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De Hervé à Vanessa, chienne soumise – Chapitre 32




Se réveiller entre deux beautés d’ébène, le pied. Me faire enculer pendant que je baise ma future femme, l’extase. J’ai fait l’amour à ma promise, j’ai défoncé Sélam (la patronne). Épuisées et repues de sexe, on s’est endormies.

Je regarde dehors, il fait jour. J’embrasse Malika, je fais un bisou à Sélam. Je me lève et pars faire mes ablutions. Après m’être rendue plus présentable, je m’encours à aller prendre mon petit-déjeuner, là je retrouve Maria et Gladys. Elles sont apprêtées et m’annonce qu’elles vont en ville faire deux courses avec Emile, Théna et Adélia. Je me retrouve donc seule dans la cuisine. Je me sers un café et prends un croissant. Quelle famille, me dis-je. Je profite du calme régnant dans la maison pour aller flâner sur le perron. On y voit le bateau et les trois mousses s’activer. Je les siffle (pas très féminin, hein).

— Ouhouh, les filles… Je leur lance en faisant un grand signe

— Coucou, Mademoiselle Vanessa… Répondent-elles de concert. On vous aime !

Elles éclatent de rire et retournent à leurs occupations, briquer le pont. Je les regarde attendrie par ces trois jouvencelles. Je m’en retourne à l’intérieur. Malika et Sélam sont debout, enfin assises à la table du salon de jardin.

— Bonjour…

Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que ma future épouse me saute dessus. Elle blottit son petit nez dans mon cou et me dit :

— Bonjour mon amour, bien dormis ?

— Oui et vous ?

— On s’est reposé… Ils sont où ?

— Ils sont tous en ville…

— Hummm, la villa que pour nous trois ? On peut recommencer comme hier soir ?

— Euh, non, nous coupe Sélam, Il va falloir me ramener, je bosse ce soir… Et j’ai des invités ce midi.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Douche pour Malika et Sélam et pose de nos collier et bijoux intimes. Sélam sourit quand elle nous voit nous les poser mutuellement.

On est dans le garage (habillées cool) et j’hésite entre le Range et une voiture masquée dans une housse grise. Je tire sur celle-ci. Une rutilante Ferrari FF quatre places. Mon choix est fait, j’ouvre la porte et m’installe. Un petit Post-it écrit par Émile. 

" Vanessa, elle est en rodage, Papoune". 

Je tourne la clé et appuis sur le bouton "START". Le bruit du V12 rugit et fait sursauter Malika et Sélam et j’éclate de rire, je leur dis de monter. Malika me demande si j’ai l’autorisation. Je lui montre le petit mot d’Emile, elle me sourit.

C’est avec la plus grande des précautions que je pilote ce bolide. Vous n’imaginez pas le pied. V12. 6,3 litres de cylindrée. 650 ou 660 chevaux, je ne sais plus. Boite auto type F1 et quatre roues motrices… WAOUH… J’en bande.

On arrive en faisant sensation avec le bolide rouge. Je me gare et Sélam nous quitte après un petit bisou. Elle nous dit qu’elle nous reverra très vite.

— Je ne veux pas quitter cette bombe des yeux… Dis-je à Malika.

— C’est vrai, elle est sympa en plus… Me répond-elle en regardant s’éloigner sa sur de peau.

— Mais, pas elle… ELLE… Dis-je en éclatant de rire et en montrant la voiture du doigt.

Elle me regarde avec son air renfrogné, celui qui me fait à chaque fois craquer.

— Tu m’attends là, j’en ai pour deux minutes (je ne vous dirais pas où je vais, surprise).

À mon retour, elle me prend par la main et m’entraîne en face dans un bar. Elle m’explique que c’est celui un ami d’Emile. Effectivement, on est accueilli comme deux princesses. Le patron fait la bise à Malika. Il se tourne vers moi et dans un français parfait, sans accent et me dit :

— Toi, tu es la petite Vanessa, la petite dernière d’Emile. Je me trompe ?

— Non, non…

Il se jette sur moi pour faire la bise. Il respire la sympathie et la bonne humeur. Physiquement quelconque, donc je passerai sa description.

— Michel, Mich, pour les amis. Ici, vous êtes chez vous. Que voulez-vous boire ?

Le ventre de Malika gargouille.

