La semaine passa vite. Javais mon plus gros examen le vendredi. Je neus que peu de temps a penser sur ce qui sétait passé ce samedi absorbé que jétais par mes révisions. Le vendredi soir, on sorti avec des potes en boite pour fêter lévénement. Mais je ne restai pas longtemps. Voir toutes ces filles qui dansaient en draguant ne me disais plus rien après ce que je vivais avec N. elle lavais dit elle-même : ça ne durera pas. Je ne devais donc plus gâcher ces moments qui nous restaient. Aussi je rentrai chez moi pour voir comment réparer ce que javais fait et me reposer afin de lui offrir la plus belle des journées quelle voudrait.

Le lendemain donc, je me préparais pour que ce soit sa journée de plaisir. Je sorti dabord pour lui acheter un bouquet de fleur et me mis sur mon 31 comme on dit. Enfin disons Que je métais fait beau.

Je sonnai à 9h pétante. Javais lair fin comme ça devant cette porte. Pas de réponse. Se branlait elle comme la semaine dernière ? Après une minute, je sonnais de nouveau. Enfin du bruit. Ouf ! Bruit de serrure. La porte souvre. N se tenait là. Elle portait une robe dété à fine bretelle son ventre toujours bien présent ainsi que sa poitrine. « Bonjour » lui dis je.

-« salut ! » me fit elle avec un demi sourire. « Tes remords étaient vraiment sincères alors ? » me dit elle en apercevant mon bouquet. Son sourire sagrandit.

-« oui ! Tout a fait »

-«alors tu peux rentrer. » elle me prit le bouquet « va dans le salon. Jarrive ». Je fus soulagé. Tout semblait être rentré dans lordre. Je poussais la porte du salon et marquai un instant de surprise. Quelquun était déjà là, assis sur le canapé. Une femme, blonde à forte poitrine car visiblement également en ceinte et aussi dans une robe dété. Passé un court instant, jentre complètement.

-« bonjour » fis je.

-« bonjour » me répond cette personne avec un grand sourire

-« L. je te présente C. »dit N derrière moi. Elle arrivait avec un vase et mes fleurs dedans.

« Elle participe avec moi aux cours de préparation daccouchement. Même si elle arrive à son 9ème mois Nous avons sympathisé et ce matin elle passait dans le coin. »

-« enchanté » répondis je

-« de même. » N pendant ce temps là, posait le vase sur la table du salon.

C. était visiblement plus âgée que nous, début trentaine je dirai, et comme N rayonnait vraiment de par sa grossesse. Elle avait une bague au doigt donc femme mariée. Elle avait un corps parfait et ne semblait pas prendre plus quil nen fallait de par son ventre imposant. Je me devais de le lui faire remarquer.

-« comme je lavais déjà dit à N, il ny a rien à dire. Les femmes en ceinte sont vraiment les plus belles femmes. »

-« oh ! Merci ! »Dit C. « dois je vraiment le prendre comme un compliment ? »

-« tout à fait ! Je mexprime peut être mal et veuillez men excuser mais pour aller à lessentiel, je vous trouve tout a fait charmante. »

-« ne lécoute pas » dit N. « il doit dire ça à toute les femmes quil rencontre.» Elle disait ça sur le ton de la plaisanterie. « Vous voulez un café ? » on acquiesça. N. parti le chercher. Il devait être prêt car elle revint rapidement avec un plateau. Et on se mit à discuter de choses et dautre mais à vrai dire, cétait plutôt elles qui parlaient de leurs histoires de femme en ceintes. De leurs expériences, dune telle dans telle situation. Enfin bref, je commençais à mennuyer quand certains mots retinrent mon attention.

-« et sa poitrine ? Tas vus sa poitrine ? Elle a triplé de volume. Même deux mains ne suffiraient pas pour en tenir un seul. Cest son mari qui doit être aux anges »sexclamait N.

-« et ses fesses ? Pareil ! Maintenant une chaise ne suffit presque plus. »Renchérissait C.

-« en tout cas, moi à ce niveau là, je croise les doigts ! Jai pas pris grand-chose »

-« oui mais toi, cest le premier. Moi avec le deuxième, jai prit pas mal. »

-« arrête. Tu nas rien pris. Quand on te regarde tu nas pas changé par rapport au début. »

-« oui mais je le cache bien. Si je te montre, tu le remarquerais toi aussi. »

-« eh bien vas y, je suis sure que tu exagère »

Sans se démonter et faisant comme si je nétais pas là, C se releva et se positionna de dos devant N. et releva sa robe jusquen haut des fesses.

