Chapitre 9
JESSICA AU BORD DE LA PISCINE
Je minstallai confortablement sur le transat deux places à bascule. Le soleil réchauffait ma peau tandis que le vent la caressait sensuellement.
Jappréciais beaucoup Luc ; étant mon parrain, il comptait beaucoup pour moi. Pas autant que mon père, ni de la même façon. Celui-ci était grand, avait les cheveux châtain et les yeux bleus. Toujours souriant, son regard profond transpirait de gentillesse. Jétais surprise quil se rende complice de la relation que jentretenais avec mon père alors que sa femme, Liliane, est la meilleure amie de ma mère. Cest dailleurs grâce à leur amitié à toutes les deux que je nai jamais été coupée de Luc. Grâce à lui, javais pu garder un contact avec mon père à travers des dessins et des lettres. Cette complicité nous avait beaucoup rapprochés pendant toutes ces années. Je lui en étais reconnaissante. Cest avec cette pensée émotive qui me fit monter les larmes aux yeux que je décidai de plonger dans la piscine avant que mon père arrive.
Je finissais ma troisième longueur de nage papillon lorsque je vis ce bel homme, la chemise ouverte sur son corps de rêve, assis sur le bord de la piscine en train de me regarder.
Je croyais que les sirènes étaient une légende, sourit-il.
Je mapprochai de lui en marchant. Leau marrivant à hauteur de la poitrine me forçait à me déhancher pour avancer.
Est-ce que cette belle sirène accepterait de me donner un baiser magique ? demanda-t-il.
Jadmirai les reflets lumineux de la piscine qui jouaient sur sa peau bronzée qui appelait mes caresses et mes baisers. Il tendit sa main caressante pour amener mon visage vers lui. Ses lèvres prirent délicatement possession des miennes. Sa langue les effleura avant de sinsérer entres elles. Son baiser, si doux, devint langoureux. Mes caresses sur son torse se firent passionnées et pressantes. Mon père plongea son bras dans leau. Je sentis sa main agripper mes genoux. Il me souleva de la piscine en souplesse. Je me serrai contre son corps bouillant. Nos bouches toujours liées, il me déposa délicatement sur le transat. Nos mains caressaient lentement le corps de lautre, conquérant un nouveau monde de douceur.
Tu peux enlever ton haut de maillot de bain pour faire bronzer tes seins, murmura mon père.
Oui, mais Tonton
Cela me gênait un peu de dévoiler mon corps à mon parrain.
Ne tinquiète pas : on ne te voit pas très bien de la terrasse.
Il membrassait dans le cou tout en dénouant le nud derrière ma nuque. Ces gestes doux me firent frissonner.
Tu nas pas à avoir honte de tes seins ; ils sont magnifiques, murmura-t-il contre ma peau. Cest un crime de les cacher.
Sa bouche les explorait lentement en les découvrant. Ses mains me cambraient contre lui en défaisant le nud au milieu de mon dos. Les miennes caressaient ses cheveux tandis que jembrassais son front pour lencourager à continuer. Mon parrain pouvait bien nous surprendre ou nous regarder, cela métait complètement égal. Il ny avait plus que mon père qui comptait et la tendresse quil me donnait.
Sa langue traçait des chemins sur mon ventre humide. Ma peau se modelait sous sa caresse, comme un paysage subissant les lois de la nature, et dont il serait le créateur. Ses mains massaient délicatement mes seins nus. Mes petits tétons dressés formaient des sommets pointus sur ces montagnes ainsi érigées.
Mon père se releva pour ôter sa chemise. Jen profitai pour admirer et caresser son torse. Il me sourit et membrassa. Jentendis un clapotement et de leau sécouler. Soudain, un liquide tiède vint se déverser sur mon cou, arrosant mes seins, sécoulant sur mon ventre et entre mes jambes. Surprise, je libérai mes lèvres des siennes. Il avait trempé son vêtement dans la piscine pour marroser avec. Sa langue vint embrasser mes dunes et boire à la cascade quelles provoquaient.