— Ah, ça va, je vous fais porter la carte… Dit-il en se marrant. Normalement nous ne servons pas à cette heure-ci, mais j’entends qu’il y a urgence. Mettez-vous à l’intérieur, c’est climatisé et vous y serez plus tranquille.

Une fois à l’intérieur, je fouille dans ma pochette, je prends la main de Malika et la regarde dans les yeux.

— Veux-tu être ma femme ?

— Je t’ai déjà répondu. Oui, je veux être ta…

Je ne la laisse pas finir et je lui passe une bague surmontée d’un diamant (la surprise). Elle regarde la bague et me saute au cou. Elle m’embrasse et renverse la carafe d’eau. Le patron est mort de rire.

— Je vais devenir sa femme… Murmure-t-elle.

— Et bé, tu en as de la chance, petite, c’est pas à moi que cela arriverait… Répond-il en nettoyant les dégâts. Mes félicitations les filles… Champagne ?

— Oui, fis-je, et votre meilleur ! ! !

On boit, on mange, on rigole avec le patron qui nous sert. Malika n’a d’yeux que pour moi… et sa bague. Après un digestif, le patron nous demande où nous allons. Je lui dis que j’irai bien me baigner. Il nous indique une crique connue que par les autochtones, difficile d’accès et que l’intimité des couples y était préservée. Il rajoute qu’à cette heure-ci, on devrait être seul, les gens n’y vont que très tard le soir pour échapper au brouhaha de la ville. On le remercie et après avoir acheté serviettes et ambre solaire, nous voici en route.

Un petit quart d’heure plus tard, je gare la Ferrari sur le parking d’une paillote. En suivant les indications de Mich et moult fous rires, on trouve enfin la minuscule anse. Il y a assez de sable pour y étendre nos serviettes, pas plus. On se met nue et on plonge dans la grande bleue. Ça fait un bien fou. On s’enlace, on s’embrasse. Je suis bien avec ma petite bernicle accrochée à moi comme à son rocher. Elle se blottit dans mon coup et me lèche le cou. Je lui caresse le crane (il va falloir que je parle à Émile pour notre coupe de cheveux), le dos, les fesses. Sa peau est soyeuse comme du satin (c’est pour éviter la répétions). Évidemment je bande et elle le sait, mais elle ne veut pas de sexe sinon elle se serait emboîtée depuis longtemps. Non, elle veut profiter de notre moment à deux, ma panthère sait se transformer en chatte. J’apprécie ce moment de plénitude.

— Vanessa, je t’aime… Merci pour tout…

— Chut, profites, on n’est pas bien là…

— Si, je me sens en sécurité dans tes bras. Ta présence me rassure…

Elle me regarde et on s’embrasse comme deux tourtereaux, comme deux amoureux profitants de l’instant qui leur est offert.

On est de retour à la maison. Comme mari et femme, on prend notre douche, mis à part nos ablutions les plus intimes. On se savonne amoureusement, tendrement. Aucun mot n’est échangé, juste le regard de l’autre suffit. Comme tout à l’heure à la plage, on s’étreint, se caresse, se bécote, mais sans sexe. Mais j’en peux plus, j’ai envie d’elle, de profiter de son corps tant que l’on est que deux. Je la prends par les fesses, la plaque contre la cloison vitrée et glisse mon sexe dans le sien.

— Putain, Vanessa, tu en as mis du temps… J’en pouvais plus… Hummm…

— Quoi ? T’as envie de ma queue ?

— OUIIIII… Je vais devenir ta femme, ta putain exclusive, ta chienne… Et toi ma salope, mon sexe sur pattes… Prends-moi, baise-moi…

Alors là, je reste sur le cul, mais je la prends avec force. Sa peau crisse sur la paroi, mes couilles claquent sur son cul. Elle gémit, au début, mais bien vite elle crie et m’inonde d’injure plus salaces les unes que les autres. L’odeur qu’elle émane m’enivre. Je lui pétris les fesses. Elle ça, être prise de force, non, avec force. La tête en arrière et les yeux révulsés, elle jouit, tout comme moi. De la voir dans cet état est un pur bonheur pour moi. Elle me sourit entre deux râles. Je ne m’arrête pas de la limer, de la défoncer, car oui c’est le juste mot, je la défonce, la saillit. Mon pré-sperme inonde sa matrice et c’est bientôt un torrent de semence qui remplit son antre. Elle n’est plus là, moi non plus d’ailleurs. Mes jambes me lâchent et on choit sur le carrelage de la douche, elle, toujours fichée sur ma bite. Elle, on reprend nos esprits.

