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Réparer une injustice – Chapitre 1




Aurélie revenait de faire ses courses, elle passait toujours par la même route, la plus tranquille, celle qui était bordée par les champs de maïs sur plusieurs kilomètres. Elle aimait cette route pour son paysage champêtre et sa tranquillité.

De loin, elle aperçut deux silhouettes, deux hommes qui suivaient à pied la route dans le même sens qu’elle. Elle nota malgré la distance qu’ils se tenaient la main mais qu’ils la lâchèrent dès qu’ils entendirent le bruit de la voiture. En se rapprochant, les deux hommes se retournèrent pour faire du stop.

Aurélie s’arrêta et les laissa monter dans sa voiture, la discussion commença. Ils s’appelaient Ahmed et Karim, deux maghrébins, ils avaient l’air assez timide et cela plu beaucoup à Aurélie.

Afin de les mettre un peu mal à l’aise, elle leur demanda avec un léger sourire :

— Pourquoi vous êtes vous lâcher la main quand vous m’avez entendu arriver ?

Gênés, ils se regardèrent en rougissant, Aurélie aima beaucoup les voir ainsi timides et elle sourit largement.

— C’est que, déjà qu’on est maghrébins, en plus on est homo alors vu que les gens ne sont pas franchement ouverts dans cette région, on essaye de ne pas trop se montrer ensemble, vous comprenez ?

— Franchement ? Il y a encore des personnes aussi obtus ?

— Oui Madame, clairement, on est régulièrement insultés, les gens nous traitent vraiment mal parfois, je vous jure.

Aurélie resta surprise puis se rappela comment son mari pouvait parfois être lui aussi très peu ouvert. Elle commença à penser à cela et s’aperçut que son mari faisait partie de ce groupe de personnes stupides qui pouvaient traiter très mal des personnes comme Ahmed et Karim Elle réfléchit longuement et se demanda ce qu’elle faisait avec son mari, avec quelqu’un de raciste et d’homophobe. Comment ne s’en était-elle pas déranger plus tôt ? Elle resta perdue dans ses pensées un moment.

— Madame, ça va ? Vous ne dites plus rien ?

Aurélie avait beaucoup aimé qu’il l’appelle Madame, il y avait un côté respectueux, cela la fit sourire. Elle répondit :

— Pour être honnêtes avec vous, mon mari fait partie de ces sales cons qui vous traitent mal. Déjà il est raciste, je ne vous raconte pas toutes les horreurs qu’il raconte sur les maghrébins et en plus il est homophobe ! Imaginez s’il vous voyez ensemble main dans la main. C’est vraiment un sale con.

Ahmed et Karim se regardèrent surpris puis Aurélie reprit :

— Ça me donne une idée.

Soudainement, elle ralentit et arrêta sa voiture sur l’accotement. Elle coupa le moteur, sortit de la voiture et se dirigea sans rien dire vers le champs de maïs à proximité.

Ahmed et Karim sortirent de la voiture et la regardèrent. Juste avant de rentrer dans le champs, Aurélie leur lança :

— Bon alors, vous venez ? Il faut qu’on répare une injustice !

Les deux se regardèrent sans comprendre puis décidèrent de la suivre.

Il la suivirent dans le champs, elle marchait devant eux sans rien dire puis elle s’immobilisa et se retourna pour les attendre, un grand sourire aux lèvres.

Lorsqu’ils furent à sa hauteur, elle les regarda, continuant de sourire, puis commença à déboutonner lentement son chemisier.

Surpris, Ahmed et Karim se regardèrent puis continuèrent de la regarder ouvrir un à un les boutons et laisser apparaitre sa poitrine délicatement serrée dans une belle lingerie blanche.

— Eh bien quoi ? Vous n’en avez pas marre de subir tout ces cons racistes et homophobes ? Mon mari en fait partie, imaginez sa tête s’il me voyait en ce moment, en train de me déshabiller devant vous ! C’est plutôt sympa comme façon de réparer une injustice, non ?

Elle sourit et eux également !

Elle venait de déboutonner le dernier bouton de son chemisier, et, toute fière elle l’ouvrit doucement. Sa poitrine était généreuse, elle laissa tomber son chemisier par terre. On pouvait deviner sous la dentelle ses tétons qui pointaient fièrement. Elle ne cessait de sourire, elle se sentait bien.

Doucement, elle mit ses mains sur ses hanches et commença à baisser très lentement son pantalon. Le bas de son ventre apparut, puis sa petite culotte. Elle continua jusqu’à mi-cuisse puis enleva complètement son pantalon.

Elle se tenait en sous-vêtements devant eux, ses vêtement déposés par terre à côté d’elle dans ce champs de maïs. Ahmed et Karim ne se regardaient plus l’un l’autre, ils la regardaient elle, ils savouraient ce moment, appréciaient ce beau corps dans cette belle lingerie blanche.

