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L'ordre du chaos – Chapitre 4




Chapitre 4 : Conquêtes

Les semaines défilent et les choses se passent bien, trop bien même. Les casernes se remplissent, notre nouvelle forge s’assure que nos soldats ont l’équipement dont ils ont besoin, et nos contrats commerciaux nous permettent d’obtenir tout ce que nous ne pouvons produire nous-mêmes. Dans un tel contexte, c’était prévisible que Jezabel intensifie ses pillages. Nos coffres se remplissent d’or de même que nos geôles d’esclaves.

Le royaume d’Orandia ne peut plus nous ignorer maintenant, et je crains qu’ils ne tardent pas à décider de s’occuper de nous d’une manière ou d’une autre. Je ne sais pas ce que ma maîtresse a prévu pour empêcher une armée de venir nous éradiquer, mais je préfère ne pas trop en savoir. Pour le moment, nos victimes doivent sans doute penser que nous ne sommes qu’une bande de brigands particulièrement actifs, mais cela ne va pas durer. Ils vont bien finir par réaliser que le vieux château en ruines est de nouveau occupé, et que c’est une démone préparant une invasion qui est à sa tête.

Cette nouvelle situation me met encore plus de pression sur les épaules. Le domaine n’est pas prêt à subir un siège. Il est devenu impératif que je restaure les défenses au plus vite. Des murs sont à réparer, des tourelles à reconstruire, et je dois coopérer avec des experts militaires pour décider au mieux de comment nous organiser en cas d’attaque. Je suis surpris que les généraux orcs accordent de l’importance à mes conseils. Je crois que je commence à comprendre pourquoi ma maîtresse m’a choisi pour la servir. Mon histoire n’a jamais connu une grande notoriété auprès des miens, mais eux sont manifestement au courant, et ils ont confiance en mon expérience. Je trouve ça à la fois flatteur et triste que la seule reconnaissance que j’ai soit celle d’une race barbare.

Nous discutons des points forts et des points faibles de la forteresse, et nous cherchons des solutions pour contrer différents scénarios. Nos conclusions ne sont guère optimistes pour le moment. J’espère que nous avons encore du temps afin de nous préparer.

Jezabel me fait demander très tôt un matin. Je suis encore dans mon lit lorsque son serviteur vient me réveiller. Ce n’est pas dans la salle du trône que je dois la retrouver pour une fois, mais dans la cour du château. Elle et une escorte sont prêtes à partir, et elle m’ordonne de venir avec eux. Je proteste en lui disant que j’ai beaucoup trop de travail pour me lancer dans une expédition grotesque, et qu’en plus, je ne me suis même pas préparé. Elle ignore mes complaintes et m’oblige à l’accompagner.

Notre voyage dure plusieurs jours. Je peste intérieurement devant l’absurdité de ma situation. Qu’est-ce que je fais-là ? À quoi tout cela rime ? Pourquoi partir si loin ? L’environnement commence par me paraître familier. Je connais ces bois, ces plaines. Où suis-je ? Je finis par comprendre une fois arrivé devant les portes de Monalite : elle m’a ramené chez moi ! Pour quoi faire ? L’armée d’orcs et le bruit des combats m’indiquent que ce n’est sûrement pas pour me libérer de son service.

Qu’est-ce que vous faites ? Que se passe-t-il ici ? m’insurgé-je.

Cela ne se voit pas ? me répond gaiement Jezabel. Nous assiégeons la ville.

Pourquoi ?!

Comment ça « pourquoi » ? Parce que c’est la guerre, mon familier. Que n’as-tu pas compris dans « je vais conquérir Orandia » ?

Mais pourquoi m’avoir amené ici ?!

Oh ! Ça ? Je tenais à ce que tu sois personnellement témoin de la chute de cette ville, voilà tout. Pourquoi ? Cela te pose un problème ?

