Mon amie Morgane ma invitée à passer la soirée chez elle pour que je puisse faire la connaissance de ses amis Paul et Marc. Le carillon de la porte dentrée signale ma présence. Morgane vient mouvrir et me fait entrer. Elle fait les présentations.

Paul, Marc, voici mon amie Valériane !

On se salue. Paul est très grand, tempes grisonnantes, un charisme fou ; Marc est plutôt trapu, taillé à la hache, et très souriant.

Nous nous installons au salon, et prenons un verre, nous discutons de choses insignifiantes mais très vite la conversation dérape ; au fur et à mesure que les verres se vident, la discussion devient plus chaude. Chloé propose de faire un strip-tease ; nous approuvons linitiative unanimement.

Une musique douce accompagne lexhibition de Chloé. Son corps souple ondule à chacun de ses mouvements, cest avec des gestes gracieux quelle fait tomber un à un ses vêtements.

Ses seins fermes se balancent pendant ses évolutions ; ses longues jambes ont un galbe parfait. Elle est chaussée de hauts talons, ce qui la rend encore plus grande. Un à un ses vêtements tombent. Chloé est maintenant nue, elle cambre les reins, agite sa croupe provocante, se redresse tout sourire et dit :

Voilà !

Nous applaudissons son exploit. Je me lève pour la féliciter ; elle menlace et dépose un petit baiser rapide sur mes lèvres. Paul pousse un « Oh ! » approbateur.

Je suis un peu gênée et rougis légèrement.

Morgane est contre moi, son bassin frotte le mien, elle ondule contre mon corps ; je frémis, ses seins sont en contact avec les miens, ma respiration devient rapide. Elle pose doucement ses mains sur mes épaules puis fait glisser les bretelles de ma robe. Les fines lanières descendent le long de mes bras nus. Retenue que par mes lobes mammaires, ma robe légère est à sa merci.

Morgane place ses mains sur le haut de ma robe et la fait descendre lentement ; mes seins, libérés du carcan de tissu, jaillissent. Les bouts dressés au centre de leur aréole sont comme une invitation aux caresses. Délicatement, ses lèvres se posent sur mes mamelons. La succion est telle que je ferme les yeux, je geins de bonheur. Ma robe tombe sur le sol. Les deux mains de Morgane saccrochent à mon string et lui font suivre le même chemin. Mon corps est brûlant de désir. Cette femme aux formes généreuses mentraîne avec elle. Cest à même le sol que nous continuons nos ébats.

Ses mains douces parcourent mon corps et sattardent sur mes reliefs. Sa bouche vorace agace mes mamelons devenus sensibles ; ils se dressent davantage entre ses lèvres expertes qui les sucent fortement à tour de rôle.

Je tressaille, jai des frissons.

Dans le feu de laction, je navais même pas remarqué que Paul et Marc avaient retiré leurs vêtements. Le membre de Marc semble atrophié : il est impressionnant par son épaisseur et sa longueur ; je ne peux détourner mes yeux du monstre tendu.

Morgane est entre mes jambes écartées. Ses doigts fins écartent les grandes lèvres de mon vagin, ils découvrent le bouton damour et le sortent de son écrin. Sa langue titille ma perle et joue longtemps avec, avant que sa bouche laspire brutalement ; je me cabre sous la succion. Mon conduit suinte abondamment, des sécrétions visqueuses coulent le long de mes cuisses, je gémis de bonheur. Sa langue râpeuse fouille mon puits damour profondément.

Je pousse de petits râles à chaque enfoncement de sa langue en moi. Morgane se redresse et dit en souriant :

Elle est prête !

Marc sapproche de moi et offre à ma bouche son membre gorgé de sang. Je saisis le manche de chair et donne une multitude de petits baisers sur le gland violacé. Ma langue voyage tout autour du cèpe monstrueux ; je mattarde sur le frein puis gobe le champignon voracement. Des perles séchappent du méat ; je les avale goulûment. Je fais monter et descendre ma langue sur la hampe veineuse.

Je sens les battements de son pouls sur son manche énorme. Marc est au bord de lexplosion. Il se raidit et envoie plusieurs giclées de sperme chaud au fond de ma gorge ; je le repousse pour ne pas étouffer, déglutis difficilement et avale la semence épaisse.

Marc na pas débandé. Il prend place entre mes cuisses et frotte son gland épais contre ma vulve en ébullition. Il se cramponne à mes hanches et pénètre lentement dans mon temple trempé. Je grimace lors de lenfoncement du pieu en moi : il est gros, le bougre !

Son énorme mandrin coulisse dans ma gaine de chair, heureusement lubrifiée naturellement par un flot de cyprine. Les coups de reins de mon amant me font couiner comme un animal. La vitesse de pénétration augmente, je râle de plus en plus fort.

Morgane masse mes seins lourds, elle écrase de temps en temps mes tétons gonflés de désir. Marc se bloque en poussant un grognement de bête ; il envoie au plus profond de mon corps son sperme épais puis il reprend le rythme. Ses coups de reins deviennent de plus en plus violents ; les assauts répétés ont vite raison de moi. Je me raidis et hurle de jouissance. Ma respiration est rapide et mon souffle court. Ma tête bascule de droite à gauche.

Marc donne encore quelques coups de boutoir avant de se retirer de mon volcan en éruption. Morgane pose ses lèvres sur les miennes ; nos langues se nouent. Marc fait un clin dil à Paul ; celui-ci répond par un signe de tête et sallonge sur le sol. Morgane me dit :

Va tempaler sur sa queue, ma chérie !

Je lenjambe, saisis son membre et le dirige vers ma vulve noyée de sperme. Je descends lentement sur le pal ; à mi-chemin je me laisse tomber de tout mon poids. Empalée jusquà la garde, je halète. Paul me plaque contre son torse velu et me tient fermement. Morgane quant à elle crache sur mon anus et étale la salive. Je me contracte et tente de me dérober. Morgane murmure :

Laisse-toi aller, ma chérie

Elle enfonce deux doigts dans mon rectum, les fait coulisser énergiquement et dit :

Marc, à toi !

Il place contre mon anus son membre dur comme du bois, me saisit par les hanches et pousse fortement. Lanneau cède et avale le manche de chair. Cette première sodomie me fait grimacer de douleur, des larmes coulent sur mes joues. Les deux mâles me pilonnent à grands coups de reins, les bites coulissent en moi comme deux pistons en alternance. La douleur sestompe ; maintenant, cest le désir qui prend le dessus.

Les hommes me labourent de leur queue, je râle et gémis comme un animal. Jagite ma croupe le plus que je peux. Les assauts sont terribles. Je maccroche à Paul, je me cabre et explose en hurlant de jouissance.

Mes deux assaillants ne me délaissent que lorsquils ont rempli mes orifices de leur semence épaisse.

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