Cétait la rentrée universitaire. Je venais davoir 18 ans et pour la première fois de ma vie, je quittais ma campagne et la ferme de mes parents pour aller à la fac. Javais limpression davoir encore grandi pendant les vacances. On mavait dit que la croissance des femmes pouvait se poursuivre jusquà 24 ans et j’espérais de tout mon coeur que ce soit faux. Je faisais déjà 1m95 pour 110 kg ! Tout au long de ma scolarité, javais toujours fait une tête de plus que les autres élèves de ma classe, et en temps que fille dagriculteur, les travaux physiques mavaient donné une solide carrure. Jétais cependant jolie. Mes quelques kilos en trop me donnaient de belles courbes. Mes longs cheveux bruns et brillants arrivaient au milieux de mon dos. Javais de bonnes joues et des yeux bleus clairs. Mon opulente poitrine se tenait si haute que les hommes de taille moyenne avait pile le nez dedans ! Il métait déjà arrivé que dans une bus bondé, un vieux pervers plonge le nez dedans prétextant une perte d’équilibre. Je crois quil doit encore se souvenir de ma gifle qui elle, lui avait fait perdre léquilibre pour de vrai ! Mes hanches bien dessinées affinaient ma taille pas particulièrement mince. Jétais une sorte d amazone gironde. Je plaisais à certains hommes qui eux ne me plaisaient pas en général. Jétais de toutes façons attirée par les femmes et plutôt par celles qui avaient un physique à lopposé du mien, petite et très mince. Jétais vierge sur tous les plans, mais espérais bien que cette nouvelle vie me donne loccasion de mépanouir.

  Comme dhabitude, tous les regards se tournèrent vers moi quand jentrai pour la première fois dans lamphi, et encore je navais pas mis de décolleté ! Je percevais des murmures à mon passage :Elle est immense !, Tu crois quelle mesure combien ?, Quelle carrure !, Cest une brute ! . Javais appris à faire abstraction de ces réflexions, je les trouvais même normales. Cest là que je vis Julie pour la première fois. Elle était seule sur un banc et ce fut un vrai coup de foudre. Elle était suffisamment petite pour qu assise, ses pieds ne touchent pas le sol. Elle portait une robe dété légère qui dévoilait des jambes minces et fines jusquà mi cuisse. De petites bretelles soulignaient ses épaules délicates. Ses bras étaient minces mais paraissaient toniques. Elle avait des cheveux châtains dont elle avait fait un chignon, dévoilant ainsi un nuque bien dessinée. Sa peau était blanche et semblait si douce ! Sa poitrine menue se passait de soutien gorge et pointait discrètement derrière le frêle tissus de sa robe. Mon coeur se mit à battre comme jamais quand je dûs prendre mon courage à deux mains pour lui demander si je pouvais masseoir à coté delle. Elle me répondit oui en se tournant vers moi et elle moffrit alors la vision du plus beau visage que je navais jamais vu ! Il avait une forme ovale parfaite. Une mèche de cheveux retombait sur son front à la peau lisse. Elle avait quelques taches de rousseurs sur ses pommettes. Son sourire aurait pu faire fondre toutes les glaces du pôle nord. Des lèvres fines et purpurines entouraient une dentition parfaite et éclatante. Par dessus tout, ce furent ses magnifiques yeux de braises qui me firent fondre. Ils étaient si noirs que lon distinguait à peine ses pupilles. Jadorais ça ! Elle me fit tout de suite penser à une poupée de porcelaine, comme celles que ma grand mère avait sur sa cheminée. Elle se poussa un peu pour me faire une place. Jassis avec précautions mes 110kg pour ne pas faire céder le banc qui couina sous mon poids. Elle sadressa à moi en me tendant une main:

Bonjour, je mappelle Julie

Sa voix était comme elle, fine et douce, reflétant une intelligence aiguë. Je lui répondis dune voix tremblante:

Enchantée, je mappelle Sophie

Je saisis sa main minuscule du bout de mes doigts. Tout était si fin chez elle ! Elle semblait avoir été fabriquée dans une bijouterie de luxe. Le prof arriva alors et commença son cours.

  Javais du mal à me concentrer et à contenir mon émotion et mon désir. Je laissais parfois traîner mes yeux sur ses cuisses. Ma grande taille me permettait de voir profondément dans son décolleté et japercevais parfois un de ses fiers et libres tétons. Elle se tenait toujours très droite et jadmirais la ligne parfaite de son dos qui finissait sur une croupe bien cambrée, surmontant de superbes petites fesses que javais envie de croquer.

