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Evolutions – Chapitre 60




ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 60 : Léa devient Câline.

Nous mettons sans surprise une heure pour retourner dans notre ville où nous nous séparons de nos amis en klaxonnant, puis nous allons chez moi. Alice doit en effet récupérer sa voiture ainsi que quelques affaires, avant de rentrer chez elles avec ses filles. Étant donné qu’elles ne vont pas rester très longtemps, mes petites femmes ne se déshabillent pas, et je suis par conséquent le seul à le faire, lorsque nous nous retrouvons dans l’entrée de la maison.

Une fois que je suis nu, je vais dans mon bureau pour transférer sur la clef USB toutes les photos qui ont été prises pendant ce week-end merveilleux. Ma compagne me l’a en effet rendue, et ce périphérique de stockage ne fait que naviguer entre elle et moi. Ensuite, nous nous retrouvons tous les quatre dans le vestibule pour nous dire au revoir, et je commence par les jumelles en les embrassant à pleine bouche, puis elles vont attendre sur le devant de la maison pour nous laisser un peu d’intimité à leur maman et moi.

Lorsque nous ne sommes plus que tous les deux, je donne la clef USB à mon amante, et je lui dis :

Maintenant que tu as parlé du blog à tes filles, je pense que tu ne te dégonfleras pas, et je suis content que tu le fasses, même si cela implique que je perde notre pari.

Merci mon Amour. Et tu n’as pas à t’inquiéter, car certaines de ces photos resteront dans nos archives personnelles, comme tu l’as si bien dit en te parlant à toi même.

Je souris en me remémorant que c’était lorsqu’elle était à quatre pattes sur notre lit, alors qu’elle attendait que je lui mette sa fessée, et elle doit cette fois encore suivre le même cheminement de pensées que moi, puisqu’elle rougit légèrement.

Ensuite, je la prends dans mes bras, nous nous embrassons bien plus longuement que lorsque je l’ai fait avec Léa et Léo, et elle quitte la villa.

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Une fois que je me retrouve seul bien entendu, j’éprouve une légère mélancolie, mais elle est bien vite remplacée par de la joie, parce que je sais que le week-end prochain, Alice va venir habiter avec moi pendant trois semaines, une fois que les filles seront parties chez leurs grands-parents à Marseille. Non pas que je sois content que ces dernières s’en aillent, mais je vais vivre l’expérience de la cohabitation à plein temps avec leur maman, ce qui ne sera qu’un prélude à son emménagement définitif.

Au départ, il était prévu que mon petit bout de femme s’absente pendant deux jours, pour pouvoir emmener les filles jusque là-bas, ce qui lui aurait permis de voir ses parents. Mais finalement, les petites ont décidé de prendre le train, car c’est une expérience qu’elles ont rarement vécue, et elles le feront pour la toute première fois seules. Par conséquent, nous les laisserons à la gare samedi matin, ce qui d’un point de vue strictement égoïste, me convient tout à fait.

Mais pour l’instant, il me faut m’occuper jusqu’au moment d’aller me coucher, de manière à ne pas trouver le temps trop long en attendant que mon amante m’appelle, car il est vrai que nous n’avons fait l’amour qu’une seule fois aujourd’hui, et je suis déjà en manque d’elle. Pour tromper l’ennui, je vais sur Internet, et je surfe jusqu’à ce qu’il soit l’heure pour moi d’aller au lit.

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Je suis allongé et nu depuis déjà un bon moment, je commence à trouver le temps long et j’ai regardé l’heure au moins une quinzaine de fois, lorsque mon téléphone se décide à sonner. C’est bien Alice qui m’appelle, mais elle est en retard d’au moins une demi-heure par rapport à d’habitude. J’ai pris mon mal en patience en essayant d’y trouver tout un tas de raisons, dont la meilleure a bien entendu été les épreuves du baccalauréat des jumelles, ce qui ne m’a pas empêché d’être de plus en plus nerveux. C’est pourquoi dès que je décroche, je lui demande :

Il y a un problème, ma Chérie ?

