Sophie s’était couchée à la fois comblée et honteuse. C’était le premier plaisir charnel auquel elle s’était adonnée. Certes, contre sa volonté, mais cela n’avait rien enlevé au plaisir. Et c’était bien de cela dont elle avait honte. Et pour cause ! Celles avec qui elle avait forniqué se trouvaient être non seulement ses surs, mais aussi des femmes.

Dans son lit, Sophie soupira. Oui, elle sera condamnée à l’enfer pour ce double pêché. Car, même contrainte, elle avait aimé.

Oh oui, ce qu’elle avait aimé

Et ces deux pestes l’avaient su dès qu’elle les avait inondées de son plaisir.

Sophie se cacha sous les draps.

Si elles racontaient tout à leur mère. Ce serait la fin

Au moins, se dit-elle pour se réconforter, avait-elle toujours sa virginité.

Le cur serré, elle s’endormit.

Les jours passèrent.

Et rien ne vint troubler la vie de la famille.

Le père de Sophie s’enfermait tous les soirs avec sa nouvelle épouse et se consacrait à sa vie professionnelle et à sa fille durant la journée. Comme si de rien n’était.

L’être qu’il était la nuit n’avait rien de commun avec celui du jour.

Malgré tout, Sophie ne pouvait totalement écarter le souvenir de son côté obscur. Surtout lorsqu’elle surprenait les regards de ses deux affreuses belles-surs qui lui rappelaient cette nuit horribleet leurs pensées vis-à-vis de son père. Alors, elle s’écartait de lui, prétextant des choses à faire dans la maison pour aider sa belle-mère.

Mais la vérité était bien sûr toute autre. Elle faisait tout. Les autres femmes de la maison ne faisaient rien. Et ce n’étaient pas Jérôme, à moitié invalide, ou sa femme Marthe, qui auraient pu alléger sa charge de travail.

Mais elle ne disait rien.

Parce qu’elle aimait cette maison et tous les heureux souvenirs qu’elle recelait. 

Tout changea un jour de décembre. Lorsque son père dut s’absenter pour ses affaires.

Il partit le matin même en embrassant sa femme et ses deux belles filles puis s’isola un moment avec elle.

« Sophie, ma chérie. Je m’absente plus longtemps que d’ordinaire. Ne le dis pas à ta belle-mère, mais c’est toi que je nomme maitresse de la maison. Je te confie les clefs. Toutes les clefs.

– Toutes père ? »

L’homme en face d’elle plissa les yeux avant de secouer la tête avec un sourire désabusé.

« Oui, toutes. Même celle de la pièce interdite. Parce que quand je reviendrai, tu auras atteint tes 18 ans depuis quelques semaines et cette pièce est un héritage de famille. Alors s’il m’arrivait quelque chose j’aimerais que tu te l’approprie. Car cette maison sera ta maison. Je l’ai stipulé dans mon testament.

– Père, arrêtez de dire de telles choses ! Vous reviendrez ! Et tout sera comme avant.

– Oui »

Sophie regarda son père se redresser, lui caresser la joue et se hâter vers son cheval avant de partir au galop vers le portail de la propriété.

Son dernier regard fut pour elle.

Et cela scella le destin de la jeune fille.

Car sitôt son père disparut au loin, elle sentit une poigne de fer se resserrer sur ses cheveux.

« Alors ma chère, on a dit au revoir à son papa chéri ? »

L’esprit de Sophie s’embrouilla, la peur se le disputant à la douleur.

« Mère, vous me faites mal. »

Sophie se sentit retournée et croisa le regard de sa belle-mère, verte de jalousie.

« Et ce n’est qu’un aperçu ! La vie va changer maintenant jeune fille. »

La pauvre jeune fille se débattit. En vain.  Sa marâtre la traina par les cheveux vers l’intérieur de leur demeure sous les rires et les cris de joies de Javotte et Anastasie.

Une fois à l’abri des murs lambrissés, Sophie fut jetée au sol et la douleur cessa enfin. Le souffle court, elle redressa la tête et vit avec horreur ses deux belles-surs s’embrasser goulûment pendant que sa belle-mère retroussait ses jupes pour laisser apparaître un énorme godemichet attaché à uneceinture. Une de celles de son père

La jeune fille poussa un cri et ramena ses jambes vers elle.