  Le cours fini, nous nous levâmes pour quitter lamphi. Ma petite julie ne devait pas faire plus d1m60, son visage arrivait à peine au niveau de mes seins. Levant la tête pour me regarder, elle madressa à nouveau un de ses magnifiques sourires et me dit :

Quest ce que tu es grande ma Belle !

Elle venait de mappeler ma Belle…Que devais en déduire ? Je lui plaisais ?

Nous quittâmes lamphi ensemble. Une fois dehors, nous nous rendîmes compte que mon studio était dans la même rue que le sien, juste un peu plus loin. Nous partîmes donc dans la même direction. Cétait une chaude journée de septembre. Le temps tournait à lorage et le tonnerre se faisait déjà entendre au loin. Le vent se levait et venait jouer avec la robe légère de Julie, jusquà dévoiler fugitivement sa culotte en dentelle blanche. Je navais vu de petites fesses aussi bien dessinées. En discutant, jappris que Julie était une passionnée de danse classique, ce qui expliquait la perfection et la finesse de son corps. Je me mis à limaginer vêtue de collants, dune petit jupe transparente et dun juste au corps moulant, faisant des entrechats pour mon plaisir. Les premières gouttes deau me sortirent de ma rêverie. Un déluge sabattit alors sur nous. Julie se colla à moi et je tentai de la protéger en mettant ma main sur son épaule quasi nue. Le contact de sa peau douce et humide me donna des bouffées de désirs. Nous courûmes jusquà son immeuble pour nous réfugier dans le hall. Je vis alors la femme la plus désirable quil mait été donné de voir. Julie était mouillée jusquaux os. Sa robe collait à sa peau et révélait son magnifique petit corps. Ses petits tétons dressés se dessinaient en filigrane sous le tissus, comme la dentelle de sa culotte. Les murs du hall étaient constitués de miroirs qui saturaient mes yeux à 360 degrées de la vision idyllique de ma petite princesse qui tremblotait. Jétais trempée moi aussi. Ma robe mouillée moulait mon énorme poitrine dans une gangue semi transparente. Mes énormes tétons dressés par le désir étaient prêts à percer le tissus. Javais si chaud que des volutes de vapeur montaient de ma peau humide. Cétait la première fois que je nous voyais ensemble dans un miroir. Julie paraissait si petite et si fragile à coté de moi ! Mes cuisses étaient plus grosses que tout son corps. Julie fixait ma poitrine en souriant légèrement et sadressa à moi dune voix qui révélait un certain émoi dexcitation:

Tu as des seins superbes ! Quel volume ! Quelle tenue ! Ils ont lair si fermes !

A ces mots, mon corps de géante se mit à bouillir et il sen fallut de peu que ma grande carcasse ne s’effondre démotion

Montons dans mon appart, jai trop froid ici

Nous nous dirigeâmes vers le minuscule ascenseur. Mes larges épaules y tenaient à peine. Julie se faufila dans le peu de place qui restait. Son visage était coincé entre la paroi et mes seins. A chacune de mes inspirations, ma lourde poitrine frôlait la peau douce de ses joues. Baissant la tête, je regardai son jolie petit minois coincé au fond de la vallée que formaient mes deux énormes mamelles humides. Elle était si belle

    Arrivé au troisième étage, nous entrâmes dans son appartement. Il était lumineux et assez vaste. Autant dans sa manière de parler que de se tenir, on sentait que Julie venait dune famille aisée. Son parfum troublant y flottait. La décoration était épurée mais relevait toute la classe de son occupante. Lorage se déchaînait à lextérieur.