Elle leur tourna le dos, laissant apparaitre ses belles fesses mises en valeur par sa petite culotte blanche, puis elle avança plus loin dans le champs, laissant ses vêtement à terre.

Elle marcha quelques minutes puis s’arrêta de nouveau. Ahmed et Karim l’avaient bien-sûr suivi, ils se tenaient à une distance respectueuse d’elle et n’osaient rien faire.

Karim osa enfin une parole :

— Vous êtes très belle Madame.

— Ce n’est pas parce que vous êtes homo que vous ne savez pas apprécié le corps d’une femme. J’ai vraiment très envie d’être nue devant vous, vous voulez bien ?

Ahmed répondit :

— Avec plaisir Madame.

Aurélie continua de sourire puis passa ses mains dans son dos pour ouvrir son soutien-gorge. Elle le retira tout doucement, laissant apparaitre sa belle poitrine, elle tendit le bras, tenant son soutien-gorge dans sa main puis le laissa tomber.

Elle respirât fort, faisant gonfler sa poitrine et remonter ses seins.

Elle continua dans le champs, abandonnant son soutien-gorge sur le sol.

Plus loin, elle s’arrêta, dos à eux puis fit glisser très lentement sa petite culotte le long des ses cuisses.

Karim se rapprocha d’elle, resta un instant derrière elle sans rien faire puis il déposa délicatement sa main gauche sur les épaules d’Aurélie. Elle tressaillit en sentant sa main. Il commença à caresser doucement ses épaules du bout des doigts puis fit glisser sa main le long de son dos.

Il plaça lentement sa main droite sur le ventre d’Aurélie, puis, très doucement, en prenant tout son temps, il remonta sa main le long de son ventre jusqu’à atteindre le bas de ses seins. Il caressa délicatement cette zone très douce entre son ventre et ses seins qui se tenaient bien droit.

Karim, plus timide, était en retrait, légèrement sur le côté et regardait la scène. Son compagnon était en train de caresser une femme.

Aurélie ne les voyaient pas, elle sentait seulement les mais de Karim, l’une dans son dos, l’autre sur la base de ses seins. Le fait de ne pas les voir l’excitait beaucoup.

— Mon mari n’aime pas les maghrébins, imaginez sa tête s’il me savait ici, avec vous, mon soutien-gorge perdu dans ce champs, ma petite culotte posée à mes pieds et vos mains sur mon corps. il deviendrait complètement fou !

Les deux hommes furent très excités d’entendre cela et Karim se laissa aller à suivre ses envies. Il remonta sa main droite et saisit le sein droit d’Aurélie qu’il commença à caresser, à masser, à peloter. Il arrêta de caresser son dos avec sa main gauche, la passa devant elle pour prendre son autre sein. Elle ferma les yeux, cet inconnu tenait ses deux seins, il les seraient délicatement, les peloter avec tendresse, elle se sentait très bien.

C’est le moment qu’Ahmed choisit pour intervenir. Il se rapprocha et commença à lui caresser le ventre puis posa sa main sur les fesses d’Aurélie pour les caresser. Elle sentait sa main passer d’une fesse à l’autre, ses doigts passer sur la raie de ses fesses.

Elle se pencha pour ramasser sa petite culotte. Elle se retourna, souriante, attendit quelques instants et jeta au loin sa petite culotte dans le champs de maïs. Elle rit.

Karim était le plus proche, et également le plus entreprenant. Elle se rapprocha de lui, le regarda dans les yeux, et commença à s’agenouiller devant lui sans le quitter des yeux. Une fois à genou, elle les regarda tout les deux puis leva les mains vers la braguette de Karim qu’elle commença à baisser.

Toujours en les regardant, elle déboutonnât le bouton de son jeans et le baissa doucement jusqu’à ses genoux. Elle devinait le sexe bandé de Karim serré dans son caleçon moulant.

Elle embrassa la bosse du caleçon et le sentit frémir. Elle sourit en regardant Ahmed droit dans les yeux et recommença. Plusieurs fois. Elle ne quittait pas Ahmed des yeux tout en embrassant le caleçon de son compagnon.

Aurélie se sentait très bien, très excitée, son coeur battait la chamade. Elle accéléra la cadence de ses baisers et lécha une première fois cette belle bosse. Le sexe de Karim se dessinait clairement, elle le voyait se déplacer dans le caleçon, il était désormais trop serré, il se levait, elle continuât à lécher, elle léchait son sexe à travers le tissu.

Elle n’arrivait plus à se retenir, elle leva les mains des deux côtés du caleçon et le baissa rapidement. Le gros sexe de Karim était là, devant elle, tout droit, elle n’attendit pas une seconde de plus et le lécha une première fois. Elle saisit son sexe et le décalotta pour faire apparaitre le gland, elle baissa la peau le plus possible. Ce magnifique gland n’attendait qu’elle, elle le léchât puis le mit dans sa bouche.

