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Jouissances familiales tumultueuses – Chapitre 8




Chapitre 8 : Une voisine envieuse.

Dans le pavillon à côté de celui de Simonie, Moja, une belle femme de 35 ans, légèrement métissée, avec un cul de négresse comme certains le disent en voyant ses fesses bombées et proéminentes, a remarquée il y a plusieurs semaines qu’il se passait des choses pas très catholiques chez sa voisine. De la fenêtre de la chambre de son fils au premier étage elle voit parfaitement ce qui se passe dans la chambre de Simonie ou dans son salon, notamment le soir ou la nuit lorsque que ces pièces restent allumées. Depuis, elle guette cette débauche familiale qui s’est transformée rapidement en orgies ou Simonie, ses deux filles et une de leurs copines, se font baiser par un homme assez imposant pourvu d’une queue qui ferait pâlir son père africain pourtant sacrément monté. Et elle sait de quoi elle parle pour l’avoir eue dans sa chatte ou son cul des centaines de fois lorsqu’elle avant qu’elle se sauve du giron familial.

Elle est contente de son dernier achat, une paire de jumelles high-tech qui lui permet d’assister à ces copulations hautement pornographiques

Parfois elle entend même des cris et des hurlements de jouissance quand elles se font défoncer par cette bite géante qui semble ne pas connaître de fatigue.

 Elle est de plus en plus frustrée car son vieux mari qu’elle a épousé pour son fric, et sortir des griffes de son père, ne peux plus la baiser correctement.

Elle ne se cache même plus pour les espionner, espérant qu’ils remarqueront son voyeurisme car les fenêtres ne sont qu’a une dizaine de mètres. Malheureusement ces partouzeurs sont bien trop occupés à baiser dans tous les sens pour remarquer que quelqu’un les espionne.

Tenant ses jumelles d’une main, elle se masturbe joyeusement de l’autre pour se faire jouir en même temps que les salopes d’en face.

Heureusement que son jeune fils est souvent là pour faire tomber ses fièvres sexuelles lorsqu’elle assiste à ces débauches de sexes. Depuis 3 ans il est devenu son amant, son esclave, toujours prêt fourrer sa bite dans le trou que sa mère lui offre. Elle l’avait surpris un jour en pleine branlette et criant « Maman » en éjaculant sur un de ses slips.

 En faisant semblant d’être en colère, elle lui a ordonné de se mettre à genoux pour lui administrer une belle fessée. Quelle ne fut pas sa surprise de le voir de nouveau en érection pendant que ses fesses rougissaient sous les claques que lui administrait sa mère.

Devant sa belle queue et ses grosses couilles qui pendent dessous, Moja, sa mère, repense à son père qui la baisait et la faisait jouir et elle s’est dit que si son père abusait d’elle, et que malgré tout elle aimait ça, elle pouvait bien abuser de son fils qui lui, ne rêvait que de la baiser. Il n’a pas une aussi grosse queue que son grand-père, mais elle doit faire au moins 18 centimètres. Comme on dit « faute de grive on se tape du merle »

Moja n’a pas de très gros seins, mais ils ont de belles aréoles sombres et surtout de longs tétons charnus lorsqu’elle est excitée. Et c’est le cas en regardant la bite de son fils qui sursaute devant ses yeux avec un filet de sperme qui pend au bout de son gland. Elle a aussi de grosses lèvres, héritage génétique de la famille de son père. Lorsque le filet de sperme s’allonge, sa langue glisse d’envie entre ses deux lèvres et lorsqu’elle voit que le filet de foutre va se rompre, elle met instinctivement sa main dessous pour recueillir le jus de son rejeton et le lécher avec sa langue.

— Huuummmm, mais ton jus est délicieux mon fils.

Quand sa mère lui ordonne de se relever et qu’elle se met à genoux devant sa bite en érection pour la prendre dans sa main, il ferme les yeux et il prie le ciel qu’elle ne va pas s’arrêter là.