Dès la porte fermée, ma petite puce quitta ses chaussures gorgées deau. Ses petits pieds de poupée étaient soignés et ses ongles vernis. Sans lombre dun complexe, elle retira sa robe dun mouvement souple mais rendu lent par ladhérence de sa peau humide: Elle se baissa légèrement, saisit le bas de sa robe et la remonta en se dandinant gracieusement. Je vis dabord le haut de ses cuisses fuselées par des années de danse. Ses muscles fins roulaient sous sa peau d’albâtre. Elle dévoila ensuite son pubis masqué par la culotte puis ses hanches finement dessinées. Ce fut le tour de sa taille de guêpe. Ses muscles abdominaux se dessinaient parfois au cours de ses efforts pour sextirper de sa robe collante. Elle était si mince. Elle navait pas une once graisse. Ma respiration saccéléra quand les deux petits joyaux de sa poitrine apparurent. Ses seins étaient menus mais se dressaient fièrement. Elle jeta alors sa robe au sol. Plaquant la paume de ses mains contre sa taille, elle les descendit, caressant ses hanches jusquà ce quelles disparaissent sous sa culotte quelle fit descendre à ses pieds. Son sexe était totalement épilé. Elle rayonnait de grâce et de sensualité ! Ce magnifique petit corps nétait constitué que de finesse et de délicatesse. On aurait pu la croire sculptée par un artiste de génie qui voulait réaliser la femme parfaite. Croisant légèrement ses jambes et entourant sa poitrine de ses mains, elle me dit dun air coquin :

Quest ce que tu attends ma belle amazone, enlève ta robe aussi, et va chercher une serviette à la salle de bain pour nous sécher

  Elle venait de mappeler ma belle amazone ! Plus rien nétait équivoque dans son attitude. Son désir pour moi était flagrant, aussi bien dans ses paroles que dans ses gestes. Mon coeur semballa à nouveau. Mon visage devait cependant refléter une certaine inquiétude car Julie se sentit obligée de me rassurer. Elle sapprocha dune démarche féline et se colla à moi.

Ne tinquiète pas ma belle, je ne veux que ton plaisir. Jai vu tout de suite que tu me désirais. Dans lamphi, tes regards sur ma croupe et dans mon décolleté nont fait que confirmer cette perception. Il se trouve que tu mas plus tout de suite aussi. Ton immense stature, tes courbes voluptueuses, ta poitrine si opulente, tes mains si larges, tu as tout ce que jai toujours désiré chez une femme. Tu nas peut être pas beaucoup dexpérience et je vais tapprendre.

Elle saisit le bas de ma robe et commença à la remonter suffisamment pour dévoiler ma grosse culotte en coton. Lorsquelle fut à bout de bras, je saisis la robe et la retirai totalement. Je me retrouvai en sous-vêtement face à mon bijou. Elle passa dans mon dos et dégrafa mon soutien gorge qui tomba au sol, éjecté par la pression de mes seins libérés de leur prison. Elle revint devant moi et commença à jouer avec les masses libres. Elle était fascinée par ma poitrine. Ses petites mains caressaient, soulevaient et tâtaient mes seins. Je frémissais de plaisir. Se mettant sur la pointe des pieds, elle engloutit mon téton quelle se mit à titiller de sa langue. Mon corps vibrait sous ses caresses. Ma main vint machinalement derrière sa tête pour la presser doucement contre ma lourde mamelle. Une odeur douce et épicée montait de ses cheveux mouillés. J’aimais le contact de sa peau douce sur mon mamelon. Elle agrippa ma grosse culotte quelle baissa jusquà mes genoux pour la faire tomber à mes pieds. Sa taille si mince frottait alors contre la toison brune de mon pubis. Je sentais mon excitation augmenter et mon sexe devenir humide. Julie passa une main entre mes cuisses et cessant de jouer avec mes seins, elle leva la tête pour me regarder avec son air coquin.

Je vois que tu es bien excitée ma grande, mais il va vraiment falloir me sécher car jai vraiment très froid

Je me dirigeai alors vers la salle de bain où je pris une serviette. Ma perle mattendait en grelottant dans le salon. Je posai la serviette sur ses épaules et commençai à la frotter doucement. Jen profitai pour admirer ses fesses rondes comme des pommes. Julie ferma les yeux et se laissa aller. Elle aimait sentir son petit corps ballotté dans mes grandes mains. Je tentai de contrôler ma force au mieux mais elle était si légère que son corps se balançait au gré de mes envies. Même à travers la serviette, je sentais sa silhouette mince et ferme. Mes deux mains étaient suffisamment larges pour entourer sa taille de guêpe. Je pris un plaisir particulier à essuyer sa poitrine qui frémit sous mes doigts. Je maccroupis pour essuyer le bas de son corps, en commençant pas sa croupe et ses divines petites fesses qui tenaient dans mes paumes. Je finis par ses jambes fuselées et ses petits petons. Je pris une autre serviette pour sécher ses cheveux fins et délicats. Elle avait détaché son chignon et ils tombaient délicatement sur ses épaules. Elle ouvrit les yeux en souriant et se tourna vers moi. Elle ne grelottait plus.

