En se préparant pour le repas, Angélique décide de garder la tenue qu’elle portait sous sa robe lors de la rencontre avec Sur Nadège, y compris la petite culote dans laquelle elle a tant mouillé.

Pendant tout le dîner qui se passe en silence, Angélique fantasme sur ce qui pourra bien se passer avec Mère Marie. Elle en oublie même de manger à tel point que sa voisine de table Sur Madeleine lui fait signe en forme d’interrogation. Angélique répond d’un signe de tête en souriant qui veut dire qu’il n’y a pas de problème.

Le repas se termine, les convives se séparent. Sur Thérèse s’approche d’Angélique et lui murmure à l’oreille :

« Nous avons rendez-vous à 20h30 dans les appartements de la Mère Supérieur, je passe te prendre à 20h15 à ta chambre. Pense à ta tenue de dessous »

Cette complicité excite Angélique. Nous ne sommes plus dans la maison de Dieu mais hors sol dans une espèce de lieu fantasmatique ou toute idée lubrique serait permise.

20h15 précises, Sur Thérèse frappe à la porte.

« Sur Angélique, ou plutôt Angélique pour la soirée, j’ai donné comme prétexte à ma demande de rendez-vous avec la Mère Supérieure le fait que ce serait bien que nous deux (la Mère et moi) te réconfortions dans les doutes que tu exprimes sur le vécu de ta foi.

A voir son empressement à m’accorder ce rendez-vous en ta compagnie, je me dis qu’elle a peut-être subodoré quelque chose. Nous verrons bien. Je lui prépare une surprise. »

« Thérèse, j’ai peur de ne pas être à la hauteur »

« Ne te fais pas de souci, je sais que c’est une salope, j’ai déjà baisé avec elle, elle aura envie de toi et nous allons la surprendre »

20h30 nous voila à la porte de l’appartement.

Mère Marie nous reçoit habillée de sa robe noire traditionnelle mais elle a ôté son scapulaire laissant son abondante chevelure blonde tomber sur ses épaules.

« Bonsoir mes surs, prenez un siège. Puis-je vous offrir une infusion ? »

« Volontiers ma Mère » répond Sur Thérèse. « Vous aussi sur Angélique ? »

« Oui volontiers également »

Après avoir servi ses convives, Mère Marie s’assied en face des deux surs.

« Alors Sur Angélique notre rencontre d’hier a-t-elle porté ses fruits ? »

C’est Sur Thérèse qui prend les devants et toise Mère Marie.

« Marie, nous sommes venues ce soir pour vous baiser car toutes les deux avec Angélique, nous savons que vous aimez. Moi j’en ai fait d’excellentes expériences et je crois qu’Angélique aussi »

« He bien ça au moins c’est franc et directe même si je me doutais de quelque chose »

« Oui Marie mais ce soir, il n’y a plus de hiérarchie religieuse, c’est nous qui décidons. Pour commencer vous allez vous déshabiller pour nous exciter et ensuite nous verrons »

« Vous êtes bien exigeantes pour une entrée en matière mais je dois vous avouer que cela m’excite moi aussi »

Marie se lève et en dégrafant l’arrière de sa robe, la laisse tomber à ses pieds dévoilant son corps juste habillé d’un soutien-gorge à balconnets qui met sa splendide poitrine en valeur, d’un string assorti à un porte jarretelles auquel sont attachés de beaux bas de soie noire. Cachées sous sa robe, elle était chaussée de cuissardes noires lui arrivant à mi genoux du plus bel effet sexiste. Visiblement elle attendait cette soirée.

S’enhardissant, Angélique prend la parole.

« Vous êtes splendide Mère, nous allons bien nous amuser avec votre corps. Commencez à vous branler devant nous et quand vous mouillerez, venez me donner votre chatte que je n’ai pas pu obtenir hier »

Pendant que Marie s’active avec un doigt dans la chatte et l’autre main sur ses seins sortis du soutien-gorge, Angélique et Thérèse se déshabillent.

Quelle surprise lorsque Thérèse dévoile un majestueux gode ceinture.

« Tu vois Marie, pendant qu’Angélique va te bouffer la chatte, moi je vais t’enculer. Suce-moi cette queue pour bien la lubrifier »

Les deux Surs s’approchent de Marie et s’ensuit une séance de pelotage très sensuelle.

Les corps se frottent, les mains parcourent tous les orifices. Marie se met à genoux pour sucer la queue pendant qu’Angélique joue avec ses seins.

