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Transformation – Chapitre 1




C’était le début du deuxième semestre de cours, quelques semaines après les vacances de février. Je m’appelle Alexandre, j’ai 19 ans et je suis en deuxième année de bachelor d’ingénierie.

Pour me décrire un peu, je fais 1,80m pour 60 kilos, je suis assez sportif avec une silhouette athlétique. J’ai toujours été un peu timide, c’est sans doute pour cela que je n’ai jamais réussi à sortir avec une fille bien que je meure d’envie d’avoir une copine. Je suis donc évidemment toujours puceau.

Un jeudi soir, dans mon petit studio d’étudiant, j’allai me coucher sans me douter de ce qui allait m’arriver.

Une fois que je me fus douché et brossé les dents, j’enfilai un caleçon qui me servait de pyjama et je me mis dans mes draps. Bien fatigué par une journée d’étude, je ne tardai pas à m’endormir.

La nuit fut paisible sans rêve; et le sommeil, réparateur. Mon réveil sonna comme prévu à 7h afin de me préparer pour aller en cours. Malgré une bonne nuit, le réveil fut difficile comme tous les matins. J’émergeai tranquillement des bras de Morphée. Après quelques minutes passées à somnoler, je me motivai enfin à me lever pour aller faire couler mon café comme tous les matins.

Toujours dans les vapes, en attendant que mon café coule, je me dirigeai vers les toilettes afin d’assouvir mes besoins naturels. Je me plaçai en face de la cuvette, baissai mon caleçon, et…

J’eus comme un électrochoc. En voulant saisir mon pénis, ma main ne rencontra que de l’air. En baissant mon regard afin de regarder où il pouvait être passé, je découvris deux beaux lobes de chaire fixés à mon poitrail. En regardant plus bas, à la place où devait se trouver un bon pénis, je découvris une vulve couverte de poils bruns.

J’étais pétrifié. Je ne comprenais pas.

Je me retournai lentement pour me retrouver en face du miroir de la salle de bain.

Je voyais une jolie jeune fille nue, avec une chevelure brune descendant jusqu’aux épaules, des yeux bleus comme les miens, le même regard, une jolie poitrine avec de petits tétons roses, un ventre plat et une belle petite chatte naturelle et de longues jambes fines avec un caleçon à moitié baissé comme seul vêtement.

Cette fille était magnifique.

Je bougeai mes bras, et tentai de me toucher les pectoraux. Dans le miroir, je voyais cette fille faire exactement les mêmes gestes que moi. Au moment où ses mains arrivèrent au niveau de sa poitrine, je sentis cette chaire douce et ferme sous les miennes.

Plus de doute, j’étais bien cette fille que voyais dans le miroir.

Imaginez-vous, vous réveiller dans le corps de quelqu’un d’autre, de plus du sexe opposé, mais en gardant votre esprit.

Mes jambes se mirent à trembler, après avoir fini d’enlever mon caleçon, je réussis à marcher jusque dans mon lit avant de m’y laisser tomber nue.

Mille questions et théories trottaient dans ma tête. Pourquoi ? Que s’est-il passé ? Que dois-je faire ? Comment est-ce possible ? Est-ce que je suis réveillé ? Dois-je en parler ?

Après avoir passé une heure, allongé sur mon lit, à essayer de me pincer pour me réveiller, j’en conclus que cela n’était pas un rêve, c’était beaucoup trop réaliste.

J’attrapai mon téléphone, et je vérifiai la date. On était bien le lendemain. Cette transformation s’était donc bien passée en une seule nuit.

Ce n’était pas possible pour moi d’aller en cours comme cela ni ma priorité du moment.

J’envoyai un message à mes amis disant que j’étais un peu malade et que je ne viendrai pas en cours aujourd’hui pour qu’ils ne s’inquiètent pas.

Ensuite, je décidai d’explorer mon nouveau corps pour voir si je pourrais trouver des indices, des cicatrices ou n’importe quoi, qui pourraient m’aider à comprendre ce qui m’arrivait.

Je commençai par mon visage, il était plus fin et il n’y avait plus une trace de barbe ou de moustache. Je glissai mes doigts dans mes longs cheveux, ils étaient doux et soyeux. Que c’était satisfaisant de les toucher !

Je descendis mes mains le long de mon cou, où je ne trouvais plus de pomme d’Adam, pour arriver à ma poitrine. Elle était ferme et tenait parfaitement dans le creux de mes mains. Je commençai à toucher mes tétons, à les pincer, à jouer avec. La sensation était incroyable, il commençait à durcir et à pointer et je sentais des frissons me parcourir le dos. C’est donc cela que les femmes ressentent lorsqu’on leur caresse la poitrine, me demandais-je.

Cette sensation nouvelle commençait à sérieusement m’exciter et je commençais à ressentir de sacrés frissons dans le ventre.

Pendant qu’une main continuait de jouer avec un de mes tétons, l’autre caressa mon ventre, et finit par toucher mon petit buisson, comme attirée naturellement vers mon entrejambe.

Je fis glisser mes doigts autour de ces lèvres que je ne connaissais pas. Elles étaient toutes humides. C’était donc vraiment comme cela quand les filles sont excitées ? Exactement comme dans les récits érotiques que je lisais.

Après avoir fait tourner mes doigts autour de mes lèvres, je me décidais à les glisser entre celles-ci. C’était serré, chaud, humide, et la sensation était incroyable. Je les faisais faire des allers-retours de haut en bas, j’étais vraiment en train de me doigter comme une fille, mais c’était tellement agréable !

Je finis par remonter mes doigts vers tout ce qu’il me restait de mon pénis. Et là, ce fut l’extase, après seulement quelques caresses de mon « mini-pénis », je ressentis comme une décharge, je sentis mon vagin se contracter, je me cambrai, et laissai échapper un gémissement. Je jouissais. J’avais un orgasme féminin. C’était tellement agréable et tellement impossible à décrire.

Je n’avais jamais ressenti une sensation comme celle-là, même quand je jouissais en me masturbant avec mon pénis.

J’ai dû mettre au moins une demi-heure à m’en remettre, toujours allongé sur mon lit.

J’avais pris tellement de plaisir que j’en avais oublié d’inspecter mon nouveau corps. Je me levai et je retournai dans la salle de bain, face au miroir. J’explorai mon corps sous toutes les coutures, de haut en bas. Mais je ne découvris rien à part que j’avais un fessier qui m’aurait fait bander si j’avais encore mon pénis.

J’avais un corps de femme, une femme tout à fait normale, mis à part la beauté de ce corps.

Avec ces histoires, j’en avais complètement oublié d’aller aux toilettes et cette envie devient encore plus pressante qu’avant. Pour la première fois, j’allais faire pipi comme une femme. C’était étrange de m’asseoir sur les toilettes pour uriner.

Je pris ensuite une douche rapide, j’en avais bien besoin après ce que j’avais fait avec mon corps…

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