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Logement provisoire : Sylvie – Chapitre 6




En arrivant, Sylvie découvre la maison, mais le temps de la visite n’est pas venu. Vous montez à l’étage. Dans la chambre, vous vous déshabillez mutuellement. Sylvie semble étonnamment sereine. Alors qu’elle est en dessous, elle s’agenouille devant vous et découvre votre sexe pour la seconde fois. Pas de fuite cette fois. Elle le prend en main en le masturbe lentement. Elle vous regarde, les yeux brillants d’excitation, avant de vous sucer. Whaou… la coquine est une vraie reine de la fellation, un déesse de la pipe ! Vous avez vous-même connu quelques bouches habiles et il ne fait aucun doute que celle de Sylvie fait partie du haut du panier. Elle écrase ensuite toute concurrence avec une gorge profonde dont la profondeur est tout bonnement inconcevable avec la taille de votre engin.

S’asseyant ensuite sur le lit, un sourire immense aux lèvres, Sylvie vous attire à elle, puis sur elle.

— Ça t’a plu ?

Son sourire narquois vous rend fou. Elle le sait, elle en joue.

— Tu m’as fait rêver. Le sacré paquet de bites dont tu parlais sur les remparts, tu n’as pas fait que les regarder, non ?

Elle rit.

— Quand on aime, on ne compte pas.

Nouveau baiser. Vous embrassez son corps, le caressez, le cajolez, l’excitez, le griffez. Sylvie chauffe de plus en plus. Quand vous retirez son string et que vous découvrez son sexe glabre, vous avez juste à glisser votre langue entre ses lèvres pour la faire exploser. Sylvie jouit une seconde fois avant de vous attirer en elle. Vous voulez mettre une capote. Sylvie dit :

— Je n’ai pas eu de rapports cette année. Et toi ?

— Non plus.

— J’ai envie qu’on s’en passe.

Vous venez sans protection vous glisser dans le sexe de Sylvie.

— Doucement. Fais doucement. Je manque de pratique et… et il faut que je m’habitue.

Vous lui souriez et vous introduisez lentement en elle.

— Oh ! Mon Dieu… C’est très gros et…

Elle gémit.

— Et c’est interminable…

Missionnaire…

Andromaque…

Lotus…

Vous faites l’amour face à face. En lotus, Sylvie est profondément empalée sur votre sexe, à la limite de la douleur. Vos baisers, ses seins, ses courts mouvements, son énième orgasme puis le votre. Intense, puissant et… abondant. Sylvie est aux anges et le sourire ne quitte plus son visage. Vous vous allongez. Vous la regardez :

— Tu as un corps de rêve, vraiment.

— Tu es adorable. Cette soirée était parfaite.

— Était ? Tu ne restes pas ?

Sylvie hésite soudain. Elle bafouille :

— Je… heu… J’avais pas pensé rester.

— Ta famille rentre tôt ?

— Ils ne reviennent que dimanche soir…

— Et alors ?

— Je… Je ne sais pas… J’ai… heu… J’ai des choses à faire chez moi.

— Elles peuvent attendre, non ?

— C’est… heu… Oui. Enfin…

— Crache le morceau.

Elle sourit tristement.

— Florent, je ne veux pas rester car j’ai peur de l’engrenage. Cette soirée était mille fois plus agréable et excitante que les films les plus coquins que je me faisais cette semaine. Je n’avais pas fait l’amour comme ça depuis des années et certainement pas avec mon mari. Si je pars maintenant, j’effacerai ton numéro, je ne te reverrai jamais et je garderai un souvenir merveilleux de cette soirée.

— Et si tu restes ?

— Si je reste ? J’ai peur de prendre goût à l’amour avec toi ; j’ai peur de désirer ardemment d’autres soirées telles que celle-ci ; j’ai peur de ressentir le manque de tes mains sur mon corps ; j’ai peur de te vouloir de plus en plus souvent ; j’ai peur d’en découvrir encore plus sur les sentiments que j’éprouve pour toi et d’avoir mal. Très mal.

Vous ne pouvez rien répondre à cette déclaration sur le moment. Sylvie a les larmes aux yeux. Vous vous lancez :

— Si tu t’en vas, je respecterai ta décision et j’effacerai moi aussi ton numéro. Si tu restes…

Elle vous coupe et poursuit elle-même votre phrase.