Son bras dans mon dos me serrait contre lui. Je me cambrais en arrière pour savourer ses caresses et en apprécier les sensations. Mes mains caressaient ses cheveux et ses épaules. Il buvait ce fleuve, suivant son lit jusquà sa jetée entre mes jambes. Sa langue vint caresser lexcroissance dure et gonflée de mon bouton, sur le tissu de mon maillot de bain. Il la passa sous la bordure de la culotte. Je pouvais sentir la lave de mon intimité sécouler abondamment sur sa langue douce et chaude. Sa bouche aspira mes lèvres et mon bouton, me faisant crier de plaisir. Mon intimité ainsi emprisonnée était embrassée, léchée, caressée, sucée. Mes gémissements se muaient en cris incontrôlés. Un premier orgasme vint soulever mon corps et le faire trembler de plaisir.
Mon père passa ses bras sur mon ventre pour caresser et masser mes seins. Il gardait mon intimité entre ses lèvres. Sa langue caressante ravageait mon bouton et sinsérait régulièrement et furtivement dans mon volcan en éruption. Il me buvait littéralement. Ainsi maintenue, je subissais les assauts du plaisir que cet homme si précieux me donnait. Mon corps nétait plus que frissons, vibrations et sensations sous ses caresses. Ma bouche ne savait plus que gémir et crier. Mes mains libres battaient lair, cherchant quelque chose pour sagripper afin de me maintenir en relation avec le monde réel. Ma jouissance était si grande quelle nen finissait plus. Mes orgasmes étaient si répétitifs que je ne pouvais les compter. Jappartenais à sa langue. Jentrais dans un monde de sensations dont jignorais lexistence et sur lequel je navais aucun contrôle. Jen pleurais de plaisir et de peur.
Mes mains agrippèrent les bras puissants et rassurants de mon père, faisant de lui mon ancre dans le monde réel. Ainsi rassurée par ce contact, je mautorisai à me libérer pour moffrir totalement à lui. Victime dun plaisir incontrôlable, mes doigts le serraient, le pinçaient, le griffaient, tiraient ses cheveux et caressaient son visage.
Ses lèvres embrassèrent lintérieur de mes cuisses, me libérant de cette explosion de sensations. Mes yeux furent éblouis par le bleu lumineux du ciel lorsque je les ouvris. Javais beaucoup de mal à reprendre mon souffle. Ma gorge trop sèche mempêchait davaler ma salive. Mon père vint sallonger entre mes jambes ; son sexe en érection frotta contre mon entre-jambe, me faisant gémir denvie.
Tu as pleuré remarqua-t-il, surpris.
Cest la première fois que jai autant de plaisir ; ça ma fait peur.
Jai mis ma menace à exécution, sourit-il.
Il membrassa tout en se frottant lentement contre moi. Je caressais intensément sa peau et ses fesses, le pressant contre mon corps. Je voulais quil comprenne que jétais toute à lui et que je le désirais en moi. Ses mouvements de bassin se firent plus intenses et plus précis tandis quil membrassait dans le cou.
Ouvre les yeux, chuchota-t-il.
Mon visage tourné vers la terrasse, je pus voir mon parrain en train de siroter une bière, une cigarette entre les doigts, tandis que son autre main caressait son sexe par-dessus son short. Il me sourit en me faisant un clin dil.
Papa, Tonton nous regarde, murmurai-je en gémissant sous la caresse de sa langue.
Ça a dû lexciter de te voir jouir autant.
Ses mains et sa bouche caressaient et embrassaient savamment mes seins, me faisant frissonner.
Tu veux que je lui dise darrêter ? demanda-t-il.
Non, soupirai-je.
