A 20ans, les frustrations ne se vivent pas comme à 8, ni même comme à 40. Cet épisode dans le sauna, a éveillé en moi une sorte de toute puissance que je n’avais jamais ressentie avant. J’avais même pris du plaisir à humillier une fille devant son copain et menti juste après à sa propre soeur. Ce soir la je rentrais chez mes parents avec une satisfaction incroyable, mais aussi des pulsions animales toutes nouvelles. J’ouvris la porte, et je vis le tableau de famille, par excellence, ma mère, mon père et ma soeur à table entrain de souper.
— tu es encore en retard pour le souper! Me lança mon père.
— oui pardon, j avais plus de batterie pour prévenir
— tu parles, dit ma soeur, il devait être chez Sandra…
— ouais et alors
Les gamineries de ma soeur, etaient très souvent une cause de dispute, entre elle et moi. Malgré ses 16ans, elle se comportait certaine fois comme une gamine de 10ans. La personnalité de ma soeur, ne se résumait pas à cela. Elle savait se viellir quand cela l’arrangeait et avoir cette naïveté infantile à d’autres moment. Physiquement, la nature avait gâté ma soeur. Une jeune fille avec les cheveux auburn d’1m70, pour 52kg et des jambes infiniment grandes d’1m et des mensurations à couper le souffle: 90c 60 85.
Le repas se termine en silence, puis je pris mes affaires et alla dans ma chambre qui se trouve au sous-sol. Quelqu’un frappe à ma porte:
— hello, frérot, excuse moi pour tout à l’heure, c’est que j’adore te faire rougir devant les parents quand on parle de ta copine
Impossible de répondre! Je ne trouve pas mes mots, je cherche mon souffle. Mes yeux sont rivés sur le corps de ma soeur. Elle vient de rentrer dans ma chambre avec son shorty de nuit blanc a motif cerise et le débardeur associé. Ce blanc et rouge fait ressortir la paleur de la peau de ma soeur. Ses cheveux auburn semblent être de couleur flamme. Son shorty qui s’arrête juste sous les fesses lui allonge ses jambes. C’est pas la première fois que je la vois en pyjama, mais c’est première fois que je la vois en femme.
-Frérot, ça va?
-hein?!
-putain mais tu me mates?!!!!! Espèce de pervert.
Je me lève et tente de me justifier en me rapprochant d’elle. Je m’avance, elle recule jusqu’a toucher la porte avec son dos. Je tends la main et verrouille la porte. Elle se retourne, je lui mets la main aux fesses, elle fait volte face et me giffle. Je la soulève comme une plume et la jette sur mon lit. Elle crit. Je lui dis que personne ne va l’entendre. Je lui demande, pourquoi est elle venue habillé comme ça me voir. Elle me traite de malade. D’un coup, je lui attrape les cheveux à l ’arrière du crâne et l’embrasse. Au début, elle ne repond pas à mon baiser et serre les dents, puis au fur et à mesure que ma langue passe sur ses lèvres et à la comissure des lèvres, elle entrouve la bouche et me permet de la pénétrer de ma langue. Ma main gauche et descendue immédiatement pour jouer avec l’échancrure de de l’entre jambe de son shorty. Je me rends vite compte qu’elle ne porte rien d’autre que le shorty, lorsque mes doigts frôlent quelque poils. Ça m’excite, non en fait je le suis encore plus que ça. Je remonte ma main et la plonge directement dans son décolté.
-fais attention tu détends le tissu, me dit elle entre deux langues.
Ni une ni deux, ma deuxième main arrive, empoigne le col et de mes deux main je lui dechire littéralement de haut en bas son débardeur. Elle repousse un cri et proteste. Je la plaque sur le lit, d’une main sur le front, et commence à lui sucer les seins. Elle se débat en disant c’est mal,et plus elle se débat plus je continue. Je lui mordille les tétons, en fait je lui mange complètement les seins, lui tirant des gémissements. Ses jambes ont arrêté de gesticuler, ma deuxième mains descend droit dans son shorty. Je lui titille le clito, passe un doigt entre ses lèvres ruisselantes, enfonce une phalange dans son petit minou. Elle gémit de plus belle. Je retire ma main de son front et lui retire son shorty. Je me redresse et enlève mon bas de pantacourt. Elle se redresse pour exprimer une nouvelle fois son désaccord, mais la seule chose qui se passe lorsqu’elle ouvre la bouche, c’est que mon sexe s’engouffre dedans. Je lui imprime un va et vient regulier avec le bassin. D’abord maladroite, elle suce et aspire ce morceau de chair qui lui rempli la bouche. La sève monte très vite, j ’ai pas envie de m’arrêter, je suis entrain de lui baiser complètement la bouche. Je me rends compte qu’à ce moment, pour moi, ce n’est pas ma soeur, mais une femelle. Je me dégoute, mais me sens puissant , je lui pétris les seins. A ce moment la, je ne pense qu’à moi et à cette langue qui passe le long de ma tige d’animal en rute. Elle s’agripe à mes fesses, puis prend de plus en plus d’initiative, elle me masse les couilles et elle me pompe comme une déesse. Sans crier garde, je lui bloque la tête et me vide dans sa gorge. Elle ne peut qu’avaler mon sperme, même si une partie lui coule sur le menton. Je me retire, elle semble épuisée et un peu choquée par mon comportement et ma bestialité
-soeurette, si tu restes là cette nuit, je saurais me faire pardonner.
…A suivre
