CHAPITRE 6
-Hoa, narratrice, jeune asiatique de 18 ans
-Adrien, son copain, 20 ans
-Virginie, la sur dAdrien, 18 ans
-Agnès, la mère dAdrien et de Virginie, 38 ans
-Vincent, le copain de Virginie, 25 ans
-Richard, le père dAdrien et de Virginie, le mari dAgnès, 50 ans
Je vivais désormais à temps plein chez Adrien et sa famille. Je consacrais beaucoup dénergie au sexe et aux plaisirs physiques. Je couchais très régulièrement avec Adrien, mon copain, Virginie sa sur, leurs parents Agnès et Richard et Vincent le petit-ami de Virginie, quelle partageait bien volontiers.
Je sombrais dans un mode de vie totalement débauché. Je me levais souvent tard avant Adrien toutefois je ne prenais souvent pas la peine de mhabiller et pénétrais dans la cuisine toute nue, fière de mon corps que je jugeais très sexy en mobservant dans les miroirs disposés dans les différentes pièces de la maison. Jimaginais que mes petits seins bien fermes, aux tétons dressés par les légers courants dair, mon ventre plat où brillait le piercing de mon nombril, mes cheveux noirs et lisses tombant jusquà mes fesses pommelées pourraient faire bander beaucoup dhommes et mouiller bien des femmes.
Généralement Agnès était également présente, guère plus vêtue que moi, exposant ses formes plus généreuses que les miennes et sa peau plus claire sans aucune pudeur. Nous nous embrassions généreusement, avant de préparer un petit-déjeuner. Dès quil était avalé, ma bouche partait à la découverte de lintimité dAgnès, où je goûtais souvent au sperme que Richard avait laissé là plus tôt le matin, avant quil ne parte travailler. Je men délectais, puis le partageais avec mon amante par un baiser langoureux. Nous quittions alors la cuisine, nos chattes excitées laissaient des traces humides sur les chaises en bois où nous étions assises, et nous passions au salon où nous nous vautrions dans le grand canapé pour poursuivre nos ébats lesbiens.
Adrien se levait plus tard, peu avant midi. Sa mère et moi laccueillions par une gâterie buccale quil appréciait tout particulièrement. Il déposait parfois sa semence dans nos tasses à café et nous nous en délections ensuite tout en nous caressant mutuellement tous les trois.
Virginie se joignait à nous en début daprès-midi. Elle revenait de son travail et nous tachions de lui faire oublier sa fatigue et son stress en lui prodiguant des massages qui se poursuivaient en cunnilingus, puis en pénétrations profondes prodiguées par son frère.
Enfin, en début de soirée Richard et parfois Vincent étaient de retour. Nous nous chauffions avant le dîner par des caresses, des fellations et dautres amuse-bouche. Puis, après le repas du soir, nous entamions les choses sérieuses : une vraie partouze à six, au cours de laquelle je me faisais pénétrer par tous mes trous, tout comme Virginie et Agnès. Nous jouissions comme des folles avant de provoquer léjaculation des mâles qui nous donnaient tant de plaisir et finissaient par nous asperger de leur jus épais et chaud.
Il marrivait de ne pas passer un seul vêtement de toute une journée.
Malgré nos multiples accouplements débridés et cette débauche incestueuse quotidienne, nous ne nous adonnâmes à aucune pratique sale durant les deux semaines qui suivirent lexpérience contée dans le chapitre précédent. Toutefois, je me posais toujours la question de savoir si Virginie était adepte ou non des jeux sales ? Si elle létait en avait-elle conscience, avait-elle déjà pratiqué, seule ou accompagnée ? Ces questions me taraudaient et malgré lindignation dAgnès lorsque javais formulé ces interrogations, jéchafaudais un stratagème qui devait me permettre davoir des réponses.
Javais pris lhabitude de faire ma toilette approfondie après le déjeuner. Ce jour-là, après avoir soulagé mes intestins, je mis une culotte blanche sans prendre la peine de messuyer. Je vaquais à quelques occupations pendant une heure environ et retournai à la salle de bain constater les dégâts. Le tissu de mon sous-vêtement était maculé dune grosse tache brune au niveau de mon anus. Satisfaite, je pliai ma culotte dune manière très particulière, mettant bien en vue sa partie souillée, et la déposai au sommet de la pile de linge sale. Je savais que Virginie allait bientôt revenir du travail et quelle passerait par la salle de bain pour se préparer à nos ébats de laprès-midi. Je comptais voir si le pliage de ma culotte serait toujours le même après son passage.