— T’as une belle bite mon fils. Un jour la fin de ta croissance, elle fera des malheurs. Mais je t’interdis d’oublier ta mère. Je suis et reste prioritaire. Marié ou non ta bite m’appartient.

Moja, la caresse quelques seconde avant d’agripper son fils par ses fesses musclées. Elle ouvre sa bouche qui va chercher le gland baveux de son sexe en serrant ses fesses entre ses doigts.  Elle tire son fils vers elle et avale son sexe entièrement comme lui avait appris son père, d’autant plus facilement que sa bite est beaucoup moins grosse que celle de son salopard de père.

 C’est comme ça que tout a commencé et elle n’a aucun regret.

Depuis son garçon est son sexe boy à domicile qu’elle sollicite au moins deux fois par jour et avec l’endurance de la jeunesse il peut la faire jouir plusieurs fois avant de lâcher sa purée.

Hier après-midi, elle a bien reconnu Effa et sa sur qui s’en donnaient à cur joie sur la bite de cet homme en s’empalant à tour de rôle sur cette monstrueuse queue pendant que leur mère se faisait bouffer la chatte par cet étalon. Dommage que son fiston fût en cours car elle aurait bien voulu avoir une bite bien dure sous la main, même moins grosse que celle qui la fascine.

Ce soir, son fils est avec elle dans sa chambre et elle est en position derrière sa fenêtre pour son film quotidien. Elle est à genoux sur un gros pouf avec son fils derrière elle qui la tient dans ses bras ses deux mains enserrant ses nichons et sa queue coincée entre ses grosses fesses.  Elle bave déjà de plaisir en regardant les 4 corps nus qui s’enlacent en face sous ses yeux. Il s’agit de Simonie, toujours présente, de sa fille Annie et de son amie Léah. Mr. Grosse bite est allongé sur le lit et les 3 salopes s’occupent de lui. Simonie, à cheval sur son visage se fait bouffer la chatte pendant qu’Annie et Léah s’occupe de sa gigantesque queue. Elles la branle et la suce à tour de rôle tout en jouant avec ses grosses couilles. Effa est hors de sa vue.

— Aaaahhh, putain de salope ! J’aimerai bien être à leur place !

— Maman, je suis là !

 Dit son fils en lui pinçant ses longs tétons tous durs qu’il a entre ses doigts.

— Bien sur Chéri, mais regarde bien. Tu vois sa queue ? Elle est énorme ! Tu es bien équipé pour tes 17 ans et je sais que sa croissance est loin d’être à son apothéose, mais tu me comprends, avoir une bite pareille dans la chatte.ça doit être extraordinaire !

— Ouaisje voisla mienne ne te suffit plus

— Mais non J’adore ta queue juvénile. Surtout lorsqu’elle est dans mon cul, je te sens mieux dans mon petit trou. Tout de même, j’aimerai bien être à la place de ses salopes.

L’une d’elle, Annie, vient de s’enfiler la queue de Bob dans sa chatte en poussant de grands cris qui fait frémir Moja qui s’imagine être à sa place.

— Ooooohhh, putain ! Quelle pute ! Elle vient de s’empaler sur sa bite d’un seul coup ! Vite mon chéri, prends-moi ! AAAaahhhh, ouiiiiiiiii…bien à fond ! Ouiiiiiiicomme ça c’est mieux !

Son fils vient de lui fourrer sa queue dans sa chatte bien trempée et brûlante, mais pour satisfaire sa cochonne de maman, il enchaîne dans son anus.

 De l’autre côté, c’est maintenant la copine d’Annie qui s’est accaparée du mandrin de chair pour s’empaler dessus aussi facilement qu’Annie et qui saute sur Bob en gémissant fortement avec des cris aigus lors qu’elle se laisse tomber dessus.

Quand elle jouit en même temps que Simonie qui se faisait dévorer sa chatte, c’est un véritable concert de cris de jouissance qui arrive à ses oreilles, qui déclenche son orgasme et celui de son fiston qui lui remplit le cul de son foutre si désirablement incestueux.

