Chapitre 4 : Où Maitresse Cathy soccupe de mes fesses.

Résumé du chapitre précédent : Maitresse Cathy a commencé à me faire gouter aux délices du martinet et autres agaceries.

Le dimanche, javais droit à la grasse matinée, cest-à-dire que je pouvais attendre le réveil de ma maitresse avant de prendre mon service. Je me réveillai cependant à lheure habituelle et je tattendais son réveil en la contemplant endormie. Au bout dun quart dheure, je sentis mes paupières se refermer et replongeai dans le sommeil. Je fis un horrible cauchemar et me réveillai trempé de sueur, assis sur le lit et mentendant crier « Nooooon ! »

Bien sûr, cela réveilla Maitresse Cathy.

« Alors mon bébé, on a fait un mauvais rêve ? »

« Bonjour Maitresse ! Oui, affreux ! Jai rêvé que jétais torturé dans un cachot du moyen âge par un bourreau cagoulé. Il me fouettait, me torturait avec toute sorte dustensiles, mintroduisait un fer chauffé au rouge dans le cul et finissait par marracher le sexe avec des pinces. »

« La séance dhier a laissé des traces, on dirait ! »

« Détends-toi ! Tu ne timages quand même pas que je pourrais abimer mon petit mari et me priver de ses ustensiles qui finalement me procurent du plaisir. Si ça doit te traumatiser tant que ça, on arrête ces petits jeux, tu remets le sous-sol en état et tu restes ma soubrette soumise. »

« Non Maitresse ! Ce nest pas ce que je souhaite. Je suis toujours prêt à subir tout ce que vous voudrez. »

« Tu as donc apprécié notre petite séance dhier? »

« Dune certaine façon, oui. Jai aimé être attaché, entièrement à votre merci. Par contre, la douleur ne ma procuré aucun plaisir contrairement à ce que javais pu lire sur les pratiques SM. Je suis peut-être seulement soumis et pas maso ? »

« Vu certaines de tes réactions, je crois que si mais tu ne sais pas encore transformer ta douleur en plaisir. Je suis sûre que tu as toutes les aptitudes pour ça. Il te faudra juste un peu de persévérance et dentrainement. »

« Bien Maitresse Cathy ! Je veux bien vous croire. Faites de moi ce que vous voudrez. »

« Mets ta tenue de soubrette et prépare nous le petit déjeuner. »

Nous primes le petit déjeuner, elle au lit et moi à genou au pied du lit. Je me levai pour débarrasser quand elle me dit :

« Laisse les plateaux à côté de la porte, nous avons autre chose à faire. »

« Tout dabord, va faire tes besoins et nettoie bien ton petit cul, intérieur compris. Pas la peine de remettre ta tenue pour revenir. Garde juste ton collier.»

Ceci étant fait, je rejoignis la chambre et attendis ses ordres. Elle se leva et me demanda de me mettre à quatre pattes sur le lit, jambes écartées. Elle se dirigea vers sa table de nuit et en sortit un plug et un tube de gel. Le plug nétait pas bien gros, environ une dizaine de centimètres de long sur deux de diamètre. Je me rappelai alors ses paroles du vendredi soir et sa volonté dassouvir mes supposés instincts homo par elle-même. Elle enfila une paire de gants en latex, déposa une noix de gel sur ma rondelle, sen enduisit un doigt quelle menfonça dun coup dans la rondelle. Je poussai un petit cri de surprise. Elle commença un va-et-vient rapide mais sarrêta subitement.

« Tu aimes, petit pédé ? »

« Oui Maitresse, continuez sil vous plait. »

Elle reprit donc mon enculage et introduisit bientôt un deuxième doigt. Le mouvement se fit plus lent. Jaccompagnai son mouvement de petits coups de reins. Ma queue et mes couilles ballotaient sous moi. Javais envie de me branler. Je sentis quelle avait réussi à repérer lendroit de ma prostate et quelle se concentrait sur cette zone. Au bout de quelques minutes de ce traitement je fus secoué dun violent orgasme et je mécroulai sur le lit, des étoiles plein les yeux. Je navais jamais ressenti un tel plaisir, dune telle intensité.

« Je vois que javais bien deviné tes tendances cachées, tu es capable de jouir du cul mon petit pédé. Je suppose donc que tu vas apprécier le jouet que tu vas devoir porter maintenant. Remets-toi à quatre pattes. »

Dilaté par le doigtage, ma rondelle neut aucune difficulté à recevoir le plug.

« Ça sera surement moins agréable que mes doigts mais il faut que tu prennes conscience de ta nature de pédé. En plus, vu tes dispositions, ça entretiendra surement chez toi une certaine excitation que tu ne pourras pas dissiper en te branlant et ça me plait bien. »

Effectivement, sentir le plug enfoncé dans mon intimité faisait monter en moi des pensées lubriques, des souvenirs de la pénétration de la rondelle de ma femme (avant quelle de devienne ma Maitresse), une envie de me faire sodomiser par un male en rut à la bite monstrueusement développée bien que je sache que cela métait désormais interdit.

« Et voilà, tu vas avoir une bite dans le cul en permanence, jespère que tu es content, même si elle nest pas bien grosse ? »

« Oui Maitresse Cathy, merci beaucoup. »

« Bien. Mets ta tenue et fait ce que tu as à faire. »

Je passai le reste de la matinée à faire divers travaux ménagers et à préparer le repas. Maitresse Cathy était restée dans la chambre toute la matinée. Je lavais entendu téléphoner sans pouvoir saisir la teneur de la conversation. Vers midi, elle descendit au salon toujours vêtue dune combinaison de lycra noir (forcément une deuxième puisque je venais de laver celle quelle portait hier). Elle sinstalla dans le canapé, me demanda son apéro. A peine lavais-je servi quun coup de sonnette me fit sursauter.

