Cette histoire véridique s’est passée dans le TGV Lille/Marseille. J’étais allée à Lille pour le baptême de mon unique neveu et filleul. Le dimanche soir, je pris le train pour rentrer sur Marseille ou j’habite. Suite à un incident, le TGV parti à 22h, j’espérais pourvoir dormir un peu car je reprenais mon poste de secrétaire à 9 h le lundi.
Peu après le départ du train, le contrôleur démarrait sa tournée pour éviter de réveiller les passagers. C’est à ce moment que je vis arriver cet homme dans mon wagon. Il s’était tout simplement trompé de voiture et le contrôleur le lui avait gentiment fait remarquer. Il était suivi d’un autre homme sensiblement du même age, une trentaine d’année tout au plus. Ils s’installèrent aux places au même niveau que la mienne, seul le couloir nous séparait. Après avoir tendu mon billet au contrôleur, ils engagèrent la conversation, à savoir leur erreur quand au wagon, la pluie et le beau temps etc…. Petit à petit la conversation devint plus amicale, c’est ainsi que j’appris qu’ils s’appelaient Eric et Didier, ils avaient 29 ans, ils bossaient dans une grosse boite informatique de la région parisienne, rentraient de Lille où ils étaient en visite chez leurs parents respectifs et ils allaient à Marseille 3 jours pour leur boulot. Ils se connaissaient depuis la maternelle, avaient fait leurs études ensemble et travaillaient ensemble. Tout ce qu’ils entreprenaient se faisait à 2 et ils partageaient le même appartement à Colombes, non loin de leur lieu de travail. De la même façon, je leur confiais que j’avais 28 ans, j’étais secrétaire dans un bureau d’études et que je travaillais entourée d’hommes.
Je trouvais Eric très beau, une taille de basketteur, les cheveux noirs et des yeux verts irrésistibles ; Didier était un peu plus petit, 1,83 m, des cheveux châtains, des yeux bleus et beaucoup moins de charme que son ami. Lorsqu’ils me complimentèrent sur mon physique, 1,58 m, des formes épanouies, une poitrine avantageuse, châtains clairs et les yeux bleus, je leur fis remarquer qu’ils pourraient très bien faire les premières pages d’un magazine féminin tant ils étaient mignons. Je m’endormis vaincue par la fatigue après avoir avoué que j’étais célibataire et sans casse-croûte depuis quelques temps.
Alors que je rêvais que je pourrais renoncer à ma vie de célibataire pour me rapprocher d’Eric, je sentis une onde de chaleur sur mon genou. Eric avait pris place sur le siège à côté du mien et promenait sa ma sur ma cuisse. Je levais la tête vers lui et aussitôt il prit ma bouche dans un baiser enflammé. Je crois que je suis tombée amoureuse de lui dès qu’il a passé la porte du wagon et dans mon esprit, ça ne pouvait être qu’un coup de foudre réciproque. Je me voyais déjà lui proposant d’aménager chez moi pendant son séjour à Marseille et partager des nuits torrides dans ses bras. Lui en me sentant complètement alanguie sous ses baisers commença à s’enhardir. Sans cesser de m’embrasser ses mains descendirent sur mes seins qu’il malaxa sans retenu. Je suis très sensible de la poitrine et mes pointes se dressèrent à me faire mal. Il souleva mon pull, baissa les bonnets du mon soutien gorge pour gober un sein pendant qu’il titillait la pointe de l’autre. Je me laissais envahir par ce bien être lorsqu’il lâcha le bout de mon sein pour remonter ma jupe et écarter ma fine culotte de dentelles jaunes.
Elle était déjà trempée et quand je sentis ses doigts sur mon sexe brûlant, j’écartais les jambes pour lui laisser plus de place. ’ Viens ’ me dit-il, ’ il n’y a personne dans le petit salon, allons-y nous y serons plus tranquille ’.
