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Il me fait sentir femme – Chapitre 1




Ce texte est le récit d’un fantasme assouvi. De l’imagination à l’expérience, il y a un grand pas et des conséquences. Vivre de nouvelles sensations c’est faire un saut dans l’inconnu, avec un inconnu en l’occurrence…

J’ai toujours considéré mon corps comme un terrain à découvrir. L’éveil sexuel m’indiqua que dans ce terrain, il existait des trésors de sensations. D’abord les frottements et la masturbation classique, celle de tout jeune homme soumis à ces hormones. J’aimais beaucoup me toucher mais je sentais que mes orgasmes quasi quotidiens manquaient d’intensité. En effet, j’étais tombé sur une VHS porno de mon père cachée sous une pile d’habits dans un placard. Les images et les sons qu’elle contenait m’ont hypnotisé. Oh, évidemment la découverte du sexe opposé et le coït homme-femme étaient très excitants mais ce qui me subjuguait c’était surtout la jouissance féminine. L’héroïne semblait prendre un pied d’enfer et le membre qui lui procurait du plaisir, plus gros que le mien, rasé et turgescent semblait avoir bon goût. Lorsqu’elle l’insérait dans sa bouche, j’avais l’impression d’entrevoir un soulagement sur son visage ; un peu comme si la « pornstar » attendait ce moment, elle s’enthousiasmait, elle le voulait en elle.

J’étais hanté par ces soupirs, les sites de streaming n’existaient pas encore et je ne savais pas comment m’alimenter en images excitantes. Je voulais en voir plus, en savoir plus.

Lorsque j’étais seul, je fouillais l’appartement à la recherche d’autres VHS mais n’en trouvais pas. Néanmoins je suis tombé sur les sous-vêtements de ma mère. J’ai longtemps hésité mais j’ai finalement enfilé un de ses mini-strings élastiques. J’avais peu de poils et ma petite verge se calait pratiquement dans le sous-vêtement. Le premier contact du fil avec mon anus déclencha une sensation "interne" très forte. Je me regardais dans le grand miroir de maman… j’ai su que c’était le début de quelque chose qui, à l’époque, me dépassait.

Je continuais à grandir et progressivement j’explorais mon anus. D’abord, j’incluais un doigt à mes anodines masturbations, un peu plus tard deux puis trois. Je crois qu’à l’époque de ma majorité, je touchais finalement très peu mon pénis. Lorsque j’eus mon premier job d’été, je me suis acheté un petit plug et le plaisir devenait non seulement plus intense mais constant. Je l’insérais en moi dès que j’en avais l’occasion. J’avais, entre-temps, la chance de faire l’amour à une femme et j’aimais bien cela. C’était bon mais je devais être dominant et tout contrôler, cela m’empêchait de me lâcher.

A l’orée de mes vingt ans, je vivais seul, les sites pornographiques étaient quand même bien développés et je fantasmais de me faire prendre. Cependant, je voulais me faire prendre comme une femme, je voulais être soumise, je voulais une verge endurante et surtout je ne voulais pas qu’il touche la mienne de verge. Un soir, je sautais le pas et publiais une annonce sur le Net.

Au matin, j’ouvrais mon mail et j’avais une quinzaine de réponses… inutile de vous décrire mon état. Parler d’enthousiasme serait un euphémisme. Je filtrais les réponses douteuses ou incompréhensibles, il m’en restait trois auxquelles je demandais des photos, uniquement des photos de leurs queues. Je choisis celle qui me semblait la plus dominante, je ne m’étais pas trompé…

Au fil des mails, je lui présentai mon fantasme et il commença à me parler de manière dominante. Pour notre première rencontre, il me donna rendez-vous à un arrêt de bus. Une voiture vint me chercher, il était là, souriant. Il conduisait sans me dire où nous allions et il me caressait la cuisse.

— Alors, t’as mis ton string ? Si tu te comportes bien, on va devoir t’en acheter une petite panoplie.

Je jubilais intérieurement.

— Oui je ne porte que ça.

— Je vois que tes seins sont naturels, parfait, t’es vraiment pas un homme toi hein.