Merci ma Belle, à moi de te sécher

Elle saisit la serviette à peine humide et commença à essuyer mon corps de géante. je sentais ses petites mains parcourir ma peau. Elle frotta dabord ma taille, mes larges fesses puis mes jambes. Julie fut surprise:

Mais tu es super musclée ! Je ne mattendais pas à ce que tu sois aussi ferme ! Tu dois être super forte ? Jaime ça ma grande

Elle se focalisa alors sur mon pubis quelle frotta avec délectation. Des ondes de plaisir se propageaient depuis sa main.

Jaime ta toison. Elle est si douce

Elle se pencha légèrement et commença à lécher ma fente. Mon corps vibrait et des gouttes de cyprine commençaient à ruisseler entre mes cuisses. Elle se concentra ensuite sur mes seins quelles essuya fermement. Elle me dit alors:

Je suis trop petite pour essuyer tes cheveux, il va falloir que tu me soulèves

  Elle avait levé son genoux droit contre ma cuisse gauche. Lidée davoir son petit corps contre le mien me plut sauvagement. Je me baissai légèrement pour mettre mes mains sous ses adorables petites fesses et je soulevai ma princesse contre mon sein, soutenant tout son poids dans mes paumes. Elle était si légère ! Julie gémit dexcitation en se retrouvant contre moi.

Tu es si forte ! Jadore ça ma belle amazone

Je la tenais contre moi. Mon volumineux sein gauche sétalait contre sa taille fine comme sil voulait l’absorber. Elle avait mis ses jambes de part et dautre de ma cage thoracique, ce qui lobligeait à écarter ses cuisses largement. Je sentais son petit sexe humide contre ma peau. Son visage navais jamais été aussi proche du mien. Je voyais sa peau parfaite et son odeur m’enivrait. Ma main droite vint se placer derrière son dos pour approcher son petit visage du mien. Quand nos bouches furent lune contre lautre, elle ouvrit la sienne et fit pénétrer sa douce langue dans ma bouche. Je lui rendis son baiser langoureusement. Son rouge à lèvre avait un goût sucré. Je sentais son coeur battre contre mon sein que son corps comprimait. Elle approcha sa bouche de mon oreille et me susurra:

Porte moi jusquà la chambre, jai très envie de toi…

Elle enfouit sa tête dans mon cou quelle couvrit de baisers. Je marchai jusquà la chambre avec mon petit paquet de douceur dans les mains. Arrivée jusquau lit, je me penchai pour la poser délicatement sur le dos face à moi. Elle roula sur le coté pour se mettre à genoux et minvita du bout du doigt:

Vient tallonger ma belle, je vais te faire lamour

Jallongeai ma grande carcasse sur le lit de Julie qui vint sinstaller à quatre pattes entre mes jambes. Jécartai mes cuisses en remontant mes genoux pour lui permettre daccéder facilement à ma chatte. Elle me faisait penser à une jeune guerrière qui partait à lassaut dune forteresse de tendresse. Toujours sur ses genoux, elle baissa sa bouche jusquà mon sexe ruisselant dexcitation, moffrant ainsi une vue torride sur sa croupe. Elle se mit à lécher mes lèvres jusquà atteindre mon clitoris. Une vague de plaisir déferla sur mon corps. Je jetai ma tête à larrière cambrant mon dos pour moffrir un peu plus à ma belle amante. Elle ondulait sa taille fine avec souplesse. Les muscles fins de son dos se dessinaient puis disparaissaient à chaque ondulation. Elle savait bien sy prendre et je jouis rapidement, hurlant de plaisir. Julie se remit à genoux pour me regarder prendre mon plaisir et haleter. Elle penchait la tête avec un léger sourire, tenant ses cheveux dans ses mains. Elle se jeta alors à plat ventre sur mon torse pour atterrir sur mon énorme poitrine et membrasser fougueusement. Je passai ma main dans son dos pour toucher et palper ses magnifique petites fesses. Elle était allongée sur moi, battant des jambes dexcitation. Je serrai mon petit bijou dont tout le corps était allongé sur le mien, tel un chaton qui ronronnait de plaisir.

A suivre (si cette première partie plaît suffisamment … )

petitskinny at yahoo fr

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