Nous étions en bout de train et le petit salon était tout à côté, de plus les 3 passagers de notre wagon dormaient à points fermés, ils ne risquaient pas de nous déranger. Sans me faire prier, je me levais pour le suivre, les jambes un peu flageolantes et tous mes sens en éveil. Il ouvrit la porte et s’effaça pour me laisser passer et là je vis Didier, bien installé qui semblait nous attendre. Je voulu faire demi tour mais Eric me poussa dans la direction de son ami en disant ’ je t’ai dis que nous partagions tout ’ ! A ce moment là tout est allé très vite, Didier m’a attrapé les bras de l’autre côté de la table, je me suis retrouvée penchée, les seins contre la tablette, Eric derrière moi a troussé ma jupe, tiré ma culotte sur le côté et sans autre préliminaire s’est enfoncé en moi. Malgré moi, je me suis laissée faire, allant même jusqu’à gémir de plaisir sous les coups de boutoir de cet homme que je ne connaissais pas une heure avant. En ne sentant aucune résistance, Didier m’a lâché les bras, en disant ’ elle va ameuter le quartier en miaulant de cette manière ’. Eric a alors interrompu ses va et viens, s’est retiré et m’a enlevé ma culotte, pendant ce temps, Didier m’a soulevé pour me mettre sur la table allongée sur le dos. Quand Eric s’est approché avec ma culotte roulé en boule, j’ai juste pu dire non et j’ai gardé les mâchoires serrées, mais un violant pincement sur la pointe de mes seins m’a fait ouvrir la bouche pour crier et il en a profité pour me mettre ma culotte dans la bouche. Alors là, j’ai voulu me défendre, j’ai tenté de me redresser, levant le bras pour ôter ce bout de chiffon imbibé de mes sécrétions vaginales de ma bouche, je n’ai pu le faire. Le colosse derrière moi a replié mes bras derrière mon dos, d’une main il tenait fermement mes poignets, de l’autre il attrapa mes cheveux et les tira de façon à me faire lever la tête. Eric planta son regard vert dans le mien pour me dire ’ tu n’es pas la première femelle que je dresse, c’est un rôle que j’adore, alors il vaudrait mieux pour toi obéir à nos désirs, il ne nous reste plus que deux heures de route, et 2 portes isolantes nous séparent du wagon où les gens dorment donc on ne t’entendra pas et le contrôleur a déjà fait sa tournée, donc soit tu subis sans brocher, soit tu morfles, tu as compris ? ’ J’opinais en battant des paupières, Didier me tenait bien. Puis il me lâcha et pendant que je massais mes poignets, deux grosses larmes coulaient sur mon visage, comment un homme si prévenant pouvait se transformer en bête sauvage. Dans un état second, je sentis mon pull passer au dessus de ma tête et mon soutien gorge ne tarda pas à sauter, ils s’en servirent pour attacher mes mains derrière ma nuque. De me voir comme ça, avec ma culotte dans ma bouche et le soutien gorge sur la tête les a fait beaucoup rire. Ma jupe atterrit sur un siège et je me retrouvais nue sous les regards avides de ces 2 mecs. Après m’avoir tourné autour et palpé de ci, de là, je fus à nouveau hissée sur la table, il me calèrent les pieds sur les appuies têtes des fauteuils, dans une position où seule ma gynéco avait pu me voir.
Les cuisses largement ouvertes, ils ne perdaient rien de mon anatomie. Pendant qu’Eric venait sur le côté de la table et enlevait ma culotte pour que je le suce, Didier enfonçait un, puis deux, puis trois doigts dans mon intimité. Une fois la bite d’Eric bien vigoureuse et après m’avoir rebaillonné, il revint entre mes jambes et me pénétra sauvagement. Sous cette action, mes seins tressautaient en rythme, il finit par s’y accrocher et me les pétrit sans ménagement. Didier s’était assis à côté et se masturbait tranquillement pendant que son copain soufflait de plus en plus vite. A ma grande honte, je fut prise d’un orgasme fulgurant, du coup Eric se crispa et se vida au fond de mon sexe. Il se laissa tomber sur un des sièges et à ma grande surprise Didier vint se placer entre mes jambes et lécha, aspira et avala tout le sperme qui était en moi. Puis il me fit redescendre de la table, me fit mettre à genoux et enfonça sa queue raidie au plus profond de ma gorge. ’ Tu as bien choisi ’ dit-il à son ami ’ elle suce bien cette salope ’. Il déchargea dans ma bouche en tenant ma tête contre lui, le nez dans ses poils, il me dit ’ avales tout salope, n’en laisses pas une goutte ’. Quand