Par une froide journée d’hiver, Madame, épouse distinguée du Maire, se rendait chez son amie, Amélie, elle-même femme du Sous-Préfet. Madame est au volant de son Cabriolet BMW. Elle se dirige vers les quartiers chics de l’ouest de Paris…Ce qu’on appelle le NAP : Neuilly-Auteuil-Passy.
Elle arrive devant un immeuble de grand standing et se gare dans le parking souterrain.Elle descend de la voiture et se dirige vers la sortie…Ses talons claquent sur le béton… Pour une fois, Madame n’a pas mis de talons aiguilles mais des bottes pour se protéger du froid. Elle porte sur elle un manteau de fourrure. Elle appela l’ascenseur jetant un oil par-dessus son épaule. Elle ne se sent pas vraiment en danger dans ce quartier huppé ou l’on trouve un flic tous les 200 mètres mais le parking souterrain reste le fantasme préféré des femmes… Il parait même que c’est un fantasme très répandu chez les bourgeoises comme elle. Elle a entendu ça l’autre jour à la télé dans l’émission à Jean-Luc Delarue qui décidément aborde tous les sujets. Les portes de l’ascenseur coulissèrent dans un chuintement discret et Madame monta dans la cabine. L’ascenseur arriva au rez de chaussée et Madame passa devant la loge du gardien. Courageusement, elle décida de prendre les escaliers.Elle croisa un homme à l’allure négligée qui lui jeta un regard torve. Elle se retourna et le surpris en train de tenter de mater ses jambes. Elle arriva à l’étage ou habitait Amélie et sonna. La porte s’ouvrit très vite sur son amie.
— Marie-Hélène ! Ma chérie, comment vas-tu ?
Voix haut perchée des bourgeoises, issue d’une famille d’aristocrate, vieille noblesse française, Amélie est une femme d’une quarantaine d’années comme Madame. Elle l’a fait rentré dans le salon et Madame retire son manteau de fourrure apparaissant dans une robe toute simple mais pourtant acheté une fortune chez un grand couturier.Les deux amies s’assoient dans le canapé et Amélie fait le service servant une tasse de thé à Marie-Hélène. La femme du Sous-Préfet est vêtue d’une jupe écossaise sur des bas noirs avec un chemisier blanc.Son serre-tête en velours retient ses cheveux blonds vénitiens.Elles commencèrent à discuter de l’actualité tout en sirotant leur thé.
Soudain un coup de sonnette interrompit leur conversation. Amélie se leva et alla ouvrir. Madame aperçoit un homme assez petit, gros, pas très beau. Il salut l’épouse du Sous-Préfet et lui tend un paquet. Il rentre dans le duplex et s’avance dans le salon.Curieux, pense Madame, elle n’a pas eu l’impression qu’Amélie lui avait donné l’autorisation d’entrée.Amélie revient.Madame a le sentiment que quelque chose ne vas pas.Amélie est toute pâle, livide.Le regard fuyant.Elle fait les présentations.
— José, le gardien de notre immeuble.Il est monté m’apporter un colis que j’ai reçu.
Le gardien salut Madame d’un hochement de tête. C’était l’homme qu’elle avait croisé dans l’escalier. Madame frisonne en sentant le regard insistant qu’il lui porte la dévisageant sans vergogne. Il matte ses cuisses dévoilées par la robe.
— Il faudrait que je vous parle d’un problème concernant l’immeuble M’dame.lance le gardien en regardant Amélie droit dans les yeux.
Madame a l’impression qu’Amélie a encore plus blêmit.
— Mais.Maintenant ? Ça ne peut pas attendre.
— Non.Je dois vous voir tout de suite dans ma loge.
Le ton est sans réplique et le concierge entraine Amélie vers la sortie en s’excusant auprès de Madame qui se retrouve seule dans le salon.
Madame n’hésite qu’une fraction de seconde, prise d’une inspiration subite, peut être le célèbre « instinct féminin », elle se précipita également, dévalant les escaliers à la poursuite du gardien et d’Amélie. Elle arriva légèrement essoufflée devant la loge du gardien.
La porte est entr’ouverte et elle hésite sur la conduite à tenir.Elle trouve quand même très étrange l’attitude du gardien envers Amélie..Elle jeta un oil par l’interstice et elle failli pousser un cri devant le spectacle qu’elle découvrit.
Amélie, accroupie devant José, était en train de lui administrer une fellation.Le gardien, le pantalon sur les chevilles, soufflant comme un bouf, le slip à mi-cuisses, un sexe épais et gonflé dardant fièrement entre ses jambes velues, enfonçait son membre imposant dans la bouche pulpeuse de l’épouse du Sous-Préfet en donnant des petits coups de reins. Amélie, les joues gonflés par la bite faisait aller et venir ses lèvres autour du mandrin.Elle salivait dessus.Hoquetant parfois.La situation scandalisa Madame qui se recula légèrement mais elle était fascinée par ce qu’elle voyait.Sa meilleur amie, élevée dans les plus prestigieuses institutions catholiques bourgeoises était en train de tailler une pipe au gardien de son immeuble.Sa jupe écossaise était relevée dévoilant ses jambes gainées de nylon noir. Le gardien lui agrippa les cheveux et la força à avaler sa queue encore plus profondément.L’épouse du Sous-Préfet poussa un gémissement.