« Sais-tu qui j’étais avant d’épouser son père ?

– N non ?

– Une maquerelle. »

La rapidité de la réponse et la satisfaction qui perçait dans la voix de sa belle-mère laissa Sophie bouche bée.

« Eh oui jeune fille. J’ai connu ton père dans un bordel pendant un de ses voyages d’affaires. Le pauvre pleurait encore la perte de sa précédente épouse. Cela faisait des mois déjà, mais apparemment il y tenait à sa petite duchesse. »

Sophie serra les poings de rage.

« Oh, regardez-moi ça. On dirait que j’ai touché un point sensible. »

Sa marâtre se rapprocha d’elle, caressant le gode.

« Et sais-tu ce qui lui plaisait ? Sais-tu pourquoi il revenait toujours dans mon lit lors de chacun de ses voyages ? Non ? Eh bien. »

Elle se pencha et chuchota à l’oreille de Sophie.

« C’est parce que je le faisais bander bien plus que ta mère ma jolie. »

Choquée, la jeune fille ne put répondre Elle sursauta lorsqu’elle entendit un cri. Javotte et Anastasie, jupes retroussées, se doigtaient devant elle. Et devant leur mère.

« Sais-tu que Javotte et Anastasie sont les meilleures filles qu’une mère puisse avoir ? Enfin, regarde-les. Depuis toujours je les préservais dans mon bordel, leur laissant une chambre à elles, loin des turpitudes de ma vie de débauches, autrement pour sûr qu’on me les aurait enlevées Et bien figure-toi que ce sont elles, un jour, qui ont appâté un de mes plus gros client. Il aimait les très jeunes filles. Elles sont restées avec lui jusqu’à l’aube et depuis lors il est revenu tous les soirs pour elles. Avec des amis. L’argent qu’elles m’ont rapporté m’a permis de soigner mes tenues, de m’éloigner des activités charnelles et de me consacrer à une autre grosse entreprise. Ton père. Je l’ai charmé. Je l’ai laissé me baiser de toutes les manières, puis je l’ai mis à mes genoux, me rendant de plus en plus indispensable. Et quand il a su que mes deux pauvres amours étaient vouées à une vie pire que la mienne si je ne trouvais pas un parti convenable, ça a été le déclencheur. Il m’a épousé. Et me voilà. Maîtresse de cette demeure »

Au départ déconcertée, Sophie avait senti la colère l’envahir au fur et à mesure des explications de son odieuse belle-mère. Mais ses derniers mots la firent sourire.

« Eh bien petite dinde, qu’as-tu ?!

– Ce n’est pas vous la maitresse des lieux chère belle-mère. C’est moi.

– Voyez-vous ça.

– Père l’a mentionné dans son testament.

– Oh. »

L’horrible femme mit la main dans la poche de sa robe et en sortit une enveloppe.

« Tu veux dire le testament qu’il m’a expressément demandé de poster pour lui ?

– Comment

– Oh je n’ai pas ouvert l’enveloppe. Je ne suis pas indiscrète. Mais une femme de ma condition doit toujours avoir trois coups d’avance. Et il ne m’a pas fallu beaucoup de perspicacité pour comprendre la teneur de ce pli. »

Des cris de plaisir étouffés leur firent tourner la tête. Javotte léchait à présent avec avidité l’intimité de sa sur pendant qu’elle-même se doigtait avec vigueur.

Sophie prit cette diversion pour une chance d’arracher l’enveloppe des mains de sa marâtre en vain. Elle fut plus rapide et la remit dans sa poche.

« Je disais donc que j’étais maîtresse de cette demeure. Et en tant que telle, certaines choses vont changer. Oh, mais n’aie crainte, pas toutes. D’abord, tu continueras à nous servir. Comme tu le fais. Malheureusement, le soir, tu ne pourras plus te reposer dans ta chambre. Nous allons la réaménager.