Il faut à tout prix qu’elle puisse engager une conversation avec une de ses femmes. Elle n’ose pas aborder cet homme qui est surement la source de tout ce qui se passe là-bas.

Le lendemain Moja croise devant la maison de Simonie une jeune fille qui se rend chez elle. Elle reconnait la fille d’Effa, Zeïa, qui ma fois, est devenue une belle jeune fille avec tout ce qu’il faut pour faire bander les garçons. Elle a bien changé la petite fille qui jouait parfois avec son fils quand sa grand-mère la gardait pendant les vacances scolaires.

En l’interrogeant elle apprend qu’elle s’est fiancée et d’après la description qu’elle fait de son futur mari, elle découvre que c’est l’homme qui baise à tout va, sa mère, sa tante et leurs amies !

— Merde ! Merde ! Grommelle- t-elle.

— Qu’est-ce que vous dites, madame ?

— Rien, rienje pensais à quelque chose J’ai oublié de prendre quelque chose en faisant mes courses. Passe me voir demain en sortant de tes cours, on pourra discuter plus longuement. Tu reverras peut-être mon fils.

— Avec plaisir Madame.

— Apelle- moi Moja voyons.

— Bien Moja, à demain.

Le soir elle est fidèle à son passe-temps favori, espionner ses voisines.

Un peu déçue car il n’y a que Simonie qui se fait baiser, à quatre pattes sur le lit, dans une prise en levrette qu’elle a l’air d’apprécier.

La bave aux commissures de ses lèvres, elle sent les mains de son fils empaumer ses seins et sa voix douce lui murmure toutes sortes de cochonneries dans son oreille. Dans sa tête, elle transpose ces mains actives avec l’image du bel homme qu’elle voit en face et qui se colle sur elle en poussant son gros sexe entre ses cuisses. Moja sait bien que c’est son fils qui vient de la rejoindre et ce qu’il veut. Elle l’a dressé pour son besoin personnel en sexe et il est toujours prêt à la satisfaire. Elle ferme ses yeux à s’abandonne à ses outrances, mais dans sa tête, son assaillant, c’est l’homme qui est en face. Son fils baise sa mère par tous les orifices, comme elle lui a appris, en essayant de se retenir le plus longtemps possible, pour éjaculer lorsque sa mère jouit en gueulant et en le traitant de fils pervers.

Jusqu’à maintenant cette relation lui convenait parfaitement, mais d’entendre et voir ce qui se passe en face, les 18 centimètres de son bien-aimé fils, s’avèrent insuffisants. La seule compensation c’est le nombre de fois qu’elle subit ses assauts péniens, le soir, le matin ou le jour quand il n’est pas en cours et il peut la faire jouir plusieurs fois à chaque copulation.

Le lendemain Zeïa vient la voir comme promis et après une petite collation et un banal entretien sur ses études, elle essaye dans savoir plus sur son fiancé. Elle apprend que son mariage est pour bientôt, et à demi-mots elle lui confie que sa mère l’aide, de toutes les façons possibles à se préparer pour ce mariage.

Moja se demande comment cette belle, mais frêle jeune fille, peut faire l’amour avec son fiance qui possède une queue aussi énorme.

 Tout naturellement, en tant que mère, elle voudrait la protéger, mais cette fille l’attire différemment. Elle voudrait la prendre dans ses bras pour embrasser ses lèvres roses et caresser sa peau si fine. Elle ne peut s’empêcher de lui dire que ce Bob, son fiancé, a une chance inouïe d’épouser une fille aussi belle qu’elle. Zeïa la regarde longuement avant de lui répondre :

— Vous aussi vous êtes très belle, Moja plus belle que moi. Je vous ai souvent imaginée en princesse indienne quand je jouais avec votre fils.

 Leurs yeux ne se quittent pas un instant comme connectés par une sensation nouvelle qui les attire l’une vers l’autre.