Je ne voulais surtout pas quil cesse ses caresses qui me donnaient tant de plaisir. Mes mains parcouraient son corps et sa peau. Je voulais profiter de chaque instant si précieux à mon cur ; le reste nétait que pacotille. Je passai mes mains si fines dans son jean. Elles entrèrent en contact avec ses fesses douces et bombées que jaffectionnais. Je lentendis soupirer contre mes seins. Je le pressai encore plus contre moi. Son bassin ondulait, frottant son sexe plus intensément contre mon bouton. Le transat à bascule accompagnait nos mouvements, intensifiant mon excitation. Nos bouches seffleuraient, gémissant denvie et de plaisir. Nos peaux étaient brûlantes et en sueur.
Jai envie que tu enlèves ton pantalon.
Il me regarda, hésitant ; puis, sasseyant sur le bord du transat, il me tourna le dos pour lenlever. Je me plaçai derrière lui pour embrasser sa nuque et caresser sa poitrine. Je me pressais contre lui pour frotter mes seins et mes tétons dressés sur sa peau. Je fis descendre ma main sur son boxer de bain afin de caresser son érection. Je le vis regarder mon parrain en soupirant, les yeux mi-clos. Celui-ci avait une main dans son short qui sagitait rapidement sous le vêtement.
Jembrassai mon père dans le cou en passant mes doigts sous son maillot de bain. Il me laissa faire en gémissant et écarta largement les jambes. Mon parrain avait une vue parfaitement dégagée sur ma main qui faisait de longs va-et-vient sur le sexe vigoureux et dressé sous le tissu. Mon père gémissait au creux de mon oreille. Il agrippa soudainement mes doigts, arrêtant leurs caresses.
Doucement, ma belle ; tu vas me faire jouir, soupira-t-il.
Cet aveu me fit mouiller abondamment. Je le trouvais si beau, le visage rougi par le plaisir que je lui donnais. Je lembrassai tendrement. Il posa sa main sur ma joue pour membrasser passionnément. Jenlevai doucement la mienne de son maillot et me dégageai de son dos. Je la posai sur son torse en effectuant une légère pression pour lallonger. Je le chevauchai prudemment, masseyant confortablement sur son sexe. Ses yeux cherchaient les miens, nos bouches toujours liées. Ses mains caressaient mon dos, me pressant contre sa poitrine. Son bassin ondulait contre mon entrejambe. Ses jambes fléchies écartaient considérablement les miennes. Ses va-et-vient frottant intensément sur mon bouton mexcitaient. Ses mains vinrent empoigner mes hanches pour quelles accompagnent ses mouvements. Je pouvais sentir son sexe caresser lentrée de mon vagin. Je gémissais denvie. Je voulais le sentir profondément en moi. Jétais prête à me donner entièrement et sans aucun regret.
Je me relevai en frottant mon intimité toute trempée sur sa verge. Je le vis admirer le mouvement de mes seins qui ballotaient au rythme de nos bassins. Je les pris en coupe dans mes mains et entrepris de les caresser. Je les pressais entre mes doigts en veillant à laisser mes tétons dressés à lair. Je les massai en leur faisant faire des ronds. Mon père, hypnotisé, ne les quittait pas des yeux. Ses va-et-vient étaient plus rapides et plus pressants contre mon intimité. Je sentais son sexe durcir encore sur mon bouton et mon vagin.
Soudain, il me plaqua contre sa poitrine.
Tu mexcites trop dit-il dune voix rauque que je ne lui avais jamais entendue.
Il embrassait passionnément mes lèvres. Son cur cognait si fort contre ma poitrine que jen avais mal. Ses mains descendirent le long de ma colonne vertébrale et empoignèrent mon fessier, me faisant gémir. Il reprit lentement ses va-et-vient. Ses doigts caressèrent lintérieur de mes fesses en les écartant légèrement. Je trouvai cela très excitant. Mon père massa les côtés de mon vagin, puis il en caressa lentrée en faisant de légers va-et-vient qui accompagnaient ses mouvements de bassin. Je le sentis souvrir et un flot de mouille sen échappa. Nous gémîmes de désir. Un doigt sincrusta sous mon maillot de bain.