Oui et non. Léo m’a demandé si elle pouvait transférer les photos que nous avons prises ce week-end, de la clef USB jusqu’à notre ordinateur, et sans réfléchir, je lui ai répondu oui.

Tu veux dire que…

Oui mon Amour, elle les a regardées, y compris celles où je suis seule à être dessus, et elle a immédiatement appelé sa sur pour les lui montrer.

Bien évidemment, il est question des photos qui auraient dû rester dans notre jardin secret, et sur lesquelles mon amante s’est mise dans la peau de Dolly, et va jusqu’à pisser à quatre pattes sur l’herbe. C’est pourquoi bien que mon petit bout de femme n’ait pas l’air désespéré, je m’inquiète de savoir comment les choses se sont passées ensuite :

Et elles ont réagi comment ?

Eh bien, au début je me suis senti très mal, surtout parce que mes enfants me regardaient bizarrement. Par conséquent, il a fallu que je leur explique longuement que je ne suis pas folle, que je ne me prends pas vraiment pour une chienne, que si tu me mets des fessées, c’est avant tout parce que c’est moi qui en ai envie, et que tout cela n’est qu’un jeu entre nous. Léo a fini par accepter la chose avec philosophie, même si elle trouve que toi et moi nous sommes complètement dingues, pour reprendre ses propres mots. Mais Léa m’inquiète un peu, car elle est restée très pensive, et elle a évité mon regard jusqu’à ce qu’elle aille se coucher, sans m’avoir embrassée comme elle le fait tous les soirs.

Puisque j’ai un bon feeling avec elle, tu veux que je vienne la voir pour avoir une conversation avec elle ?

Non, je ne pense pas que ce soit nécessaire. Il faut juste lui laisser un peu de temps pour digérer la pilule. Et si dans les jours qui viennent, ça ne va pas mieux, alors nous pourrons envisager de nous réunir tous les quatre, avant qu’elles partent chez leurs grands-parents.

Et toi, comment tu te sens ?

Pour être tout à fait franche, complètement ridicule. Même si j’assume ce que nous avons fait, nous aurions dû être plus prudents pour que cela reste notre secret.

Je ne peux qu’être d’accord avec Alice, mais comme de toute façon nous ne pouvons plus faire marche arrière, il nous faut effectivement assumer nos envies et nos besoins vis-à-vis des jumelles, même s’ils sont hors norme. Et je suis convaincu que Léa va finir par accepter la chose, étant donné qu’elle m’a montré qu’elle a un esprit très ouvert. Cependant, je n’ai pas le temps de faire part de mon point de vue à sa maman, puisque cette dernière décide de changer de sujet de conversation, en me demandant :

Tu es sur ton lit, mon Amour ?

Bien entendu, comme tous les soirs lorsque j’attends que tu m’appelles.

Et tu es en train de te tripoter pendant que je te parle de mes filles ?

Pas encore, parce que la conversation que nous avons eue jusqu’à présent était beaucoup trop sérieuse pour m’exciter.

Hum. Et tu as déjà entendu parler de la Marquise de Villeneuve ?

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Pour la petite histoire, mais également la grande, la famille de Villeneuve est une des plus anciennes du sud de la France, et sa noblesse remonte au neuvième siècle, c’est-à-dire à l’époque de Charlemagne. En ce qui concerne le présent, Olympe de Villeneuve qui est l’héritière d’une des nombreuses branches de ce lignage, et qui a une quarantaine d’années, est une célébrité dans le petit monde échangiste du Languedoc, puisqu’elle a la réputation d’organiser des réceptions très privées, à la fois huppées et dépravées. Bien entendu, tous ceux qui y participent ne sont pas forcément des aristocrates, mais ils sont triés sur le volet, soit directement invités par la marquise, soit chaudement recommandés par ses amis.