Lorsque Zeïa s’apprête à partir Moja lui demande :

— Faudra que tu me présentes ton fiancé, Zeïa. J’aimerai bien connaitre cet homme qui va t’épouser. Surement au grand regret de mon fils qui était amoureux de toi.

— Avec plaisir Moja. Dommage que votre fils Zacharie ne soit pas là. Je l’aurai revu avec plaisir.

Lorsque Zeïa, sa main sur poignée de la porte s’apprête à partir, elle gamberge encore sur cette attirance particulière qu’elle éprouve envers Moja, non seulement sur sa beauté exotique, mais aussi sur son aura aphrodisiaque qu’elle dégage et qui lui donne des frissons.

Quand Moja surgit derrière elle pour l’embrasser, elle tourne son visage et ses lèvres se posent involontairement sur celle de Moja. Cette dernière profite de sa surprise et repousse la porte d’entrée. Ses mains caressent ses bras et tout naturellement leurs langues se cherchent pour en goûter la saveur.

Moja l’attire dans le salon et ses mains s’activent sur ce corps juvénile. Zeïa, comme attirée par un aimant se colle à elle et ses mains vont caresser sa croupe rebondie qui la troublait lorsqu’elle était plus jeune.

En l’embrassant dans le cou, Moja tire sur la fermeture éclair qui ferme la robe de Zeïa et elle glisse le long de son corps. Puis c’est son soutien-gorge qui est dégrafé pour dévoiler ses seins à la voisine de sa grand-mère.

— Que tu es belle Zeïatu es à croquer.

Moja retire rapidement sa légère robe et apparait toute nue devant les yeux de la jeune fille qui les yeux écarquillés lui dit :

— Vous aussi MadaMoja. Vous êtesheuutu es beaucoup plus belle que moi !

 – Ne dis pas de bêtises. Tu n’as rien à envier de ma beauté et tu as la jeunesse en atout supplémentaire. Tes seins son magnifiques.

Moja

 Je viens d’attirer Zeïa dans mes filets pour me rapprocher de sa famille et de son fiancé. J’ai tout de suite senti en discutant avec elle qu’elle doit aimer le sexe et qu’elle était attirée par moi, comme d’ailleurs je l’avoue, je suis attirée par elle.

Je prends ses seins dans mes mains et je les presse doucement en frôlant ses petits tétons érigés. Une de ses mains frôle timidement mes seins et un de ses doigts s’arrête sur mon mamelon excité.

— Ooohhh, qu’est-ce qu’ils sont gros tes bouts de seins ! Huuummmils réagissent à vue d’il !

Je l’attire avec moi sur la banquette du salon et assise sur le bord des coussins, je saisis sa tête dans mes mains.

— Suces mes seins Zeïa. Lui dis-je en lui offrant ma poitrine entre mes deux mains.

Elle pose ses mains sur ma taille et se penche pour prendre un de mes tétons entre ses lèvres. Un peu hésitante au début, elle suce mon gros et long téton comme un bébé qui tète pour la première fois un sein. Pas comme la succion agressive à laquelle je suis habitué avec mon fils.

Pendant qu’elle me donne du plaisir avec sa bouche, je commence à jouer avec ses seins. Je la pousse vers mon autre sein et je presse son visage contre moi. Alors qu’elle tète et lape mon téton sensible je lui pince les siens

Zeïa pousse un petit cri et s’arrête de sucer mon téton.

— Princesse ! Continue de me sucer !

Je ne suis surement pas la première à la toucher intimement, mais je veux laisser ma marque sur elle.

— Allonge-toi, ma belle.

Elle se dépêche de m’obéir et couchée sur le dos je vois ses petits tétons pointés vers le haut et rougis à cause de mon traitement.

— Lève tes jambes et écarte tes cuisses. Mon aide te sera aussi précieuse qu’utile.

