Cétait une surprise ; pas une vraie, puisquelle savait dans quel genre dendroit nous irions Mais elle ne savait pas où précisément, ni ce que jy avais prévu !
Elle avait reçu lun de ces coffrets cadeau à thème. Intitulé « sauna privatif », il nous donnait accès à un « loft » équipé dun sauna, dun hammam et dune grande piscine intérieure bordée de transats à coté de laquelle trônait un jacuzzi. Tout cela –
sans compter des douches qui pouvaient accueillir une huitaine de personnes – était totalement privatisé.
Au programme, un peu plus de deux heures de détente dans un complexe thermal full équipé. Enfin quand je dis détente, ce nest peut-être pas le terme le plus approprié. Evidemment, nous profiterions des installations pour nous relaxer, mais jenvisageais également de nous créer des souvenirs plus intimes de ce lieu dédié aux plaisirs du corps et de lesprit.
Le premier bienfait de ces établissements est de se débarrasser de ses vêtements et de nenfiler quun peignoir. Le mot dordre de notre journée en amoureux étant que ma Belle ne porterait pas de sous-vêtements, elle neut pas grand-chose à enlever.
Le début de la prestation était prévu à 13h, le moment parfait pour un apéro léger agrémenté de quelques bulles quelle aime tant. Ce « pique-nique frugal » terminé, je linvitai à retirer son écrin de coton et à me rejoindre sous la douche afin de préparer son corps à la suite de notre escapade
Jentrepris donc un gommage au sel qui avait pour but de nettoyer et vivifier la peau de ma Douce mais également de stimuler chaque parcelle de son épiderme. Je commençai par ses pieds puis suivis le galbe de ses jambes pour atteindre ses fesses sur lesquelles je m’attardai un long moment, tant j’aime les avoir en main.
Pour continuer cette acclimatation, je me glissai derrière elle et repris de plus belle. Mes mains survolèrent la zone de son pubis avec légèreté poursuivant leur voyage sur son ventre ensuite vers son dos, pièce maîtresse de ce massage énergisant, pour finalement clôturer leur odyssée par ses épaules.
La poitrine délicate de ma Belle n’eut aucune attention particulière, dans un premier temps Je lui réservais un traitement de faveur.
La séance de purification terminée, il fallut ensuite se débarrasser de tout ce sel. L’image de ce corps nu, perlé de gouttes d’eau incitait aux caresses en tous genres, tant et si bien que je posai mes lèvres sur son cou pour débuter une nouvelle forme de massage
Tandis que je couvrais sa nuque de baisers, mes mains saventurèrent en direction de cette poitrine jusque-là délaissée. Lardeur de l’étreinte et la douceur des caresses firent rapidement grimper la température ambiante ; au plus je câlinais ce corps, au plus je sentais durcir lextrémité de ses seins.
Son corps collé au mien, elle sabandonna à la sensualité que nous partagions ; elle posa sa tête en arrière sur mon épaule et se saisit dune de mes mains pour la faire parcourir ses courbes jusquà son clitoris. Le message, bien que silencieux, était clair : lui aussi veut être stimulé !
D’accord! Mais nous nétions pas en ce lieux uniquement pour nous doucher !
Profitant de cette transition, je l’attirai maintenant vers le sauna. La chaleur humide qui y régnait ne pouvait quentretenir la complicité charnelle qui s’était installée
Il était hors de question pour moi de pratiquer une quelconque activité physique dans ce lieu étouffant, pas plus qu’il nétait question de laisser s’évaporer cette tension sexuelle enivrante.
Voyant ma Belle un peu déconcertée par cette brusque interruption, je la rassurai :
— « Ne t’inquiète pas, ce nétait que l’apéritif »
Cette promesse sembla raviver son excitation. Et le petit sourire coquin qu’elle madressa était une réponse en soi. La connaissant, je payerais tôt ou tard le prix de cette manuvre grossière…
Dans ce temple de chaleur, nous étions confortablement installés l’un en face de l’autre. Je ne pouvais dire si c’était la pose lascive, m’offrant une vue imprenable sur son intimité, ou le souvenir de la douche sensuelle que nous venions de prendre qui m’empêchait de contenir mon excitation.