Je pus observer une très jolie culotte blanche en dentelle fine et transparente qui ne cachait pas grand choses de ses fesses dont on apercevait facilement sa raie à travers. Même si on observait quelques bourrelets très légers, cela donnait un charme naturel à C.

-« tiens regarde ! » elle se donna une petite claque qui lui fit remuer tout ça « avant, cétait ferme. Maintenant, ça bouge de tous les cotés. »

— « ben dans ce cas là, moi aussi jai pris » et N. de se relever et de soulever sa robe aussi. Elle, de même, avait une culotte blanche mais en coton et on ne voyait rien a travers. « Tiens regarde » et de se donner une claque sur la fesse mais visiblement, pas grand-chose navait bougé.

-« ah non, les tiennes sont encore ferme et ne dépasse pas de ta culotte. » en disant cela, C. avait avancée sa main et pelotait les fesses de N. en les pinçant grossièrement. « Regarde, jarrive même pas à te les prendre correctement. Essaye chez moi tu vas voir » et C de relever une nouvelle fois sa robe pour que N. puisse tâter. Et en effet, N en promenant sa main sur les fesses de C. arrivait à les pincer sans trop de problème.

-« bon si tu veux, je le reconnais que tu as pris plus par là. Mais question poitrine, jai quand même pris plus que toi. » Je croyais rêver. Je venais dobserver deux magnifiques postérieurs et la conversation ne paraissait que de bonne augure. Mon sexe tirait le tissu de mon pantalon à men faire mal et C et N. continuaient leurs conversations comme si jétais invisible.

-«je suis sure que non. Je suis passé dun 85b à un 90c » affirmait C.

-« et moi à un 90d »

-« cest pas possible. Tu ne fais pas un 90d »

-« si je tassure » dit N. et ce disant, elle baissa les fines bretelles de sa robe. Elle avait en dessous un soutien gorge également blanc retenu par des bretelles transparent que je navais même pas remarqué. « Tiens ! » elle soutenait des ses mains ses deux globes afin de montrer leurs volumes.

-« cest bien ce que je dis, ils ne sont pas plus imposant que les miens » et C. de faire glisser aussi ses bretelles de la robe afin de montrer un soutiens gorge en dentelle assortis à la culotte et qui ne cachaient également pas grand-chose. On pouvait voir ses seins comme sil ny avait rien et on devinait ses tétons restés clairs à travers. « Ils font la même grosseur. »

-« mais cest parce que ton soutien gorge nest pas rigide. Je suis sur que si on échange tu ne remplis pas le mien. »

-« chiche ! »

Tout ce passait comme dans un rêve. Javais deux femmes qui se chamaillaient comme des gamines, qui me montraient des parties de leurs anatomies que lon nest même pas sensé simaginer et qui ne semblaient pas se rendre compte dans quel état elles étaient en train de me mettre. Je ne disais rien et observais le spectacle qui soffrait à moi car je navais rien dautre à faire.

C et N étaient donc en train de se dégrafer leurs soutiens gorge pour se les échanger en laissant momentanément pendre leurs magnifiques poitrines. Jétais aux anges. A vu de nez, N. avait raison mais je me contentais de regarder. Elles sactivèrent à remettre celui de lautre. « Tiens tu vois, jarrive à peine à lattacher » sexclama N. à vrai dire, elle navait mis quune agrafe mais il est vrai que ses seins remplissaient pleinement voir débordaient légèrement sur les cotés du soutien gorge de C. celle-ci, par contre avait réussi a attacher celui de N sans problème et semblait lui convenir comme il faut. N approcha ses deux mains et commença à palper les seins de C.

-« tu vois, il y a encore de la place.» Cependant, je remarquais que N. caressait plus quelle ne palpait la poitrine de C.

-« je suis sure quen le mettant correctement, tu rentres parfaitement dans le mien. » répondit C. et elle aussi se mit à triturer la poitrine de N. elle réajustât les coté du soutien gorge afin de

Faire en sorte que tout rentre comme il faut et se mettait également a caresser subrepticement les seins de N. « ah quand je te disais que tout rentrait. Bon daccord, cest tendu, mais ça rentre. Plus que tendu même on dirait » En disant cela, C. sattardait sur les extrémités qui sétaient mis à pointés. Les connaissant parfaitement, ils devaient être durs et roulaient à travers le tissus sous les doigts agiles de C. « Eh mais cest ça qui te fait gagner une pointure ! » dit elle en riant. Elle jouait carrément avec les tétons maintenant. « Mais cest dur comme du bois ça dis donc. Les miens nont jamais été aussi durs.»