— Si je reste, nous allons refaire l’amour, encore et encore. Cela va être merveilleux, sensationnel. Je vais jouir comme une folle, tout le week-end. On va faire l’amour dans ce lit, sur ce balcon. On va baiser sur un coin de table, en pleine nature, dans un lieu public et je sais ce qu’il va se passer en moi : l’espace d’un week-end, je vais redevenir la fille que j’étais à 19-20 ans, insouciante, hédoniste, jouisseuse et libertine. Comme à cette époque, je vais avoir envie de baiser tout le temps, partout, et je n’ai aucun doute sur le fait que tu me suivras dans mes désirs et que tu me combleras.

Elle vous regarde, les yeux embués, vous tentez un sourire. Flop.

— Je vais être gourmande, je vais avoir envie de t’avaler ; provocatrice, je vais vouloir que tu jouisses sur moi, que tu souilles mon visage de sperme ; allumeuse, je vais me vêtir à la limite de l’indécence. Durant le week-end, tu vas me prendre tantôt pour une nympho, tantôt pour une pute. Tu vas adorer ça. Et moi aussi. Et je vais en vouloir plus. Je vais avoir envie que tu m’encules. Et ça, il ne faut pas.

Vous la regardez sans comprendre. Évoque-t-elle la taille de votre bite ? Vous ne dites rien. Elle baisse les yeux.

— Il ne faut pas pour deux raisons : si je reprends la sodomie, je ne pourrais plus m’en passer. Et si ça arrive, je devrais me faire réopérer et je ne veux pas souffrir à nouveau comme il y a dix ans.

Vous ne comprenez rien. Sylvie vous regarde à nouveau.

— J’ai commencé à avoir des relations anales à partir de 18 ans et très vite, j’ai eu des orgasmes fantastiques. Au delà de tout ce que tu peux imaginer, je t’assure. La sodo, c’est devenu ma drogue. Tant avec mes partenaires officiels qu’avec ceux de passage. J’avais alors deux très bons sexfriends, plutôt bien montés, avec qui je pratiquais la double pénétration anale. J’en raffolais. Il est aussi arrivé qu’on tente la triple avec un de leurs potes. Et c’était rentré. J’utilisais presque quotidiennement des plugs anaux, pour aller en cours puis, plus tard, pour aller travailler. Quand j’étais seule, je me masturbais avec des godes de grandes tailles. Et à force d’avoir le sphincter distendu et j’ai commencé à avoir des pertes et j’ai dû me faire opérer. Ça ne s’est pas très bien passé et ça a été très douloureux durant plusieurs semaines. Un vrai calvaire.

Elle fait une pause, essuie ses larmes avant de poursuivre :

— Peu après, j’ai rencontré mon mari. J’ai résisté quelques mois avant de céder. J’ai repris le sexe anal contre l’avis de mon médecin. Pendant trois ans, ça a été beaucoup dans mon cul et un peu dans mon sexe. Bon, on a quand même réussi à faire des enfants mais après la naissance du second, les pertes ont repris et le médecin m’a dit qu’on était tout près d’une nouvelle opération. J’ai eu peur. On a arrêté la sodo et j’ai fait de la kiné. Les pertes ont cessé. Alors si je reste, tu vas me sodomiser, tout à l’heure, au plus tard demain matin, car j’en ai déjà incroyablement envie.

Vous êtes scié. Vous avez la gorge nouée, rien ne sort. Sylvie hoche la tête, sourit. Vous l’embrassez. Elle vous enlace. Vous lui dites :

— En d’autres circonstances, j’aurais insisté, au moins pour la nuit. Mais pas là.

Sylvie se lève et se rend aux toilettes. Elle prend ensuite une douche. Quand elle revient dans la chambre, vous êtes sur le lit, avec ses vêtements. Elle fait tomber sa serviette de bains. Nue. Magnifique. Vous lui dites :

— Je peux garder ton string ?

— Je te laisse même le soutien-gorge, si tu veux.

— Je ne peux pas par refuser. Mais il sent surtout ton parfum.

— Fais voir le string !

Vous le lui donnez. Elle le renifle.