Oh ! Cest une très grosse envie que tu as là, ma belle, gémit-il en insérant son doigt dans mon intimité.
Un petit cri séchappa de mes lèvres tandis quil faisait de profond va-et-vient en moi.
Dis-moi ce que fait ton parrain.
Je me retournai pour le voir. Il était toujours assis à la même place.
Il a sorti son sexe et se caresse.
Humm, et il est comment ?
Je ne peux pas le voir, il va trop vite.
Son visage était rouge de plaisir. Il me souriait en se léchant les lèvres entrouvertes. Je pouvais facilement limaginer en train de gémir. Luc avait une très belle vue ses mes fesses et mon maillot de bain écarté.
Ça texcite ?
Oh ! Oui gémis-je.
Jai envie de tenlever ton maillot de bain
Sans attendre ma réponse, mon père baissait déjà ma culotte et la fit habilement glisser entre mes jambes grâce à ses pieds.
Oh ! Papa fis-je, surprise de me retrouver si rapidement déculottée.
Avoir les fesses à lair et ainsi exposée aux regards de mon parrain me fit mouiller abondamment. Un long filet de mouille très chaud séchappa de mon vagin et coula sur mes cuisses écartées.
Ouah fit mon père en prenant mon minou dans sa main.
Il inséra de nouveau son doigt dans mon intimité qui laspira entièrement, puis il y fit des va-et-vient rapides et profonds comme jaimais. Son bassin ondulait de façon harmonieuse, sollicitant mon bouton. Il inséra un deuxième doigt. Je sentis mon vagin souvrir plus encore. À ma grande déception, mon père se mit à en caresser seulement lentrée. Mon désir devint plus fort. Mon bassin accompagnait le sien. Je me cambrai plus pour le sentir plus profondément en moi.
Jai peur de te faire mal si jenfonce plus mes doigts, dit-il.
Essaye, gémis-je.
Je les sentis glisser tout seuls et mon vagin sécarter plus encore sur leur passage.
Cest juste, mais ça passe, murmura-t-il.
Oh ! Oui, cest bon gémis-je.
Mon vagin était douloureusement dilaté tant mon désir était important.
Mon père inséra de nouveau ses doigts profondément en moi. Ses va-et-vient étaient longs et rapides. Je me cambrai pour les recevoir entièrement. Ses mouvements de bassin étaient tout aussi intenses. Nous gémissions sans nous quitter des yeux. Je pouvais lire le plaisir et lexcitation dans son regard. Son sexe était encore plus dur et gonflé contre mon bouton.
Il fait quoi, ton parrain ? demanda mon père en soupirant.
Je vous regarde, répondit celui-ci.
Nous nous regardâmes, surpris, puis je me retournai vivement. Luc se tenait nu à deux mètres de nous, le sexe dans la main. Son corps était mince et élancé. Ses muscles fins nétaient toutefois pas aussi bien marqués que ceux de mon père.
Il se caresse, déclarai-je.
Je narrivais pas à quitter son membre des yeux, tant sa taille mimpressionnait. Il était tendu en direction de mes fesses. Je pouvais voir sur le visage de mon parrain que son plaisir était intense et lorgasme très proche.
Jai envie quil jouisse sur mes fesses, déclarai-je.
Mon père lui fit signe de sapprocher ; mon parrain obéit. Nous gémissions de plaisir tous les trois ensemble. Cela mexcitait tellement de voir Luc se masturber en regardant mon intimité avec tant de désir que je jouis sur les doigts de mon père. Celui-ci augmenta lintensité de sa pénétration et la pression de son bassin contre le mien. Je sentis son sexe gonfler encore entre nos ventres tandis que son sperme jaillissait par une ouverture que son gland formait sous la bordure de son boxer. La semence brûlante de mon parrain vint arroser mes fesses et ma raie bien ouverte. Je la sentis couler sur mon anus et mon vagin que mon père doigtait copieusement. Nos cris se mêlaient tandis que lorgasme me faisait vibrer, mon bassin ondulant sur son sexe.
