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Ambassadeur de France aux antipodes – Chapitre 3




Salut, c’est votre folle de lycra.

Je vais t’avouer que toute la journée, cela sentait la mouille et le désir dans la voiture, savoir que mes filles te faisaient du bien m’a fait abondamment mouiller moi aussi.

Pendant que Caroline me parlait, elle était venue se coller nue contre moi sous le drap. Bien évidemment, j’étais dans la même tenue et quand son corps tout chaud est venu se coller au mien, j’ai cru que j’allais en jouir de plaisir. Il n’y a pas à dire, Caroline avait un petit plus que ses filles n’avaient pas et qui me faisait craquer. J’assume parfaitement qu’elle ait l’âge de mes parents, en même temps, j’ai toujours eu un petit penchant pour mes aînées. Il serait malhonnête de ma part de ne pas reconnaître qu’il m’est arrivé à plusieurs reprises d’aller sentir les culottes de ma maman, mais surtout de ma tante, quand je m’en rendais chez elle. Il me semble même, avec le recul, que ma tante était au courant et qu’elle faisait en sorte à ce que j’ai toujours quelque chose de plaisant dans le bac à linge sale. Maintenant, Caroline était soudée à moi, je sentais la chaleur de son buisson ardent qui me réchauffait le haut de ma cuisse gauche.

Maintenant, sa main gauche était en train de me caresser mon poitrail velu, chose dont j’étais assez fier, même si mes pectoraux, eux, n’étaient pas très développés. Sa tête était sur mon épaule et je sentais sa respiration chaude sur mon corps légèrement moite, Caroline avait besoin d’amour. Elle s’est servie de ses pieds pour légèrement remonter à ma hauteur, c’est ainsi qu’elle s’est mise à m’embrasser dans la nuit, et surtout le silence. Un instant, je me suis mis à repenser à son arrivée discrète, qui malgré le silence pesant, je n’avais pas entendue. Je n’arrivais pas à la cerner, car elle était à la fois timide, directive, gourmande, amoureuse et demandeuse. Bien qu’ayant des mains d’agricultrice, plus grandes et plus solides que les miennes, ces dernières étaient d’une douceur sans égal sur mon corps. Il n’y a pas de doute, la maman voulait me faire du bien en me caressant, peut-être même voulait-elle me mettre la chair de poule.

L’obscurité était totale, cela aurait pu être une de ses filles, je ne la voyais pas, je sentais son nez en contact avec le mien, c’est comme si nous avions eu des yeux bandés. Même dans ses baisers Caroline respirait la sérénité, contrairement à ses filles, le baiser était partagé, elle ne s’imposait pas dans la bouche de l’autre.

Quand j’ai découvert son haleine, il n’y avait pas de doute, elle s’était lavé les dents voilà peu, heureusement pour moi, par un plus grand des hasards, j’avais fait de même ce soir. Au fur et à mesure, elle évoluait sur moi sous les draps, elle était maintenant carrément allongée sur mon corps et mine de rien, elle faisait son poids. Il n’y avait plus que le bruit des draps qui bougeaient et un peu ma respiration, car je devais respirer un peu plus fort. J’avais l’impression de me sentir encore plus dans le noir, car ses cheveux me recouvraient totalement le visage. Mon sexe était maintenant totalement tendu et il était bloqué entre les jambes de Caroline. Je ne doute pas une seconde qu’elle devait le sentir et encore moins qu’il bandait de désir. En même temps, de mon côté, je ne pouvais pas ignorer que l’entrejambe de la maman était vraiment bien mouillé, et que mon sexe était en train de s’en imprégner.

J’ai l’impression qu’elle faisait exprès de légèrement écarter les cuisses, pour qu’à chaque fois, mon sexe progresse un peu entre ses jambes. Même si mon sexe n’était pas en contact direct avec le sien, je sentais ses poils pubiens s’accrocher aux miens.

Je prenais un grand plaisir en frottant mes jambes contre les siennes, sa peau était douce, pour ne pas dire soyeuse. Maintenant, sans doute pour m’exciter encore un peu plus, Caroline soulevait ses fesses pour me branler un petit peu grâce aux hauts de ses cuisses. Il n’y a pas de doute, cela devait l’exciter aussi, car maintenant, sa cyprine était en train de couler en deux endroits, en l’occurrence sur la base de mon sexe, mais aussi sur le haut de ses cuisses, ce qui me mouillait complètement mon sexe. Elle dirigeait les opérations, je ne faisais que subir, mais elle était vraiment d’une grande douceur. Elle s’est légèrement penchée sur ma droite pour saisir mon sexe de sa main droite et commencer à se caresser le minou avec. Mon membre qui jusque-là, était légèrement humide de cyprine en était maintenant carrément trempé. À chaque fois qu’elle relevait ses fesses, elle soulevait les draps et quand elle redescendait, j’avais un appel d’air qui venait de nos entrejambes.