Je ne connais pas cette femme personnellement, mais Dorine malgré sa jeunesse, a déjà acquis grâce à sa spécialité de masseuse option orgasmes, une certaine réputation dans le monde libertin de notre petite ville. Elle a de ce fait déjà participé à certaines de ces petites fêtes. De ce fait, je ne doute pas une seule seconde que c’est elle qui a parlé de cette châtelaine dépravée à ma compagne, car cela m’étonnerait que cette dernière qui était très sage lorsque nous nous sommes rencontrés, ait pu avoir connaissance de cette personne au sang bleu, et très chaud.

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Je réponds à Alice :

Je ne la connais que de réputation, ma petite Poupée.

Et cela va changer, parce que cela fait maintenant trois mois que tu m’emmènes tous les samedis soir dans le club de ton ami Francis, nous sommes le samedi 19 novembre, et je suis à présent enceinte d’environ six mois et demi. Mon ventre qui s’est considérablement arrondi me vaut une certaine popularité de la part des habitués de cet établissement. Ils m’ont surnommée affectueusement « La Madone » à cause de mon type méditerranéen, alors qu’ils me connaissent tous bien entendu sous le nom de Dolly. Tu as mis ce trimestre à profit pour dépuceler nos filles, puis les enculer et enfoncer ta bite dans leurs gorges, après qu’elles soient tout comme moi allées faire des stages chez Dorine, et elles ont très bien vécu la chose, puisqu’elles en ont redemandé. Et comme tu ne pouvais pas assurer en ayant trois petites femelles à satisfaire, tu m’as mise à contribution, ce qui fait que pour te plaire, je suis devenue non seulement lesbienne, mais en plus incestueuse. Cependant, je n’ai pas à me plaindre, puisque j’ai vite pris goût aux abricots juteux et encore légèrement verts, de Léo et Léa.

Mon petit bout de femme est en train de mettre en place le décor d’un autre de ses fantasmes, qui semble être la suite de celui dont elle m’a déjà parlé, et je souris en entendant que de façon imaginaire, elle me colle la dépravation de ses filles sur le dos, alors que c’est elle qui a tout orchestré. C’est peut-être pour elle un moyen de se déculpabiliser, cependant je ne lui en fais pas le reproche parce que les jumelles étant adultes, ma propre morale n’a pas été égratignée. C’est pourquoi je l’écoute en silence tout en commençant à me masturber, curieux de savoir de quelle manière cette nouvelle histoire va se dérouler.

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Alice continue son récit.

Étant donné que tu m’as laissé la bride sur le cou, j’en ai profité pour faire la connaissance de Duchesse la veuve du notaire, et nous sommes devenues amies, car tout comme moi elle ne se comporte pas de façon complètement soumise, que lorsqu’elle vient dans le club de son maître, ou en d’autres occasions bien spécifiques. Bien que malgré son surnom, elle ne soit pas elle même une aristocrate, cette femme dont le vrai prénom est Blanche n’en a pas moins des relations, puisqu’elle connaît la marquise Olympe de Villeneuve, qui est une libertine reconnue.

Alice :

Mais d’un point de vue plus personnel, mes filles sont venues une première fois dans ce club, mais en simples spectatrices, pour me voir m’exhiber. Si Léo n’a plus voulu revenir parce qu’elle a trouvé l’ambiance glauque, Léa par contre nous accompagne régulièrement, et elle est très copine avec Belle qui a le même âge qu’elle. Tu en as profité pour commencer de baiser notre fille en public, ce qui lui a fait beaucoup de bien étant donné que tout comme moi, elle n’a à présent plus aucune pudeur. Mais si elle est tentée de monter elle aussi sur le tabouret de cirque qui se trouve sur la piste, elle n’ose pas encore se lancer, et en homme plein de bons sens, tu attends qu’elle prenne seule la décision.

Alice :

Pour ma part, j’ai rattrapé Duchesse pour ce qui est de vider des paires de couilles en public, mais nous n’avons pas battu le record de Kitty, puisque lors de nos exhibitions, nous essorons seulement une trentaine de types chacune. Ces hommes sont parfois les mêmes parce qu’ils ont eu le temps de recharger leur pistolet, cependant c’est à la condition qu’ils aient été sélectionnés par Max, le monsieur Loyal du club, qui est très prévenant avec moi à cause de ma grossesse.

