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Un dîner absolument parfait – Chapitre 2




Préambule :

Jamais je n’aurais imaginé que la soirée prendrait un tel tournant… Certes, Murielle et moi avons eu envie pour la première fois depuis que nous l’avons acheté il y a plusieurs années, de sortir ce jeu de société pour adultes… Mais vous dire ce qui nous y a poussés ce soir là ? Impossible.

L’ambiance intime et chaleureuse ?

La compagnie charmante de nos amis ?

Le besoin de partager, de découvrir ?

Un peu tout ça à la fois et puis surtout par quelque chose dont j’ignorais encore la teneur.

Quoi qu’il en soit, la soirée a basculé, pour notre plus grand plaisir, à tous les quatre…

Nous recevions ce soir là : Eva, la brune aux cheveux courts, l’incandescente devenue indécente…

Son mari Dimitri, grand et robuste black doté d’une sacrée nature.

Suite :

Murielle, ma femme, venait de quitter le salon pour préparer la chambre.

Notre lit king-size ne serait pas de trop pour accueillir nos amis et tout nouvellement amants.

En attendant qu’elle nous appelle à la rejoindre, Dimitri et moi passons de délicieux instants à nous faire goulûment pomper le dard par Eva au beau milieu du salon.

Elle nous agrippe chacun par les couilles et pendant qu’elle avale l’un de nous, l’autre n’est pas en reste et reçoit d’expertes caresses du bout de ces doigts agiles sur la fente du gland. Je vous le conseille c’est tripant… Ses doigts glissent sur nos champignons, gorgés de sang et nappé de la salive ma fois pour l’avoir goûtée, gouleyante.

Entre nous deux, Eva est comme une bête surexcitée, affamée de sexe, de chaire, de bites, folle de désir, excitée à un point qu’il la rend hystérique ! Sans s’arrêter, elle alterne de nous prendre en bouche, de nous goûter l’un puis l’autre, parfois même, les deux en même temps…

C’est particulièrement excitant de voir sa bouche déformée par nos chibres et ses yeux dont le rimmel coule nous fixer à tour de rôle. Elle a ce dont de s’envoyer une queue tout en vous regardant et vous faisant comprendre qu’il lui tarde de se fourrer la votre au fond de la gorge…

Elle prenait de plus en plus l’air d’une poupée à cul, d’une fuck doll comme ils disent, elle avait ça dans le sang.

Eva était toujours habillée et j’étais depuis plusieurs minutes maintenant obsédé par la tâche de mouille plaqué sur son entrejambe… il me tarde de la goûter à mon tour.

— Dim ?

— Ouais ?

— Ta femme c’est une bombe…

— Merci mon pote !

— Faut que je te demande un truc.

Et à Dim de poser à cet instant sa grosse pogne de pilier sur la tête de sa femme taille mini-modèle pour lui imprimer une cadence et des profondeurs de plus en plus audacieuses…

— Vas-y !

— Je vois qu’elle mouille vachement depuis le début

— Elle est grosse mouilleuse c’est vrai et t’as encore rien vu mon pote !

— Tu veux dire que ?

— Tu m’as compris…

Je n’en revenais pas, Eva, femme fontaine chez moi, ce soir dans mon lit, ainsi que celui de Murielle mon épouse !!

— Je voudrais que tu me laisses la lécher en premier…

— Mais fais toi plaisir ! Je saurais quoi goûter moi aussi en premier…

Comme pour répondre à son allusion, Murielle nous appelle de la chambre

— Venez, c’est près !

Dimitri ne se fait pas prier et part le premier, laissant à Eva de longs filets de salive à la bouche. Je ne lui en veux pas, je sais que ma femme lui fait très envie. Sans doute parce que son physique est à l’opposé de celui de sa femme… Et à bien y réfléchir, c’est aussi pour cela qu’Eva me fait tant envie.

Alors que son mari s’éloigne, j’aide Eva à se relever et ne résiste pas à lui plaquer la main sur son entrejambe trempé.

Elle pousse un cri de surprise mêlé de plaisir et pose violemment sa bouche sur la mienne pour y fourrer la langue quelques secondes puis,

— T’as entendu ?

— Quoi ?

Demande-t-elle haletante.

— C’est moi qui vais avoir la primeur de ton jus de plaisir.