— Vas y ma salope, suce moi la bite, t’es vraiment une pute.Dommage que ta copine ne vienne pas nous rejoindre, elle est pas mal l’épouse du Maire.
Offusqué par de tel propos, Madame se retient d’intervenir.Elle se demande si elle doit appeler la police.mais Amélie est elle contrainte ? ca n’en a pas l’air.Et puis…Madame n’est pas insensible a cette situation.Elle sent son string s’humidifier légèrement exciter par ce qu’elle voit.
José releva Amélie et lui ordonna de relever sa jupe écossaise.
— Fais voir ta chatte.
Rougissante, l’épouse du Sous-Préfet obéit relevant le tissu en le maintenant autour de sa taille.Elle apparait en collant noir, moulant son cul et son mont de vénus avec précision.
Le concierge s’approcha d’elle et lui déboutonna son chemisier.ses seins à peine contenue dans un soutien-gorge noir lui sautèrent au visage.Madame choquée découvre qu’Amélie porte un soutien-gorge comme on en trouve plutôt dans les sex-shops que dans les boutiques de lingeries fines.Le sous-vêtement laisse apparaitre les pointes de ses seins ! Comme une pute pense alors Marie-Hélène.José se pencha et commença à mordiller les tétons qui rougissent et durcissent..
L’épouse du Sous-Préfet gémit et proteste mollement.
— José…je vous en prie, arrêtez…attendez au moins que Marie-Hélène soit partie.
— Pas question ! Au contraire, ça m’excite de savoir que je vais te baiser pendant que la femme du Maire t’attends.
Il baissa d’un geste brusque le collant à mi-cuisses révélant un string rouge fendue découvrant ses lèvres intimes.Il la retourna pour s’assurer que le string était également fendue par-derrière.Il lui donna une petite claque sur ses fesses.
— C’est bien ma chérie, t’es obéissante.
Il lui plongea deux doigts dans sa fente et Amélie écarta d’elle même les jambes pour lui faciliter le passage.Madame commence à être sérieusement exciter par ce manège.Elle sent sa respiration s’accélérer.Elle a chaud.Son string est trempée maintenant.Oppressé, elle continue de regarder son amie se faire branler par José.
Celui-ci lui a déniché le clito et le pince sans douceur arrachant des gémissements à Amélie qui est toute rouge..Elle donne des coups de bassin maladroit.Elle se mord les lèvres quand le gardien lui enfonce son index et son majeur dans sa chatte…La mouille coule sur les doigts du gardien.Il se relève et tends ses doigts pleines de secrétions vers la bouche de l’épouse du Sous-Préfet qui s’empresse de les sucer avec une sale délectation.Totalement soumise..
— Je vais te baiser salope, t’en meurt d’envie.
— Oui…oui.je vous en supplie, ne me laissez pas dans cet état…balbutie Amélie, haletante…
Maintenant, elle se moque éperdument que Marie-Hélène puisse la surprendre…tout ce qu’elle veut, c’est le sexe d’un homme dans sa chatte en feu.
José la souleva sans difficulté et la coucha à plat ventre en travers de la table du salon.Il pointa son sexe dur comme l’acier vers les lèvres béantes d’Amélie et s’engouffra dans sa chatte en poussant un grognement… L’épouse du Sous -Préfet poussa un petit gémissement enfin comblée par l’énorme pieu.Les mains crispées dans ses hanches, le gardien commença lentement des allers-retours dans le ventre accueillant.Puis il accéléra ses coups de pistons qui devinrent de plus en plus violent.Les fesses blanches d’Amélie tressautent sous les coups de boutoirs du gardien qui halète..Amélie gémit de plus en plus fort..
N’en pouvant plus, toujours caché aux regards des deux autres, Marie-Hélène a soulevé sa robe et écartant fiévreusement son string, elle s’enfonce son index dans sa chatte dégoulinante.Elle se masturbe en haletant consciente de sa déchéance.Elle ! L’épouse du Maire se branler comme une collégienne en chaleur en plein jour ! Au milieu de ce hall d’immeuble.Si ses administrés la voyaient. Elle se pinça le bouton si violemment qu’elle poussa un gémissement de plaisir et de douleur.
Sentant l’orgasme monter irrésistiblement de son ventre, l’épouse du Sous-Préfet poussa un cri étranglé.
— Tais-toi ! Tu veux ameuter les voisins !
Les mains crispées sur la table, Amélie subie, passive, les assauts du gardien. La table bouge toute seule sous les coups de reins puissants de José. Il accéléra soudain faisant couiner la table et la femme du Sous-Préfet.Son ventre claque contre ses fesses avec violence. Amélie jouit soudain sous les coups de reins de José, elle étouffa ses cris en se mordant les lèvres.José se retira et se branla au dessus du visage ravagée par l’orgasme. Il éjacula lâchant des trainées de sperme blanc qui allèrent s’écraser sur les joues et le menton de la respectable épouse du Sous-Préfet.
Madame laisse retomber précipitamment sa robe en comprenant, affolée, qu’ils allaient sortir de la loge. Elle remonta rapidement les escaliers et quand Amélie arriva, les joues rouges, essoufflée, elle était de nouveau dans le canapé, sa tasse de thé à la main.
— T’en a mis du temps, lui lança Madame.
Amélie s’assoie à coté de son amie.
— Je n’arrivais plus à me débarrasser du concierge, il m’a…épuisé !