Je la hais. Elle SAIT ce que cet endroit représente pour moi, ce que j’y ai vécu. Elle fait ça pour me narguer, me torturer, et ça marche. Certes, si ses plans devaient fonctionner, cela devait arriver un jour, mais elle n’était pas obligée de me faire assister à ça. Je l’ai bien servie, j’ai toujours été loyal, pourtant, cela ne l’empêche pas de me faire du mal juste parce que ça l’amuse. Monstre !

Les combats font rage, les portes de la ville ont cédé. On entend les cris des civils et des défenseurs se faisant massacrer. La victoire de Jezabel est imminente. Cela suscite en moi une question dont il me faut absolument une réponse :

Comment ? Comment avez-vous réussi là où tant d’autres ont échoué ?!

Par la ruse, bien sûr. J’avais des espions et des traitres placés aux bons endroits depuis longtemps. Cela n’a du coup pas été très compliqué.

Je comprends mieux à présent. C’est comme ça qu’elle a su me trouver et m’enlever. Monalite est une des grandes villes les plus proches du domaine, c’est une raison de plus pour avoir choisi quelqu’un de là-bas.

Viens, mon familier. Et si nous allions à la rencontre du maître de ces terres, hmm ?

Elle traverse les décombres de la ville en souriant nonchalamment. C’est irritant. Des gens se battent et meurent tout autour d’elle, mais elle se balade comme une princesse se rendant au marché en toute innocence.

Elle nous conduit au château du comte. Les dernières défenses sont en train de tomber. Elle pénètre dans la cour comme si elle était maîtresse des lieux depuis toujours. Un officier orc vient se présenter devant elle pour faire son rapport :

La cité est à nous maîtresse, nous nous débarrassons des derrières poches de résistances.

Parfait, parfait. Qu’en est-il du seigneur local et de sa famille ?

Le comte Dulac s’est barricadé avec les autres nobles dans sa salle du conseil, mais nous avons capturé sa fille.

Mon cur fait un bon dans ma poitrine. Helena ?

Parfait, amenez-là moi, exige Jezabel.

Helena… Depuis combien d’années ne l’ai-je pas vue ? Qu’est-ce qu’elle vient faire dans cette galère ?

Deux guerriers font leur apparition, accompagnés d’une jeune fille enchaînée aux longs cheveux blonds tressés. Elle a bien changé, mais c’est bien elle, il n’y a aucun doute. Je comprends beaucoup de choses en remarquant qu’elle est vêtue d’une armure. Elle a toujours eu un caractère de garçon manqué. Je l’imagine bien être la première à aller se battre sur la ligne de front malgré les interdictions de son père. L’idiote, si elle n’était pas aussi orgueilleuse, elle serait en sécurité à l’heure qu’il est.

À genoux, lui ordonne ma maîtresse une fois amenée en face d’elle.

Helena n’obéissant pas, un orc la frappe à la jambe pour la forcer à s’écrouler :

Aie !

La démone toute vêtue de rouge lui lance un sourire hautain. Ses allures de reine font contraste avec le paysage chaotique tout autour d’elle. Elle est grande, elle est belle, et surtout, elle a le pouvoir de vie et de mort sur quiconque présent ici. Pas à cause d’un statut, d’un rang, ou d’un titre, mais parce que c’est une sorcière qui sait se défendre. Je prie qu’Helena ne l’apprenne pas à ses dépens.

Jezabel l’attrapa par le menton, lui tournant le visage de gauche à droite comme on jauge un animal avant de l’envoyer à l’abattoir :

Qu’elle est mignonne ! Elle sera une distraction parfaite pour nos soldats, commente-t-elle.

Sa captive lui cracha dessus en guise de réponse. Ma maîtresse la gifla pour lui rappeler sa place :

Ne soit pas insolente ! N’oublie pas que je suis ta reine désormais !

Je ne me soumettrais jamais !

Ça, nous verrons plus tard. Pour le moment, j’ai besoin de toi pour convaincre ton père de se rendre.

Jamais je ne vous aiderais !

Oh, mais tu n’as pas besoin de faire quoi que ce soit, ne t’en fais pas.