— Tout ce que tu voudras…

Pour m’inciter à la caresser elle repose sa jambe droite sur l’accoudoir du canapé et m’offre ainsi toute latitude de la contenter. Elle est chaude et entièrement trempée c’est incroyable ! Je n’ai jamais vu ça. Sa langue dans ma bouche est frénétique et elle pousse même son bassin contre ma main qui la caresse.

Depuis le début de la soirée, c’est un peu la première fois que je l’ai pour moi tout seul, si je puis dire. Et je me sens plus à l’aise pour lui parler crument et je ne me gène pas pour lui dire à quel point j’ai envie de la goûter.

Il semblerait que chacun de mes mots font mouche car elle pousse régulièrement de petits gémissements.

— Tu vas être servi mon salaud, je mouille toujours beaucoup mais ce soir, je me sens couler comme un ruisseau…

— Rejoignons les autres

Sans nous concerter, nous marchons doucement et silencieusement vers ma chambre, comme si nous avions l’un et l’autre envie de surprendre notre partenaire dans les bras d’un/e autre…

Prêtant l’oreille, nous entendons Dimitri parler à Murielle.

— Oh oui… on voit que t’aime ça la grosse bite de black hein ? T’aimes le goût ? L’odeur ? La taille ?

— Tout ! Putain j’aime tout de ta grosse bite noire

Dit elle en recrachant l’engin.

— J’aime tout… elle est bonne, elle est douce, elle est chaude, elle est large et puissante…

— Tu vas aimer la prendre partout ?

— Oh oui partout… je la veux partout… partout… fous la moi partout…

Je suis très excité en l’entendant parler comme ça… et je ne souhaite pas que notre arrivée les brise dans leur élan et ne leur coupe ce délicieux moment. ? Nous approchons encore et les apercevons enfin.

Dimitri est à genoux dans le lit, au-dessus de Murielle totalement nue, allongée sur le dos, la main gauche serrant la queue brune et l’autre, notre godemiché qu’elle se passe sur le clito déjà très gonflé. Merveilleuse vision… Ma femme en pure salope à baise, quel plaisir.

De plus, Murielle a transformé notre chambre en véritable lupanar : lumières tamisées, bougies parfumées, musique soul… Le pied !

Je m’approche de Dimitri alors qu’Eva retire son haut, son soutien-gorge et descend son pantalon.

— Dim putain, j’ai adoré t’entendre lui parler comme à une salope… – Halètement de Murielle continue surtout, j’ai l’impression qu’elle adore ça. C’est pas tous les jours que Madame va se faire mettre par un black et je crois que c’est un de ses fantasmes les plus inavoués… Tu sais qu’elle est d’une famille chic, carrément snobe… Les blacks et les rebeus, c’est pas trop leur trip, mais Murielle, comme ses surs et sans doute sa mère n’ont qu’une envie en secret, seules dans leur lit quand Monsieur n’est pas là… se fourrer tout ce qu’elle peuvent dans le cul et la chatte en s’imaginant un type comme toi les traiter comme des traînées… Alors s’il te plaît, fais lui ce plaisir… Défonce la, souille la, insulte la, salope là…

Dimitri me sourit et lève sa main pour un check, comme lorsqu’un marque un essai dans l’équipe.

Eva est montée sur le lit, entre les jambes de Murielle. Je fais le tour moi aussi et me place à côté d’elle en faisant écarter ses cuisses à ma femme le plus possible. L’un à côté de l’autre, nous nous roulons une pelle bien baveuse juste au-dessus du mont de Vénus de ma femme. Je lui prends le gode des mains et le fourre dans la bouche d’Eva. Je la regarde attentivement découvrir le goût de la chatte de Murielle.

— Tiens, goûte un peu…

Elle s’exécute et lèche l’appareil.

— Tu l’aimes j’espère ?

— J’adore… et j’ai très envie de la lécher ta femme maintenant.

— Va falloir partager avec moi… mais vas-y… tu es mon invitée après tout.

Alors qu’Eva pose ses lèvres sur la vulve de Murielle, je goûte le godemiché à mon tour. Hmmm le savoureux parfum de ma femme…

Je regarde Eva suçoter le clito de Murielle et trembler de plaisir. Je ne résiste pas et mouille deux doigts que je lui insère dans la chatte.

— Tu aimes ça ma chérie qu’on soit trois sur toi ?

Enter deux goulées, Murielle me répond systématiquement. Je la connais bien et elle aime ça qu’on lui parle et lui raconte des trucs cochons.