Pour ne rien arranger, ma Séductrice commença à se caresser l’entre-jambe en me fixant droit dans les yeux. Devant cette scène sensationnelle, il métait devenu impossible de réprimer mon envie de remplacer ses doigts par les miens N’y tenant plus, je tentai de me rapprocher d’elle.
— « Non, non, tu restes là ! »
Me dit-elle d’un ton malicieux, et ajouta :
— « Tu te relaxes et tu regardes. »
J’avais bien mérité cette tendre vengeance ; elle fit, d’ailleurs, en sorte que je ne rate aucun instant de ce spectacle érotique et, poussant son bas-ventre vers l’avant, elle écarta davantage les cuisses.
Dans cette position totalement impudique, les doigts d’une main s’affairaient énergiquement ; tantôt à titiller son bouton de plaisir par de petit mouvements circulaires, tantôt à s’enfoncer dans l’antre de son intimité. Dans le même temps, son autre main, tout en pelotant ses seins, pinçait délicatement ses tétons.
Je me délectais de la satisfaction que lui procurait cette petite séance masturbatoire.
La respiration de ma Belle se faisait de plus en plus haletante, et les gémissements sourds qu’elle laissait s’échapper s’accordaient au rythme des frémissements qui parcouraient son corps. Autant de signes annonciateurs d’une jouissance atteignant peu à peu son paroxysme.
Tout à coup, ses yeux provocateurs se fermèrent, sa tête bascula vers l’arrière, son corps entier se raidit ; elle ne put retenir un cri exalté témoignant de l’intensité de l’orgasme qui s’emparait d’elle…
Recouvrant ses esprits, ma Douce se redressa les yeux emplis de ce mélange de satisfaction et de fatigue et me signifia d’une main tendue que je pouvais maintenant la rejoindre.
Je savais que pour lui redonner des forces, il fallait quelle se blottisse dans mes bras
Cétait effectivement le cas !
Au bout de quelques instants, elle s’approcha de mon oreille et susurra :
— « j’espère que tu as apprécié ! »
Quelle question, bien sûr que oui… J’avais savouré chaque instant ! En guise de réponse, j’agrippai une de ses mains pour la poser sur mon membre turgescent et dis :
— « tu sens à quel point ton exhibition m’a plu ? »
Sans lui laisser le temps de répondre, je me penchai vers elle pour l’embrasser avec une fougue équivalente au désir que j’avais de la pénétrer. Nos langues s’entremêlèrent passionnément jusqu’à ce quelle sécarte d’un coup pour me dire :
— « je vais me rafraîchir, je te rejoins dans le hammam ! »
Je reconnais bien ma Chérie, un délicieux mélange entre la servilité d’une soumise et l’autorité d’une dominatrice
C’est donc tout naturellement que j’allai m’assoir confortablement sur l’une des banquettes de mosaïque de cette caverne inondée de vapeur. Le nuage de buée était tellement dense que je ne vis qu’une silhouette entrer dans la pièce.
Arrivée à ma hauteur, elle se tint debout face à moi, saisit fermement ma tête entre ses mains et murmura d’une voix suave :
— « Merci pour l’apéro, voici les amuse-bouche ! »
Cette déclaration à peine terminée, sa langue vint lécher mes lèvres comme pour m’enjoindre à reprendre, là où nous l’avions laissé, le baiser qu’elle avait interrompu au sauna. Ce n’était pas cela ! Sa bouche se hissa jusqu’au lobbe de mon oreille qu’elle se mit à suçoter.
Ce qu’elle était en train de me faire produisit une réaction en chaine, je sentis une déferlante de frissons se propager dans tout mon corps ; cette onde électrisante exacerba mon excitation, ce qui entraina une érection carabinée.
Comme si ma Coquine l’avait prévu, c’est à ce moment précis qu’elle chopa ma virilité pour initier une série de va-et-vient.
Quelle exquise cruauté ! Ma tension sexuelle atteignait un niveau critique au point d’avoir l’impression que mon sexe gonflé à bloc allait exploser.
— « Ouhh la !! »
S’exclama-t-elle brusquement.
— « Il va falloir que je t’aide à relâcher la pression ! »
Joignant le geste à la parole, je la vis s’accroupir et déposer avec tendresse ses lèvres sur mon gland avant de redresser la tête dans ma direction pour délivrer une ultime consigne :
— « Laisses toi aller, je n’en laisserai pas une goutte ! »
Elle savait comment me faire jouir avec sa bouche. Je n’arrivais pas toujours à savoir ce que sa langue faisait de ma bite, mais une chose était certaine, c’est que l’effet de ses fellations était magique.
