, je ne voulais pas perdre ma femme dans une liaison adultère cachée, or je la livre ouvertement à lhomme qui la convoitait en silence et à sa femme qui en pince pour elle.

Mylène séveille enfin.

-Que cest chou. Des croissants pour le petit déjeuner. Tu as un journal?

-Non, mais jai des nouvelles. Les gendarmes enquêtent dans le camping. Le jeune maître nageur avec lequel tu as dansé hier soir, a été retrouvé assommé sur un chemin près de la piscine cette nuit. Il a une réputation de don Juan et la maréchaussée cherche à savoir avec quelle femme il a passé la soirée. Un mari, trompé hier ou un autre jour, pourrait fort bien sêtre vengé et lavoir assommé, dit-on.

Les traits du visage se sont tirés. Mylène est soucieuse et arpente le mince espace du séjour nerveusement.

-On ma demandé ce que javais fait hier soir. Jai répondu quen raison de la fatigue du voyage nous avions quitté le bal assez tôt et que nous nous étions couchés.

-Parfait, mon amour. Je ne dirai pas à quelle heure tu es rentré.

-Aurais-tu des raisons de penser que je serais le coupable?

Il nest plus lheure de tourner autour du pot. Nous sommes au centre du cyclone, lenquête risque de venir troubler notre vie. Je me lance:

-Léo ma promis de ne pas parler de son intervention ici à la fin du bal. Léa suivra la consigne.

-De quoi parles-tu? Tu nas rien à me cacher?

-Non. Jai juste une révélation à te faire. Je tai vue quitter la piste en compagnie de Gérard, je vous ai suivis, jai assisté à votre congrès, en silence, depuis la terrasse. Jai tout vu, tout entendu. Je tai vue lembrasser, le branler, lui sucer le sexe. Je lai vu te laisser masturber, te bouffer la chatte. Jai assisté à votre accouplement, toi sur la table, pattes en lair, fente percée et limée, je tai entendue grogner ton orgasme quand il ta envoyé la purée. Je tai vue aussi le tirer par la queue pour le chevaucher sur le canapé. Enfin jai assisté à larrivée de Léo et de Léa.

-Mon Dieu! Cest horrible. Je suis perdue. Pourquoi nas-tu pas réagi? Tu aurais dû mempêcher de faire une bêtise!

-Depuis des années jespérais te voir dans les bras dun autre. Je nosais pas te le demander. Hier les choses se sont faites toutes seules, certes tu mas trompé, mais tu mas enfin offert le spectacle attendu. Jai béni le ciel. Je mapprêtais à vous espionner cet après-midi lors de votre rendez-vous. Hélas ton complice est à lhôpital. Je serai aussi frustré que toi. Encore heureux si on ne marrête pas pour une agression que je nai pas commise.

-Jure-moi que tu ne lui as rien fait.

-Pourquoi me serais-je privé de cette séance que tu lui promettais meilleure, plus passionnée et plus longue? Je vous aurais épiés et à ton retour jaurais doublé ton plaisir comme cette nuit. Que vas-tu faire sans lui?

-Tu ne me dénonceras pas aux gendarmes? Je te promets de ne plus recommencer, mon amour. Le moment dégarement est passé. Tu me dis que cest un coureur de jupons. Le petit crétin.

-Je nen sais rien, je répète ce que jai entendu. Mais il me convenait, ce garçon. Il ta fait jouir presque aussi bien que moi. Cétait si beau, si excitant pour moi. Et je songeais à lui quand je te préparais à coucher avec deux hommes, lui et moi, ou lui et un autre. Un seul point me tracasse, ce séducteur ne charrie-t-il pas une m.s.t. à te refiler.

-Tu ne maimes plus?

-Est-ce à toi de poser cette question? Je taime, tu mas montré que tu maimais après le départ de ton jeune amant. Désormais quand tu feras lamour avec un autre, laisse-moi assister à la scène, ainsi tu me montreras que tu maimes autrement, davantage encore. Tu me permettras de vivre ton bonheur, de me réjouir du plaisir reçu de lautre. Tu es si belle quand tu jouis, cela me donne détranges frissons de tentendre geindre sous les coups de boutoir dun autre et cela me booste. Tu las déjà constaté par devant et par derrière.