– Vous n’avez pas le droit !

– Oh, mais si

– Père vous jettera à la rue quand il rentrera.

– Nous verrons Donc nous allons la réaménager dans mes goûts pour disons quelques activités annexes.

– Quelles activités ?!

– Une sorte de chambre close.

– Jamais ! »

Sophie se mit sur ses genoux et porta la main sur sa belle-mère. Mais celle-ci l’arrêta aussitôt pour en lécher l’index avec un regard d’une lubricité inconnue à l’innocente jeune fille.

« Une femme doit pourvoir à ses besoins. Ton père sera absent longtemps et j’ai besoin d’un homme entre mes cuisses. Si ce n’est lui ce sera quelqu’un d’autre. Lors de nos réceptions, j’ai surpris certains regards sur moi et mes filles. J’ai bon espoir de revoir ces messieurs dans, disons, d’autres circonstances et de les faire payer pour leurs visites. Ce sera le prix de mon silence.Et toi pendant ce temps, chère Sophie. Tu nous serviras. Nue bien évidemment. »

La pauvre jeune fille la scruta, interdite.

« Quoi ?

– Tu ne participeras pas aux festivités. Du moins, pas tout de suite. Tu seras là en tant que domestique. Mais si un de nos clients exige des faveurs de ta part, tu n’auras d’autre choix que de le satisfaire.

– Vous allez nous prostituer ?!

– Regarde »

Elle tourna la tête de Sophie en direction de Javotte et Anastasie qui se broutaient maintenant le puits d’amour.

« A ce niveau là, ce n’est plus de la prostitution. Mais de la gourmandise Quant à toi, n’aie crainte. Nous préserverons ta virginité pour l’instant. C’est une denrée trop précieuse pour la gâcher comme ça »

Le souffle de Sophie se calma. Ce gode n’était donc pas pour elle.

« Lève-toi Sophie. Et mets-toi nue. »

Les yeux de la jeune fille s’agrandir de peur.

« Tu vas commencer à nous servir.

– Mais je croyais que

– Que ton corps serait dénudé uniquement pour les hommes ? Non c’était ma petite surprise. Tu seras tous les jours dans ton plus simple appareil. Car, comme tu as pu le constater mes filles et moi aimons aussi les femmes. Et »

La belle-mère posa la main sur la poitrine de Sophie.

« Elles m’ont raconté qu’elles avaient bien joui en ta compagnie et, mieux que tout, que tu avais joui comme une vraie fille de joie toi aussi. »

Le rouge aux joues, Sophie baissa la tête te se détacha brusquement de sa marâtre.

« Allez, mets-toi nue. »

Sophie jeta un regard à ses deux belles-surs. Elles étaient au bord de l’extase et, malgré elle, elle sentit un picotement s’insinuer dans son bas ventre.

Lentement, le cur battant, elle se dévêtit devant sa belle-mère.

Une fois complètement nue, elle la vit s’avance vers elle et la jauger.

« Elles n’avaient pas menti. »

Des cris de plaisir envahir le hall un instant, puis le silence se fit.

« Tu es une belle jeune fille. Tu pourras t’avérer utile pour la suite. Tourne-toi. »

Sophie obéit, les poings serrés.

« Et quel cul. Mes filles t’ont elles baisé par-là ?

– Non ! lança la jeune fille d’un ton apeuré en se retournant.

– Eh bien si nous devons préserver ta virginité et si nous ne pouvons pas nous amuser toutes les deux comme elles le font je vais devoir t’enculer ma belle. »

La tête lui tourna un moment, le temps de décider du chemin à prendre pour sa fuite. Sophie s’élança vers l’escalier menant à sa chambre.

Mais à peine avait-elle posé un pied sur la première marche que Javotte la rattrapa par les cheveux et la jeta au sol.

« Obéit Sophie, tu vas découvrir un plaisir immense à te faire sodomiser. Et maman connaît les femmes. Elle saura s’y prendre. »

Terrorisée, Sophie vit approcher sa belle-mère. Elle tenta de nouveau de fuir, mais Anastasie et Javotte lui maintinrent les bras au sol. Quant à ses jambes, elles furent rapidement maîtrisées par la femme qui aurait pu être une mère dans une autre vie et qui s’apprêtait à la violer.