Manaël ? s’exclame soudainement Helena.

Merde. Jusque-là, je me tenais discrètement dans un coin en espérant qu’elle ne me remarque pas. J’étais naïf de croire qu’au pire, elle ne me reconnaîtrait pas.

Tiens, vous vous connaissez ? s’étonne Jezabel avec beaucoup d’amusement dans la voix.

Nous… nous nous sommes croisés, enfants, lorsque je vivais ici, lui dis-je.

Oh, c’est vrai. J’oubliais, ton père et ta mère étaient des serviteurs du château, n’est-ce pas ? Mais ne me prends pas pour une idiote. Je doute fortement qu’une noble se souviendrait du nom d’un fils de personne si vous vous étiez seulement « croisés » de temps en temps.

J’avais essayé de la protéger, mais je ne peux décidément rien lui cacher. Je fulmine d’être aussi impuissant :

Nous… nous avons été proches à l’époque, admis-je alors.

Manaël, répète Helena. Qu’est-ce que tu fais ici avec elle ? Qu’est-ce qu’il se passe ?

Votre ami est devenu mon familier, répond ma maîtresse. C’est mon jouet et je m’amuse beaucoup avec lui. Vous en deviendrez un aussi très bientôt.

Manaël, fait-elle les larmes aux yeux, dis-moi que ce n’est pas vrai… Après tout ce que tu as fait pour Monalite…

Je suis désolé, Helena. Je suis désolé.

J’étais sincère. Helena et moi sommes devenus amis quand nous étions gamins, et ce malgré notre différence de rang. Elle était parmi les seuls à ne pas avoir peur de mes dons en magie. Dans le meilleur des cas, on me voyait comme un outil, une chose, mais elle, elle me voyait comme une personne. Elle a toujours été quelqu’un de très ouvert, rebelle ; cela me déchire le cur de la voir dans cette situation. J’ai honte d’avoir contribué à ça. C’est en partie par ma faute ce qui lui arrive. Si j’avais pu être là, de l’autre côté de la barrière, les choses auraient pu se passer différemment.

J’ai horreur des nobles, déclare Jezabel. Si… coincés, si… portés sur la bienséance. Cela doit être tellement fatigant de toujours essayer de sauver les apparences. De faire attention à ce que l’on dit, à ce que l’ont fait. De ne pas pouvoir faire ce que l’on a envie. N’es-tu pas épuisée, ma fille ? N’as-tu pas envie de te débarrasser de ce fardeau ?

Allez au diable !

C’est vilain de parler ainsi à quelqu’un qui ne veut que ton bien. Laisse-moi t’aider. Je vais te libérer de tes contraintes, te permettre d’être vraiment toi.

De l’énergie magique jaillit des mains de ma maîtresse, elle s’apprête à lancer un sort :

Je vais te faire un don, le don de pouvoir laisser libre cours à toutes tes envies, tous tes désirs, sans avoir peur du jugement. Montre-moi, montre-moi ce que tu veux vraiment, ce qui ronge ton âme. Sois libre, Helena !

L’énergie la frappe de plein fouet. Elle en est étourdie pendant plusieurs secondes. Tout le monde la regarde, se demandant de quel sortilège a-t-elle été victime et quels sont les effets qu’il va avoir sur elle. Au début, il ne se passe rien, quand tout à coup, elle est prise par le besoin irrépressible d’enlever son armure. Là, sans se soucier d’où elle est, ni de qui elle est entourée, elle se met entièrement nue et commence à se masturber. Les orcs se moquent d’elle, tandis que les prisonniers humains ont honte de leur chef.

Aaah ! geint-elle.

Et bien et bien, fait Jezabel. Voilà qui est une surprise.

Helena… la pure, la noble… tombée en telle disgrâce, je ne peux pas rester là sans rien faire :

Que lui avez-vous fait ?! Arrêtez ça tout de suite !