Alice :

D’avoir à présent une paire de vedettes fait le bonheur de ton ami Francis, puisqu’il y a maintenant deux fois plus de clients dans son établissement le week-end. Il est d’autant plus heureux que vous baisiez régulièrement Léa en double, et en alternance avec Belle, tandis que seulement quelques voyeurs sont autour de vous. Car l’attention des autres est retenue par ce qui se passe sur la piste de danse, vu que si Duchesse et moi sommes considérées comme étant les clous du spectacle, nous ne sommes pas les seules à y faire notre numéro. Il y a en effet d’autres hommes qui amènent leurs femmes pour les donner en pâture aux célibataires qui constituent quatre-vingt-dix pour cent de la clientèle, et La grande majorité d’entre eux préfère avoir l’occasion de participer, plutôt que d’être de simples observateurs.

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Alice poursuit sa narration :

Car même si les deux petites sont un gibier de choix pour l’instant, elles sont chasse gardée, puisque Francis a décidé que la fille de Duchesse le restera elle aussi, temps que notre Léa ne sera pas montée d’elle même sur le tabouret, ce qui n’est qu’une question de temps. Tu as rebaptisé notre fille Câline, parce qu’elle recherche souvent tes caresses, et elle porte à présent un collier de chienne noir, avec une plaque gravée à son nouveau nom. Même si au début elle était morte de honte en s’exhibant, à présent elle vit très bien la chose, et elle attend même les samedis soirs avec impatience. Pour ce qui est de la fac, ça se passe très bien pour elle et sa sur, et Léa est heureuse, puisqu’avec les expériences hors du commun que nous lui avons fait vivre, elle est à présent beaucoup plus sûre d’elle.

Alice :

Lorsque nous arrivons dans le club, nous portons uniquement et comme d’habitude des bodys, et ce n’est pas la peine que je te les décrive, puisqu’ils sont identiques à celui que nous avons vu sur Internet. Le mien est bien entendu rouge, celui de Léa est bleu pastel, et notre tenue est complétée par nos chaussures de baiseuses de haute-compétition, vu que tu en as offert une paire à chacune de nos filles, pour leur anniversaire. Cependant, leurs sandales sont noires, alors que les miennes sont de la même teinte que mon vêtement, parce que tu trouves que c’est la couleur qui me va le mieux.

Je note au passage que c’est une bonne idée de cadeau à faire aux jumelles, lorsqu’elles rentreront de Marseille, puisqu’elles sont nées le 15 juillet. Pour leur bac, j’ai prévu de leur payer leur permis de conduire, étant donné qu’elles vont commencer à prendre des leçons à la rentrée, et je suis presque arrivé à décider leur maman en argumentant le soir au téléphone. Car bien entendu, ma compagne voulait au départ assumer seule cette dépense, puis ensuite participer, ce qui ne m’a pas du tout étonné de sa part…

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Mais pour le présent, Alice continue son histoire :

Évidemment, pour venir de notre villa, nous avons toutes les deux enfilé des manteaux pour cacher notre impudeur, d’autant plus que nous sommes à la mi-décembre, et que les nuits sont devenues glaciales. Quant à toi, pour affirmer ton rôle de dominant, tu as pris l’habitude de mettre des costumes lors de nos sorties, mais d’un style plus décontracté que ceux que tu portes pour aller travailler. Après être passés au vestiaire, nous traversons le club pour aller à notre table réservée, et dans ma tenue qui ne cache rien de mon corps et moule mon ventre rebondi, je ne ressens plus aucune gêne, mais au contraire de la joie, à m’exhiber. Léa a rattrapé le retard qu’elle avait sur moi dans ce domaine, puisqu’elle est elle aussi parfaitement à l’aise dans sa fausse nudité, et elle fait même un détour par le bar pour aller dire bonjour aux serveuses, qui ne sont pas beaucoup plus vieilles qu’elle, et avec qui elle a sympathisé.