— Mon Dieu… Aucun doute. J’ai passé une excellente soirée !

Éclats de rire. Vous vous lèvez, la jupe à la main, et vous agenouillez devant elle. Vous la lui passez, ajustant ses hanches. Vous bouclez la fermeture éclair, attachez le bouton. Vous reculez d’un pas, la regardez. Elle rougit.

Vous prenez le chemisier. Un bras puis l’autre. Face à elle, vous fermez les boutons par le bas jusqu’à celui sous sa poitrine. Vous passez derrière elle et glissez votre main dans le décolleté pour ajuster sa lourde poitrine. Elle gémit doucement quand vous sexe touche ses fesses. Elle se tourne et vous vous embrassez. Un baiser passionné et vous résistez à la tentation de la déshabiller à nouveau, certain qu’elle n’y verrai aucun inconvénient.

Vous vous séparez. Elle ferme les yeux et il semble qu’elle se fasse violence pour quitter la chambre. Vous la suivez dans l’escalier après avoir passé un caleçon. A l’entrée, elle remet ses talons.

— Je n’ai pas du tout envie de partir.

Vous ne répondez pas, vous contentant de sourire. Vous lui dites :

— N’efface pas mon numéro.

— Pourquoi ?

— Dans un an, dans cinq ans, dans dix ans, qui sait ? Et puis un jour, tes gamins se barreront.

— Je vais l’effacer. Si on doit se retrouver, on se retrouvera.

Elle baisse les yeux sur votre caleçon et rit :

— Arrête de bander comme ça, c’est déjà assez dur de m’en aller. Alors n’en rajoute pas !

Elle ouvre la porte et vous sortez.

A la portière de sa voiture, vous vous embrassez une nouvelle fois avec fougue et ardeur. Vous reculez ensuite de quelques pas. Vous vous tenez à trois mètres d’elle. Vous sortez alors votre bite et commencez à vous masturber. Adossée à sa voiture, Sylvie ne bouge pas.

— Montre-moi tes seins…

Lentement alors, Sylvie ouvre deux boutons de son chemisier et découvre ses formidables mamelles. Elle se pelote doucement, se caresse, excitant et pinçant doucement ses tétons. Elle vous rend fou et vous accélérez le mouvement.

Sylvie remonte alors sa jupe à sa taille et découvre son sexe dont elle écarte vulgairement les lèvres. Ses yeux. Son regard a changé. Elle se masturbe quelques instants avant de se tourner. Sylvie se cambre et écarte doucement ses fesses. Sa vulve, son anus. Tout est sous vos yeux et vous vous masturbez plus frénétiquement que jamais. C’est alors que Sylvie s’introduit un doigt derrière et le bouge lentement. Vous ralentissez la cadence quand elle ajoute un second doigt.

Quelques instants plus tard, Sylvie tient à nouveau ses fesses écartées et son anus n’est plus une petite fleur mais un orifice assez largement ouvert et noir.

— Viens…

Sylvie a murmuré. Vous vous approchez et sans attendre, poussez votre queue dans le cul de la belle. Vous y glissez vite.

Les minutes suivantes sont d’un irrésistible plaisir. Vous soumettant aux désirs de Sylvie, vous modifiez plusieurs fois la façon de la pénétrer. La position, le rythme, la profondeur. Sylvie a deux orgasmes impressionnants. Pour la première fois de votre vie, vous introduisez entièrement votre sexe dans le cul de votre partenaire. Surexcité, vous jouissez, planté jusqu’à la hampe.

— Rentre, Florent. Rentre chez toi et ferme à clef. S’il te plaît.

Vous vous retirez et lui obéissez. Sans allumer la hall d’entrée, vous regardez Sylvie par la petite fenêtre. Elle pleure. Elle s’assied par terre et semble prise de spasmes. Vous résistez. Vous ne devez pas y aller.

Quelques secondes plus tard, Sylvie se lève, descend sa jupe et se reboutonne. Elle monte dans sa voiture et démarre. Sans un regard pour la maison.

Une heure plus tard, alors que vous êtes couché, votre téléphone vibre. Un message de Sylvie :

— La plus belle soirée avec ma plus belle rencontre. Je t’aime. Adieu.

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