Lorsque Virginie rentra du travail, Agnès et moi laccueillîmes selon nos habitudes, par de langoureux baisers et des mains baladeuses. Comme à chaque fois, elle se rendit ensuite à la salle de bain pour se rafraîchir et se préparer pour la suite de laprès-midi qui ne manquerait pas dêtre très coquin. Il me sembla quelle restait plus longtemps absente que les autres jours. Quand elle revint, rien ne paraissait changé dans son attitude, mais son esprit me sembla un peu ailleurs. Je prétextai une envie pressante pour méclipser et laissai la mère et la fille se donner du plaisir.
Jétais toute excitée de savoir si Virginie avait ou non joué avec ma culotte sale. En soulevant le couvercle du bac de linge, je ne vis pas ma culotte. Je fouillai, mais impossible de la retrouver. Je sus que Virginie avait joué avec. La disparition de ma culotte sale me confirmait son attirance pour la saleté sexuelle. Je décidai den savoir plus. Je me rendis discrètement dans sa chambre et fouinai dans ses affaires. Je retrouvai finalement mon sous-vêtement souillé dans un tiroir, je linspectai de près et vis des traces humides tout autour de la tâche brune : Virginie avait dû lécher ma culotte imprégnée de mes excréments ! Quelle cochonne faisait-elle ! Jaurai voulu que sa mère sache à quel point sa fille était vicieuse et délurée. Assurée du goût de Virginie pour le sexe sale, je décidai déchafauder un plan pour quelle me dévoile ses penchants et que toute la famille puisse en profiter.
Nous baisâmes tout laprès-midi avec Agnès, Adrien et Virginie. Mon corps prenait du plaisir, mais mon esprit était focalisé sur mes espérances de sexe sale avec la belle rousse.
Quelques jours plus tard, Virginie avait un jour de repos. Je lui proposai de faire un jogging dès le matin. Étant sortie avec des amies la veille, je navais pas participé à la partouze familiale habituelle, afin déviter davoir à nettoyer mes intestins. Ils seraient donc bien pleins après notre footing. Même si elle fut un peu surprise par ma proposition, Virginie accepta volontiers daller courir avec moi.
Après 45 minutes de course nous transpirions abondement toutes les deux. Elle ne fut donc pas difficile à convaincre daller prendre une douche. Après nous être lavées normalement, je commençai à caresser le ravissant corps de Virginie, légèrement plus pulpeux que le mien, la jeune fille arborait de jolies formes bien pleines. Après les premières caresses, je me glissai entre ses cuisses pour lui prodiguer un cunnilingus qui lui procura un réel plaisir si jen jugeai par ses gémissements et ses râles. Je fis cependant attention à ne pas la faire jouir, je voulais quelle reste excitée au maximum pour linciter à se plonger dans le sexe sale.
Juste au moment où je la sentis prête à connaître lorgasme, je cessai mes mouvements de langue et remontai lembrasser sur la bouche, lui donnant loccasion de goûter à ses jus intimes. Puis je linvitai à prendre position pour un 69.
Je me mis à quatre pattes dans la grande baignoire et Virginie se plaça sous moi. Pendant quelle fourrait sa langue dans mon intimité jondulais du bassin, afin que mon anus se trouve régulièrement en contact avec ses lèvres. Virginie dû comprendre mon intention, elle commença à lécher de plus en plus mon petit trou plissé. Je stoppai mes mouvements et Virginie continuait à explorer mon petit trou à laide de sa langue pointue, quelle tentait dinsinuer à lintérieur de ma grotte pas très propre. Jallais pouvoir mettre mon plan vicieux à exécution beaucoup plus facilement que je ne lavais espéré.
Je continuais à activer ma propre langue sur le sexe trempé de désir de mon amante pour la maintenir dans un état dexcitation très élevé, proche de la jouissance. Je savais quune fille comme Virginie pourrait faire des folies lorsquelle se trouvait dans un tel état.