« Angélique couche toi sur le dos et toi Marie mets toi en levrette la chatte au-dessus de la bouche d’Angélique, je vais te défoncer le cul. »

« Vous êtes trop bonnes mes Surs, baisez-moi j’ai envie, Thérèse enfonce moi bien profond et toi Angélique fiste moi le con. Continuez je sens que je vais jouir »

« Marie, je veux tout votre jus sur ma figure et dans ma bouche pendant que je me branle »

« OUI, OUI, je pars c’est bon allez-y »

L’orgasme de Marie est si puissant que le jet de cyprine inonde la figure d’Angélique. Les convulsions que lui procure cet orgasme la renversent par terre sur Angélique en extrayant également le gode de son cul.

« Moi aussi je veux jouir, Thérèse viens ma baiser le con avec ta queue. Oui enfile la bien, pistonne-moi encore plus fort, je viens Ahhhhh c’est merveilleux »

« He bien Marie, Thérèse, quelle partie, il n’y a que moi qui n’ai pas joui. Ce sera pour une autre fois mais le spectacle m’a énormément excitée »

« veux-tu que je te suce Thérèse ? » propose Angélique

« Non merci regarde, je me branle avec le gode »

Après que Thérèse ait obtenu son orgasme, les trois Surs se rhabillent et comme si de rien n’était Thérèse et Angélique prennent congé de celle qui redevient Marie Mère Supérieure.

Dans le couloir silencieux qui les ramènent à leurs chambres, Thérèse chuchote à l’oreille d’Angélique :

« Ça t’a plu petite salope ? »

« Oui petite chienne. Bonne nuit »

En passant devant la chambre de Sur Nadège, sa voisine, Angélique a presque envie de rentrer la voir en se rappelant de leur rencontre de la veille. Mais non, elle se ravise il est tard, pourtant elle se ferait bien cette petite salope, elle avait trouvé qu’elle suçait admirablement.

Rentrée dans sa chambre, Angélique se déshabille lentement en revoyant le spectacle de la soirée. Sa tenue ressemblant à celle de la Mère supérieure l’excite. Elle se caresse les seins sous son soutien-gorge, descend sur sa culote qu’elle quitte langoureusement pour la porter à sa bouche. Elle aurait voulu avoir l’odeur de ses deux partenaires mais seule sa cyprine a humecté le tissu.

Elle a envie de se branler.

Dans son cabinet de toilette, elle se saisit dune petite bombe de déodorant et commence à se caresser le clito puis quand la mouille arrive, elle enrobe l’objet avec sa culote et se l’enfonce profond dans la chatte. Pour bien sentir le tube dans son con, elle se couche sur le lit et se trémousse à cheval sur son oreiller. L’orgasme ne tarde pas.

Epuisée par cette journée particulièrement active, Angélique s’endort la chatte chargée des objets de plaisir.

Le lendemain matin, en faisant sa toilette, Angélique décide de garder sa culote et le tube de déodorant dans sa chatte.

7h, la cloche de l’Angélus appelle les fidèles.

En sortant de sa chambre, Angélique rencontre Sur Nadège toute de blanc vêtue comme il se doit.

« Bonjour Sur Angélique Vous allez bien ?

Je vous ai entendu rentrer cette nuit après votre promenade je suppose. En pensant à notre rencontre dans ma chambre, j’étais toute excitée, j’avais envie de vous appeler mais je n’ai pas osé. Je me sens coupable, j’implore la vierge Marie dans mes prières pour qu’elle apaise le feu de mes pensées et de mon corps mais c’est plus fort que moi. Pensez-vous que je puisse me délivrer de ces pensées ?»

« Ce n’est pas grave Sur Nadège. Je suis bien dans votre cas et je m’en suis ouverte à Sur Thérèse qui m’a déculpabilisé. Si vous le souhaitez, je peux lui en parler. »

« C’est gentil Sur Angélique mais que pouvez-vous lui dire. C’est délicat ?»

« Faites-moi confiance »

« Merci, dépêchons-nous nous allons être en retard à la prière du déjeuner »

En sortant de la salle à manger, Angélique cherche Sur Thérèse pour lui parler de Sur Nadège.

« Bonjour Sur Thérèse »

« Bonjour Sur Angélique. Vous n’allez pas au potager ? »

« Si, mais je dois vous demander quelque chose »

« Allez-y ma Sur »

« Voilà : Sur Nadège qui à sa chambre contiguë à la mienne est en proie au même doute que moi lorsque vous êtes venue me voir pour la première fois. Elle culpabilise énormément et je lui ai dit que vous m’aviez bien aidé. Elle a accepté de se confier à vous. Qu’en pensez-vous ? »

Sur Thérèse fixe sa Sur dans les yeux, lui prend la main et en la tapotant, formule son acceptation.