-« ah oui ? » fit N. qui recommença à caresser les seins de C. pour sen rendre compte. « En effet, je ne les sent pas beaucoup à travers le soutiens gorge. Mais en tout cas, cest sur que jai la plus forte poitrine. Nest ce pas L. ? » Je fus surpris car je ne my attendais pas. Elle avait dit cela sans me regarder et ceci me fit comprendre que ce jeu métait destiné. « Alors. Ton avis. Quen penses tu ? Qui as la plus forte poitrine ? Elle ou moi ? »N. me regardait maintenant en posant la question et C se retourna aussi pour se mettre à coté de N, debout avec leurs robes à moitié ôtées et en soutiens gorges. N. avec celui transparent dont on voyait tout au travers, en loccurrence, ses bouts foncés qui dardaient à vouloir les percer et C avec le blanc qui paraissait aussi bien remplit.

Sans me démonter, je rétorquais :

-« à vrai dire, comme ça de prime abord, je dirais quen effet elles semblent de même corpulence. Il faudrait que je palpe pour voir comment vous remplissez vos soutiens gorges. »

En disant cela, je métais levé pour mapprocher delle et avançais les mains pour saisir la première poitrine à ma portée.

-« ah mais quel manque de civilité. » sécria C. en se masquant les seins. « Mais jeune homme je ne vous permet pas. On ne touche quavec les yeux. Pas avec les mains. » Je fus estomaqué par cette déclaration. Je pensais quelles voulaient que je joue avec elles mais visiblement, ce nétait pas de la façon dont je lavais imaginé. Je retirais donc mes mains.

-« dans ce cas, » rétorquai-je « il va mêtre difficile de répondre à votre question car avec les artifices qui les cachent, je ne peux toucher correctement avec les yeux, et vous donner ma réponse. Il faudrait que vous vous les soupesiez pour que je puisse comparer. » C. alors que javais retirer mes mains, avait de nouveau découverte sa poitrine.

-« comme cela ? » fit N. en remontant ses mains sur les seins de C. qui fit de même. N soupesa chacun des seins puis commença a les caresser puis malaxer a travers le soutien gorge. C. faisait la même chose de son coté avec les seins de N. en samusant également avec ses tétons toujours tendus. Elles se regardaient dans les yeux dun air entendus et semblaient chercher à faire craquer lautre de plaisir.

-« oui. Cest mieux. Mais à vrai dire, je ne me rends pas vraiment bien compte. » Je métais rapproché pour mieux les voir se caresser.

— « alors comme ça peut être ? ». Fit C. qui passa ses mains dans le dos de N. pour lui décrocher lagrafe du soutien gorge. Elle fit ensuite glisser les bretelles et le laissa tomber par terre. N. fit la même chose et je pus donc observer ces deux femmes à moitiés dévêtues devant moi, que je ne pouvais pas toucher, se caresser les seins de plus belle. Je triquais à mort à travers mon pantalon, mais elles ne me regardaient même pas.

— « humm ! Cest vraiment difficile à dire. » fis je. « Je noserais vous demander pour vous départager de vous mettre dans une certaine position. »

-« ah oui ? Laquelle ? » Me répondit C en me regardant enfin.

-« la mieux je crois est à quatre pattes »

-« ah bon ? Vous pensez ? » Minauda t-elle en continuant de caresser les sein de N. « quen penses tu ? » Lui demanda t-elle

-« il faut bien quil nous départage non ? »

-« alors allons y ! »

Elles se dégagèrent lune de lautre et se trouvèrent une place dans la pièce pour se mettre en position. Cote à cote, je pus les contempler dans cette position toujours à moitié vêtue, les seins pendants, leurs ventres arrondis, la croupe en lair dans leurs robes dété. Je fis durer le plaisir en tournant autour delles et en faisant mine de réfléchir. Elles me regardaient toutes les deux dans lattente de mon verdict jouant le jeu. Finalement je déclarai.

-« Mon choix est difficile mais je dois reconnaître que N. dans cette position nous montre quelle à la plus forte poitrine. »

— « eh bien soit ! Je mincline » déclara C. « mais je maintient que jai pris plus sur les fesses que N. » visiblement, elles voulaient continuer notre petit jeu. Je me mis derrière elles.

