La petite séance photo venait de se terminer. Sylvie était fière d’elle et commençait à etre bien excitée. Une fois l’effervescence retombée, nous nous posons tous les cinq sur les transats pour profiter du soleil. Moussa et Fredo, à ma plus grande déception ont décidé de rester à poil pour comme ils ont dit éviter les traces de maillot, mais je sais au fond de moi que cest pour une toute autre raison.

Le soleil tape fort et au bout d’un moment je remarque que ma femme est en train d’attraper des coups de soleil, je lui dit :

— "Chérie, tu devrais mettre un peu de crème solaire tu es en train de rougir à vue d’il"

— "Oui je sens que ça tape fort, tu peux m’en passer sur le dos stp ?"

Je commence alors à lui badigeonner la nuque puis le dos, arrivé au niveau du haut de son bikini je détache habilement le noeud et prend garde à ne rien dévoiler de l’anatomie de ma femme.

Moussa me regarde faire, vu l’état de sa queue, je pense qu’il est en train d’avoir des mauvaise pensées. Je lui jette un regard noir, je ne suis pas rassuré, je sais de quoi il est capable, ça me fait peur. 

Et effectivement mes craintes sont vérifiées car il s’approche de nous et me dit d’un ton autoritaire :

— "c’est quoi se badigeonnage, ta femme mériterait plutôt un bon massage, pousse toi et laisse moi faire"

Alliant le geste à la parole, il me pousse violemment et prend place. J’ai envie de lui rentrer dedans de l’en empêcher, mais j’en suis incapable, je suis comme tétanisé. Et voila que Moussa commence à masser langoureusement la nuque puis le haut du dos. Sylvie a l’air d’apprécier ce traitement car elle pousse des petits gémissements de plaisir. J’assiste comme Fredo et Cédric médusé à cette scène. Mais il ne s’arrête pas là, il arrache carrément le haut du maillot et le jette le plus loin possible. Ses mains arrivent  sur le bord des seins de ma femme, puis au niveau de l’élastique de la culotte.

Je sens le pire arriver j’essaie de m’interposer et supplie Moussa d’arrêter tout de suite mais c’est cette fois ci c’est Sylvie qui me remet en place :

— "c’est bon Alberto, il ne fait rien de mal pour le moment, laisse moi profiter de mon massage."

Moussa prend cette phrase comme un encouragement et descend d’un coup sec la culotte qui se retrouve rapidement à quelques mètres de là à côté du soutien-gorge. Il attrape Sylvie et la place sur le dos. La voila totalement nue allongée face à nous. Exposant toute son anatomie, ses deux jolies seins ainsi que sa belle chatte épilée de près. La bite de Moussa n’a pas tardé à prendre des dimensions impressionnantes, celle de Fredo qui est lui aussi à poil est dans le même état tandis que Cédric commence à avoir une belle bosse sous son maillot.

Et moi tétanisé je n’ose rien faire, rien dire, quelle honte. Je sais qu’il va finir par démonter ma femme devant moi et mes potes : quelle humiliation.

Le massage continue donc côté pile, Moussa s’attarde sur les seins, tout son corps est passé en revue lorsqu’il s’attaque à sa chatte. Habilement, il caresse langoureusement le minou de Sylvie. Cette dernière se cambre, son plaisir commence à monter, elle gigote de plus en plus. Moussa accélère le mouvement ma femme est au bord de l’orgasme, il le sent et s’arrête brusquement.

Sylvie gémit :

"Vas y Moussa ! oh continue ! C’est trop bon"

Je sens que dans pas longtemps il va lui fourrer sa queue entre les jambes … mais non … il se contente de la regarder avec un sourire.

Sylvie n’arrive pas à s’en remettre, elle est au bord de l’orgasme, elle porte sa main sur sa chatte et commence carrément à se masturber frénétiquement.

Elle hurle :

— "Vas-y Moussa prends moi, ta bite me manque trop ! Viens !!!!"

Mais cet enfoiré ne bronche pas, il se retourne vers Fredo et Cédric et lance amusé : 

— "Allez les gars, elle est à point, faites vous plaisir, c’est mon anniversaire mais c’est moi qui vous fait le cadeau !" 

Ça en est trop pour moi, je m’approche de ma femme pour stopper cette mascarade et rentrer chez nous quand Moussa m’attrape violemment, me fait une clé de bras et m’immobilise au sol.

Non, ils ne vont pas oser ! Ma femme ne va pas se laisser baiser pas mes deux potes sous mes yeux. Et eux, ils ne vont pas faire cela à la femme de leur pote.

Je me débat mais rien n’y fait Moussa est trop fort. Cédric tombe lui aussi son short et s’approche avec Fredo de ma femme. Elle n’hésite pas une seconde et alterne une pipe magistrale sur les deux queues.

Mes deux sois disant potes sont heureux et lancent des "mais quelle salope !" "Qu’est ce qu’elle suce bien ta femme !" En se tapant la main.

Après quelques minutes de ce délicat traitement, Sylvie se positionne à quatre pattes. De là commence un pilonnage violent des deux compères qui alternent croupe et bouche, Sylvie est prise comme une chienne. Elle n’en peut plus le plaisir est à son comble et elle explose d’un orgasme violent. 

Moussa me maintient toujours fermement et explosé de rire, il me dit :

— "Mais alors qu’elle salope ta femme !"

 Cédric n’en peut plus, il est le premier à lâcher et explose, il éjacule une bonne dose au sol. Fredo lui est encore vivace, il s’allonge par terre la bite dressée vers le ciel. Ma femme ne perd pas une seconde et vient le chevaucher nous exposant sa croupe.

Cest alors que Moussa me relâche et se rue sur le couple. Il demande à Fredo de continuer, écarte les fesses de Sylvie et vient placer son baobab à l’entrée de la pastille de Sylvie. Il pousse d’un coup sec et pénètre dans son anus non sans mal vu la taille de son mandrin.

Voila donc ma femme prise comme une chienne. Elle hurle : une combinaison de plaisir et de douleur. Ce pilonnage continue quand Fredo se met à changer de visage et dit en haletant :

— "Laisser moi je vais venir !"

N’étant pas protéger, il voulait sortir pour éviter de souiller ma femme mais Moussa n’est pas d’accord il la maintient sur la queue et redouble d’effort ce qui fait hurler Sylvie qui explose d’un puissant orgasme. Fredo n’en peut plus et dans un râle de plaisir décharge toute sa semence à l’intérieur de ma femme. Cette action fait rire Moussa aux éclats, les deux compères se retirent et laisse Sylvie allongée au sol la chatte dégoulinante de semence.

Je n’en crois pas mes yeux, je me dis que toute cette scène est un cauchemar, je vais bientôt me réveiller. Cédric et Fredo me remercie tous deux et restent debout profitant du spectacle. Moussa est encore plein de vigueur la bite à la verticale, le sourire aux lèvres…

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