Alice :

Ensuite, notre fille vient nous rejoindre à notre table attitrée, accompagnée de Belle, à qui Francis a concédé certaines libertés, comme par exemple s’asseoir avec nous ou boire dans un verre, au lieu d’une gamelle pour chienne comme elle le faisait avant de nous rencontrer. Duchesse pour sa part est en train de faire son show, et les hommes se succèdent pour se vider les couilles dans ses trous à bites. Le maître des lieux ne tarde pas à faire son apparition, et il vient directement vers nous pour te saluer, et me caresser affectueusement le sommet du crâne comme il a pris l’habitude de le faire, pour me montrer qu’il est content de me voir. De plus, il ne m’adresse jamais directement la parole, sauf pour me donner un ordre, comme il le fait avec ses propres femelles. Cependant, il ne se permet ce genre de choses que lorsque tu n’es pas présent, ce qui est assez rare puisque lorsque nous venons ici, je ne te quitte que pour aller sur le tabouret de cirque, ou encore pisser.

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Tandis que je l’écoute religieusement, tout en me masturbant parce que je suis excité même s’il n’y a pas vraiment d’action pour l’instant, Alice qui ne s’arrête que pour respirer me raconte la suite :

Vous avez pris la routine de fêter vos retrouvailles hebdomadaires, en baisant l’une de vos petites chiennes ensemble, comme je l’ai déjà dit, chacune leur tour, et c’est à présent celui de Câline. Cette dernière qui en est consciente mouille d’impatience, tandis que je t’enlève tranquillement ton pantalon sous lequel tu ne mets plus de boxer, et que je te remets après tes chaussures parce que je te les avais retirées. Pendant ce temps, Belle s’est comportée de la même manière avec ton ami, et nous vous suivons toutes les trois lorsque vous vous rendez ensuite au bar. C’est en effet là que vous embrochez le plus souvent ces petites cochonnes, selon un rituel que vous avez établi.

Alice :

Pour commencer, Léa se met à genoux devant vous, puis elle flatte vos couilles tout en caressant vos queues, jusqu’à ce que ces dernières soient bandées. Ensuite, elle en suce une en l’enfonçant dans sa gorge tandis qu’elle branle lentement l’autre, puis elle fait l’échange. Une fois qu’elle s’est assuré que vous êtes en forme, elle pose sagement ses mains sur ses cuisses, et elle attend que l’un d’entre vous s’asseye sur un des tabourets hauts, et qu’il lui dise : « À la bite, Câline ! ». Ce soir, c’est toi, alors elle t’obéit rapidement, et elle se relève pour venir te faire face. Elle place ensuite ses bras autour de ton cou, tandis que tu mets tes mains à l’arrière de ses cuisses, et elle écarte les jambes pour les serrer de chaque côté de ta taille, dès que tu l’as soulevée. Une fois qu’elle est à la bonne hauteur, elle te lâche d’une main, et elle empoigne ton membre pour le guider jusqu’à l’entrée de son petit abricot, qui est bien juteux tant elle est excitée de se faire prendre comme une chienne.

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Maintenant qu’Alice est entrée dans le vif du sujet, j’ai du mal à me retenir d’éjaculer, c’est pourquoi j’arrête de me masturber en entendant la suite :

Tu la laisses redescendre doucement pour qu’elle s’empale sur ton pieu, et elle fait deux allers et retours le long de ta queue pour ouvrir complètement le passage, car bien qu’il soit bien lubrifié par sa cyprine, son trou à bites est encore étroit. Ensuite Francis vient poser son gland contre sa petite rondelle elle aussi bien serrée, et après l’avoir attrapée fermement par les hanches, il s’enfonce en elle d’un seul coup de reins. À ce moment-là et comme à chaque fois, Léa pousse un cri de douleur, mais étant donné qu’elle nous a avoué que tout comme moi elle aime quand ça pique les yeux, cela ne nous inquiète pas le moins du monde. Pendant tout le temps de cette pénétration brutale, ta petite femelle t’a regardé droit dans les yeux avec ferveur, et elle continue à te fixer tandis qu’elle vous baise tous les deux, en soulevant et en abaissant son corps de lolita, à l’aide de ses bras et de ses jambes.