Ce qu’elle fait immédiatement et sous mes yeux, j’ai sa belle petite chatte étincelante, bordée d’une fine toison de poils dorés, presque invisible sur sa peau de pèche.

Elle était si belle, si innocente, prête à faire avec moi tout ce que je souhaite. De surcroît elle me fait découvrir une facette inédite de mes penchants sexuels.

Je m’installe entre ses jambes écartées pour prendre son offrande. Lorsque que j’écarte ses lèvres intimes, un filet de cyprine coule de sa chatte et j’introduis deux doigts dans sa vulve. Elle ferme ses yeux et respire plus lourdement. Un troisième doigt se joint aux deux autres et je les enfonce le plus loin possible. Zeïa gémit et se cambre.

Mon dieu qu’elle est étroite cette jouvencelle. Comment Bob, son fiancé, peut-il faire l’amour avec elle ! Elle doit souffrir le martyr avec sa bite monstrueuse.

Je remue mes doigts et elle laisse échapper un nouveau cri et ses yeux s’ouvrent.

— Chutça ira mieux dès que je commencerai à te baiser.

— Ouije saismaman me dit toujours ça.

J’en apprends de belle ! Sa mère la tripote aussi ! Sacrée famille !

Je commence à enfoncer et sortir mes doigts et la petite se tortille un peu mais je sens qu’elle ressent progressivement du plaisir.  Avec mon autre main, je joue avec son petit clitoris et je le frotte contre son os pelvien. En quelques minutes, je sens son corps se détendre et elle accompagne mes mouvements en bougeant ses hanches.

— Alors mon petit chaton, tu te sens bien ?

— Oh, oui. Continuezc’est boooonnnn

Son corps répond magnifiquement à mes caresses et je la baise de plus en plus vite en torturant son petit clito.

Lorsqu’elle a son orgasme en criant et pleurant, sa chatte se contracte autour de mes doigts, son corps frissonne et convulse sur mes doigts enfouis profondément. Cette jeune fille jouit très rapidement et doit être plutôt clitoridienne que vaginale.

Quand les houles provenant de son ventre diminuent, je sors mes doigts mouillés et je les porte à ma bouche. Son gout salé/sucré est divin. Tellement bon que j’écarte ses lèvres de chatte rougies pour tourner ma langue dedans pour recueillir le plus possible de cyprine juvénile.

Ce jus aphrodisiaque a des effets sur ma chatte qui demande qu’on s’occupe d’elle. Je m’approche d’elle et je place mes jambes de chaque côté de son visage pour abaisser mon sexe sur elle.

— Suce ma chatte, mon petit chaton

Sans attendre sa réponse je m’abaisse complètement sur son visage. Je sens ses lèvres ouvertes toucher ma chatte. Avec mes doigts je m’ouvre à sa bouche humide. Et c’est le paradis. Les lèvres de Zeïa se posent sur mon puit d’amour qui suinte de liqueur vaginale. Sa langue se refuge dans son antre chaud et ripaille sur les parties sensibles. Je grogne et crie

–  Ouuaaiisss vas-ytu y escontinue comme ça

J’en oublie la grosse bite de son fiancé et je gémis de plaisir. J’écrase son visage et son nez fait rouler mon clito surexcité. Sa bouche me suce, ses mains son agrippées à mes fesses et sa langue fouille mon sexe.

Je me déplace sur elle pour sentir sa langue et sa bouche sur la totalité de mes chairs sensibles et d’une main, j’accentue mon excitation en roulant mon clito entre mes doigts.

La voir étendue sous moi, la chatte tremblante et dégoulinante de jus me donne tellement de plaisir que je joui fortement, le corps cambré, écrasant sa bouche pendant un long moment avant de tomber à côté d’elle.

Toute la partie inférieure de son visage est recouvert de mon jus de chatte et son adorable langue rose sort de sa bouche pour lécher tout ce qu’elle peut. Cette petite aime vraiment le sexe et elle sera une merveilleuse amante pour un homme ou une femme. Peut-être, avec un peu de chance et d’amour, la conserver aussi pour moi.