Ne se limitant pas à un simple mouvement mécanique d’allées et venues, elle l’enrichissait de lèches diverses et de massage ciblés. Le résultat ne se faisait généralement pas attendre bien longtemps.
Ce fut d’ailleurs le cas de ce hammam, je respectai sa recommandation et elle honora son engagement !
Ce fut à mon tour de me remettre de mes émotions après cette divine gâterie. De retour à la réalité, mon Aphrodite me pris la main pour m’emmener vers la salle principale avec dans l’idée de nous restaurer. Il restait des bulles, alors pourquoi ne pas faire une pause dans le jacuzzi avec un petit verre ?
Nous nous installâmes dans ce bassin enterré à hauteur du sol une coupe à la main pour profiter d’un moment de délassement dans cette eau effervescente.
Cet intermède pris fin lorsque ma Belle sortit de l’eau pour s’assoir dans mon dos sur le bord du bain.
Je reçu une nouvelle instruction : je devais me retourner pour lui faire face. A genou sur l’assise du siège à remous, je me retrouvais au niveau de son buste.
Ce devait être très certainement le but recherché puisqu’elle attira ma bouche vers ses mamelons, sachant probablement que je ferais instinctivement ce qu’elle attendait de moi.
Tandis que les ondes de l’air remontant à la surface de l’eau flattaient mon service trois pièces, je passai plusieurs minutes très agréables à lécher la poitrine de ma Bien-aimée jusqu’à ce qu’elle se recule davantage du bord et pousse ma tête vers le bas de son ventre.
Cette manuvre-là était également préméditée car elle savait pertinemment ce que ma langue ferait arrivée à la hauteur de son clitoris. Je me réjouissais d’emblée de pouvoir cajoler ce chaton rasé de près, nourrissant en outre l’ambition de générer en elle une nouvelle explosion jouissive.
Cette après-midi riche en émotions avait déjà bien conditionné l’esprit de mon Amante. Histoire de la taquiner, je commençai par chatouiller du bout de la langue la peau soyeuse de l’intérieur de ses cuisses me rapprochant lentement de ses lèvres sans les toucher.
Couchée au sol les pieds posés sur mes épaules, cette posture moffrait un accès à son « autre trou » que je pris d’assaut. La surprise que ma démarche avait suscitée laissa rapidement place à de l’enthousiasme lorsque ma langue sillonna sa vulve pour atteindre son bourgeon que je suçai allègrement.
Ma Dulcinée passa alors une main derrière ma tête pour presser davantage son entrecuisse contre mon visage m’exhortant ainsi à poursuivre mon uvre. Survolté par cet élan presque bestial, j’introduisis mon majeur dans sa fente en quête de son point G.
— « Oui c’est ça, mets en un autre !»
Toutes ces stimulations buccales et digitales eurent tôt fait de faire couler un délicieux nectar le long de mes doigts duquel je pus m’abreuver juste avant que des convulsions ne prennent possession de son corps.
J’avais atteint mon objectif… Et c’est avec la satisfaction du devoir accompli que je me rassis dans le jacuzzi, la laissant pour la seconde fois reprendre du poil de la bête. Pour ma part, ce cunni improvisé m’avait laissé le temps de recharger les batteries ; la vue de ma Femme se dirigeant maintenant vers les douches pour se rincer me faisait à nouveau bander. Pour lui laisser du répit, je pris le parti de piquer une tête dans cette grande piscine que nous avions à notre disposition.
Voyant réapparaître ma Complice, je l’imaginais s’installer sur un transat, vidée de son énergie par le rythme soutenu de nos galipettes.
À mon plus grand étonnement, elle vint me rejoindre dans l’eau. Ses bras autour de mon cou et ses jambes encerclant ma taille, je la sentais se déhancher pour positionner les lèvres de son sexe à l’extrémité du mien dans le but de se l’enfoncer profondément.
L’apesanteur de la piscine permettait de réaliser des acrobaties sexuelles impensables en temps normal. En revanche, l’eau neutralisait une grande partie des sensations que toutes ses cabrioles étaient censées nous procurer.
Nous nous décidâmes donc de nous installer sur l’un des transats et reprîmes nos ébats dans des conditions plus favorables