« Merde on nattend personne ! Et moi dans cette tenue ! »

Je me précipitai dans la cuisine, pensant que ma femme allait aller ouvrir et renvoyé lopportun. Au lieu de ça, je lentendis crier :

« Va ouvrir, connard, tu ne timagines quand même pas que je vais faire le larbin à ta place ! »

Je me dirigeai vers la porte, rouge comme une pivoine, ne sachant comment jallais faire pour ouvrir à quelquun dans cette tenue sans mourir de honte. Jentrouvris la porte et soulagement japerçus le visage souriant de Florence. Vu ce que javais déjà fait devant elle, me montrer en tenue de soubrette ne représentait pas une plus grande humiliation.

Florence : « Très jolie ta coiffe de dentelle, je suis impatiente de voir le reste. Finis douvrir que je puisse admirer le reste. »

Jouvris donc la porte en grand, reculant pour la laisser entrer.

« Quelle est mignonne comme ça, ton tablier te va très bien. Tourne-toi que jadmire lautre face. »

Je lui tournai donc le dos.

« Ça te fait un joli petit cul et les pendants du nud dans ta raie sont du plus bel effet. »

Elle me donna une claque sur les fesses en me demandant davancer. Nous entrâmes au salon.

Cathy : « Bonjour ma chérie. Alors, tu en penses quoi de ma soubrette ? »

Florence : « Magnifique ! Tu as fait du bon boulot avec trois fois rien en plus. Si javais voulu faire ça avec Bernard, il aurait fallu que je lui achète la panoplie complète avec perruque et tout. Tandis que lui, rien quavec son petit tablier et ses bas il a lair si féminin. Veinarde ! »

Florence sassit dans un fauteuil et je lui servis à son tour un apéro.

Cathy : « Je ne tai pas tout dit tout à lheure au téléphone. Figure-toi que jai fini par me décider à suivre ton exemple et que jai aussi fait aménager une pièce du sous-sol pour pouvoir moccuper de lui. Je te la montrerai après manger. »

Florence : « Vous auriez pu venir à la maison. Vu létat de Bernard, je ne suis pas près de men resservir. »

Cathy : « Jy avais pensé, mais je pense que ça taurait trop fait envie de participer et tu sais bien que je ne suis pas partageuse. »

Florence : « Cétait juste une proposition. Je ninsiste pas. »

Cathy : « Pour te consoler, je vais te montrer quelques photos souvenir. »

Jallai chercher les polaroids qui étaient posés sur une console et les tendis à Florence. Elle les parcourut plusieurs fois avant de lâcher :

« La vache ! Tu ny es pas allé de main morte. Il a dû en baver le pauvre chéri. »

Cathy : « Tu crois que jai eu la main trop lourde pour une première fois ? »

Florence : « Un peu oui. Mais on dirait quil a survécu et que vu la bosse sous son tablier il est encore opérationnel et que ça lexcite encore. »

Cathy : « Pour lexcitation, je ne suis pas sure que ce soit ce que je lui ai fait subir hier. Je pencherai plutôt pour ce que je lui ai fait ce matin. »

Florence : « Ah oui ! Quoi donc ? »

Cathy : « Mon chéri, tourne tes fesses vers Florence et penche-toi en avant. »

Même si Florence mavait vu bouffer mon sperme et celui de son mari, mavait vu en soubrette, je trouvai que Maitresse Cathy men demandai beaucoup. Surmontant ma honte, je me tournai vers Florence et lui présentai mon petit trou bouché.

Florence : « Non ! Tu las pluggé ? Je naurais jamais cru quil puisse accepter une chose pareille. »

Cathy : « Si cest moi qui lui demande, il est prêt à faire nimporte quoi. Ce que jai découvert, cest que ce cochon aimait ça, il est vraiment très sensible du cul et jai même réussi à le faire jouir par là. »

Florence : « Je naurais même pas osé en parler à Bernard. Même sil est un peu maso, et même beaucoup, il est vraiment trop macho pour envisager une sodo. »

Cathy : « Je ne lai pas vraiment sodomisé, juste doigté et cest un tout petit plug de rien du tout. »

Florence : « Eh bien Francis, tu me surprendras toujours, tu nas vraiment pas lallure dun enculé. »

Florence à Cathy : « Tu comptes en resté au mini plug ou tu vas lui défoncer la rondelle pour de vrai ? »

Cathy : « Je crois, je suis même sure, que mon cher mari va se prendre une bite dans le cul dici pas longtemps. »

Florence : « Un vraie bite de mec ? »

Cathy : « Mais non ! Un god. Je ne crois pas quil soit vraiment homo même si je le traite de pédé et je nai pas plus envie de le partager avec un mec quavec toi. »

Florence : « Tu me raconteras ? »

Cathy : « Bien sur ma chérie. Tu auras aussi droit à quelques photos, ne tinquiète pas. »

Elles finirent leur apéro, nous descendîmes visiter le donjon et Florence nous quitta non sans nous avoir souhaité un bon après-midi avec un sourire plein de sous-entendus.

Au moins, je savais ce qui mattendait dans les prochaines heures. Malgré ces révélations, je navais pas arrêté de bander. Le souvenir du doigtage, la présence discrète du plug, lexcitation de la découverte ? Surement la conjugaison des trois. Surement aussi le fait davoir dû mexhiber devant Florence et davoir assisté à leur conversation.

A suivre.

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