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Voyage en Corse – Chapitre 5




Elza nous observe, elle semble heureuse de voir son cousin et sa sur à sa merci. Elle commence à se déshabiller, libérant sa lourde poitrine. Une fois son shorty retiré, en se redressant, je découvre son pubis vierge de tout poil. Si elle avait une corpulence moins forte, Elza aurait été un canon de beauté !

 Je reviens à mon occupation, attiré par l’odeur dégagée par le sexe de Sylvie. Il est encore un peu endormi : les lèvres sont refermées, cachant les parties les plus sensibles. Je sors ma langue et la passe entre ces lèvres. Je goûte ce goût salé, âcre, si caractéristique. Je vais de haut en bas, de bas en haut. Sylvie réagit, soupire, écarte un peu plus ses jambes. Ses petites lèvres grossissent, son clitoris de gonfle. Je le suce doucement, je fais des mouvements circulaires avec ma langue. Je la fais pénétrer dans le vagin le plus loin possible, mon nez plaqué sur le haut de son sexe. J’aime ça, ça m’excite. Sylvie apprécie beaucoup aussi. Elle gémit tout en se caressant ses seins avec ses deux mains. D’un il, du peu que je puisse voir, j’observe qu’Elza se caresse la poitrine avec sa main gauche, sa main droite se perdant entre ses cuisses. Soudain, elle nous interrompt, en prenant l’uf vibrant en main.

 

–       C’est bon ! Je pense que Sylvie est plus que prête à présent ! Adrien, allonge-toi à ses côtés, je vais m’occuper de toi aussi.

 Je me couche, sur le dos, à côté de Sylvie. Elle est essoufflée et rougie par le plaisir que je viens de lui procurer. Elle me regarde avec un sourire inquiet. Elza se place entre ses jambes, non sans déclarer :

 

–       Ma grande sur, as-tu déjà entendu parler de l’épilation ? Si tu veux, je peux m’en occuper pour toi ! En tous cas, notre cousin sait y faire, t’es trempée !

 Elle dirige l’uf à l’entrée de son vagin, pousse un peu avec son pouce, le plus loin qu’elle puisse. Celui-ci disparaît dans l’intimité de Sylvie, qui pousse un petit gémissement. Elza actionne la télécommande, un petit bruit de vibration se fait entendre. Sylvie me prend la main et me la serre. Elle me regarde avec des grands yeux. Le bruit se fait plus intense, Sylvie lâche un cri de surprise et de plaisir en  serrant ses jambes. Elza rigole :

 

–       Mon ami semble te plaire ! Tu n’as encore rien vu, je ne suis qu’à 20% ! Essayons les 50% !

 Elle tourne le bouton de puissance sur la télécommande. Le bruit de vibration se fait plus fort. Sylvie lache un râle puissant, se cambre, prend ses seins à plein main.

 

–       Putain ! C’est trop bon ! Aaah ! Je vais..

 Elle se cambre une nouvelle fois, pousse un cri, envahie par un orgasme. Elza augment encore la puissance. Sylvie se tortille dans tous les sens, jouit à plusieurs reprises, semble perdre pied. Elza arrête son jouet.

 

–       70%, déjà morteBon, je te laisse faire une pause, reprends tes esprits. Je vais m’occuper de notre cousin.

 Laissant l’uf dans l’entrejambe de sa sur comateuse, Elza écarte mes jambes, et met sa main gauche sur mon sexe endormi. Elle le décalotte, et entreprend quelques caresses agréables. Mon érection prend forme petit à petit, surtout qu’elle sait comment. Elle s’avance en engobe mon pieu tel un esquimau dans sa bouche. Sa langue se balade sur mon gland, mon frein. Elle me masse les couilles. Cette fellation est un enfer, trop de plaisir à la fois. Je râle de plaisir, je la fixe dans les yeux, elle me sourit, ma queue dans sa bouche. Elle a une main entre ses cuisses, qu’elle devait utiliser pour se caresser. Elle la ramène vers moi, je sens un doigt humide chercher mon anus.. Je réagis, serre les fesses. Mais sa langue s’acharne sur mon gland, son index force mon anus, remonte vers me prostate. La sensation est folle. Elle me contrôle. Ce traitement dura encore quelques minutes, sous le regard agard de Sylvie. Je sur le point d’exploser, Elza le sent, se redresse en relâchant mon sexe et quittant mon anus.

