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Mes premiers congés payés – Chapitre 48




Michèle : « il avait été convenu que nous passerions notre nuit de noce chez mon oncle, la veille trop stressée pour faire quoique ce soit, je décidais daller y déposer quelques affaires. Javais appelé mon oncle et il mavait dit de venir vers midi pour manger avec lui.

Lorsque jarrivais, mon oncle était là, assis aux fourneaux, entrain de faire mijoter un sauté de porc avec des pommes de terres rissolées, je mapprochais de lui et lembrassais, puis il me dit ce nest pas tout à fait prêt, on va prendre lapéro en attendant.

Il servit deux verres et une fois quil fut assis, je prenais place sur ses genoux, et nous commençâmes à discuter

Jacques : « alors ma chérie, prête pour le grand jour »

Moi : « ben oui, un peu stressée, cest pour ça que je suis venu te voir, le calme de la ferme et ta présence mont fait tellement de bien depuis des années »

Jacques : « seulement le calme et ma présence ? »

Moi : « tonton, tu sais bien ce que je veux dire, je te dois tellement », et sous mes fesses je sentis son sexe qui commençait à prendre de la vigueur, je bougeais un peu pour mieux le sentir

Jacques : « ne fais pas ça, pas aujourdhui, tu sais très bien leffet que tu me fais et tu te maries demain »

Moi accentuant mon poids sur cette queue que je sentais durcir « ben justement il ny a quavec toi et avec ce que tu me fais que je me calme vraiment et puis je me pose tellement de question sur la nuit de noces »

Jacques en posant sa main assez haut sur ma cuisse : « quelles questions ma chérie »

Moi : « ben comment ça va se passer, est-ce quil va me faire mal, sil te plaît tonton montre-moi », puis je me levais, je nétais plus stressée, jétais excité et javais envie de voir son sexe et de le caresser, je me penchais en avant déboutonnais son pantalon et glissait une main dedans pour attraper cette bite dont javais très envie,

Jacques en gémissant : « ne fais pas ça, tu te maries demain et ce nest pas bien »

Moi : « pas bien, peut-être, mais jai envie de la prendre dans ma bouche et justement parce que je me marie demain et quaprès ce sera plus difficile », puis magenouillant, javalais sa bite qui était déjà bien dure et commençais à faire coulisser mes lèvres dessus,

Jacques : « non, arrêtes je ne vais pas pouvoir me retenir, tu vois dans quel état je suis déjà, jai envie de toi dès que je te vois », je me relevais massieds sur le bord de la table et écartant mes cuisses je lui dis,

Moi : « viens vérifier si moi je nai pas envie, fourre-moi ta langue dedans et dévores mon minou, sil te plaît, jen ai trop envie », mon tonton se pencha en avant et commença à me dévoré la chatte, comme à son habitude, il trouva tout de suite mon clito et commença à le titiller avec le bout de sa langue puis il lattrapa entre ses lèvres pour laspirer et ensuite le mordiller, jétais déjà très excitée, je jouis dans sa bouche en quelques minutes, il releva la tête, et dans un état second enleva son pantalon, et sapprocha du compas grand ouvert de mes cuisses en me disant,

Jacques : « une dernière fois avant demain car après cest ton mari qui te fera du bien », puis il sapprocha pour menculer, je lui demandais dans un soupir de me caresser la fente avec son gland, et je posais mes jambes, qui fatiguaient dans le vide, sur ses hanches, il prit son sexe dune main et commença à le passer sur toue ma fente, je le laissais faire en transe, profitant de ses moments magiques, puis lorsque je sentis quil était juste où il fallait, je serrais mes jambes et dun coup sec lattirait vers moi alors quavec mes mains à plat sur la table je me poussais en avant, et je mempalais sur sa queue alors quil criait « non, pas ça », trop tard, cétait fait, je venais de me dépuceler sur la bite de mon oncle.

Javais senti somme un déchirement mais jétais tellement excitée que le plaisir de le sentir en moi fut plus fort, je sentais sa bite bien sure qui me remplissait la chatte pour la première fois, il essaya de reculer pour se retirer, mais il ne fit que sortir un tout ptit peu, et resserrant mes jambes je le forçais à revenir au fond de moi, et là il commença à me limer en disant,

Jacques : « ce nest pas bien, nous naurions pas dû »,

Moi : « si, je voulais que ce soit toi le premier, tu mas tellement donné de plaisir depuis des années que pour moi, cétait une évidence » puis je me laissais aller à mon plaisir, je sentais sa queue qui tapait le fond de mon vagin et javais envie de jouir sous les coups de boutoir de la bite de mon tonton.