-« A vrai dire, je ne peux pas vraiment me prononcer » lançait je dune façon que je voulais dubitative. « Je ne vois pas grand-chose. »

— « et comme ça ? » me fit N. Elle remonta sa robe sur son dos, mexposant son superbe postérieur prisonnier de sa culotte. C. voyant N. agir, fit de même et mexposa le sien. Javais donc ces deux croupes à portées de mains que je ne pouvais même pas toucher, palper, malaxer. Cétait un vrai supplice. De plus prêt, les fesses de C. étaient dodues à souhait. Parfaitement partagées par cette raie qui remontait haut. Sa culotte transparente me laissait tout voir jusqu’à entre apercevoir lentrée de sa vulve. Je bouillonnais intérieurement. Il ne maurait pas fallut grand-chose pour exploser. Les deux femmes devaient commencer à simpatienter car jallais me relever pour leur dire quelque chose quand je les vis en train de sembrasser. Je fus estomaqué par cette vision. Elles se roulaient une pelle. Je voyais leurs langues tournicoter et entendais leurs petits bruits de bécotage. Je les regardais faire sans rien dire trop heureux du spectacle offert. N. finit par rouvrit les yeux.

-« Ben alors ? » me fit elle en sarrêtant dembrasser C. « Tu as pris ta décision ? »

-« Pas vraiment. » répondis je décontenancé. « Je narrive vraiment pas à voir laquelle de vous deux à le plus pris. Il faut que je puisse constater avec mes mains. » Je voulais vraiment quelle me libère de ce jeu afin de leur sauter dessus et de les honorer comme il se devait. Jen pouvais vraiment plus.

« Ah non ! Tu as entendus C. un jeune homme de bonne courtoisie ne touche quavec les yeux ».

-« dans ce cas là, ça va être difficile ! » Oh non ! Elle ne voulait vraiment rien lâcher.

-« notre petit L. à besoin dun coup de main » dit elle à C. elle se pencha en avant et de ses deux mains, entreprit de faire descendre sa culotte. Je pus ainsi voir intégralement son postérieur. C. fit de même. Elles me montraient ainsi leurs culs, culottes baissés à mi cuisse, seins pendants avec leur robes qui ne leurs servaient plus à rien si ce nest couvrir leurs ventres imposant. Javais envie dhurler darrêter leur petit jeu, de me laisser les rejoindre pour batifoler ensemble mais elles avaient repris leur position dattente à quatre pattes. Me laissant libre cours pour les admirer du coté face, je profitais donc de ce quon voulait bien moffrir. Il ny avait à vrai dire pas photo. Les fesses de C. étaient nettement plus imposantes que N. mais je me gardai bien de le dire dans limmédiat.

-« moui ! Cest déjà mieux. Mais à vrai dire pas suffisant pour comparer. Vous pourriez vous rebaisser comme à linstant ? » Elles sexécutèrent de bonne grâce. Le fait de se baisser me permis ainsi de voir leur clair de lune dans la meilleure des positions. Le cul remonté comme ça, ouvrait leur fente et me montrait ainsi leur intimité. Leur anus pointait ainsi en haut de cette fente ou on pouvait voir le trou de lentrée de leur vulve. C. ainsi était une vraie blonde. Ses poils que japercevais étaient clairs. Elle était cependant moins touffu que N. dont les poils partaient un peu dans tous les sens et me dissimulaient à moitié le fruit défendu. Elles étaient à ma merci et je ne pouvais rien faire. Jétais là à les regarder la bite en feu et les mains prêtes à bondir des le moindre signe de relâchement de leurs part. mais rien à faire, elles ne bronchaient pas un mot pour me soulager. Je ne pouvais que « toucher avec les yeux »

-«je narrive vraiment pas à me décidé » lançais je. Je voulais absolument quelles me laissent les toucher. « Il faut vraiment que je tâte pour voir quelles sont les plus fermes. Je ny arriverais pas autrement. » Mon dieu ! Faites quelles disent oui !

-« TTT ! Pas question on ta dit. Je vais te montrer. » En disant cela, N. sétait redressée à genoux et se retourna. Sa robe retomba sur ces jambes. C. la regardait toujours dans la même position, cul offert. N. approcha ses deux mains des fesses de C. Je regardais N. avec insistance pour lui faire comprendre que je nen pouvais plus mais elle ne me regardait pas. Elle plaqua ses mains sur les fesses de C. et commença à les caresser. Je vis C ; tressaillir au contact des mains de N. et fermer les yeux. N. sappliquait à caresser méticuleusement tout le fessier en prodiguant quelques "palpages" par moment sur les parties les plus charnues. Elle samusait aussi à écarter de temps en temps les fesses pour dégager son anus et me loffrir pleinement à la vue. Elle laissait parfois aussi un doigt effleurer la fente ce qui faisait C. tressaillir et émettre un gémissement significatif dun plaisir en attente. Cela dura quelque minute. Pas un instant elle ne me lança un regard. Je navais plus quune envie, cétait de sortir ma bite et de décharger sur ce cul denfer. Il ne men fallait plus beaucoup pour que je ne le fasse dans mon pantalon.