Je la garde longtemps dans mes bras en la caressant et l’embrassant et je lui dis que son fiancé à de la chance d’épouser prochainement une femme aussi sensible et perceptible aux attouchements sexuels.

Zeïa finit par m’avouer qu’elle fait un blocage sur le monstre de queue de son fiancé. Malgré tout le mal que sa mère et sa tante se donnent pour la faire jouir avec de gros godes pour lui faire accepter qu’elle en soit capable de se prendre, elle aussi, une bite de ce calibre dans sa chatte. Elle se contracte tellement lorsque son fiancé pose son gros gland entre ses lèvres intimes, qu’il ne peut la pénétrer et la faire jouir avec sa queue.

— Zeïatu n’as jamais jouis avec une belle queue dans ta chatte ?

— Heunon pas vraiment. Bob me fait jouir avec ses mains et sa bouche et ma mère et ma tante font pareil avec en plus quelques instruments qu’ils enfoncent dans ma chatte. Mais je n’ai pas des jouissances avec un sexe en moi.

— Mon dieuce n’est pas possible ! Voilà pourquoi tu fais un blocage !

 Il faut absolument que tu ais un bel orgasme provoqué par une belle bite qui te baise. Après ça, tu voudras recommencer pour encore avoir cette magnifique jouissanceet quel que soit la taille de la queue qui te baisera !

— Ooohhh tu crois ? Mais comment faire ?

— Je vais m’en occuper mon chaton. Zacharieviens-là au lieu de te cacher pour nous mater en te branlant comme un gamin !

******************

Moja a réussi la première partie de son plan avec succès et elle va passer rapidement à la deuxième étape. Inclure son fils et elle dans les turpitudes de cette famille incestueuse en préparant à sa façon la future mariée pour sa nuit de noce.  Et surtout se faire baiser par cette bite monstrueuse qui hante ses nuits.

De son côté, Zeïa ignore totalement le jeu morbide de sa voisine qui vient de la faire jouir comme seul sa mère et sa tante en ont le don. Bien sûr son fiancé Bob est aussi un expert buccal, mais elle s’attriste de ne pouvoir accueillir sa bite. Entre femmes c’est plus facile, elles se connaissent mieux.  Moja est une belle femme métissée avec un nez légèrement retroussé, des belles lèvres rouges et une charmante fossette sur le menton quand elle sourit. Quelque part elle se sent captivée par cette belle et flamboyante voisine qui vient de lui procurer du plaisir et qui vient de lui proposer son aide pour enfin pouvoir se faire baiser par son fiancé.

 Pour l’instant c’est la queue de son fils Zacharie qui vibre entre ses cuisses quand il s’approche d’elle et de sa mère qui la captive. Elle est belle, d’une belle taille, comme un gode que sa mère utilise pour roder sa chatte, mais celle-ci est vivante, surement plus chaude et naturellement humide.

Dans le passé, quand ils étaient enfants, Zeïa a vu Zacharie faire pipi, mais il avait encore une petite zigounette de garçon. Ni elle ni lui ne se doutaient de ce que le destin leur préparait par l’entremise de Moja, avide d’apprendre à Zeïa comment se faire baiser par une superbe bite afin de s’offrir entièrement à son futur époux Bob. Elle doit saisir la chance qui s’offre à elle et s’arracher des bras de sa nouvelle amante.

— Tu peux me lâcher !

Et elle invite Zacharie :

— Viens Zacharie. Vas-y doucement et enlève-moi mon innocence. Je n’aurai jamais cru que ce serais toi qui me permettra d’honorer entièrement mon futur mari, Bob.

 Écartant largement ses cuisses elle s’offre à son ami d’enfance. Moja attrape la queue de son fils et après quelques succions pour parfaire sa forme elle le guide vers cette merveilleuse rose ouverte et luisante de rosée vaginale. Zeïa la retient et lui dit :

— attends, moi aussi je veux la goûter

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