 

–       Pas si vite mon coco. Maintenant que tu es en forme, je veux te sentir en moi ! Sylvie, je vois que tu as repris tes esprit, je rallume mon petit jouet !

 –       Pitié ! non !

 Sylvie supplie sa petite sur, qui fait la sourde oreille. Le bruit de vibration reprend, Sylvie lutte contre les sensations. Pendant ce temps, Elza m’a enjambé. Elle se penche sur moi. Ses gros seins se posent sur mon torse, elle pose un baiser sur mes lèvres. Sa main droite empoigne mon pieu, et elle s’empale sur moi. Elle est trempée, je glisse en elle sans difficulté. A nouveau, cette chaleur, cette douceur autour de mon membre. Je constate qu’elle est moins serrée que sa sur, les sensations sont moins forte lorsque Elza commence à monter et descendre sur moi. Mais je prends du plaisir, j’oublie la situation, je prends les seins de ma jeune cousine en main, je me redresse un peu pour les sucer et jouer avec ma langue. Elza bouge bien, et elle prend son pied aussi. A côté, Sylvie prend son pied également : la puissance de l’uf était au minimum, il vibre tranquillement au fond de son vagin. Elle caresse sa vulve avec sa main droite, sa poitrine avec la main gauche. Elle observe sa sur chevauchant son amour de cousin. Elle n’en veut plus à sa sur, au contraire, elle est heureuse de découvrir ces plaisirs tellements intenses.

 Pour ma part, je n’en peux plus, et éjacule au fond de l’intimité d’Elza. Elle m’embrasse goulument, sa langue tournant agaçant la mienne. Elle se dégage ensuite.

 

–       Eh ben mon cousin, quelle chevauchée ! j’ai pris mon pied. Sylvie, notre cousin sait y faire ! A présent, je vais t’enlever l’uf, et je vais te nettoyer.

 Elle se met à genoux sur le lit, retire l’uf, du sexe de sa sur, se penche et commence un cunnilingus. A mon grand étonnement, Sylvie se laisse faire, et semble apprécier. La situation est excitante, je bande à nouveau, je commence à me branler. Sans réfléchir, je m’approche du fessier d’Elza. Elle le sent, se cambre. Je ne vois pas sa vulve, mais approche mon sexe du sien. Elle me guide d’une main. Mon sexe est comme aspiré par le sien, je glisse en elle en lâchant un râle. Je vais-je viens dans ses chairs. Chacun prend son pied. Sylvie jouit plusieurs fois avec le traitement prodigué par la bouche de sa sur. Elza jouit à son tour, quant à moi, j’explose une nouvelle fois en étant au plus profond de son intimité.

 Nous nous écroulons tous les trois, épuisés. Heureux de cette expérience.

 

–       Sylvie : J’avais peur du traitement que tu nous réservais. Je te découvre autrement. J’ai pris beaucoup de plaisir. Merci !

 –       Elza : Mon physique n’est pas top, mais j’aime le sexe. Je suis heureuse de t’avoir fait découvrir de nouvelles choses. Quant à toi Adrien, tu m’as épuisée, tu m’as explosée ! Mais que c’était bon !

 –       Moi : je suis explosé moi aussi, et crevé ! J’ai des drôles de cousines.

 –       Elza : je vais supprimer la photo compromettante de mon GSM. J’ai eu ce que je voulais.

 Elle attrape son smartphone et efface la photo de Sylvie et moi en plein ébats.

 Après avoir bavardé quelques minutes, Sylvie et moi regagnons notre chambre après un passage par la salle de bain.

 Nous nous couchons, épuisés, l’un contre l’autre.

 

–       Adrien, je peux te poser une question ?

 –       Biensur !

 –       Je sais que tu as pris ton pied, moi aussi. Mais rassure-moi, cela ne change rien entre nous ?

 –       Absolument rien ! Je t’aime, je suis bien quand je suis avec toi. Je ne te cache pas que ta sur et son uf m’ont donné des idées dont je te parlerai plus tard. Mais ce n’était qu’une partie de jambes en l’air, sans sentiments.

 Nous nous endormons, rassurés.

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