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travaux chez ma soeur – Chapitre 1




Travaux chez ma grande sur.

    Cet automne, ma grande sur, âgée de 42 ans, jai 4 ans de moins, ma demandé de rénover le salon de son appartement, quelle occupait depuis son récent divorce.

Après 22 ans de vie en couple et 2 filles,maintenant casées.

Cest justement, depuis le départ de la dernière de ses filles, au printemps passé, se retrouvant seul avec son mari,ils ne sentendaient plus ,quelle pris la décision de reprendre son indépendance .

Comme ma femme travaillait les samedis, javais décidé de venir ce jour la pour les travaux .

Jarrivais donc vers 7 heures du matin, ma sur ayant depuis la veille préparé le matériel pour retapisser le salon.

Elle mattendait, vêtue dune ample salopette de travail , elle devait maider à déplacer les meubles .

Puis, après environ une demi heure, en ayant soin de recouvrir les meubles de housses de protection, elle me laissa attaquer les travaux et disparu dans lappart, pour faire son ménage et préparer le repas de midi.

Midi, cest justement lheure, ou je finissais le gros du travail, je ferais la finition après le repas.

Après avoir pris une bonne douche, je retrouvais ma sur dans la cuisine ou un délicieux repas était servi, avec une bonne bouteille de vin, que nous nous partageâmes tout les deux .

Elle était vêtu dune robe très près du corps, la moulant a la perfection. javais une vue plongeante sur son décolleté, je lorgnai en douce sur ses deux beaux globes de chair,

Quand elle se leva pour aller chercher le dessert au frigo,je ne pu mempêcher de lorgner ses cuisses nerveuses et ses jolies petites fesses bien rondes.

Je la complimentai sur sa jolie silhouette, elle me remercia par un large sourire,en ajoutant qelle se sentait mieux dans sa peau .

Depuis quelle avait repris le sport ,elle avait perdu 8 kilos.

Après ce délicieux repas bien arrosé, ( café cognac )jeu un petit coup de fatigue.

Je demandais a ma sur, si je pouvais aller me reposer un peu, avant de reprendre les travaux.

Comme, le sofa du salon était recouvert dune housse, elle me proposa daller me reposer sur son lit, pendant quelle ferait la vaisselle.

Il était 13 heures environ, quand je mallongeai sur le lit qui sentait son parfum, vêtu simplement de mon caleçon.

Je ne mis pas longtemps a mendormir.

Vers 14 heures 30, jouvris les yeux bien détendu et la,a mes cotés je constatai la présence de ma sur .

Elle était allongée sur le dos et dormait profondément.

Simplement vêtue dun soutien gorge en dentelle noir, qui avait du mal a contenir sa lourde poitrine, le tissus tendu, moulait ses larges aréoles et ses mamelons dardés, se gonflait sous leffet de sa respiration.

En bas, elle portai un mini short brésilien assortie.

je pouvais apercevoir, sous le tissus tendu entre les hanches, au niveau de son ventre plat, le début du frisottis de sa toison de vraie brune et plus bas, la ou le tissu est moins large, le renflement de sa vulve fendu ,évoquait un abricot.

Je me rinçai loeil et profitai du spectacle ,qui métait offert.

Son corps harmonieux, le satiné de sa peau,le galbe de ses cuisses minces et nerveuses,tout ce spectacle me fit immédiatement bander.

Malgré la culpabilisation, du fait que javais une érection devant ma sur endormie,

Je ne put résister ,a lidée de me branler discrètement, en matant le corps parfait, que ma sur entretenait régulièrement, par des cours de fitness et de natation.

Je sortis discrètement mon sexe, qui de toute façon ,ne tenait plus dans mon caleçon et entreprit une masturbation ,lente et silencieuse.

Au bout dun moment, alors que jétais en plein acte masturbatoire,

Je ne métais pas rendu compte, que ma sur cétait réveillée et que non seulement, elle profitait du spectacle qui avait lair de lui plaire, mais en plus, elle avait glissé une main sous sa petite culotte et se caressait lentement.

Je remarquai aussi, qua chaque fois que sa main remontait, ses doigts se couvraient dune mouille abondante.

Je pris le courage de regarder dans sa direction ,aussitôt elle plongea son regard dans le mien et la, je compris quelle voulait que lon aille plus loin.

Nos corps roulèrent lun contre lautre.

Nos mains fiévreuses explorèrent le corps de lautre ,enlevèrent nos derniers vêtements .

Jen revenais pas ;jétais entrain de caresser ma grande sur, de découvrir son corps me mettait dans un état dexcitation extrême .

A pleine bouche, je gobai un sein me délectant de son gros téton turgescent.

Elle gémit quand je le lui mordillai .

Ma queue tendue a mort me faisait mal .

Ma sur, le regard fixé dessus,lagrippa ,la secoua ,la malaxa ,la branla lentement ,puis ,elle approcha ses lèvres humides et commença a donner des petits baisers sur le gland,ensuite cest avec sa langue ,quelle parcouru toute la longueur de la hampe .