— C’est pratique un peu de poids en trop, surtout pour moi… je mettrais bien des soutiens-gorge mais j’ose pas encore.

— Tu vas en mettre, crois-moi.

Je lui souris.

— On y est, je veux que tu sortes ma bite de mon pantalon et que tu me suces, ma belle.

C’était le milieu de la nuit, nous nous étions garés dans un parking vide, près d’une forêt. Ma tête s’approchait de la zone dite, je le déboutonnais rapidement, il ne portait rien. Mon amant m’aidait en tenant mes cheveux longs. Je vivais la scène au ralenti, il y avait ce membre semi-bandé et ma tête au même niveau que lui. Son gland et ses couilles me surplombaient. Mon corps bougeait pour moi, je ne contrôlais plus rien et je sentais mon âme trembler. Ma langue caressait timidement la base de son sexe puis ses boules et puis, enfin, je faisais pénétrer son gland dans ma bouche ; les va-et-vient commençaient.

Avec sa main gauche, il tenait mes cheveux, avec sa main droite, il explorait l’intérieur de mon jogging, il me caressait les fesses, puis effleurait mon anus. De mon côté, je dégustais ce membre avec un plaisir sans nom. Ma bouche me procurait du plaisir, vraiment, on ne refait pas une première fois. Après quelques minutes de ce traitement, son doigt était presque entré en moi. Mon cul palpitait.

— J’adore ta petite chatte de garçon, elle est bien serrée comme j’aime.

— Sort de la voiture, on va marcher un peu.

Nous marchâmes en direction des arbres, une fois arrivés à leur hauteur, il vérifia le calme et le désert des lieux.

— OK, à partir de maintenant, je veux juste entendre des gémissements de ta part, tu vas prendre comme la bonne fille que tu es, sans rouspéter. C’est notre première fois, je vais utiliser pas mal de lubrifiant. Mais ce ne sera pas toujours comme ça. Tourne-toi ! Appuie-toi contre l’arbre !

Je m’exécutais, les genoux vacillants.

Il commença par enlever mon t-shirt et me malaxer les seins, toujours positionné derrière moi, il faisait très noir, il maîtrisait tout, je n’étais plus rien. Ensuite, il baissa mon jogging et claqua mes fesses uniquement habillées du string.

— Vraiment, joli cul, dommage quon nait pas plus de lumière. T’es vraiment faite pour ça, t’inquiète, je vais pas toucher ton clito, oui ton clito, tu crois que beaucoup d’hommes sont totalement couverts par un string…

Il baissa mon fin tissu, j’étais là, appuyé contre un arbre, soumis au vent, soumis à l’homme, en baskets, jogging et string baissés. Il me mettait des doigts sans douceur, j’avais un peu mal mais l’excitation restait à son paroxysme. Je laissais échapper quelques miaulements et des expirations significatives. Le son de l’ouverture de la capote, le lubrifiant qu’il étalait sur ma chatte et sur son membre me donnaient des frissons. Sa bite maintenant glissait sur la surface de mon orifice.

— Maintenant, petite pute, je te fais mienne.

Une légère douleur me surprenait, il s’enfonçait doucement. Cette fois je gémissais. C’était long, beaucoup plus long et gros que mes plugs. Je sentais les poils de son pubis contre mes fesses. Je me sentais prise.

Sans me laisser le temps de m’habituer, il commençait à me baiser. Moi je sentais un trop-plein de sensation, j’avais un peu mal mais sentir ce membre coulisser en moi me liquéfiait, je coulais d’un plaisir de situation, je me voyais me faire prendre, et bientôt le plaisir charnel jaillissait en moi. Je grognais de manière, aiguë. Ce n’était pas ma voix, c’était la voix de celle qui m’habitait et venait de naître par sa queue. Il accélérait, ralentissait, sortait, entrait, me fessait. Moi je suais, et je criais mon plaisir.

Il a joui en moi, il m’a demandé de le nettoyer avec la bouche et m’a ramenée chez moi. Mon clito avait coulé. J’étais épuisée, j’étais amoureuse.

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