Alice :

Au début, elle va lentement et en poussant des petits gémissements, qui ne sont pas dus qu’au plaisir, parce que son anus qui a été écartelé la brûle. Mais ce dernier ne tarde pas à se dilater, grâce aux frottements répétés sur sa peau à la fois tendre et très sensible, ce qui transforme peu à peu sa douleur en plaisir, et elle accélère la cadence en geignant plus doucement. Pendant ce temps, quatre voyeurs et une serveuse désuvrée sont venus vous regarder. Et tandis que la fille se caresse la figue, les hommes se masturbent en tenant dans leur autre main, un mouchoir en papier généreusement offert par l’établissement. Ces derniers sont destinés à recueillir leurs foutres lorsqu’ils gicleront. Léa qui est devenue une bonne petite cochonne, ce qui est plutôt logique étant donné qu’elle est ma fille, m’a avoué que si au début, ces spectateurs la dérangeaient et lui gâchaient son plaisir, elle s’est non seulement habituée à leur présence, mais en plus, ses sensations s’en trouvent à présent augmentées. Car elle éprouve désormais une certaine délectation, à procurer indirectement de la jouissance à ces hommes.

Mais bien que consciente de leur présence qui la rend encore plus heureuse, cela ne l’empêche pas de rester concentrée sur sa tâche la plus importante, qui est de te donner du plaisir, et plus accessoirement à ton ami Francis également. Car cela aussi, elle me l’a confessé, son plus grand bonheur est de te satisfaire, par tous les moyens que tu jugeras nécessaires.

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C’est à ce moment-là que j’éjacule dans mon propre mouchoir en papier, et je retiens un grognement pour ne pas perturber Alice, qui poursuit :

Après avoir dansé pendant une dizaine de minutes sur vos queues bandées, Léa arrive à l’orgasme en poussant un gémissement qui est aussi cristallin que son rire, et vous déchargez votre jus en elle, tandis que les voyeurs en font autant à l’air libre.

C’est maintenant au tour de mon petit bout de femme d’exprimer son plaisir, en poussant elle aussi un gémissement qui contrairement à celui de sa fille n’a rien d’imaginaire, puis elle reprend après une courte pose :

Notre fille reste alanguie quelque instants contre toi alors que Francis se retire, et Belle se met immédiatement à genoux devant lui pour lui nettoyer la queue avec sa bouche, pendant que tu cajoles affectueusement notre Bébé, pour lui montrer que tu es à la fois content et fier d’elle. Ensuite, elle redescend du tabouret en te souriant, et pendant qu’elle va faire un brin de toilette, c’est moi qui passe ma langue sur ta bite, et je la lèche sur toute sa surface, pour enlever la mouille de ma fille et un peu de ton sperme, qui y sont restés accrochés. Lorsque j’ai terminé, nous retournons à notre table, une fois que nous y sommes, je te remets ton pantalon, et Belle en fait autant à ton ami. Voilà, ça t’a plu mon Nounours ?

Énormément, cependant, il y a quelque chose qui m’échappe.

Quoi donc, mon Amour ?

Que venait faire la Marquise de Villeneuve dans tout ça ?

Ça, je te le raconterai une autre fois…

Je ne parle pas à ma compagne du fait qu’elle a mis en scène sa propre fille, à l’insu du plein gré de cette dernière, même si je me doute que ce n’était pas tout à fait innocent de sa part. Elle veut je pense de cette manière, m’inciter à aller plus loin avec les jumelles, et que je me rapproche encore plus de celle d’entre elles qui est timide. Cela démontre qu’elle n’en éprouve aucune jalousie, comme me l’a affirmé Léa lorsque nous en avons discuté ce matin, et étant donné qu’elle et sa sur m’ont déjà fait une fellation, la suite logique sera certainement leur dépucelage.

De cela non plus je n’en parle pas, et nous discutons ensuite de choses et d’autres, avant de nous souhaiter de passer une bonne nuit, et de raccrocher.

À suivre…

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