— Elle va choisir les photos qui lui paraissent les plus sensuelles, faire les recadrages, les zooms, les retouches. Cela va prendre une petite demi-heure. Continuons de déjeuner en attendant.

Le plat principal nous est servi.

— Wilma, à quelle occasion avez-vous connu votre premier chien ? Questionne Sabrina.

— Je ne dirais pas que c’est dans les gènes, mais presque ;

— Comment cela ?

— Ma mère était également zoophile et cette passion vient en fait de très loin. Elle m’avait expliqué que de mère en fille cette pratique faisait l’objet d’une initiation au moment de la puberté : une sorte d’éducation sexuelle en quelque sorte. Nous avons même un grimoire qui relate les expériences des différentes générations en ce domaine.

— Vous pourrez nous le montrer ? je serais curieuse de le voir.

— Si vous êtes sages.

— Et votre père était au courant des pratiques de votre mère ?

— Plus ou moins. Il savait que les pulsions sexuelles de ma mère étaient insatiables. Il redoutait de lui faire l’amour car elle n’était jamais satisfaite malgré les orgasmes successifs qu’elle pouvait connaître. Il en sortait épuisé, ajoute Wilma en riant. Mais j’aimais bien papa.

— Vos parents sont morts ?

— Oui, ils se sont tués dans un accident de voiture ; j’avais vingt-cinq ans à l’époque et j’étais déjà connue dans l’industrie de la zoo-pornographie. C’est à ce moment que j’ai du arrêter de cette activité pour reprendre les affaires.

— Comment c’est passé votre initiation ?

Sur l’écran apparaissent les premières photos de mon expérience avec Éros. Du coup, ma question reste en suspens et nous portons notre attention sur les clichés pris par Wilma.

Ma vulve commence à s’humidifier devant le spectacle. Je revis le bonheur connu avec ce molosse. Je regarde Sabrina qui ostensiblement se caresse devant l’érotisme bestial des photos prises de mon accouplement canin.

Wilma se caresse également puis se lève pour ouvrir une armoire et en sortir un vibrateur.

— Vous en voulez un ?

Sabrina et moi acquiesçons.

Nous sommes maintenant toutes trois à faire vibrer nos chairs intimes devant les images de mon corps couvert par le chien. Nous voyons ma vulve dégoulinante lorsqu’Éros quitte la douceur de mon vagin, le visage de Sabrina couvert de sperme et de cyprine, le chien qui m’urine dessus…

À quelques secondes près, nous connaissons chacune un orgasme ravageur.

Après quelques minutes, Wilma se redresse.

— Pas mal du tout ! Dit-elle, cela promet pour cette après-midi. Mais finissons notre repas.

Les desserts et le café nous sont servis. Je reprends alors ma question.

— Votre mère vous a donc initiée, comment a-t-elle fait ?

— La première étape consistait à me faire prendre conscience de mon corps. Un matin, elle m’a demandé de me déshabiller puis m’a expliquer les ressources sensuelles que je pouvais tirer des différentes zones de mon corps. Ce matin là, elle a déclenché mes premiers orgasmes et m’a incité à rechercher en permanence le plaisir, sous toutes ses formes.

— La deuxième étape ? demande Sabrina.

— Elle a eu lieu un mois plus tard. Entre-temps, j’avais exploré l’ensemble des plaisirs solitaires avec mes mains ou avec les objets sexuels que ma mère m’avait offerts. Ce jour là, elle s’est déshabillée devant moi et j’ai du tenter de la satisfaire.

— Avec succès ?

— Non, je lui ai procuré beaucoup de plaisir et quelques orgasmes mais lorsqu’elle m’a laissée seule dans ma chambre, elle est partie sans se rhabiller. J’ai bien compris qu’elle allait vers d’autres sources de plaisir.

— Ensuite ?

— Un mois après, elle m’a emmenée au chenil. Le gardien du chenil était togolais, nous avons encore quelques intérêts dans ce pays. Elle lui a demandé de se déshabiller afin que je puisse voir pour la première fois un sexe mâle. Je dois dire que j’ai été fascinée par l’objet qui était d’une taille imposante. Elle s’est elle-même déshabillée et m’a demandé de faire de même.

— J’attends la suite avec impatience, s’exclame Sabrina.

— Elle a porté sa main entre mes cuisses afin de récolter ma cyprine, puis elle a porté sa main devant le nez du gardien dont le sexe s’est érigé de façon magistrale.

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