Ce n’est pas moi qui la force à se caresser. Je l’ai simplement soulagée de toute inhibition. Il faut croire que cela devait la démanger, la pauvre petite chose.

Mettez-y fin tout de suite !

Pourquoi cela ? Tu voudrais lui faire renoncer à son plaisir ? Regarde-la comme elle est heureuse. Elle l’est peut-être enfin pour la première fois de sa vie. Tu ne penses pas que ce serait cruel de l’obliger à s’arrêter ? Dis-moi, petite chose, fait-elle en s’adressant à Helena, que veux-tu maintenant ? Que veux-tu par-dessus tout ?

Elle semble lutter intérieurement l’espace d’une seconde, avant de crier à voix haute :

De la bite ! Je veux… être baisée !

Voilà qui tombe bien. Je pense qu’il y a beaucoup d’hommes ici présents qui seraient ravis de te donner ce que tu recherches. Alors les garçons, vous êtes partant ?

Les orcs répondent par la positive avec enthousiasme. Certains ont déjà commencé à enlever leur pantalon. Cela fait un bail que certains n’ont pas vu de femmes, ils ne peuvent pas refuser une telle invitation.

Ah ! Oui ! Pitié ! Il me faut de la queue ! Baisez-moi ! supplie Helena en se doigtant par terre comme une folle, les jambes écartées.

Non ! Non ! Attendez ! fais-je pour m’interposer. Vous ne pouvez pas faire ça !

Et pourquoi pas ? répond Jezabel. C’est elle qui le demande, c’est elle qui en a envie. Si elle veut se faire baiser, qui es-tu pour le lui refuser ?!

Je… pas comme ça ! Pas par des soldats en manque !

Par qui alors ? Par toi ? Oh ! Mais c’est une excellente idée ! Dans ce cas, vas-y ! Elle est à toi.

Aah ! Oui ! Manaëëëëël ! Prends-moiiiii !

Regarde, en plus, elle ne demande que ça !

Je… non ! Je ne peux pas faire ça !

Ecoute, mon familier. Le choix est simple. Cette femme a besoin d’un homme pour la satisfaire. Ou c’est toi qui t’en occupes, ou c’est toute mon armée qui va lui passer dessus.

J’ai le dos au mur, ce n’est pas comme si j’avais le choix. Déjà qu’elle a perdu toute dignité, je refuse qu’Helena finisse comme sac à foutre pour les orcs. Je hoche la tête en débouclant ma ceinture. Ma maîtresse me sourit de façon vicieuse en me voyant céder :

Ma chérie, regarde, il va te prendre. Mets-toi à quatre pattes pour mieux l’accueillir.

Aaah ! Oui ! Me prendre ! Me prendre !

Elle se met en position, tournant son cul en ma direction. Sa chatte coule littéralement d’impatience. Je ne la reconnais plus. Pourtant, j’ai honte, mais cela me fait bander. En réalité, je lutte contre moi-même depuis le début. Nous nous sommes plus vus depuis notre adolescence, mais avant de nous quitter, j’étais amoureux d’elle. Je n’ai jamais osé lui déclarer mes sentiments, nous n’étions pas du même monde. Elle était belle, elle avait un corps athlétique sculpté par tous ses entraînements. La voir comme ça, nue, avec ses formes de femmes et sa belle poitrine, cela fait resurgir en moi des pulsions autrefois enfouies. J’ai envie d’elle depuis si longtemps, c’est difficile de ne pas succomber en l’entendant me supplier. Je voudrais qu’elle garde de moi l’image d’un type bien et préserver sa chasteté, sauf que je suis une ordure, et le sort de Jezabel a révélé qu’elle n’a que faire de sa pureté.

Dans de telles conditions, si un homme doit la prendre, je veux que ce soit moi et personne d’autre. Plus que l’indignation, c’est la jalousie qui me faisait parler. Je refuse l’idée qu’un orc la touche. Pas eux, alors que je n’y ai jamais eu droit.

Aaah, Manaël, tu vas me baiser ?

Oui, Helena. Je vais te baiser.