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Chapitre 10
Mon père, mon parrain et moi nous allongeâmes côte à côte sur le transat à bascule. Chacun membrassa tendrement une joue en même temps. Cela me fit sourire : jétais à laise, nue entre leurs corps brûlants et en sueur. Leur peau douce de bébé était une caresse contre la mienne. Je passai mes mains derrière leur cou et embrassai leur front tour à tour.
Ça ta plu ? me demanda mon père en embrassant ma poitrine.
Cétait super, répondis-je en regardant le ciel. Et toi ?
Jétais comblée et encore en extase. Luc sourit ; son souffle frais sur ma peau brûlante caressa mon téton près de lui et mon ventre.
Jai adoré et toi, y a pas besoin de te demander, lança mon père à mon parrain.
Je baissai les yeux sur lui pour voir si sa réplique était un reproche ou une plaisanterie.
Je le vis prendre mon sein près de lui dans sa main, en regardant Luc. Il embrassa ma peau en le palpant, puis lécha mon téton qui se dressa de nouveau sur sa langue. Mon parrain fit de même avec mon autre sein.
Vous voulez me faire lamour tous les deux, ensemble ? demandai-je, surprise.
Pas te faire lamour murmura mon parrain en léchant mon téton.
Juste te faire jouir précisa mon père en embrassant le deuxième.
Encore, soufflèrent-ils sur ma peau qui frissonna.
Encore ? gémis-je.
Me rappelant les orgasmes multiples que mon père mavait donnés précédemment, je me demandais si on pouvait mourir de plaisir. Cétait super excitant de voir leurs beaux visages embrassant ma poitrine. Je les trouvais tous les deux très sexy, mes tétons entre leurs lèvres. Je sentis la main de mon père guider celle de mon parrain vers mon coin de paradis. Il le prit entièrement dans le creux de sa paume. Un doigt glissa entre mes lèvres et se posa sur mon bouton.
Humm Brûlant et trempé comme jaime, commenta-t-il.
Je sentis son érection naître contre ma hanche. Mon parrain entreprit de caresser mon petit bout de chair qui durcissait et gonflait sous son doigt, quil inséra doucement en moi. Je laccueillis en gémissant.
Humm, cest serré, soupira-t-il en regardant mon père.
Juste un doigt ; pas plus ! précisa celui-ci dun ton ferme. Tu as le droit de dire non, tu te souviens ?
Je hochai la tête en soupirant. Les lents va-et-vient que me faisait mon parrain étaient trop agréables pour que je puisse parler.
Je le sentis sourire contre mon sein tandis que jembrassais mon père. Celui-ci fléchit ma jambe contre lui ; passant sa main derrière mon genou, il commença à caresser délicatement mon bouton. Ses lèvres gémirent entre les miennes. Mon parrain imita mon père et écarta ma deuxième jambe. Ainsi ouverte, jétais à la disposition du plaisir quils désiraient me donner. Ce dernier caressait savamment mon bouton en effectuant une pression très agréable. Je sentais quune partie de ses doigts étaient en contact avec celui de mon parrain qui jouait avec lintensité des va-et-vient de sa pénétration en moi.
Mon père me protégeait discrètement sans moffrir totalement. Je pouvais lui faire confiance et me laisser aller au plaisir. Je laissai la première vague de jouissance monter en moi et memporter. Je gémissais et poussais de petits cris contre ses lèvres entrouvertes, en le regardant dans les yeux. Je sentis enfin son érection naître contre mon corps tremblant de plaisir.
Cétait un petit orgasme, ça ! dit-il.
