Cela faisait 2 mois que ma tante et moi entretenions une relation. Nous nous voyons 1 à 2 fois par semaine, le plus généralement, c’est moi qui me rendais chez elle les après-midi où je n’avais pas cours. Cette expérience était bénéfique pour chacun de nous: moi, j’apprenais auprès d’une femme mature, elle retrouvait les joies du sexe près d’un jeune. La seule chose qu’elle refusait à m’offrir c’était son cul. Elle ne voulait pas que je la sodomise à mon grand regret. Un jour, alors que je venais de lui remplir le ventre et que je me nettoyais la queue, Brigitte me fit une proposition.

-"J’ai une très bonne amie, Martina qui a 49 ans, une anglaise qui vit à quelques centaines de mètres d’ici. Elle est divorcée depuis 2 ans et se trouve dans la même situation que moi avant que nous ne commencions notre relation. Elle n’a plus baisé depuis que son mari l’a quittée. Je lui ai tout dit de nous 2: qui tu es pour moi, le pourquoi du comment, bref, je lui ai dis que je te demanderais si tu ne voudrais pas la sauter. Saches que pour moi il n’y a aucun problème. On baise ensemble c’est tout. Il n’y a rien de plus donc si tu veux le faire c’est d’accord. Si ça t’intéresse, tu me dis et je vous arrange un rendez-vous, ici chez moi."

Je quittais ma tante en l’embrassant sur les lèvres, non sans lui introduire mon index dans la chatte encore humide de mon foutre. Rentré chez moi, je lui envoyais un texto disant que j’étais d’accord pour Martina. Le rendez fut pris le samedi suivant.

Lorsque j’arrivais chez Brigitte, Martina était déjà là, au salon. C’était une petite femme, à la peau très blanche (une vraie anglaise pensais-je), cheveux longs, roux attachés en queue de cheval, et à la poitrine volumineuse cachée sous une robe léopard des plus mauvais goûts. Nous fîmes connaissance. Ma tante nous amena du café. Nous étions aussi intimidés l’un que l’autre. Au bout d’une heure, Brigitte dit:

"-Si vous êtes prêts, la chambre d’amis au rez-de-chaussée vous attend."

Nous entrâmes dans la pièce en question. Elle possédait une porte vitrée coulissante donnant sur le jardin intérieur de ma tante, masquée par un gros rideau noir qui était tiré. J’embrassais Martina doucement et lui ôtais sa robe: elle était en porte-jarretelles. Je fis tomber son string. Sa chatte était très poilue, trop à mon goût, hors de question que je la broute. Alors que nous étions sur le lit, moi sur le dos, et Martina à mes côté en train de me sucer comme une chienne qui lèche son os, j’aperçus le grand rideau noir bouger un peu. Martina ne vit rien trop occuper à me faire du bien. Ma tante apparue, discrètement. Cette salope avait laissé la porte vitrée ouverte cachée par le rideau pour s’introduire et nous mâter. Nos yeux se croisèrent. Elle se caressait en regardant son amant de neveu avec sa meilleure copine. Cela m’excita encore plus.

Puis Martina, déroula une capote sur ma verge et vint s’asseoir sur moi à califourchon tournant le dos à notre espionne. Elle montait et descendait sur mon sexe tandis que je jouais avec ses énormes seins tout en regardant ma tante du coin de l’oeil. Martina criait en anglais:

"-Oh yes, fuck me darling! mmmmmmm, yes!"

Je la pris en levrette, dans le vagin. Martina était une bonne baiseuse. Nous étions face à ma tante. Au bout de quelques minutes, Martina dit en français avec son charmant accent anglais:

"-Tu vas me baiser le cul Charles, encules-moi."

J’étais aux anges! Cette femme encore inconnue pour moi m’offrait son anus alors que ma tante s’y était toujours refusée. Brigitte regardait la scène non sans un drôle d’air. Je m’introduisis dans ce petit trou du cul.

"-Ooooh, yes! fuck me darling, fuck my ass! mmmmmm han ha, it’s so good!"

Je ramonais ce cul "so british", tout content et ne quittant pas des yeux Brigitte qui continuait de se caresser. J’accélérais le mouvement, je commençais à transpirer, j’avais chaud, mon coeur battait à toute allure et Martina criait sa jouissance; puis je giclais une grosse saccade de sperme dans le capuchon avant de m’écrouler sur le dos, haletant. Brigitte avait disparu. Martina m’enleva la capote et me nettoya la queue avec sa langue. Au bout de quelques minutes, en se rhabillant:

"-C’était très bien Charles. Merci. Ta tante a raison tu es un bon baiseur. Si tu veux me reprendre, appelle-moi (elle posa un papier avec son numéro sur la table de chevet). Cette fois tu viendras chez moi. Elle m’embrassa et sortit.

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