-Gros cochon. Mais je me suis régalée. Alors, je pourrais coucher avec un autre homme et tu ne te fâcherais pas? Tu métonnes, pourtant tu as laissé faire. Et si je ne veux pas?

-A condition que tu ne le fasses plus en cachette, tu pourras coucher avec qui tu voudras. Tu as franchi une barrière, je serais très déçu de te voir renoncer à dautres aventures. Au contraire, tu as carte blanche pendant la quinzaine des vacances. Choisis des hommes qui te plaisent et prends ton pied autant que tu veux. Mais noublie pas la seule condition: je veux assister. Sinon ne me considère plus comme ton mari.

-Je navais pas lintention de te tromper. Les jeunes mavaient serrée de près. Pour leur échapper, jai dit que jétais fatiguée. Gérard a proposé de me reconduire. Et puis arrivés ici, il ma embrassée. Cétait inattendu. Un baiser, ce nest pas grave. Je ne lai pas pris au sérieux. Il a embrassé mon cou et menvoyé sa main au panier et jai perdu le contrôle de la situation.

-Allons Mylène, ne déforme pas les faits.

Mais je te jure, cest toi que jaime.

-Cest parce que jen suis persuadé que je te demande de te faire prendre par des inconnus uniquement préoccupés par lenvie de te saillir. Ta jouissance sera la mienne et je taimerai encore plus fort. Mais évite de me donner des explications tirées par les cheveux, ne me prends pas pour Simplet. Reconnais simplement que tu as eu une bonne grosse envie de ce garçon et que tu las amené chez nous pour te faire tringler. Ca je peux le comprendre.

-Merci. Tu insistes pour que je continue? Jessaierai de te donner ce plaisir. Il faudra trouver des partenaires.

-Ce nest pas un problème, tu plais. Contre les accusations des copains de Gérard qui tont vue en sa compagnie et qui vous ont vus vous éloigner du bal, tu auras besoin du témoignage de Léo et de Léa. . Pour commencer assure-toi du silence de ces deux là.

-Comment?

-Achète-le! Fais lamour avec eux. Mais attention, à lavenir je veux assister à tes joutes amoureuses.

Récapitulons. Tu étais fatiguée. Gérard a proposé de te raccompagner. Nous nous sommes rencontrés près du bloc sanitaire numéro 1. Nous avons remercié le garçon et nous sommes rentrés ensemble.

Je suppose que ton signalement a déjà été communiqué aux gendarmes. Rejoignons ton collègue et sa femme et obtenons rapidement leur silence. Cela nous évitera des ennuis.

Je nai pas besoin de menacer ou de forcer dune manière quelconque. Mylène ne se scandalise pas de cette proposition. Pour la bonne cause elle est immédiatement décidée à payer du don de son corps la discrétion de Leo et Léa. Lidée la séduite sur le champ, je la soupçonne de trouver que cest un bon moyen de venir au devant de mon fantasme. Et puisque je le veux, elle fera ce sacrifice de sa vertu avec plaisir.

Nous traversons le chemin et sommes accueillis par le couple. Nous concluons un accord. Léa et Léo pourront en ma présence donner à Mylène des marques damour, la posséder à volonté et la rendre sexuellement heureuse . Ils pourront composer des figures à deux ou à trois: mais devant moi uniquement. Mylène promet de se soumettre à leurs fantaisies pendant la durée du séjour. Une clause inattendue mest imposée par elle et les futurs ordonnateurs et maîtres de ses plaisirs: je serai non seulement présent mais aussi actif. Nous formerons un quatuor amoureux.

Peu de temps après arrive une petite troupe. Léo indique à ceux qui nous cherchent que nous sommes sortis. Il nen sait pas plus.

-Hier soir? Ils ont quitté le bal avant nous, ils étaient fatigués par le voyage. Quand nous sommes rentrés, ils lisaient dans le séjour, en pyjamas et chemise de nuit; nous leur avons souhaité une bonne nuit.

Les autres séloignent. Une minute de silence suit le retour de Léo dans le séjour.