— Merci amour, ouf, qu’est-ce que tu m’as mis…

— Qu’est-ce que tu m’as donné… Ouf. Terrible.

— Je t’aime comme une folle. J’aime comment tu me traites…

— Comment ça ? ? ?

— Tu es gentille avec moi, tu me respectes. Je vois, on voit très bien que tu tiens à moi, tout comme moi je tiens à toi. Tu me mets au-dessus de tes deux autres maîtresses. Tu m’aimes et cela me réchauffe le cur. Quand j’étais seule à Montpellier, Émile n’était pas souvent là, seul Domi, Caro et David me rendaient quelques rares visites. Me gouiner avec les deux vieilles me comblaient et David me prenait de temps en temps, mais quand j’ai vu ta photo…

— Ce que tu me dis me touche, mais saches que je te serais toujours fidèle, quoi qu’il arrive. Je ne regrette plus ma vie d’avant et en reprenant ta réflexion, quelle nana sera assez conne pour refuser la vie que tu m’as offerte, en tout les cas pas moi. J’aime ma famille, j’aime Émile, et toi par-dessus tout. Maintenant je vais te le prouver.

Tant bien que mal, je me relève avec ma bernicle toujours fichée sur ma queue. Je l’emmène dans la chambre et l’allonge sur le lit et là, ce fut une débauche de sexe, de baise, mais d’amour. Elle aimait l’amour bestial, elle en a eut. Deux fois ? Trois fois ? Quatre fois ? Je n’ai pas compté… Toujours est-il que l’on s’est endormie reput de sexe et d’amour…

On est réveillée le lendemain par une douce caresse sur les joues. J’ouvre un il, Malika aussi. Émile nous sourit.

— Alors, mes filles, bien dormis…

— Humhum… Lui répondons-nous.

— Prenez votre temps, mais on a quelque chose à vous annoncer…

— Papoune, c’est quoi ? ? ?

Ma panthère, tel un ressort, a bondi au cou du p’tit vieux. D’un regard on se comprend et je chope Malika par les hanches et je la recouche. Émile me sourit et s’en va.

— Tu n’es pas cool… Me dit-elle.

— Vu dans l’état où on est, on ferait mieux de se laver.

Elle nous regarde, regarde l’état du lit et part dans un fou rire.

Notre douche prise et notre traditionnel rituel, on remonte l’allée qui nous mène jusqu’à Émile. Il est seul et nous invite à nous asseoir sur le divan du salon d’extérieur. On n’ose pas parler, l’instant est solennel.

— Mes chères enfants, Vous me comblez de jour en jour. Je ne m’attendais pas à fêter des noces de si tôt. Voilà pourquoi, j’ai décidé que votre union se passe en Grèce, dans notre demeure familiale. Elle sera célébrée selon la tradition ancestrale et je l’ai prévu pour fin septembre. Votre voyage de noce se fera dans une destination que vous aurez choisie. Des questions ?

— Non…

— Fort bien. Évidemment, vous vous ne vous occupez de rien… On est assez nombreux pour organiser une cérémonie dont vous vous souviendrez fort longtemps, pourtant, il y a un hic…

— Aïe… Fis-je.

— Rien de bien grave, je te rassure Vanessa… Ou plutôt rien de gênant pour toi… Dans notre tradition séculière, un homme qui a plusieurs maîtresses, ne peut choisir son épouse qu’à une seule condition. Cette condition est de toutes les réunir et, les yeux bandés et les mains attachées, de reconnaître sa promise parmi ses prétendantes. Si seulement s’il se trompe, sa femme sera celle qu’il désignera. Compris ?

— Je dois faire l’amour aux trois ?

— Pas l’amour, espèce d’obsédée, les embrasser, les sentir, les lécher… Toi alors…

— Ça va être facile pour moi…

— Je sais, Vanessa, je sais. C’est pourquoi j’y ai rajouté une règle. Tu devras dire le prénom de toute sans te tromper. Voilà.

— Bien Émile….

Malika me regarde, inquiète.

— La cérémonie aura lieu ce soir…

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