« Mais d’abord, je veux voir si ce qu’elles m’ont dit est vrai »

La marâtre se pencha entre ses cuisses et donna un coup de langue sur les lèvres de la jeune fille.

« Mh tu es douce Sophie. Les hommes vont payer cher pour butiner ta fleur et se faire sucer le mandrin par une si innocente jeune fille.

– Ils m’ont connu depuis ma naissance ! Ils ne le feront jamais, par respect pour mon père !

– Tu serais surprise du nombre de principes moraux que les hommes abandonnent pour le sexe. »

Javotte et Anastasie prirent les mains de Sophie et les amenèrent vers leurs féminités pendant que leur mère se délectait de la fente humide de leur belle-sur.

« Arrêtez ! Par pitié ! »

Mes ses larmes, bien loin de faire stopper leur indécence, la décupla. Javotte et Anastasie se branlaient à présent contre ses doigts et sa belle-mère la dévorait, la pénétrant de sa langue jusqu’à la limite, excitant son clitoris d’une main experte.

Un cri de plaisir, le premier, franchit ses lèvres lorsque ses deux belles-surs commencèrent à lui lécher les seins.

Sophie se mordit la lèvre de honte. Elle n’était pas débauchée comme elles. Elle avait une éducation, des principes

« Non, pas là, arrêtez !! »

Sa marâtre venait de lui soulever les jambes et, tout en lui branlant le clito, léchait son petit trou intime.

Sa langue s’y insinua, lui arrachant un cri.

Mon Dieu c’était délicieux.

Quelle horreur !

Sophie se débattit plus encore.

Javotte prit les choses en main et étouffa son visage de sa chatte coulante.

« Tais-toi donc petite idiote, et lèche-moi plutôt ! »

Anastasie prit les mains de sa belle-sur, un peu contrariée.

« Et moi alors, qui me fait du bien ?! »

Javotte sourit en la pénétrant de trois doigts.

« Tu sais bien qu’on ne jouit jamais l’une sans l’autre. »

Les yeux fermés, Sophie sentait la chaleur envahir son corps. Elle avait honte mais c’était plus fort qu’elle ! Sans s’en rendre compte, elle commença à lécher le puits de  Javotte et s’aperçut que les parois de son intimité se contractaient.

Non ça n’allait pas recommencer !

Mais sa belle-mère ne l’aidait en rien à se contrôler ! Non contente d’avoir repris son clitoris entre ses lèvres et de se déchaîner contre lui en le suçant, l’aspirant et même le mordillant, elle caresser son petit trou de son doigt fin.

Elle allait le faire. Elle allait la prendre par cet endroit si intime

Mais pas avant de l’avoir fait jouir. Elle le savait.

« Oh maman, si vous saviez ce qu’elle lèche bien, se pâma Javotte en ondulant le bassin. Si nous agrandissions notre commerce aux femmes, elle serait une recrue précieuse.

– Nous y penserons ma chérie, gronda sa mère en continuant à brouter sa belle-fille. Pour l’instant, je veux la voir jouir ! »

Elle accéléra la cadence et Sophie sentit ses dernières barrières s’effondrer en même temps que des jets de plaisir inondaient sa marâtre qui se redressa, seins sortis, pour les enduire de son plaisir.

Javotte se retourna et jouit à son tour au spectacle, enfonçant ses doigts profondément en Anastasie qui la rejoignit une nouvelle fois dans la luxure.

« Oh mon trésor. Ma chère, ma belle Sophie, s’extasia sa belle-mère. Tu vas être la plus parfaite des petites catins. »

Sophie se cacha le visage dans ses mains et éclata en sanglots.

Mais la tristesse ne fut que de courte durée. La peur reprit bientôt le dessus quand elle sentit la matière froide du godemichet contre son petit trou.

« Non ! Pitié pas ça. Vous n’en avez pas eu assez ?!

– Oh non, et ce n’est que le début ma belle, lui sourit sa marâtre. »

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