Quelques minutes plus tard il me dit « laisse-moi sortir, je vais jouir »

Moi : « certainement pas, je veux que tu te vides les couilles au fond de ma chatte mon tonton, je veux sentir ton sperme sécouler comme je le sens depuis des années sécouler dans mon cul », et quelques minutes plus tard je hurlais de plaisir alors quil explosait, dans un dernier coup de reins.

Le lendemain cest une femme qui disait « oui » à son époux, la journée fut superbe et quand le moment fut venu de rejoindre la ferme avec mon nouveau mari, jétais excitée comme un poux, même si cest moi qui fut obligée de conduire tellement il était bourré, arrivés dans la chambre, jenlevais ma robe et apparus en dessous, soutif, culotte, porte-jarretelles et bas blancs, je me jetais sur mon mari, javais envie de lui faire plaisir et den prendre, ce con, commençait à sendormir, quand je commençais à le sucer, je le sentis durcir un peu dans ma bouche, puis plus rien, et relevant la tête je vis quil sétait endormi, et le comble il se mit à ronfler, jen pleurais de désespoir et je finis par mendormir.

Vers 4h du matin, je me réveillais allongé à côté de mon mari qui ronflait tout ce quil pouvait, jentendis du bruit dans la cuisine et passant un tee-shirt, je descendais, je trouvais mon oncle, torse nu avec un pantalon de pyjama, je me jetais dans ses bras en pleurant, il me consola en me disant que cétait souvent comme ça, que les maris prenaient une murge à leur mariage et était bien souvent incapable de contenter leur nouvelle épouse. Jétais collée contre mon oncle, une de mes mains descendit sur son torse velu, et se posa sur un de ses tétons que je sentis durcir, mine de rien je le caressais et je sentis contre ma cuisse son sexe qui commençait à durcir, cela suffit à mexciter, je titillais son téton et sentant que mon tonton maintenant à létroit dans son pyjama, je maccroupis et baissais ce dernier pour libérer son sexe.

Tonton me dit « non arrêtes, pas aujourdhui »,

Moi : « je veux ma nuit de noce, et si ce connard ne peut pas, toi tu as envie, ne dis pas le contraire jai la preuve en main » et je commençais à le branler doucement, puis ny tenant plus javalais cette bite qui mavait fait femme la veille, je la suçais avec gourmandise alors que mon tonton, gémissait en disant « putain cque tu suces bien ma chérie », je me relevais attrapais sa bite à pleine main et attirais lensemble vers la table où je massis après avoir enlever mon tee-shirt, tonton défit mon soutif, et se jeta bouche ouvert et langue en avant sur mes tétons, alors quune de ses mains venait se poser sur ma moule et quun de ses doigts commença à titiller mon clito, rapidement il me fit jouir avec ses doigts, il en rentra deux dans ma chatte et me branla jusquà ce que je jouisse.

Emportés par lenvie de jouir, il me saisit mes jambes et les releva pour les poser sur ses épaules, puis posant son gland sur ma fente, il donna un coup de rein puissant qui lemmena au fond de moi et, alors que je restais bouche ouverte sous lassaut, il commença à me limer jusquà ce que je jouisse à nouveau, puis il recommença, et quelques minutes plus tard, pour la seconde fois en 24h il explosait au fond de moi.

Trois mois plus tard jétais enceinte, le doute subsista jusquà laccouchement, mais quand je vis mon fils, je compris tout de suite qui était le père, malgré lhorreur de la situation, au fond de moi jétais heureuse, et maintenant quand tout le monde me dit « quest-ce quil te ressemble ton fils, il a tous les airs de ton côté », je suis fière, car au fond de moi je suis sur que mon fils est aussi celui de mon oncle, jai lu plein de trucs sur les enfants qui naissaient de rapports incestueux et qui souvent sont anormaux et bien ce nest pas le cas et jen suis dautant plus contente.

Voilà le secret dont je te parlais et que tu es le seul à connaître avec moi maintenant.

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