-Eh! Bien, dit Léa, si on prenait un apéritif pour fêter notre accord. Tenue de rigueur, le bas du maillot de bain ou rien. Oui, cest mieux et plus conforme à nos attentes: A poil. Exécution

Elle donne lexemple, arrache son soutien-gorge, le regard provocateur. Evidemment quand on a des seins pareils on les montre, ils sont pleins, lourds mais pas affaissés, arrogants avec des tétons durs sur des aréoles larges et brunes. Jen ai des fourmis dans les doigts, mes lèvres tremblent de lenvie de les baiser. La plus timide tout à coup, cest Mylène. Elle a un peu honte de montrer sur ses seins magnifiques les énormes suçons dune nuit damour. Elle paraissait plus à laise avec son quasi inconnu quavec moi et ce couple au moment de franchir le pas et de se déshabiller entièrement. Elle est à la disposition de Léa et de Léo. Elle na pas compris ce que pourrait être ma participation active. Cest lautre couple qui va diriger nos ébats.

-Alors Jean, quattends-tu pour déshabiller ta femme. Tu nous loffres, à toi de déballer le cadeau.

Mylène a lair résignée. Pourquoi y a-t-il du désespoir dans ses yeux quand je mapproche pour ôter blouse, short, soutien-gorge. Pour faire bonne mesure le string coquin enfilé ce matin en vue de son rendez-vous commence à descendre au-dessus des genoux.

-Léa, voici ma femme, je te la confie. Léo Mylène vous appartient, comme elle la décidé volontairement. Faites-en bon usage.

-Levons nos verres à la suite de notre réunion. Jean, Léa te déshabillera. Ma chère Mylène, sil te plaît dénude-moi et vois comme tu excites ma queue.

Léo perd son sang froid. Il na pas fallu longtemps pour les mettre à laise ces deux là. Comment Léo a-t-il convaincu aussi vite Léa? Mylène a plus de mal à sadapter à cette situation nouvelle. Elle avait choisi Gérard, elle se soumet à la nécessité de faire taire nos amis. Elle avait eu envie du jeune homme, elle a besoin du couple. La nuance ne méchappe pas.

— Etes-vous certains de prendre une bonne décision. Jean si tu insistes je me donnerai à Léo. Attention, tu devras supporter les conséquences. Léa es-tu sûre de toi?

-Mais, oui, fais-toi plaisir et contente mon Leo. Crevez labcès et vous serez soulagés, la vie sera plus simple pour nous quatre.

Mylène nous observe puis vide son sac.

-Depuis quelques mois, Léo et moi pratiquons le covoiturage. Depuis des mois jai envie de faire lamour avec lui. Depuis des mois je lutte pour dominer ce désir, parce que je taime mon cher Jean. Jai résisté à lenvie de me jeter à son cou au retour du travail, par amour de toi, mon Jean chéri.

-Chérie quitte tes nuages. Est-ce par amour de moi que tu mas cocufié hier soir? Tu aurais dû me prévenir au lieu dagir en douce. Nen parlons plus, ce qui est fait est fait. Lessentiel arrive. Ici, tu vas te donner avec ma bénédiction et devant moi. Cest un partage du plaisir. Tu vas connaître de nouveaux frissons et des orgasmes voulus par nous quatre. Il ny a rien de tordu, pas de tricherie, juste la recherche du plus grand plaisir avec le consentement de chacun. Tout ce qui te rendra heureuse fera mon bonheur, tout.

-Jai espéré en vain que Léo se décide à membrasser et à me bousculer. Chaque soir jai attendu quil ose, quil membrasse, quil caresse mes seins. Certaines fois son pantalon était tendu, je me disais quil finirait par craquer et que nous aboutirions sur la moquette, quil marracherait ma culotte, quil ferait sauter mon soutif, quil mempoignerait entre les jambes et membrocherait. Hélas il sest montré si correct. Je mouillais ma culotte, javais des fourmis dans la grotte. Il ne voyait rien.

-Oh! Non, ce nest pas possible. Et moi jattendais un signe clair, un encouragement, depuis des mois! Oui, je bandais dans mon pantalon. Moi aussi je te désire Mylène. Que de temps perdu. Mais cest vrai, nous naurons aucun sentiment de culpabilité puisque nous sommes tous daccord, toi, moi, ma chérie Léa et ton généreux mari. Jean tu es un mec formidable. Béni soit ton fantasme magnifique.

Sil savait pourquoi je suis venu à Argelès. Sil savait quels soupçons je nourrissais. Le sort ma joué un sacré tour. Regardons lavenir!

-Eh! Bien, réjouissez-vous, ne vous gênez plus. Jattends votre union, jen serai le spectateur attentif

-Et moi, je pensais que cétait déjà fait, ajoute Léa.

