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Road trip aux U.S.A. – Chapitre 1




Si je ne suis pas l’homme le plus heureux de monde, je n’en suis pas loin en tous cas. J’ai un métier que j’adore, une fiancée magnifique que j’aime et qui m’aime et depuis 5 mois nous effectuons un séjour aux USA. Les USANous en avions tous les deux rêvé et après nos fiançailles nous avons décidé de prendre une année sabbatique et de découvrir ce magnifique pays. Vous savez la chanson de Joe Dassin : « l’Amérique, l’Amérique je veux la voir et je l’aurai ». Et bien voilà, nous vivions notre rêve américain. Et nous le vivons intensément.

Je m’appelle Thomas, diplômé en communication, je partage la vie depuis quelques années avec la belle Aurélie. Vous allez me dire que l’amour rend aveugle, mais dans ce cas-là les nombreux hommes qui se retournent sur son passage doivent être amoureuxou aveugles au choix ! Elle mesure 1m65 pour 52 kg. Très fine elle a pourtant de belles formes pulpeuse, des fesses rebondies et une magnifique poitrine qui affiche un arrogant 85D. Mais ce qui me fait craquer par-dessus tout, c’est son sourire, quand il dévoile ses magnifiques dents et fait se plisser ses jolis yeux noisettes. Bref, c’est une très belle femme et je suis conscient de la chance que j’ai qu’elle m’aie choisi.

Dans notre itinérance américaine, nous logions la plus part du temps chez l’habitant. Ça nous permettait de faire de belles rencontres tout en diminuant le budget hébergement. Que du positif ! Nous avions vraiment la belle vie. Nous avions également découvert que la consommation du cannabis est autorisée ou tolérée dans la plupart des états, et, bien que nous ne soyons pas de très gros consommateurs, nous nous étions créés une petite réserve pour accompagner nos soirées.

Nous avions décidé de passer quelques jours dans la ville de Fargo, dans le Dakota du Nord, dans ce qui serait un petit pèlerinage sur les lieux du film culte des frère Cohen. Nous en profiterions pour visiter également une réserve amérindienne. J’avais sélectionné un B&B tenu par un certain Hubert Archambault. Le nom ne faisait pas très américain, mais la chambre proposée était grande et le prix très abordable. Le fameux Hubert était en fait un ancien bucheron Québécois d’une soixante d’année, qui s’était reconverti dans l’extraction du gaz de schiste et qui avait acheté cette maison pour prendre sa retraite. Il avait dû être musclé dans le temps mais arborait aujourd’hui une grosse bedaine et une large barbe, qui s’ouvrait sur un sourire partiellement édenté. Il se montra très heureux de recevoir des francophones pour pouvoir pratiquer à nouveau la langue de Molière. Il nous fit « un bec » et je vis qu’il appréciait le short qu’Aurélie avait mis en cette chaude journée de Juillet. Il y a des regards qui ne trompent pas.

Le soir Hubert nous avait préparé des spécialités Québécoises que nous avions dégusté accompagné de bière et de Caribou (boisson somme toute assez forte). Il nous a raconté pendant le repas, sa vie de bucheron dans les forêts désertiques Québécoises et puis comment il était devenu extracteur de gaz de schiste. Il avait eu une vie très aventureuse, malheureusement, dit-il, sans voir la chance d’avoir des enfants. Il était très sympathique, même s’il ne s’empêchait pas de lorgner de manière insistante, dans le décolleté d’Aurélie. Il faut dire que celle-ci, comme souvent, n’avait pas mis de soutien-gorge, et que quand elle se penchait en avant pour saisir un plat ou une bouteille, le vieux vicieux devait avoir une belle vue plongeante. Aurélie, candide, ne se rendait compte de rien, alors que je laissais faire bien volontiers. En effet, j’aimais toujours que les regards des hommes se posent sur le corps de ma fiancée, qu’ils la désirent en sachant que c’est moi qui lui ferai l’amour le soir venu. Et puis, la vue de cette jolie fille, ça devait bien émoustiller ce vieil homme, qui n’avait certainement pas pu voir de si belle poitrine depuis des années, sauf peut-être à la télévision.

 Après un dernier verre de Caribou, nous prîmes congé de notre hôte et nous rejoignîmes notre chambre. Celle-ci était spacieuse et propre, mais la salle de bain était sur le palier, commune avec notre hôte, ce qui était souvent le cas dans les B&B. Après nous être lavé les dents, nous nous sommes retrouvés Aurélie et moi dans notre chambre, et la séance de matage en règle qu’elle avait subi, sans s’en rendre compte, m’avait émoustillé. Je lui attrapais la tête et l’embrassais amoureusement. Mes mains parcouraient son torse, s’immisçaient sous son tee shirt et attrapaient ses seins, lui procurant un petit gémissement. Nous sommes extrêmement compatibles sexuellement, nous savons toujours de manière instinctive ce que l’autre veut, ce dont il a envie. Je baissais donc son short et son string et, la basculant sur le lit, je me mis à genoux pour lui prodiguer un cunnilingus qui je le savais aller la faire fondre.