— Oh oui putain j’aime ça… je me sens tellement salope ce soir !

— Moi aussi ma belle je me sens cochon et j’aime les voir te faire du bien, je vais adorer te voir te faire mettre.

— Oui, oui et aussi je veux que vous me la mettiez tous les deux ! J’ai envie qu’on me prenne en sandwich, qu’on me remplisse les trous !

Sur son clito, Eva ne ralentit pas, elle suçote, lèche, renifle, avale, recrache… Un festival de jeux de bouche. De mon côté, je ressors régulièrement les doigts de la fente de ma femme pour étaler sur son clito un peu de sa mouille intime, qu’Eva s’empresse d’aspirer…

Toujours au-dessus de Murielle Dim a envie d’autre chose.

— Bon allez, dégagez maintenant, j’ai envie de la fourrer cette belle chatte de grosse blanche !

A entendre ses mots crus, Murielle pousse un gémissement de l’ordre du rugissement de plaisir ! Enfin, elle va l’avoir sa massue black !

Eva et moi laissons la place à Dim et glissons de l’autre côté du lit. Mais Dim semble avoir envie des deux attrape sa femme par les cheveux et plaque son visage sur le ventre gras de Murielle, juste au dessous de son con suintant de mouille et de salive. Elle est à moitié allongée sur ma femme, cuisses écartées et tête maintenue fermement par son mari !

Quel spectacle !!

Je regarde Dim en action et j’admire ! Entre chaque estocade dans la fente de Murielle, que le qualifierais de progressive, il se rince la bite dans la bouche d’Eva !

Murielle n’en peut plus, elle a les yeux exorbités à chaque fois que Dimitri s’enfonce en elle, toujours un peu plus profond !

Alors que je suis subjugué par cette scène pornographique trash mais ô combien excitante, Eva à son tour m’attrape par la nuque et me fait descendre entre ses cuisses, grandes écartées. Elle malaxe ses petits tétons tendus tout en laissant sa main droite la fouiller en profondeur.

Comme pour m’amadouer, elle ressort ses doigts dégoulinant de son jus pour me les introduire dans ma bouche.

— Tu voulais me goûter c’est ça ?

— Oh la vache oui, putain, donne moi tes doigts, encore et encore…

Et notre nouveau petit ballet obscène commence, ses doigts passent de sa chatte à ma bouche et m’abreuvent…

Au-dessus de ma femme, Dimitri se contrôle le plus possible, il s’enfonce de plus en plus et commence à faire crier ma bourgeoise, complètement hystérique !

— Putain, vas-y enfonce toi, défonce moi la chatte bordel ! Défonce moi comme si j’étais en caoutchouc, je veux te sentir me taper tout au fond, écartèle moi comme une bête !!

Dimitri n’en revient pas ! (ni moi d’ailleurs, occupé maintenant à lécher de manière gourmande la fente d’Eva !)

— Quelle grosse traînée tu fais !! Mais tu t’écoutes à parler comme ça ? C’est pas une femme respectueuse qui parle comme ça, je te le dis moi !

— Non je suis pas une… Je veux pas qu’on me respecte… Je veux qu’on me salisse putain !

— T’es pas une grande dame non ! T’es rien qu’une grosse blanche bien grasse aux mamelles de vache qui se fait mettre par un salaud de black ! T’es rien qu’une dégueulasse, une salope ?

— Je suis une pute à foutre !

— Mais oui ! T’aimes ça le foutre toi ? T’aimes ça en recevoir sur la gueule ? De la bien chaude ? De la bien gluante ?

Je connais toutes les réponses à ces questions mais je préfère me délecter de les entendre de la bouche de ma femme…

Mais elle n’a pas le temps de répondre ! Dim’ lui crache un paquet de salive entre la bouche et la joue. Murielle sursaute !

— Tiens ! Fais comme si c’était du foutre ! Montre moi ce que tu fais du sperme qu’on te fout sur ta tronche de garage à bites !

Murielle ne se fait pas prier et de la langue attrape tout ce qu’elle peut qui lui coule de la joue. Elle y joins même les doigts et verse tout entre ses lèvres ! Elle se met à gémir, à jouer avec la salive de Dimitri dans la bouche, fait des bulles, se gargarise, fait sortit puis ré-aspire ! Quelle cochonnerie !!!