Je suis si heureuse…

Jezabel a raison. Au diable les scrupules et les apparences. Toutes ces inhibitions sont des freins pour atteindre ce que nous voulons réellement. Je peux prétendre faire ça pour elle, pour la « sauver », mais en réalité, je le fais pour moi. Je la veux, elle me veut, le reste importe peu. S’il y a une chose que j’ai apprise depuis que j’ai été enlevé, c’est qu’il ne faut pas avoir honte de se faire du bien.

Je me place derrière elle, pointe mon engin à son entrée, puis m’enfonce en elle. Je sens une résistance. Je pousse en avant sans comprendre ce que c’est. Je réalise trop tard :

Helena ? Tu es vierge ?!

Plus maintenant, plaisante ma maîtresse qui nous regarde avec beaucoup d’intérêts.

Je viens de lui percer l’hymen. Cela doit lui faire mal, mais elle ne laisse rien transparaitre. J’attends un peu pour étudier sa réaction, je commence ensuite mon va-et-vient lorsque je remarque qu’elle va bien :

Aaah ! Ouiiii ! geint-elle. Enfin ! J’ai une bite dans la chatte ! Oooooh !

Je me fous d’être entouré d’une centaine de spectateurs. Je la saute en la prenant fermement par les hanches. Mon amie d’enfance, la fille trop noble pour moi, mon premier fantasme en train de se réaliser. Je suis égoïstement heureux de prendre sa virginité, de savoir que je suis son premier homme. J’aurais été tellement jaloux qu’un autre ait pu goûter à son vagin avant moi et lui faire découvrir les plaisirs de la luxure. Aussi bizarre que cela paraisse vu les circonstances, je veux lui faire du bien, qu’elle ait une bonne expérience.

Jezabel tourne autour de nous pour nous observer sous tous les angles, manifestement excitée par ce qu’elle voit. Elle s’arrête devant Helena et se baisse à sa hauteur :

Alors, tu es heureuse d’être enfin une véritable femme, ma belle ?

Ouiiiii !

C’est ça que tu voulais ?

Ouiiiii !

Comment c’est de se faire baiser ?

C’est boooooooon !

Raconte-moi, qu’est-ce que tu voudrais qu’il te fasse ?

Qu’il me prenne plus fooooort ! Encoooore !

Tu entends ça Manaël, la dame a parlé. Tu ne voudrais pas la décevoir, n’est-ce pas ?

J’augmente mon rythme, je deviens plus brutal, cela a pour effet de la faire crier davantage. Je sens sa chatte couler. Elle n’a décidément plus rien d’une dame, c’est une salope qui aime la bite. Je suis décidément une ordure, car cela me plaît de la voir comme ça, de la corrompre. Son buste s’écroule sur le sol. La tête tournée sur le côté, je peux voir ses yeux révulser. Elle est en transe. Rien d’autre ne compte pour elle en ce moment que de se faire bourrer. Je l’attrape par une de ses deux longues tresses et la tire par les cheveux. J’ai l’impression qu’elle est ma monture :

Ah ! Ah ! Ah ! Je… je vais… Aaaaah !

Elle jouit ! Son premier orgasme par une bite d’homme. L’expression de son visage trahit le nirvana dans lequel elle nage. Je me retire pour la laisser profiter. Elle tremble, sa chatte déborde d’effluves. Lorsqu’elle se stabilise, elle me regarde et me dit :

Encore… J’en veux encore…

Moi aussi…

Je la retourne sur le dos. Je veux la voir pleinement pendant que je la prends en missionnaire. Je la pénètre de nouveau et la pilonne comme si je ne me m’étais jamais arrêté.

Manaël… Vilain menteur, ronronne ma maîtresse. Tu prétendais faire ça pour l’aider, mais tu y prends un peu trop de plaisir à mon goût. Avoue-moi tout, tu la désirais n’est-ce pas ?

Oui…

Elle te fait envie ?

Oui ! Je la veux !