Je ne vous raconte pas les odeurs subtiles qui s’en dégageaient. La pointe de ses seins était vraiment érigée, cela me faisait tout drôle de les sentir rentrer en contact avec la pointe de mes tétons.

J’avais l’impression que la moustiquaire était un peu hermitique car l’air que nous respirons maintenant était fortement imprégné d’odeurs de minou. Ces fragrances intimes avaient un côté aphrodisiaque qui ne me laissait pas indifférent, mais surtout me donnaient une forte envie de la pénétrer.

J’ai une énorme envie que tu me pénètres mais je me fais du bien avec la pointe de ton sexe, en me chatouillant le vagin et le clito.

Moi aussi je mourrais d’envie de me retrouver en elle mais elle me faisait énormément de bien en prenant mon sexe pour se caresser le corps. Maintenant, elle s’amusait à me mordiller les lèvres, sans chercher à me faire mal, mais juste sans doute pour montrer une complicité qui naissait entre nous. J’ai été surpris par le grand ventilateur, qui se trouvait au-dessus du lit, quand il s’est mis en marche. En effet, j’avais oublié qu’il était programmé pour fonctionner la nuit une heure sur deux. Du coup, bien que très peu bruyant pour sa taille, mais puissant, il couvrait le bruit du froissement des draps.

Ce qui était très agréable maintenant, et surtout pas superflu, c’est que je sentais la fraîcheur de l’air brassé sur mes flancs. Je pense que Caroline devait sentir la fraîcheur sur son dos, j’espérais de tout cur que cela ne l’indispose pas. Maintenant, elle tenait fermement mon membre et elle se caressait tout l’entrejambe avec, il lui arrivait même de rentrer mon prépuce son vagin. À ces moments-là, je devais être très fort pour ne pas te donner un coup de reins, car je mourais d’envie de la pénétrer maintenant. Vu comment elle s’y prenait, j’avais l’impression qu’elle voulait jouir par le clitoris en premier, avant que je la pénètre ensuite. Finalement, ses actions ont confirmé mes soupçons, quand elle s’est mise à jouir, à ma grande surprise elle a été d’une grande discrétion. Elle s’est juste collée très fort à moi, et m’a embrassée avec passion et grande gourmandise.

Elle est restée quelques instants inactive se limitant juste à m’embrasser, je sentais ses cheveux sur mon visage, cela me plaisait beaucoup. Vous savez, au cur de l’Australie, même la nuit il fait chaud, c’est ainsi que maintenant sous les draps, Caroline, tout comme moi, étions en sueur.

J’adorais son odeur corporelle, alors imaginez cela avec une odeur de mouille par-dessus, il n’y avait pas plus aphrodisiaque quand on fait l’amour.

Tu sais, je me souviens quand j’ai vécu dans le sud de la France, j’étais alors très belle et je faisais souvent l’amour avec des Français.

Caroline était dans une séquence confession, je crois qu’elle se sentait bien. Je crois qu’elle n’avait pas eu un homme pour elle depuis très longtemps, car d’après ce que j’avais compris, son mari n’était pas venu depuis des années. Le Monsieur gagnait très bien sa vie et il versait une grosse somme mensuellement sur le compte de sa femme, pour qu’elle soit autonome en plus des petites activités que cette dernière avait.

Caroline, si je puis me permettre, je trouve que vous êtes injuste avec vous, en plus d’être une femme formidable, vous êtes toujours d’une grande beauté.

Je ne voulais pas que nous partions dans des politesses, mais je voulais juste rétablir une vérité, bien que ses filles soient belles, la maman l’était beaucoup plus.

Après une petite pause, Caroline a repris possession de mon membre, pour ce coup-ci le positionner à l’entrée de son vagin, c’est avec un coup de reins de sa part qu’elle s’est littéralement empalée dessus. Je vous laisse imaginer que compte tenu de l’état de lubrification avancé de son vagin, il n’y a eu strictement aucun frottement ; ce ne fut que du bonheur. Il allait falloir que je marque cette nuit d’une pierre blanche, car je venais de perdre mon pucelage avec une femme de l’âge de mes parents. Je venais surtout de pénétrer la maîtresse de maison, ou plutô, t cette dernière venait de rentrer mon sexe en elle. Je vais vous avouer que je n’avais jamais senti mon sexe dans un tel état d’excitation, du cou, p il était d’une grande rigidité. Caroline est restée un long moment immobile, sans doute à savourer peut-être que son vagin ait un visiteur. Commençant à trouver le temps long, je me suis permis de commencer à donner un petit coup de reins, puis un deuxième un peu plus prononcé.