J’admire la prestation dégueulasse de ma chienne d’épouse en me redressant et fourrant enfin ma queue dure comme un nerf de buf dans la chatte d’Eva. Elle est beaucoup plus serrée que je ne crois et mes poussées la font gémir rauque… Quelle bonheur !

Je la fourre copieusement tout en admirant ma femme dans un rôle de saloperie de traînée soumise !

J’attrape la bouteille de Champagne et nous arrose tous les quatre copieusement avant d’en boire une large rasade que je partage avec Eva, faisant couler de ma bouche, cet autre nectar de Dieux !

Je fais passer la bouteille à Dimitri qui en crache dédaigneusement à la gueule de Murielle, qui halète à chaque giclée.

— Et ton cul ? Tu me le montres ton cul de chienne en chaleur ?

— Oh oui putain mon cul, oui je te le donne, prends le mon gros cul plein de cellulite, défonce le moi plus fort que ma chatte !!

— Comme tu voudras…

— Il y a du lubrifiant sur la table de nuit… mets m’en un peu !

Toujours au service, mon pote Dimitri ne se fait pas prier, mais a tendance à exagérer ! Il attrape le lubrifiant et en asperge copieusement tout le corps de Murielle, si bien qu’elle se retrouve bientôt toute huilée et luisante !

— Ça rend tes bourrelets plus appétissants encore !

— Salaud, tu me souilles…

— C’est pas ce que tu voulais peut-être ?

— Oh salaud, oui salope moi…

Dim’ repousse les cuisses écartées de Murielle plus haut encore pour lui fourrer la langue jusque dans le trou du cul.

— Oh ouiiii…

Je profite de ce moment pour sortir ma queue en feu du con trempé d’Eva pour donner sa substance à boire à ma femme. Je lui enfonce dans la bouche jusqu’à la garde, jusqu’à des haut-le-cur dégueulasses.

Je me retire et lui ordonne de tout avaler quand Eva attrape justement la bouche de Muriel et lui enfonce une langue baveuse jusque dans la gorge.

L’occasion est trop belle ! Je veux leur bouches autour de ma bite !

Je glisse entre leurs lèvres juteuses et laisse leur langue m’envelopper…

Je suis au Paradis. Et je dois admettre que de voir mon pote black bouffer le gros cul de ma femme me fait encore plus triquer !! Commetn se fait il que je n’ai pas encore éjaculé ? Je suis un type avec un peu d’endurance sexuelle mais là ça dépasse tous mes reccords !! Je sens que ma bite est au bord de l’explosion mais je me sens encore totalement performant !!

Les filles me sucent comme si leur vie en dépendait !! N’hésitant pas de temps en temps à se bouffer la gueule l’une de l’autre, échangeant toute sorte de fluides, le mien, le leur, les nôtres…

Soudain, j’ai cette envie :

Je fais se relever Eva et la place de manière à surplomber de son mont de Vénus, le visage de ma femme tordu de plaisir. Je fais sucer Murielle mes trois plus gros doigts en les enfonçant dans sa bouche pour les enduire au maximum de sa salive.

Quand l’opération me semble aboutie, j’enfonce mes doigts dans la chatte d’Eva, sans ménagement et lui secoue le vagin le plus rapidement possible tout en appuyant sur son ventre de mon autre main.

Eva se met à trembler, à rugir, à hurler de plaisir !!!

— Ça vient ! Ça vient au putain ça vient !!!

Et c’et venu !! Cet immense geyser de cyprine chaude jaillir de son con dilaté pour s’écraser en plein sur le visage de Murielle, Eva, beuglant à chaque giclée, puissante !

Son jus dégouline le long du cou de mon épouse et ruisselle jusqu’entre ses cuisses.

Et à Dim de recevoir en fin de course, cette offrande liquide de sa femme…

— Putain !!!

Je n’en reviens pas de la puissance du jet ! Murielle est trempée, comme si elle avait plongé la tête la première dans une mare de jus de chatte. Eva s’affaisse sur le lit comme une marionnette sans fil pour la retenir. Elle est exténuée, à bout et souffle, ivre de plaisir. Vidée…

C’est là que Dimitri se redresse et nous bouscule de manière à venir prendre ma femme par en dessous. Il la fait s’asseoir sur lui et elle guide, d’une main experte et avide, son sexe noir géant vers son petit illet huilé de sa salive.