il se retira il me fit ouvrir la bouche et tirer la langue pour vérifier qu’il ne restait rien. Je retrouvais ma place sur la table avec les cuisses largement écartées, chacun assis d’un côté, ils s’amusèrent longuement à insérer dans ma chatte, tout ce qu’ils trouvèrent dans mon sac, à commencer par un stylo, puis le tube de rouge à lèvres, le billet de train enroulé sur lui-même, même mon portable fut introduit dans mon antre secrète. Puis avec la pince à épiler, il m’arrachèrent bon nombre de poils qu’ils prirent soin de mettre de côté pour ensuite me les fourrer dans la bouche avec un chewing gum. Enfin mes bras furent libérés, ils commençaient à être ankylosé, mais mon supplice n’était pas terminé. Eric, d’un ton sec me dit ’ a 4 pattes chienne ’, j’obtempérais, puis à Didier ’ prépares-la moi, je suis sûr qu’elle a envie de se faire enculer cette pute ’. Jamais je n’aurais pu imaginer d’être là, sodomisée dans un train. Lorsque la langue de Didier se pose sur mon anus, une onde de plaisir m’envahie. Voyant cela, Eric ordonna d’aller plus vite, que Marseille approchait et qu’il voulait jouir dans mon cul avant d’entrer en gare. Il rentra donc directement 2 doigts dans mon vagin qui mouillait abondamment, les ressortis aussitôt pour les planter dans ma rondelle. Jusqu’à ce jour, les hommes qui m’avaient prise par mon petit trou étaient tendres et attentionnés, j’aimais être sodomisé mais cette nuit là la douleur était bien présente, du moins dans la préparation. Eric tenait mes fesses bien ouvertes et Didier enfilait à présent 3 doigts et pour bien dilater l’anneau écartait ses doigts à l’intérieur de mon conduit pour ensuite effectuer des rotations et des va et viens. Je pleurais à chaudes larmes, j’avais l’impression d’avoir le cul déchiré et la brûlure était intense. Puis Eric dit ’ ça suffit, je vais l’élargir avec ma grosse queue ’, Didier m’ouvrit donc la rondelle en insérant ses 2 pouces dans mon trou et le second y planta son dard. J’avais tellement mal que je n’ai pas pu jouir. Il me limait à fond violemment, mon corps était en sueur, je sentais les gouttes perler à la racine des cheveux, j’avais hâte qu’ils en finissent, je n’en pouvais plus, j’avais de la peine pour me ternir sur cette table, puis je le sentis se crisper et déverser son flot de semence dans mes intestins. Comme précédemment, dès qu’il se retira Didier vint lécher le liquide de son ami, le félicitant pour m’avoir dilaté au maximum, il en profitait pour enfiler son doigt à l’intérieur afin de faire couler vers lui les gouttes qu’il ne pouvait attendre. Son compagnon me fait face en me disant ’ nettoies moi, je ne voudrais pas salir mon boxer ’ et malgré un dégoût épouvantable, je sortis la langue pour nettoyer son membre. Il se rajusta et me fit descendre de la table, je ramassais mon soutien gorge pour pouvoir m’habiller quand Didier assis au milieu des 3 fauteuils faisant dos à la fenêtre, le sexe sortant du pantalon me dit ’ tu sais, c’est très vilain de faire la pute dans le train, tu mérites une correction pour ta conduite inqualifiable ’, il m’attira à lui et m’allongea en travers sur ses genoux, là il me mit une fessée, comme jamais même dans mes jeunes années je n’avais reçu. Alors qu’il frappait avec le plat de sa main sur mes globes et par moment dans le sillon, à un moment il s’arrêta, se raidit et je sentis plusieurs jets visqueux sur mon ventre, puis il me poussa et je roulais au sol. Ils sortirent du petit salon sans un regard sur moi, j’eu juste le temps de me vêtir et de ranger les objets qu’ils avaient sortis de mon sac, le train entrait en gare. J’ai attendu que tout le monde soit descendu pour descendre à mon tour. Chaque pas me faisait souffrir, mes orifices étaient en feu. Alors que je m’apprêtais à monter dans un taxi, Eric vient derrière moi et me dit ’ tu es bonne, pour une fois le voyage ne nous a pas semblé long, si tu en veux encore, je peux te laisser mon numéro de portable ’. Je me suis engouffrée dans le taxi sans répondre et en serrant les dents pour cacher ma souffrance.
Je rentrais chez moi et fonçais sous la douche, j’avais les lèvres béantes et mon anus était toujours bien dilaté.
Je me suis faite porter malade et j’ai repris mon travail seulement le mardi.
Il y a malheureusement une suite à ce récit, que je raconterais plus tard.