C’était la première fois de ma vi que je commençais à donner des coups de reins pour essayer de donner du plaisir à une femme.

Je regrettais juste de ne pouvoir voir son visage, car il devait être resplendissant. Je me limitais juste à entendre mon rythme cardiaque s’accélérer, et surtout sa respiration plus rapprochée et surtout plus profonde. Dans la nuit, régulièrement, Caroline se jetait sur ma bouche pour m’embrasser avec passion, elle avait l’air de beaucoup aimer mes coups de reins qui étaient maintenant de plus en plus puissants. Maintenant, Caroline avait mis son poids sur mon poitrail, elle ne se tenait que d’une main, cela lui a permis de se libérer l’autre main pour aller me masser mes baloches. Jamais je n’aurais cru que l’on puisse être aussi doux en tenant les choses de la vie d’un homme entre ses mains. Désormais, Caroline soupirait de plaisir, cela était un peu flatteur pour moi, je lui faisais beaucoup de bien manifestement. En même temps, avec le recul, je pense qu’une femme qui n’a pas vu le loup depuis longtemps est heureuse avec ce qui lui tombe sous la main, si je puis dire.

J envoyé quelques impulsions sanguines dans mon sexe pour le faire grossir par moments, cela me faisait du bien à moi, mais me semble-t-il, aussi à Caroline.

Maintenant, je donnais des coups de reins de plus en plus précis avec mon sexe de très grosse taille, ce dernier frottait sur les parois intimes de ma partenaire. Finalement j’ai dû me mettre devant le fait accompli, la position n’était pas confortable, j’ai saisi Caroline dans un bras et l’ai plaquée contre moi pour que nous nous retournions. Ma partenaire s’est retrouvée sur le dos et moi au-dessus, j’ai passé mes jambes à l’intérieur des siennes, tout ceci en veillant à garder mon sexe profondément ancré en elle. Ainsi positionné, j’étais d’attaque pour essayer de lui donner encore plus de plaisir et m’en donner aussi par la même occasion. Mes bras étaient tendus de chaque côté de ses épaules, et maintenant je sentais que mon sexe allait beaucoup loin. À chaque fois que j’arrivais au fond d’elle, j’entendais Caroline soupirer très fort, j’avais vraiment l’impression d’être sur le bon chemin pour une jouissance partagée à court terme.

C’était une sensation nouvelle pour moi, qui jusqu’à maintenant, était adepte de la veuve poignet, avoir mon sexe dans un fourreau féminin tout soyeux et être conscient que dans peu de temps, j’allais éjaculer en elle.

Franck, j’ai envie que tu éjacules en moi, je sens que tu n’es pas loin et moi non plus. Je n’ai pas vu d’homme depuis bientôt dix ans, tu imagines pas le bien que tu me fais ; cela me rappelle ma jeunesse.

Je fis un rapide calcul et me dis que Caroline pourrait bien être encore fécondable, mais il était évident qu’elle avait les pieds sur terre. Maintenant, pour mon plus grand plaisir, la maman contractait son vagin à chaque fois que je sortais d’elle ; comme pour me retenir. Déjà que mes allées et venues me faisaient un bien monstre, sa façon de faire faisait que je n’allais pas tenir longtemps ; Caroline était vraiment une partenaire de rêve. Elle commençait à prendre de plus en plus de plaisir et tirait régulièrement mon visage à elle pour m’embrasser quand elle voulait crier. C’est aussi à cette occasion que j’ai découvert combien mes tétons étaient réceptifs aux caresses féminines, effectivement, Caroline prenait un malin plaisir à me les triturer. C’est avec cette femme et ses filles que j’étais en train de découvrir les plaisirs du sexe ; je comblais mon retard à toute vitesse.

Il faisait tellement chaud sous le drap maintenant que nos corps ne s’accrochaient plus l’un à l’autre, ils glissaient.

Si tu savais combien j’aime faire l’amour, tant de privations ne m’ont pas fait faire une croix sur la gaudriole, j’ai juste patienté. Maintenant que tu es là, je vais rattraper tout le temps perdu avec toi.