Elle te plaît ? Tu la trouves belle ?

J’admire son corps en dessous de moi. Elle a toujours été sportive. Elle est à la fois musclée et féminine, avec une poitrine de rêve qui se balance sous mes coups.

Oui ! fais-je.

Dis-moi ce que tu veux d’elle ?

La baiser ! Je veux la baiser !

Alors, montre-nous comment !

Les orcs tout autour de nous font des commentaires salaces. Certains se branlent en nous matant. Helena se fait insulter de salope et de traînée. Je suis trop occupé pour défendre son honneur. Je plonge sur ses seins pour les presser et les embrasser. Elle gémit sous mes attouchements. Je lui mordille les tétons en humant son odeur. Elle enroule ses jambes autour de mon bassin et ses bras autour de mon dos pour me garder près d’elle. Nos regards se croisent, montrant à l’autre tout le plaisir que nous avons de faire ça ensemble. On se moque de nous, mais je m’en fiche. J’ai tellement rêvé de ce moment.

Manaël, défonce-moi…

Je la pistonne le plus profondément que je peux. Je pousse des grognements de mâles en rut. Je suis dans le même état qu’elle, sauf que moi, on n’a pas eu besoin d’user de magie. Je ne résiste plus à l’attrait de ses lèvres. Nos bouches se rejoignent, nos langues s’entremêlent. Je ne pensais pas qu’elle accepterait, mais elle m’accueille avec voracité. Cela me fait bizarre qu’elle ait son premier baiser après sa première pénétration.

Manaël, je vais encore jouir.

Vas-y. Je veux te voir.

Non, je veux que tu jouisses avec moi.

Tu veux dire… en toi ?

Oui…

Tu es sûre ?

Oui, j’en ai toujours eu tellement envie, être remplie de sperme.

Helena…

S’il te plaît…

Oui, je vais jouir avec toi.

En moi…

Je me laisse aller pour la dernière ligne droite. Nous sommes tous les deux si proches de venir. Nos gémissements nous excitent l’un l’autre. Nous synchronisons notre plaisir par le regard. Il monte, il grimpe, puis soudain, il explose. Ensemble, en même temps :

Aaah ! Oui ! Manaël ! Ejacule en moi !

Helenaaaaa !

Je grogne en sentant ma queue décharger une giclée de mon jus :

Aaah ! Je te sens ! Oui ! C’est terrible !

Les orcs s’exclament et commentent ce qu’ils voient tandis que je me vide dans son vagin comme si j’y marquais mon territoire. Nous partageons ce moment avec tout notre public. Même une fois apaisés, nous restons collés l’un à l’autre un moment. Du moins jusqu’à ce que je me rappelle où je suis et ce qui nous a amenés à faire ça. Je me relève et me rhabille tandis qu’Helena reste allongée sur le sol, les jambes écartées, le vagin débordant de sperme.

Tu as été parfait, mon familier, déclare Jezabel. Et toi, Helena. Comment te sens-tu ?

Encore… Encore… geint-elle.

Décidément, la pauvresse. On dirait que tu n’as pas su la satisfaire comme il faut, et maintenant, tu n’es plus en état. Bon, et bien, je vais devoir tout de même demander aux orcs de se joindre à elle finalement. Allez, messieurs, elle est à vous.

Aaaah ! Oui ! De la biiiite ! les encourage Helena.

Non ! m’insurgé-je. Cette femme est sous ma protection ! Le premier qui la touche aura affaire à moi !

Vraiment ? s’exclama Jezabel avec surprise. Tu veux prendre cette femme pour esclave ?

Esclave.

Oui, fais-je.

La démone réfléchit un instant avant de déclarer :

Très bien, elle est à toi, elle vivra dans tes appartements et tu pourras en faire ce que tu voudras. On va dire que c’est ta récompense pour m’avoir bien servie. Elle ne m’est d’aucune utilité de toute façon, c’est son père que je veux. Tu peux l’emmener, je n’ai plus besoin de toi.

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