Je sentis leurs doigts intervertir leurs places. Mon père inséra le sien profondément en moi et entreprit une pénétration longue et rapide. Mon parrain caressait mon bouton qui glissait entre ses doigts trempés. Lorgasme vint rapidement et intensément des profondeurs de mon intimité avant de se transmettre à mon petit bout de chair. Je criai en aspirant le doigt de mon père au plus profond de moi. Mon bassin ondulait de lui-même pour le réclamer. Je mouillais abondamment dans leurs mains ; je me sentais couler sur mes fesses et le long de ma raie.
Je préfère ça, sourit mon père en embrassant tendrement mes lèvres.
Il retira complètement son doigt, puis le réinséra accompagné dun autre. En voyant lair surpris de mon parrain, je devinai quils appartenaient à chacun deux. Leurs mains jointes frottaient contre mes lèvres et mes cuisses. Mon vagin souvrait sur le passage de leurs phalanges immobiles en les aspirant plus profondément. Jondulais lentement du bassin pour caresser mon intimité avec. Je la sentis également ne pas se dilater assez lorsque la membrane de mon hymen glissa dessus. Je stoppai net, le souffle coupé. Mon père et moi nous soutînmes du regard. Une grande émotion passait entre nous.
Elle est encore vierge ! sexclama mon parrain, surpris.
Personne nosait bouger.
Oui, souffla mon père.
Ils firent glisser leurs doigts ensemble lentement vers la sortie.
Laisse-moi faire, me dit-il, je ne veux pas que tu te blesses.
Je hochai la tête et mautorisai enfin à respirer.
Mon père faisait faire des va-et-vient soutenus à leurs doigts, tout en les gardant prudemment à lentrée de mon vagin. Leurs bouches embrassaient mes seins, mon cou, mes épaules. Je me laissai aller en leur caressant le dos et en criant de plaisir. Leurs doigts caressèrent cet endroit en moi dont seul mon père connaissait le secret, et ils me firent décoller. Mon corps se cambra, la tête rejetée en arrière. Je me mordais les doigts en gémissant. Mon père et mon parrain passèrent leurs bras dans mon dos pour me maintenir à leur merci. Leurs bouches dévorant mon cou et mes seins décuplaient mon plaisir. Mes mains saisirent leur tête et les pressèrent contre ma peau. Mes doigts agrippés à leurs cheveux, je glissai dans ce monde merveilleux de plaisirs et de sensations fortes.
Tu es super excitante soupira mon parrain dans mon cou.
Cest alors que je maperçus que son sexe nu et en érection se frottait contre ma hanche. Il était doux, très dur et mouillait contre ma peau. Son bassin ondulait, pressant son corps contre le mien.
Mon père me contemplait dun regard tendre et plein damour. Jattirai lentement son visage à moi pour lembrasser. Son baiser était très doux, comme les mouvements de ses hanches contre mon corps. Pourtant, son sexe était dur et gonflé dans son maillot de bain. Je gémis denvie de le sentir nu sur ma peau. Javais envie de pousser mon parrain trop pressant pour que mon père me fasse tendrement lamour.
Luc prit doucement ma main et la posa sur son sexe. Il sen servit pour lenvelopper et commença à se caresser avec. Son membre impressionnant était long et épais. Mon parrain le serrait très fort entre mes doigts si petits quils ne faisaient pas le tour. Ses va-et-vient étaient très intenses, rapides et longs. Son gros gland mouillait abondamment dans ma main, lui permettant de glisser très facilement. Son souffle chaud était rapide et bruyant contre mon sein. On navait pas besoin de le regarder pour comprendre quil prenait beaucoup de plaisir. Son excitation communicative me fit gémir.
Mon père, surpris par les événements, arrêta de membrasser. Il observa mon parrain et suivit du regard le mouvement de nos mains liées sur son sexe. Il me dévisagea. Ne sachant comment réagir devant le manque dexpression de son visage, je baissai les yeux en rougissant. Jétais honteuse, comme une petite fille prise en train de faire une bêtise. Mon parrain, ne voyant pas mon malaise, continuait de se caresser avec ma main.