Ça avait le mérite de présenter le programme pour les nuits à venir, en même temps, il était évident que j’allais devoir satisfaire ses filles. Ces dernières avaient l’air aussi gourmandes, cela me garantissait un planning bien plein. Caroline contractait son vagin même quand je redescendais en elle, la maman me faisait tellement de bien maintenant que j’en arrivai à m’interroger sur qui d’entre elle et moi allait prendre son pied en premier. J’en étais arrivé à me retenir de jouir en Caroline. Je voulais qu’elle prenne son pied avant moi, d’autant que vu son comportement, ce n’était pas loin pour elle non plus. Je n’avais pas pour but de défendre l’honneur de la France, mais je pense que c’était une forme de correction. Le pro de la veuve poignet que j’étais sur le vieux continent, allait rapidement devenir un baiseur invétéré.

Ça y est, la jouissance de Caroline arrivait, j’ai juste eu le temps d’anticiper en lui retirant l’oreiller qui était sous sa tête pour lui coller sur le visage.

Caroline m’a plaqué contre elle et s’est mise à me griffer le dos, au même moment, je me mettais à jouir moi aussi ; cela venait de très loin pour nous deux. La contraction de son vagin était désormais hyper-puissante, Caroline venait de me faire atteindre le septième ciel. Nous étions maintenant tous les deux, sur un petit nuage ; je venais de perdre mon pucelage avec la mère de Kristiana et Marie. J’ai encore donné quelques coups de reins, mais je n’en pouvais plus, ce n’est pas que je débandais, mais j’étais épuisé ; en même temps, il devait être au moins une heure du matin. Nous avons inversé nos positions et c’est ainsi que je me suis endormi avec Caroline sur mon ventre. Je ne sais pas ce qui s’est passé, mais au petit matin, je me suis réveillé seul ; la maman avait dû avoir peur de se faire surprendre dans mon lit par ses filles. Vu les douleurs et l’état de forme de mon sexe au réveil, je pense que je n’avais pas débandé de la nuit.

Il était encore tôt, ce qui m’a permis de pouvoir rêvasser un bon bout de temps, jusqu’à ce que Kristiana vienne se charger de mon réveil officiel. Bien évidemment, elle a été très câline, au point de venir glisser sa tête sous mon drap ; sans doute était-ce ma grosse érection qui l’a attirée.

Il ne lui a fallu que quelques minutes pour prendre possession de mon sexe, en mains au début, puis rapidement en bouche. Avec le recul, je réalisais qu’elle allait me pomper le membre qui avait pénétré sa maman cette nuit ; il faut reconnaître que c’était encore plus excitant. Maintenant, j’étais en train de me dire que j’étais un enfoiré d’agir ainsi, mais en même temps, cela n’avait pas l’air de vraiment la déranger. Elle était juste vêtue de son short en jean et de son t-shirt, bien que moins désirable que sa mère, elle et sa sur n’en étaient pas moins quand même très belles. Vu leur éloignement de tout, je me demandais où elle avait bien pu apprendre à faire de si merveilleuses turlutes, à moins que cela soit inné. Je venais de découvrir en Australie qu’une femme pouvait vous faire tourner de l’il juste en vous soufflant dans le poireau, donc j’étais loin d’être expert dans le domaine, mais je restais persuadé que Kristiana était formidable dans sa prestation.

Je sentais sa langue découvrir chaque recoin de mon sexe, cela avait pour effet de me chauffer plus encore. Tout mon dard était maintenant humide de sa salive et cela me faisait sentir sa respiration dessus.

Au bout de dix bonnes minutes de fellation, je commençais à réaliser que mon sexe n’en pouvait plus, je ressentais des douleurs, comme des crampes de fatigue. Jai fini par expliquer à Kristiana que je n’en pouvais plus, que j’étais fatigué. Je suis devenu tout rouge quand j’ai vaguement compris le sens de sa réponse.

Serait-ce ma mère qui t’a fatigué? Je sais que tu lui as fait l’amour cette nuit, c’est elle qui nous l’a dit.

Kristiana avait cessé sa fellation et me parlait en restant sous le drap. Décidément, dans cette famille, il n’y avait pas de secret qui se conservait.

Maman savait ce que ma sur et moi t’avons fait dans la voiture hier, elle nous a même dit qu’elle irait te faire l’amour la nuit, elle était sûre que ce serait une première pour toi.

Je restai sans voix, j’en avais le souffle coupé, quelle image ses filles allaient elles avoir de moi ? Puis subitement, un gros boom a retenti, cela m’a coupé tous mes effets ; même ma partenaire a sursauté. Que se passait-il…?

Vous le saurez dans le prochain chapitre, en espérant que celui vous ait plu.

Bisous à vous

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