Elle le voulait, elle va l’avoir. Alors qu’elle gémit au fur et à mesure que son cum avale Dimitri, Je fais le tour du lit et fait face à Murielle, embrochée comme une truie. J’ai envie de lui mettre moi aussi, son con, rétréci par la présence de Dimitri dans son anus me fait de l’il. Je racle un peu de cyprine d’Eva entre les seins de Murielle, que j’agrémente d’un crachat et je badigeonne son con serré. Je sens son clito gonflé comme jamais, elle va partir d’un instant à l’autre !

Je me dépêche de forcer l’entrée de sa première caverne à sperme et entâme, de concert avec Dim, un coupé-décalé saccadé qui la pilonne par les deux trous…

Murielle semble aux anges, ou plutôt en enfer, prise en sandwich par deux démons lubriques infatigables !! Elle pousse, râle, gémit, crie, couine son plaisir. Coupable aussi, de se sentir prendre par deux bêtes en rute qui vont la remplir de foutre !

Et ce moement ne tarde pas à arriver… Dimitri le premier donne le signal, son illet bien serré a eu raison de sa force et il ne va pas tarder à juter.

— Je vais te balancer une belle purée de foutre de black dans le cul ma salope de bourgeoise !

— Hannnnnn-mmmmmmhhmmmmm

— T’entends ça chéri, ton cul est un garage à queue de black maintenant ! Je vais te le rappeler à chaque fois que je te prendrai !

— Hannnn… je décolle !!! Oui, oui, oui, oui putain, baisez moi encore oui ! Putain salauds, salauds, vous êtes des dégueulasses, vous me prenez comme une chienne à sperme !!!

Dimitri se met à grogner de plus en plus fort et beugle à tout reompre, un râle bestiale qui accompagne chaque giclée de son sperme dans le cum de ma femme !

Murielle n’est pas en reste et hurle maintenant de jouissance, d’une petite voix aigue que je connais bien dans ces moments-là, mais jamais dans cette tonalité…

A mon tour je m’incline, je sens la sève monter, enfin, le long de mon chibre, et toute une vague de plaisir va jaillir depuis mes reins, ma plante de pied, le haut de mon crâne ! En de nombreux flots de foutre qui inonde cette fois mon épouse par la chatte…

A mon tour de beugler !!

Dim et moi nous vidons jusqu’à la dernière goutte !! Comme si nous avions encore une dernière idée…

Encore pantelante et en sanglot post-orgasme, nous faisons mettre Murielle à quatre pattes dans le lit et Eva se glisser entre ses cuisses.

— Pousse maintenant ! Allez, fais nous sortir ce foutre de ton cul pour voir s’il est bien black !!

Dim a débander très peu, idem pour moi. Je me sens encore excité mais pas encore prêt à enfiler mon dard quelque part.

Eva se contorsionne sous Murielle, elle aussi attend sa purée…

— Allez, sois partageuse, donne m’en un peu du foutre de ton mec…

A ces mots, Murielle, comme un automate à bout de souffle mais encore alangui de plaisir, s’enfonce deux doigts dans la chatte et fais ressortir tout ce qu’elle peut de mon foutre. Il y a bientôt de larges rasades de sperme qui s’écoule de son con jusqu’au visage et la bouche d’Eva.

— Hmm… c’est encore tout chaud… Elle a presque le goût de celle de mon mec…

— Ah bon ? Fais voir que je compare…

Et à Murielle d’enfoncer ses mêmes doigts dans son cul et de faire sortir en poussant la giclée monstre de Dimitri. Elle porte ses doigts souillés à sa bouche tandis que le reste de la coulée s’écrase sur le visage saccagé d’Eva, et plus particulièrement sur sa langue tendue à la sortie du cul de Murielle…

Merveilleux spectacle que ces femmes, nos femelles, qui communient et goûtent chacune à tour de rôle les foutres bientôt mélangés de leurs amants de la soirée…

Le lendemain,

Je reçois un SMS de Dimitri, pour nous remercier pour cette incroyable soirée, au nom de sa femme et lui.

Ils sont prêt à recommencer et à pourquoi pas, ouvrir à d’autres de nos amis et connaissances…

Je suis sceptique, tout le monde ne peut pas être aussi affamés de cul que nous le sommes !

Pourtant, dans un ultime message, Dimitri m’assure que sa cuisine Antillaise spéciale, a fait des miracles hier soir et qu’elle en fera d’autres !

Fin

Merci à tous d’avoir pris votre pied sur cette histoire,

Lickez, ça me fera plaisir et m’encouragera !!

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