Arthur prit très rapidement les choses en mains, avec une grande confiance. Alors même qu’il venait d’embrasser une fille en couple, ne sachant pas si elle était coutumière du fait ou non. Pourtant, après s’être longuement embrassés avec Lara, sans lui adresser la parole il la fit se mettre à genoux.
Lara put remarquer à travers son short que sa queue était déjà gorgée de sang et prête à servir. Il baissa son short, laissant son sexe se dresser sèchement, avec la pression de l’élastique qui se relâcha. Puis il posa son gland sur les lèvres de Lara, mit sa main derrière sa tête et appuya fermement pour faire rentrer sa queue dans la bouche de Lara.
Cette dernière lâcha complètement prise, se laissant guider, utiliser comme bon sembla à Arthur. Très vite les va-et-vient dans sa bouche s’intensifièrent, tant au niveau du rythme, que dans la profondeur à laquelle il glissait sa queue en elle.
Lara commença très vite à se sentir excité par cette situation. Non pas de tromper Paul, auquel elle ne pensa pas un instant durant tout l’acte, mais par le fait d’être prise en main, virilement, fermement. Cela ne put lui manquer auparavant, puisque c’était inconnu pour elle, c’est comme si à cet instant elle découvrit une nouvelle façon de baiser, une nouvelle sexualité.
Arthur d’ailleurs lui ne douta jamais un instant de la docilité de Lara. Prenant parfois sa queue à pleine main pour la coller sur le visage de Lara afin qu’elle puisse passer sa langue sur ses couilles. Ce qu’elle fit avec entrain. Puis lorsqu’il le décida, au bout de quelques minutes, il la releva pour la mettre sur le dos au bord du lit.
Il retira son bas de maillot de bain, avant d’enfoncer ses doigts dans une chatte déjà toute chaude et mouillée par le début d’acte. Il ne la ménagea enfonçant directement trois doigts, faisant des va-et-vient énergiques, seuls son pouce et son petit doigt n’étant pas rentré dans sa chatte. Lara commença déjà à gémir de plaisir. Elle fut comme possédée par les sensations nouvelles qu’elle ressentit à chaque instant. Elle s’abandonna sans retenue à Arthur, lui laissant le loisir de faire ce dont il eut envie.
Arthur, malgré le plaisir qu’il eut à faire gémir Lara ainsi, ne put rapidement s’empêcher de fourrer sa queue dans cette chatte qui lui sembla si accueillante. Le temps d’enfiler une capote, et son sexe s’enfonça sans aucun mal dans sa chatte, ce qui arracha un gémissement de plaisir puissant à Lara. Il prit ses hanches larges dans ses mains, et commença sans ménagement à littéralement labouré la chatte de Lara, qui jouissait avec un niveau sonore absolument pas contenu. Heureusement que le bungalow se trouva isolé dans le camping.
Dans la façon de procéder d’Arthur, on pouvait facilement deviner les influences de son métier de militaire. Carré, sans tendresse, ferme et vigoureux. Il baisa Lara, comme jamais elle ne l’eut été, ne laissant transparaître que peu d’émotions sur son visage. Il eut simplement l’air concentré, motivé dans son effort de faire jouir le mieux possible sa partenaire, la baiser au mieux.
Après de longues minutes, il finit par la retourner à quatre pattes, pour continuer son uvre en levrette. Les deux partenaires qui restèrent silencieux, tout au long de l’acte, se trouvèrent une alchimie sexuelle comme jamais Lara pensa ne pouvoir ressentir. Seulement à cet instant elle se trompa. Ce ne fut pas une question d’alchimie, mais de style, de manière et d’attitude. Elle ne le comprendra que par la suite.
Pendant ce temps, Sophie, dans un style plus mesuré passa aussi à l’acte avec Julien. Enfermés dans une cabine près de la piscine, leurs langues se mélangèrent vigoureusement. Julien tenant fermement par ses fesses Sophie, elle en train de caresser avec sa main le sexe vigoureux de Julien. Cela dura quelques minutes, le temps pour Sophie d’accélérer la masturbation de Julien et de finir par le faire craquer et tout éjaculer. Le râle de plaisir qui accompagna l’éjaculation étant masqué par le fait que leurs bouches ne se soient pas séparées un instant durant tout ce temps.
Le temps pour Julien de se nettoyer rapidement et les deux nouveaux tourtereaux prirent la décision de rentrer au bungalow, histoire d’aller se découvrir plus en profondeur.
Et Paul dans tout ça ? Il finit par abandonner sa quête de recherche dans le parc et prit la décision lui aussi de retourner au bungalow.
Les premiers à y arriver furent Sophie et Julien, qui se regardèrent avec un grand sourire, vite accompagné de quelques rires, après quelques blagues sur comment Lara devait se faire baiser, vu le volume sonore de ses gémissements.
En effet Lara et Arthur n’en avait toujours pas terminé leur partie de plaisir. Au bout de quelques minutes Arthur ne pouvant plus se retenir, serra d’un coup sec les hanches de Lara de manière beaucoup plus ferme. Il accéléra la cadence pour très vite éjaculer et relâcher le plaisir, sans pour autant avoir oublié de faire jouir sa partenaire auparavant. Cette dernière était comblée, mais aussi épuisée, de s’être fait baiser aussi sauvagement, elle n’en eut pas l’habitude, elle fut, contrairement à lui, essoufflée.
C’est le moment choisi par Sophie et Julien pour rentrer dans la chambre, sans prévenir. Ils eurent en rentrant la vue qu’ils s’imaginèrent aisément quelques secondes auparavant. Julien le sexe encore rentré dans la chatte de Lara en levrette, cette dernière la tête couchée sur le lit.
— Eh bien vous n’avez pas perdu de temps pour bien faire connaissance vous deux, dit Julien dans un éclat de rire.
— Putain Lara on dirait que tu viens de faire un marathon tu es toute rouge, renchérit Sophie en voyant son amie ainsi épuisée par l’acte.
— Arthur, large sourire, répondit, oui, je crois, l’alchimie est bien passée entre nous
Après avoir continué à blaguer sur la situation quelques instants, Sophie et Julien se posèrent sur la table devant le bungalow côte à côte, vite rejoints par Arthur et Sophie, une fois ces deux derniers rhabillés. Sophie prenant place, assise en perpendiculaire, sur les genoux d’Arthur en lui roulant, sans aucune gêne, une pelle de satisfaction.
C’est cette situation que Paul fut sur le point de découvrir lui qui fut proche d’arriver au bungalow.