« À ton tour » lançât elle à C. celle-ci eut du mal a se relever. Les caresses de N. avaient du lui faire de leffet et à cause de son ventre plein, elle peina pour se mettre à genoux. N., elle, se remis en position, cul offert par le haut. A son tour C. commença à lui malaxer les fesses. De la même manière, elle caressa doucement en écartant de temps en temps les fesses pour me permettre de mieux voir.

Savait-elle que nous nous amusions régulièrement N. et moi ? Jen étais quasiment certain et que ce que je vivais était la vengeance de N. cest elle qui, maintenant, me prenait pour un objet et elle devait savourer ce moment. En écartant les fesses nous constations que N. avait prit plaisir linstant précédent car sa fente était devenue humide. C. commença à passer ses doigts dedans.

-« et bien alors. Cest quoi ça ? On se relâche ? » Sexclama C. N. avais les yeux fermés et on pouvais lentendre soupirer sous les caresses. C. finit par cesser de palper les fesses de N. pour ne soccuper que de son sillon. « Ça a besoin dêtre soulagé tout ça ! ». En disant cela, elle passa sa main de haut en bas sur sa vulve. Ses doigts furent vite souillés par le plaisir de N. celle-ci avait une respiration haletante, et on la voyait concentré sur son plaisir. « En tout cas, il y en a un qui se rince lil » lança C. en me fixant droit dans les yeux. Je ne pus lui répondre, absorbé par ce que je regardais. C. finit par se remettre à sa tache et commença à introduire un doigt dans cette fente offerte. N. nattendais que ça. Elle lança un cri de plaisir qui encouragea C. à lui mettre un deuxième doigt assez rapidement. Elle commença à lui faire un mouvement de va et viens ou N. répondit par un mouvement du bassin en accord avec C. son halètement allait crescendo. « En effet, tu avais vraiment besoin quon soccupe de toi » N. gémissais de plus en plus et elle bougea pour pouvoir permettre à une main de passer sous son ventre et ainsi caresser son clito.

-« oui oui. Vas y soulage moi. »

-« mais on nous regarde. » répliqua C. en me fixant de nouveau avec un sourire amusé.

-« trop tard jai trop envie continue oh oui encore. » Sa main avait accéléré le mouvement sur son clito et imprimait un rythme plus soutenu a son bassin auquel C. répondait en enfonçant ses doigts au maximum dans son vagin. « Oui. Encore. Cest bon… oui oui ».

Au secours !!!! Hurlais je intérieurement ; faites que ça cesse et que je puisse participer. Mon rôle passif était insupportable. Je retentais une approche en tendant une main vers la poitrine de C. qui avait les seins pendant car accroupis pour satisfaire N. C. entrevit mon mouvement et de sa main libre me donna une tape sur ma main.

-« chut ! On a dis pas touche. » C. avait murmurer ses paroles de reproche pour éviter que N. les entendent. Je retirais ma main penaud.

-« oh oui !…oh oui !… oh oui !… » N. avait cessé son mouvement du bassin pour ne se concentrer que sur les mouvement de va et viens des doigts de C. qui imposait un rythme tout aussi rapide que les mouvements de tourniquets de sa propre main sur son clito. « hum hum hummm. » Ça y est ! Elle partait. « aaaahhhhhh !!! » N. parti vers lavant emprisonnant les doigts de C. crispée par sa jouissance C. surprise suivi le mouvement et attendit que N. se calmât pour retirer ses doigts. Ceux-ci étaient imprégnés de cyprine. Elle les dirigea vers sa bouche et se les nettoyant en les léchant et sortant sa langue dune façon lascive qui ne faisait quempirer mon état.

-« mmmmhh , quant tu te lâche, tu te lâche toi. En tout cas, tu as meilleur goût que moi. Je me délecte. » N. ne répondait pas encore tout à son plaisir. Enfin elle se rétablie et se remis à genoux. Elles étaient de nouveau face à face, seins pendants, C. avec ses doigts mouillés les tendaient à N. qui prit le relais pour les lécher. Voir ses filles langues sorties je voulais hurler.

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