Nous sommes samedi, le jour de la semaine que mes maîtresses appréciaient le plus. Tous les samedis matins, je devais être réveillé avant elles et les réveiller à dix heures tapantes sous peine d’une sévère punition. Ce samedi-là, je m’étais levé à sept heures afin de m’assurer d’avoir le temps suffisant pour faire mes devoirs et préparer le petit déjeuner pour mes maîtresses. Lorsque j’eus fini de préparer le petit déjeuner, j’allai réveiller ma mère.
«Bonjour, Maîtresse Nathalie! Il est l’heure de Vous lever. Votre petit déjeuner Vous attend!» lui dis-je en lui baisant les pieds comme elle me l’avait demandé lors de ma soumission.
Ma mère se leva de mauvaise grâce et sans un regard pour moi, se dirigea vers la cuisine et attendit que j’appelle ma sur et ma tante. J’entrai ensuite dans la chambre de ma tante et la réveillai doucement en lui disant:«Bonjour, Maîtresse Rosalie! Il est l’heure de Vous lever. Votre petit déjeuner Vous attend!»
Je lui embrassai ensuite les pieds comme je devais à présent le faire depuis l’épisode de mon humiliation. Ma tante se leva tranquillement et alla rejoindre ma mère dans la cuisine. Je me rendis ensuite dans la chambre de ma sur pour la réveiller.
«Bonjour, Maîtresse Lily! Il est l’heure de Vous lever. Votre petit déjeuner Vous attend!»
Ma sur se leva d’un bond et sans me regarder, rejoignit ma mère et ma tante dans la cuisine. Lorsque je les rejoignis à mon tour, les trois femmes me fixèrent méchamment.
«Nous n’avons pas apprécié le réveil brutal. Par conséquent, nous nous partagerons ton petit déjeuner et tu devras nous regarder bouffer.» me dit ma mère.
«Très bien, Maîtresse Nathalie.» lui répondis-je.
À chaque fois qu’elle, ma tante ou ma sur me punissait, ma mère voulait que je réponde cette phrase en ajoutant le prénom qui convenait après le mot "Maîtresse". Je les regardai donc ainsi manger leur petit déjeuner et boire leur café. Lorsqu’elle eurent fini, ma mère déclara qu’elle allait prendre un bain. Elle m’ordonna de venir avec elle pendant que ma sur et ma tante débarrassaient la table.
«Prépare-moi un bain bien chaud pendant que je me déshabille. Attention! S’il est trop chaud ou pas assez, attends-toi à recevoir une belle correction de ma part. Si tu ne me prépares pas mon bain avant que je sois totalement nue, je te ferai bouffer ma merde! Compris?»
«Oui, Maîtresse Nathalie! Comme Vous voudrez!»
Je levai donc le robinet le plus haut possible afin d’avoir le début le plus grand possible et tournai la manivelle vers ma gauche jusqu’à ce que l’eau atteigne la chaleur désirée. En quelques dizaines de secondes, la baignoire fut remplie à ras bord. Ma mère fut nue pile au moment ou j’abaissai le robinet afin de couper l’eau. Sans me regarder, ma mère entra dans la baignoire et s’immergea totalement dans l’eau en poussant un soupir d’aise.
«Très bien, esclave! Maintenant, lave-moi.»
Je pris donc le savon et en mis sur la poitrine et le ventre de ma mère. Je repris ensuite un peu de savon et lui en tartinai le dos. Je pris le tuyau de douche et tournai la manivelle afin que l’eau soit tiède. Je pointai le tuyau sur le corps de ma mère et ouvris le robinet. Je pris bien soin de passer sur toutes les traces de savon jusqu’à ce qu’il n’en reste plus rien. Lorsque je coupai à nouveau l’eau, ma mère retira le bouchon qui retenait l’eau dans la baignoire et en sortit.
«Bravo, esclave. Maintenant, essuie-moi.»
Je pris donc une serviette et essuyai l’eau sur le corps de ma mère. Lorsqu’elle fut sèche, ma mère me dit: «Très bien. Je peux me rhabiller moi-même. Maintenant, va voir ta tante et tu verras ce que sera la punition qu’elle te réserve pour l’avoir réveillée aussi brutalement.»
J’obéis donc à ma mère et allai voir ma tante.
La suite dans le prochain épisode…
Marc