Je la regardai faire ,en soupirant de plaisirs.

Puis ,elle revint au gland, qelle engagea dans sa bouche, elle semblait gênée par la grosseur de celui-ci, puis, elle commença un long travail de pompage.

Comme elle si prenait bien ma frangine, les joues creusées par le long travail de succion ,elle respirait fort.

sa bouche descendait et remontait doucement sur toute la longueur de la queue quelle pouvait contenir

elle reprenait souvent son souffle ,avant de reprendre lentement la délicieuse fellation .

A ce train, la jouissance ne fut pas longue a arriver .

Je criai, quand un torrent de sperme ,se déversa dans la gorge de ma sur qui continuait a me pomper, jusquà la dernière goutte .

Puis, sans lâcher mon sexe , qui navait pas perdu sa rigidité ,elle menjamba, me présentant son adorable petit cul bien ferme.

Minvitant par la même, a lui prodiguer une délicieuse minette.

Je redressai la tête et plongeai mon regard ,sur deux belles lèvres brunes charnues, qui pendaient, gonflées de plaisir ,entourées dune somptueuses toison odorante et déjà toute humide ,doù émergeait le clitoris dun rose cru.

Après avoir admiré le spectacle, je collai ma bouche ,comme une ventouse sur le jolie conin rempli dune mouille succulente .

Ma langue frétillât, sur un coin de chair palpitant et velouté ,sengouffrât entre les petites lèvres roses vifs, doù sécoule un miel abondant.

Ma sur gloussât , elle aimait ça ,elle reprit mon sexe en bouche

Ma langue fouettât a présent a petit coups vifs, son adorable clitoris;

Ma sur ne tardât pas a jouir, dans une plainte enivrée qaccompagnât

De grands soupirs.

Sous leffet de la jouissance, sa vulve se contractât et mexpulsât en plein visage un jet de cyprine .

Puis, elle se couchât sur le dos ,cuisses grandes ouvertes, ondulant des hanches, me lançant un regard dappel .

Je ne me fit pas attendre,je me plaçait entre ses cuisses blanches ,

Présentait mon gland congestionné ,a lentrée de sa grotte, que je frottais de bas en haut, pour lenduire de mouille, puis lajustais entre les petites lèvres .

Je poussais tout doucement, je sentis les chairs intimes sécarter, dans un bruit sonore sous la poussée incestueuse .

Ma sur, le visage grimaçant, la bouche grande ouverte, les yeux révulsés poussât un petit cri ,pendant que je prenais possession de son vagin, brûlant et trempé .

Une fois bien au fond, je restais un instant immobile, me délectant de cette étrange sensation ,que me procuraient les douces parois satinées, enserrant étroitement mon sexe.

Ensuite, je commençais lentement,de longs mouvements de va et vient, en ressortant presque entièrement mon queue du vagin et dit replonger avidement .

Ma sur ,soufflant fort ,me pris par le cou et menferma étroitement entre ses cuisses blanches a la peau de velours, ses jambes croisées a ma taille.

Sous ce délicieux contact, jaccélérai la cadence de la pénétration.

Nos deux bouches avides ,se rencontraient, nos langues semmêlèrent;

Je limai de plus en plus vite, de plus en plus fort ,le sexe trempée par un jus brûlant.

Le bruit que faisaient nos sexes, emplissait la chambre.

Le tremolo dune longue plainte, agita bientôt la gorge de ma sur, son corps dansait éperdument ,sous mes virils assauts ;

Elle soulevait ses hanches en rythme, pour venir a la rencontre de mon sexe.

Ses doigts se crispèrent sur le haut de mes bras, son vagin se contracta ,en vague successives autour de ma hampe .

Un râle interminable enfla dans sa gorge, pendant toute la durée de sa jouissance, ses yeux plongés dans les miens.

Jamais je navais connu une telle fusion.

Lorgasme de ma sur me donna plus dardeur ,dautant plus quelle avait dénoué ses jambes ,qui memprisonnaient les reins.

en appui sur les bras,je me mis à grand coups de reins à lui pilonner sans marrêter sa chatte trempée, ce qui eut pour effet de lui provoquer des orgasmes à répétitions, elle poussait des petits cris a chaque fois que ma queue cognait le fond de sa vulve,.elle sabandonnait totalement à la fureur de mes coups de bites.

Jaurais voulu la faire jouir comme ça, pendant des heures .

Cétait une véritable fusion charnelle entre nous deux.

Javais limpression ,que mon sexe était un bout de métal.

Au bout de son cinquième orgasme, ne pouvant plus me contenir ,une onde de plaisir me submergea, je grognai en sentant le flot de mon sperme inonder la douce gaine de ma grande sur ,je me penchai sur elle, pour lembrasser tendrement ,ses yeux étaient comme des étoiles .

Épuisé, hors dhaleine ,tout en sueur je retombais sur le lit ,au coté de ma sur qui reprenait aussi son souffle .

Cest ainsi que depuis ce jour là nous sommes devenus amants.

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