Le résultat ne se fit pas attendre. Alors que ma langue titillait son clitoris, puis lapait ses grandes lèvres, sa respiration commença à s’accélérer et Aurélie lâcha des petits cris de plaisir. Rapidement, je sentis son corps se tendre et elle fût submergée par une vague de jouissance. Sa cyprine, qui a un goût fantastique, doux et sucré, m’inonda la bouche. Je me relevais alors et, baissant mon pantalon, je la pénétrai de toute la longueur de mon sexe. Elle accueillit cette intromission dans un feulement. J’avais été copieusement excité par les préliminaires, et au bout de quelques minutes de vas et viens langoureux, et alors qu’elle venait de jouir pour la deuxième fois dans un cri à peine étouffé, je me répandais en elle dans un râle de plaisir. En train de récupérer, lové contre elle, il me semblait entendre un bruit derrière la porte, mais, en tendant l’oreille, plus aucun bruit ne se fit entendre. Je devais avoir rêvé.

Après s’être un peu reposée, Aurélie m’annonça qu’elle allait prendre une douche avant de dormir. Elle enfila juste son t-shirt, nue dessous, pour se rendre à la salle de bain, située près de notre chambre. Pour ma part je restais sur le lit.

Au bout de 10 minutes, j’avais envie d’uriner et je voulu me rendre aux toilettes situées juste à côté de la salle de bain. Comme j’ouvrais la porte de notre chambre, je vis Hubert qui regardait par le trou de la serrure de la salle de bain. Tout à son affaire, il n’avait pas entendu la porte de la chambre s’ouvrir. Il avait sorti son sexe et se masturbait. J’ai dû regarder à deux fois avant d’être sûr de ce que je voyais. Il avait un sexe énorme, peut-être 25 centimètres de long et très large, avec un gland en forme et avec la grosseur d’une prune. L’il collé à la porte, il pratiquait de long vas et vient sur son gigantesque mandrin, lentement, jouissant du spectacle qu’il découvrait derrière le petit orifice.

 J’aurais certainement dû intervenir tout de suite, mais la situation m’excitait. Et puis de savoir que c’était mon Aurélie qui le mettait dans cet état-là, c’était flatteur pour moi. Après tout, il ne faisait que regarder. Je refermais donc la porte aux trois quarts, ne laissant qu’un petit interstice d’ouvert et éteignant la lumière pour qu’on ne puisse pas me remarquer et observait la scène.

Une main posé sur la porte, l’autre en train de se caresser, notre hôte accélérait ses mouvements, venant les finir sur son énorme gland. Il avait son short sur ses chevilles. D’un coup, je le vis se contracter et lâcher de grosses giclées de sperme directement sur le sol. Il en déversa une quantité incroyable, véritable geyser humain. Il se servit de son short pour l’essuyer avant de le remettre. Son sexe encore en semi érection dépassait de 4 ou 5 centimètres par l’ouverture pour une jambe du short.

 A peine quelques secondes plus tard, j’entendis le verrou de la porte de la salle de bain s’ouvrir. Il recula de 2 pas et fit comme si il sortait des toilettes. Aurélie apparu dans mon champ de vision, dans son t-shirt qui lui arrivait au ras des fesses et ne cachait pas grand-chose. Elle eut un petit mouvement de recul en apercevant Hubert, qui, tout naturellement, lui demanda si elle avait trouvé les serviettes de bain. Elle lui répondit que oui.

Placée comme elle était, à 2m de lui, elle ne pouvait pas ne pas voir le sexe démesuré qui dépassait du short, ni les souillures que celui-ci portait. Hubert lui souhaita alors bonne nuit, et retourna dans sa chambre. Sans un bruit, je me précipitais sur le lit. Quelques secondes après Aurélie arrivait. Faisant celui qui avait un peu sombré dans le sommeil, je lui demandais si tout allait bien, elle me répondit que oui, sans mentionner aucunement sa rencontre avec Hubert, ni la vision du bout de son sexe. Elle ôta son t-shirt et vint se lover contre moi. La prenant dans mes bras, je passais innocemment ma main sur son sexe, que je découvris humide. Réminiscence de la douche ou rencontre avec notre hôte ?

A suivre…

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