Fais-la jouir ! ordonna-t-il à mon père. Moi aussi, jaime lentendre crier.
Nous nous regardâmes.
Quelle punition allait-il me donner ? La jouissance ou la fessée ?
Mes yeux rivés aux siens, je ne vis pas son doigt sinsérer profondément en moi. La surprise me fit jouir instantanément.
Oh ! Papa gémis-je.
Les deux hommes, aussi surpris que moi, regardaient mon corps se convulser de plaisir. Ils avaient aussitôt arrêté tout mouvement pour me contempler. Mes gémissements accompagnaient les contractions saccadées de mon vagin sur le doigt de mon père.
Tu lui mets à peine un doigt quelle jouit déjà ! sexclama mon parrain.
Désolée, murmurai-je tandis que mon corps sapaisait.
Ne texcuse pas, ma belle, murmura le premier en membrassant tendrement. Puis il ajouta dun ton brusque à mon parrain : ça va, je ne te dérange pas ?
Désolé, jai super envie. Et cest très excitant de lentendre crier « Papa » quand elle jouit, sexcusa-t-il. Mon plaisir est tout à elle… Il suffirait quelle ordonne pour que jobéisse.
Je regardais mon parrain se défendre. Le savoir à ma disposition me fit mouiller sur le doigt de mon père.
Lèche ! ordonnai-je.
Cétait tout ce que je voulais, là, tout de suite : jouir sur sa langue.
Hein ? demanda-t-il, surpris.
Lèche ! répéta mon père en retirant son doigt.
Mon parrain, obéissant, vint placer sa tête entre mes cuisses écartées. Sa bouche embrassa mon sexe humide. Sa langue sinséra profondément dans mon intimité avant daller titiller mon bouton.
Humm, délicieuse commenta-t-il.
Mon père me lança un regard très chaud en léchant ses lèvres avec gourmandise. Celui-ci mavait également complimenté dans ces termes la première fois quil mavait goûtée. Cet homme si précieux membrassa langoureusement, étouffant mes gémissements entre ses lèvres. Je le serrai fortement entre mes bras.
Mon père arrêta ses mouvements de bassin contre ma hanche pour mettre ma main dans son boxer de bain. Je soupirai de plaisir en sentant son sexe tant désiré doux, long, dur et humide entre mes doigts. Je sentis son corps remuer de façon désordonnée contre moi. Son vêtement libéra ma main. Jouvris les yeux et croisai son regard. Sa bouche, emprisonnant la mienne, mempêchait de regarder ce quil faisait. Soudain, je gémis denvie, les yeux mi-clos, en appréciant la caresse de son sexe nu contre ma peau. Son bassin ondulait contre ma cuisse pendant que les va-et-vient de ma main se firent rapides et longs. Mon père gémissait de plaisir en caressant et en embrassant mes seins.
Mon parrain inséra un doigt dans mon vagin dégoulinant de mouille. Mon bassin accompagnait ses va-et-vient rapides et profonds. Sa langue léchait et suçait mon bouton, tout gonflé entre ses lèvres.
Je pressai le corps nu de mon père contre moi. Le contact de sa peau si douce contre la mienne mexcitait.
Fais-moi lamour ! lui ordonnai-je en fixant ses yeux.
Oh ! Non, pas là pas comme ça murmura-t-il.
Mon désir était impérieux.
Sil te plaît, Papa jai trop envie de toi, insistai-je.
Excitée par ma demande, mon plaisir samplifiait considérablement sur la langue de mon parrain. Je désirais que le sexe de mon père me pénètre aussi intensément que le doigt de Luc.
Je te veux tout de suite. Je veux jouir sur toi.