Sa main droite prit les couilles de Karim et les pétrit avec délicatesse, sa bouche continuait à s’affairer sur le gland qu’elle n’arrêtait pas de lécher. Elle léchait sa verge de bas en haut sous les yeux ébahis d’Ahmed.

— Si j’avais su que le sexe d’un beur était aussi délicieux, j’aurais essayé avant, dit elle en les regardant, un grand sourire aux lèvres. Pour confirmer, je crois qu’il faut que j’en essaye une deuxième.

Ahmed se rapprocha et elle baissa son pantalon. Son sexe bien bandé sortait déjà à moitié de son slip qu’elle abaissa très lentement. Elle donna un premier coup de langue sur son gland, le mordilla un peu, regarda Karim dans les yeux et mit le sexe d’Ahmed dans sa bouche.

Elle le garda dans sa bouche quelque instant, en faisant des aller-retours, puis elle leur dit :

— Je confirme, les bites d’arabes sont meilleurs que celles des blancs. Je crois qu’il faut que j’en profite !

Elle tenait leurs deux sexes dans ses mains, les masturbaient, les suçaient à tour de rôle. Elle colla le sexe d’Ahmed contre son ventre, son sexe arrivait jusqu’à son nombril; elle se mordit la lèvre inférieure en voyant la taille de cet engin et, n’y tenant plus, elle enfonça son visage entre ses cuisses et léchât ses couilles amoureusement, celle de gauche, celle de droite puis entre les deux.

Aurélie fit sortir sa langue encore plus pour atteindre l’arrière des couilles, son visage était littéralement entre ses cuisses, le sexe d’Ahmed étant posé sur son nez et son front. Elle se délectait du bon goût des ses couilles et sa position soumise l’excitait beaucoup.

Sa main droite masturbait Karim avec vigueur. Sa langue remontât le long de la verge d’Ahmed, elle arrivât jusqu’au gland qu’elle léchât puis enfonça profondément cette belle queue dans sa bouche et continua de le sucer avec délice.

Elle se rendit compte qu’elle aimait vraiment cela, elle était à l’aise, elle passait d’un sexe à l’autre. Quand elle en suçait un, elle voulait déjà repasser à l’autre, elle ne savait plus où donner de la tête. Son coeur battait très fort, elle avait envie de se lâcher, de se donner entièrement à ces deux beaux arabes.

Aurélie se sentait en confiance avec eux, ils étaient bien élevés et n’essayaient pas de la forcer à faire quoi que ce soit, ils la laissaient faire et cela l’excitait beaucoup, et lui donnait encore plus envie de laisser libre court à ses fantasmes.

Alors qu’elle suçait soigneusement Karim, celui-ci se mit à genoux, incitant Aurélie à se pencher en avant en mettant ses mains au sol pour pouvoir garder son sexe dans sa bouche. Elle était désormais à quatre pattes, légèrement cambrée, ce qui faisait remonter ses magnifiques fesses.

Les deux hommes matèrent ce cul splendide que le soleil, passant entre les épis de maïs, mettait en valeur en l’illuminant. Ahmed décida de passer derrière elle et délicatement il lui ouvrit les cuisses en écartant ses genoux.

Elle était fabuleuse dans cette position : à genoux, les mains au sol, le sexe de Karim dans sa bouche et les cuisses écartées Ahmed lui caressa les fesses et les léchât. Il passa sa langue sur son anus et elle tressaillît. Il passa délicatement ses doigts sur son anus et le titilla délicatement. Elle fit bouger ses hanches et eu quelques profondes respirations comme pour l’inciter à continuer.

Il n’hésita pas une seconde et enfonça lentement son index dans l’anus d’Aurélie. Elle retira le sexe de Karim de sa bouche juste le temps de soupirer un langoureux Oh ouiii. puis se remit à le sucer.

Voyant qu’elle aimait cela, Ahmed inséra un deuxième doigt dans ses belles fesses de blanche et la doigta lentement, avec délicatesse, pendant qu’elle se délectait du sexe de Karim.

Ils avaient tous les deux compris comment ils devaient s’y prendre avec Aurélie : avec délicatesse et douceur. Elle semblait ouverte à l’idée de se donner complètement à eux à condition qu’ils la traitent avec respect.

Ahmed retira ses doigts tout doucement et se mis à genoux entre les jambes d’Aurélie qu’il écarta doucement. Il fit glisser sa verge dans la raie de ses fesses, il regardait son sexe de beur faire des mouvements entre ses belles fesses blanches, fermes et délicates. Puis il dit :

— Alors comme ça, ton mari est un raciste, il va mettre un bulletin d’extrême droite dans l’urne aux prochaines élections ? Imagine sa tête s’il te voyait maintenant entre deux rebeux. Ça me donne envie de voter à ma façon, en insérant mon gros sexe d’arabe dans tes petites fesses de blanche, qu’en dis-tu ? Est-ce que tu m’autorises ?