Je nétais pas seul à avoir des soupçons.

-Allez, mon mari adoré, réalise ton rêve. Baisez, foutez, soulagez cette tension. Je le redis: Après tout sera plus simple. Déversez vos humeurs. Tringle-la joyeusement. Donne tout. Fais-lui le feu dartifice du quatorze juillet. Jean et moi nattendons que ça. Donnez-vous en spectacle devant nous.

-Oui, mais si je tombe vraiment amoureuse de ton mari, que direz-vous, vous deux?

En guise de réponse, jenlève la dernière barrière, je fais glisser le long des jambes le string. Mylène est toute nue devant moi. Je dépose un baiser de mari amoureux sur son pubis aux boucles brunes, hume lodeur matinale de sa chatte. Quelle connaisse le bonheur, quelle soit heureuse comme elle le souhaite et advienne que pourra. Si elle tolère ma présence pendant la baise, cest quelle a encore un peu damour pour moi. Cette pensée me console. De plus en plus jai conscience dêtre cocu, depuis hier au moins, et, je le sais, ce nest quun début. Je lui ai donné carte blanche pour ces vacances. Qui pourrait imaginer une suite où redevenue femme chaste, elle serait uniquement occupée à se faire piner par son légitime. Elle retrouvera Léo. Elle aura Léo dans la peau. Heureux si je peux encore assister à leurs rapports charnels, heureux si jexiste encore aux yeux de cette femme inassouvie. Car cest bien une telle femme que jai surprise en proie à ses démons, défoncée, et foutue par le maître nageur à la musculature avantageuse et prête maintenant à assouvir le démon qui la travaille depuis des mois en se donnant enfin à Léo lamoureux transi qui nosait pas.

Elle va dévorer du mâle, elle va se soumettre, se faire sauter et bourriner sans réfléchir, par besoin de libération sexuelle, cest une expédition dont elle ne sortira pas indemne. Marquée par Gérard, elle recevra en vagin tellement dempreintes sexuelles, elle conservera une fringale sans limites des relations sexuelles multiples. Quy puis-je? Assister, cest déjà beaucoup, me réjouir de la savoir sexuellement comblée, de lire la jouissance sur son visage en extase; ce sera mon lot de cocu consentant. Mais le fait dêtre témoin désormais me rend complice, et je vais essayer dêtre un cocu heureux. On ne se moque pas de moi, on me laisse voir et je suis même invité à participer: il vaut mieux avoir une petite part que dêtre entièrement exclu. Mylène ne me méprise pas, Mylène veut réparer son erreur en sexhibant devant moi, elle accepte que je la voie gravir les marches de la jouissance procurée par Léo. Jai même de ladmiration pour ma femme qui a su ne pas céder à lattirance quelle avait envers lui; des mois de résistance auxquels il est normal que je mette fin.

Mon refus serait une torture pour elle, je dois permettre et encourager. Elle a eu une conduite héroïque jusque dans laveu des tentations fait là devant nous. Jai eu lidée dacheter le silence de Léo et de Léa, Mylène ne la pas rejetée: pour me faire plaisir, puisque je lui ai enfin fait part de mon vieux fantasme. Et devant le couple ami elle me laisse frictionner légèrement sa vulve prête à accueillir bientôt le serpent de Léo. Dans ses yeux je lis tant damour pour moi. Là est mon bonheur, dans lexpression de sa reconnaissance.

Léa examine le corps marqué.

-Quel est le sauvage qui ta fait ces horribles suçons? Les jeunes ne savent plus aimer le corps des femmes et le vénérer. Ce Gérard ta saccagée, cest un jeune con. Quel manque de classe. Mais ça doit être enivrant de se faire bouffer la moule par un pareil abruti. Tu me raconteras tout, sa force, son savoir faire, ton plaisir sous ce jeune amant. Il faudra que jessaie de me faire troncher par lui. Moi aussi jai des fantasmes.

-Tu te trompes, ces marques sont luvre dun mari amoureux excité par le spectacle que Gérard et moi lui avons présenté sans le savoir. Il est bizarre, il maime comme un fou et en même temps il veut me voir prise, et farcie par un ou dautres hommes. Alors, sil le veut, je le veux aussi. Pour lui je me ferai trousser, sabrer, sauter et je hurlerai mes orgasmes pour les partager avec lui

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