« J’accepte de la rencontrer si vous pensez que je puisse l’aider. Souhaitez-vous être présente ? »

« Il faut que je lui demande mais je pense qu’elle sera d’accord car je suis complice de son désarroi »

« Bien. J’irai la voir ce soir après le dîner je verrai bien si vous êtes là »

« Merci Sur Thérèse. A ce soir peut être »

Le soir arrivé, Sur Nadège a souhaité la présence d’Angélique elles attendent donc Sur Thérèse.

« Bonsoir mes Surs. Alors sur Nadège que vous arrive-t-il ? »

« C’est délicat à dire et très intime »

« N’ayez pas de crainte, parlez en confiance je suis là pour vous aider »

« Depuis que je suis au couvent, je ne regarde plus mes surs de la même façon que les filles dans la vie civile. Cette robe qui cache nos corps me donne envie de l’arracher et l’impossible vision de ces corps nus me hante et me donne des envies de masturbation. Mes prières sont troublées. J’implore la vierge Marie de m’aider mais rien n’y fait »

« Sur Nadège je vous comprends. Avez-vous envie d’arracher ma robe et celle d’Angélique ? »

« Oui bien sûr, en vous regardant et en me confessant, je sens le feu monter en moi. Résister est très dure »

« Allez-y. Libérez-vous, approchez, je suis toute à vous »

Nadège très excitée par les paroles de Sur Thérèse se rue littéralement sur elle, lui caresse les seins, descend ses mains le long de ses cuisses et dégrafe la robe qui tombe à ses pieds.

« Alors Nadège, êtes-vous satisfaite ? mon corps vous plaît-il ?

« Oh oui Sur Thérèse j’ai envie de le caresser. Vos seins splendides sans soutien-gorge me donnent envie de sucer et votre chatte à la toison abondante à peine cachée par votre culotte m’attire au plus haut point »

« He bien Sur Nadège, vous voilà bien excitée. mais nous aussi avec Sur Angélique voudrions jouir de la vue de votre corps. Angélique, déshabillez notre Sur. »

Angélique s’approche, féline, de Nadège, la saisi par les cheveux et plaque sa bouche sur la sienne. Pendant ce baiser « French kiss » la robe de Nadège est défaite et tombe elle aussi à se pieds. Même opération pour la robe d’Angélique.

Nos trois Surs sont donc nues dans le simple apparat de leur lingerie. Angélique n’a pas de culotte visible puisque depuis la nuit dernière elle se l’est enfoncée dans sa chatte avec le tube de déodorant. A chaque envie d’uriner elle a gardé le tout de manière à se sentir mouillée toute la journée.

« Nadège venez me bouffer la chatte à travers ma culotte, j’ai envie de la tremper je sens que votre attitude me fait mouiller »

« Venez sur le lit toutes les deux, nous serons plus à l’aise » propose Nadège »

Les ébats sont féroces et mouvementés.

Nadège s’affaire sur la chatte de Thérèse qui déverse des flots de cyprine pendant qu’Angélique pénètre un, puis deux, puis trois doigts dans le cul de Nadège.

« Allongeons-nous côte à côte pour essayer de jouir ensemble en nous branlant suggère Sur Thérèse »

Chacune enfoui sa main dans la chatte de sa voisine et les trois clitoris malaxés, déclenchent l’orgasme désiré

« Que c’est bon les filles, remercions Dieu de ce bonheur »

« Croyez-vous Thérèse que ce remerciement est bien approprié à la situation ? » interroge Nadège

Les trois consurs partent d’un éclat de rire, se relèvent et chacune se rhabille.

« Merci Sur Thérèse, j’ai bien fait d’avoir confiance en Sur Angélique »

« Au revoir toutes les deux, n’oubliez pas votre prière du soir » Conseille Sur Thérèse qui se retire discrètement.

La porte refermée, Angélique et Nadège s’enlacent pour un dernier baiser fougueux.

« Dis moi Angélique, en te branlant tout à l’heure, j’ai senti un obstacle dans ta chatte »

« Oui, J’ai gardé ma culote enveloppant un tube de déodorant avec lequel je me suis excitée après que tu m’ais entendue rentrer cette nuit car moi aussi j’avais envie de toi en passant devant ta porte. J’ai gardé le paquet humide toute la journée et de temps en temps en me frottant sur le coin d’une chaise, je me faisais jouir. Après notre séance, je sens qu’il est trempe. »

« Angélique accepterais-tu de me le confier jusqu’à demain, je vais l’introduire dans mon con et je penserai à toi toute la nuit ? »

« Volontiers ma petite salope mais viens le chercher »

Nadège remonte la robe d’Angélique et entreprend de récupérer les objets.

« Branle moi Nadège, j’ai à nouveau envie de jouir »

Après un bref orgasme d’angélique, nos deux copines se séparent avec un doux baiser sur le front.

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