Ils virent un sourire se dessiner sur son visage tandis qu’elle continuait de sucer Karim. Elle s’interrompit et tourna sa tête.

— Quelle belle façon de réparer une injustice , dit-elle. Et j’aime beaucoup le fait que tu me demandes l’autorisation, c’est très galant de ta part. Oui, vas-y, pénètre-moi, venge toi de tous ces racistes, enfonce ton beau sexe d’arabe dans mon petit anus de blanche, honore moi, j’en ai très envie.

Elle se remit à sucer Karim et Ahmed s’exécuta, il mis son gland contre l’anus d’Aurélie et poussa lentement. Son gland entra puis le début de sa verge puis toute entière

Aurélie sentit ce gros sexe la pénétrer, elle dût s’arrêter quelques instants de sucer Karim, baissa la tête, retint sa respiration puis lâchât une longue expiration. Il était tout entier dans ses fesses, elle le sentait tout dur à l’intérieur de ses entrailles et se demandât pourquoi elle n’avait pas fait cela auparavant. Elle se mordit la lèvre inférieure, levât le sexe de Karim pour lécher ses couilles. Ahmed commença à faire des aller-retours dans ses fesses

Son anus, désormais bien dilaté, recevait avec bonheur les mouvements de va et vient de cette grosse verge. Elle était en train de se donner et recevait tellement en retour. Ces deux beaux arabes la pénétrait avec calme et délicatesse, elle sentait à tour de rôle une verge entrer dans ses fesses et dans sa bouche. Parfois, Ahmed et Karim se synchronisaient et la pénétraient en même temps, elle adorait cela.

Soudainement, elle se dégageât des deux sexes, se levât puis caressa leurs visages en les regardant, un sourire aux lèvres.

— C’est la première fois que je me fais sodomiser par un arabe, il faut absolument que j’essaye une autre bite d’arabe pour confirmer que vous êtes vraiment meilleurs que les blancs.

Cette fois, elle se mit à genoux en présentant ses fesses non pas à Ahmed mais à Karim. Elle voulait une pénétration anale par un autre partenaire Karim, subjugué par la beauté des ces fesses, ne se retint pas une seconde et la pénétra. Ahmed prit délicatement la tête d’Aurélie et la baissa jusqu’à son sexe.

Avant de commencer à le sucer, elle dit ces quelques mots : Ce serait pour moi un honneur que de vous sentir jouir à l’intérieur de moi. Ahmed mit son sexe dans sa bouche et les deux continuèrent de la pénétrer en augmentant la cadence.

Quel plaisir immense, une bite d’arabe dans les fesses, une autre dans la bouche, elle suçait et se faisait enculer en même temps.

Ils ne tenaient plus. Ahmed fut le premier à jouir, il lâchât tout son foutre dans la bouche d’Aurélie qui avalât avec bonheur, continuant à lécher son gland plein de sperme.

Karim la tenait par les hanches et la pénétrait avec force et rapidité, il essayait de tenir encore un peu mais était trop excité par la vue de son compagnon en train de se faire lécher le gland par Aurélie.

Il n’y tint plus et, juste avant de jouir, cria quelques mots en arabe qu’Aurélie ne comprit pas mais cela l’excita énormément : elle pensa à son imbécile de mari, ce petit blanc raciste, xénophobe, qui n’aimait pas les maghrébins, elle imaginait la tête qu’il ferait en la voyant se donner à ces deux beaux étalons arabes.

L’image de son mari trompé, les aller-retours de Karim dans ses belles fesses et le goût du sperme d’Ahmed dans la bouche lui procurèrent un tel plaisir qu’elle eut un orgasme. Au même moment, Karim lâchât plusieurs saccades de sa semence dans l’anus d’Aurélie, prolongeant encore plus son orgasme.

Ils ralentirent leurs mouvements en pressant leurs verges entre leurs doigts pour en faire sortir les dernières gouttes. Karim retira son sexe des fesses d’Aurélie dont s’écoula un filet de sperme. Ses lèvres luisaient du sperme d’Ahmed, elle passa sa langue comme pour en profiter encore un peu. Elle sourit.

Aurélie était très heureuse. Ce soir, en rentrant chez elle, elle allait embrasser son mari raciste et il ne se douterait pas un instant de ce qui s’était passé. Il n’imaginait pas que deux maghrébins, qu’il déteste tellement, avaient pénétrés la bouche et l’anus de sa femme, qu’ils y avaient déversés leur sperme et qu’elle avait aimé se donner à ces deux beaux arabes.

Il ne se doutait pas non plus que pour sa femme, ce n’était qu’un début

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