Alors quelle fourrait toujours sa langue dans mon cul, je commençai tout doucement à pousser en contractant mes muscles anaux. Mon action eut pour premier effet douvrir légèrement mon anus et de faciliter ainsi sa pénétration par la langue de la belle rousse. Elle dut entrer en contact très vite avec les matières fécales qui se trouvaient à lintérieur, mais elle ne dit rien au début, continuant à me lécher normalement.
Je poussai de plus en plus fort, sentant ma merde se déplacer légèrement à lintérieur de mon intestin. A lextrémité de mon anus, Virginie devait forcément sentir venir les excréments qui arrivaient doucement vers sa bouche, mais elle continuait à faire coulisser sa langue en moi, sans aucune expression de dégout.
Augmentant encore ma poussée, je sentis ma merde se précipiter à lextérieur de mon rectum, je ne pus la contrôler. Virginie en fut aspergée. Elle retira sa langue et me lança :
-« Ah ! Tu mas chié en pleine face ! »
Mais au lieu de stopper nos ébats comme je le craignis un instant, elle replongea presque immédiatement sa langue dans mon anus ! Jétais agréablement surprise, car si jétais convaincue quelle aimerait jouer avec de la merde, je craignais quelle ne fasse quelques manières et soit réticente au début. Il nen était rien.
Son visage devait être couvert de mes excréments chauds et elle continuait à me lécher le cul comme si sa vie en dépendait ! Décidément cette Virginie était bien la digne héritière de la famille de vicieux que javais rencontrée.
Quelques minutes après que jai évacué une partie du contenu de mes intestins, je me retournai et découvris Virginie encore plus sale et plus excitante pour moi que je ne lavais imaginé : son visage était maculé de ma merde, qui sous la pression de mon jet, sétait également répandue dans ses longs cheveux roux bouclés et sur le haut de son torse. Sous ce masque immonde elle souriait franchement, indéniablement heureuse de ce quelle vivait, en me jetant un regard coquin de ses yeux bleus. Je ne pus résister à lembrasser à pleine bouche, goûtant ma merde et jouant à létaler encore plus sur nos corps gorgés de désir.
Nous restâmes un long moment dans la baignoire géante, à nous vautrer dans mes immondices, nous caressant, nous embrassant. Virginie nous gratifia dun long jet durine bien chaude, qui liquéfia un peu la merde répandue sur notre peau. Nous nous branlâmes mutuellement et nous partîmes ensemble dans un orgasme ravageur, où les sensations physiques étaient décuplées par les stimuli cérébraux générés par limmoralité de nos actes pervers.
Après une douche aussi nécessaire que bienfaisante, nous discutâmes de ce que nous venions de faire :
-« Alors comme ça tu aimes les jeux sales » ; lançai-je
-« Comme si tu ne le savais pas déjà » ; répondit-elle avec un sourire entendu
-« Non, comment aurai-je pu le savoir ? » ; fis-je un peu étonnée
-« Et ta culotte sale, que tu as laissé volontairement en vue sur le bac de linge et que tu es venue récupérer dans ma chambre ! » ; rétorqua-t-elle
-« Ah bon ? Tu tétais rendu compte de mon petit manège ? » ; tentai-je de me défendre
-« Évidemment, ton petit jeu était bien grossier. » ; dit-elle, une peu hautaine
Souhaitant reprendre le dessus sur ma partenaire, je décidai de tout lui dévoiler dès à présent :
-« Et sais-tu que nous ne sommes pas les seules dans cette maison à aimer et pratiquer le sexe sale ? » ; lui assénai-je
-« Je sais quil y a également Vincent, avec lequel on sadonne parfois à ce type de jeux. Mais à tentendre je me dis quil doit également y avoir dautres personnes » ; répondit-elle à moitié surprise
Sur le ton de la confidence, je lui avouai que ses parents et son frère étaient également adeptes des pratiques sales et que nous avions déjà eu loccasion de polluer lair de la salle de bain à quelques reprises Elle sembla très intéressée par mes propos. Comme je découvrais que Vincent avait également un penchant pour la saleté, je me dis que nous aurions loccasion de vivre dautres plaisirs sales.