Je sentis son sexe gonfler encore plus dans ma main et lexcitation brûler dans ses yeux. Il me serrait fort dans ses bras et les ondulations de son bassin se firent plus pressantes. Sa bouche étouffa mes gémissements et mes supplications. Sa main massait doucement mes seins. Lorgasme vint me prendre, me faisant crier de plaisir. Mon parrain maintenait mes cuisses bien écartées. Je jouissais sur sa langue qui continuait de me lécher goulûment. Je serrai mon père entre mes bras, le pressant contre ma poitrine. Il me regardait jouir en me souriant et en caressant tendrement ma joue.
Les deux hommes échangèrent leur place. Mon père gémit en buvant la mouille qui sécoulait abondamment de mon intimité.
Il est fou, ton père, de ne pas vouloir te faire lamour, chuchota mon parrain au creux de mon oreille.
Il membrassait dans le cou en caressant mes seins. Ses mouvements de bassin étaient pressants contre moi. Son sexe était si dur quil me faisait mal lorsquil senfonçait dans la chair tendre de ma cuisse.
Tu es si excitante que je taurais déjà prise plusieurs fois, chuchota-t-il encore.
La langue et le doigt de mon père caressaient habilement mon intimité. Je gémissais en le regardant dans les yeux. Lexcitation que provoquaient les paroles de mon parrain me fit atteindre lorgasme plus rapidement. Ils me tenaient les jambes écartées tandis que mon père me dévorait. Cétait une rivière déchaînée qui sécoulait de mon intimité pour inonder sa bouche. Le plaisir était si intense quil semblait infini. Mes orgasmes se succédaient à une vitesse vertigineuse entre ses lèvres. Je ne pouvais plus contrôler mon corps qui tremblait, agité de spasmes violents. Je hurlais de plaisir, les doigts agrippés aux cheveux de mon père qui me regardait jouir.
Mon parrain, qui faisait lamour à ma cuisse, se mit subitement à genoux à mes côtés. Il prit ma main dans la sienne et se caressa vigoureusement avec. Je voyais le plaisir enflammer ses yeux et ses joues. Il me regardait en caressant mes seins.
Soudain, mon père vint prendre la même position de lautre côté. Jétais toute excitée en observant leurs sexes bien durs au-dessus de moi et dans chacune de mes mains. Je pouvais enfin admirer celui que je désirais tant. Je le trouvais vraiment très beau. Le gland très bien dessiné laissait sécouler un liquide transparent. Jy portai instinctivement la langue et le léchai en prenant le bout gonflé entre mes lèvres. Je gémis, attirée par sa douceur et son goût exquis.
Mon père me repoussa aussitôt, son bras me plaquant contre le transat.
Tu devrais lui apprendre à sucer, conseilla mon parrain en gémissant de plaisir.
Je vis son sexe gonfler dans ma main et mouiller abondamment entre mes doigts. Un long et puissant jet de sperme séchappa de son gland et sabattit sur mes seins. Le membre de mon père sélargit également. Jétais en extase devant leur semence très chaude qui arrosait ma poitrine et mon ventre. Ces hommes supers sexy criaient et gémissaient en me regardant dans les yeux. Leurs corps tremblant de plaisir étaient plaisants à voir.
Lorsquils eurent fini de jouir, jembrassai doucement le pubis de mon père en caressant ses fesses. Son sexe mollissait entre mes doigts. Il membrassa tendrement et me souleva entre ses bras. Cet homme si précieux memmena ainsi dans la piscine où il entreprit de me nettoyer délicatement. Leau caressante était très sensuelle sur ma peau nue. Mon père passa ses doigts sur mon intimité encore sensible de plaisir. Il était bien décidé à ôter habilement toute trace de mouille de mon entrejambe, de mes cuisses, de mes fesses et de ma raie.
Mon père membrassa tendrement en me serrant contre son corps. Jétais heureuse de me retrouver dans ses bras, toute à lui.