Elle nétait pas très grande, brune, son ventre rebondit et sa peau tendue était excitant, je navais pas souvent vu de ventre de femme enceinte et encore moins nu à partir de la ceinture, mon sexe qui était déjà bien dur, gonfla encore un peu, puis alors que la femme, ne faisant plus attention à moi, était occupé
à répondre à Germaine, javançais ma bouche, sortais ma langue et donnait un coup de langue dans les poils pubiens où étaient encore accrochées quelques gouttes durine, la femme ne pouvait pas reculer, et quand ma langue senfonça un peu dans ses poils pour atteindre ses grandes lèvres, elle gémit « non, pas comme ça, cest sale », Germaine lui répondit, « ne lui enlevez pas son plaisir, elle adore ça et jai limpression que vous avez aimé le premier coup de langue », pendant ce temps, je posais ma langue en bas de sa fente et remontait doucement, la femme gémit « oh putain que cest bon, ça fait 2 mois que mon mari ne me touche plus » et enlevant la main quelle avait posé sur mon front pour me retenir, se laissa aller contre le mur en disant « ce nest pas bien, mais tu mas donné envie, continues sil te plaît, essuie mon minou, au fait comment vous appelez-vous, moi cest Sylvie ». Germaine se présenta et dit « et celle qui te dévore le minou avec gourmandise, cest Lucie, ma petite fille, une vrai petite salope très obéissante ».
Je me lâchais complètement et attaquais avec gourmandise ce sexe qui commençait déjà à mouiller, je forçais les grandes lèvres avec ma langue alors que Germaine se rapprochant de la femme, passait une man sous son tee-shirt et commençait à lui peloter les seins en disant « hum, ils sont gros et bien remplis, tu vas allaiter jen suis sur » la femme répondit par un « ouiiiii » gémissant, elle ouvrit un peu plus les jambes, et baissa un peu son bassin en disant « fouille-moi la chatte avec ta langue, vas-y mange-moi » et au même moment elle jouissait une première fois dans ma bouche, sa cyprine sécoula sur ma langue et je mempressais de lavaler puis de laper à nouveau sa chatte pour récupérer le plus possible de son jus.
En quelques minutes Sylvie jouit à nouveau et, à nouveau je récupérais tout son jus avec ma langue, je sentais que ça coulait le long de mes joues, Sylvie posa une main sur ma tête et dit « arrêtes sil te plaît, je nen peu plus, cest trop bon », je restais à genoux alors qu elle se relevait lentement en disant « maintenant jaurais bien besoin dune bonne queue », Germaine sourit, me saisit une oreille et me força à me lever, puis elle me dit « relèves ta jupe et montres à Sylvie que tu es multifonctions », Sylvie surprise dit « ne me dis pas que », en même temps je remontais doucement ma mini-jupe, quand Sylvie aperçu ma queue qui tendait la toile du string, elle se laissa à nouveau glisser le long du mur pour saccroupir, saisit dune main lélastique et lécarta, puis de lautre saisit ma queue bien dure, la sortit et lavala en entier, la bouche plaine elle prit le temps de dire « hum, elle est belle » et elle commença à me sucer, ce nétait pas sa première fellation, elle sy prenait tellement bien quen quelques minutes je crus que jallais jouir, elle le sentit et sarrêta, puis elle se releva, se tourna pour faire face au mur et cambrant ses reins, elle fit osciller son ptit cul en me demandant « sil te plaît, mets la moi dans le cul, tout au fond, tu es un peu large mais ça devrait passer », alors que je posais mon gland sur sa pastille.
Germaine marrêta « non, mais dis donc saloperie, quest-ce que je tai appris, on ne rentre pas comme ça dans le cul dune femme, on le prépare avant, allez dépêche-toi », je maccroupis et posant ma bouche sur les fesses offertes, je sortais ma langue et balayais toute sa raie avec, puis la posant sur son ptit trou, je commençais à le titiller alors que Sylvie gémissait « cest trop bon, jadore ça, bouffe moi le cul, ma ptite salope, vas-y, et après tu mle défonce », je ne me fis pas prier, je continuais la feuille de rose, en même temps je posais un doigt sur son clitoris et le caressais, elle finit par jouir sur mon doigt en gémissant et me dit « vas-y mets la moi maintenant, jen ai trop envie, fous moi ta bite dans le cul », je regardais Germaine, elle me fit un petit signe de tête, je me relevais, posais mon gland sur lanus dilaté et alors que je voulais faire doucement, Sylvie gémit à nouveau en disant « prends moi dun coup, rentres tout, je veux la sentir passer, dépêches toi », je donnais alors un grand coup de reins qui memmena au fond de son cul, elle hurla « putain qucest bon, elle me remplit complètement, vas-y maintenant, limes moi, défonces moi, le ptit trou, je veux ton foutre au fond de mon cul ».
Jétais déjà très excité et ses paroles narrangèrent rien, je faisais tout pour reculer le moment ou jallais me vider dans son cul, et quand Sylvie hurla de plaisir en jouissant, je me laissais aller et explosais à mon tour, lui remplissant le cul avec mon foutre.
Lorsque ma bite sortit de son cul, Sylvie nous demanda de laider à sasseoir, elle ne tenait presque plus sur ses jambes, une fois assise, elle mattira vers elle et avec un grand sourire elle dit « merci beaucoup, maintenant il faut faire la vaisselle » et elle avala à nouveau ma queue pour la nettoyer, quand elle estima avoir fini, elle me sortit de sa bouche, javais repris un peu de vigueur mais pas suffisamment pour recommencer, alors Germaine intervint « la vaisselle, tout le monde doit la faire, et elle me dit « nettoies lui le cul, il ne faudrait pas quelle salisse sa voiture, Sylvie demanda « il ferait ça ? » Germaine avec un sourire « maintenant quil a rangé sa bite, tu peux dire, elle, et oui, elle va le faire, dabord parce que je lui ordonne et ensuite parce quelle adore ça », Sylvie se releva, sappuya, à nouveau, au mur et me tendant son ptit derrière rebondi mordonna « alors nettoies moi le fion, salope, après tout cest toi qui la salit », et je me remis à genoux pour nettoyer son cul du foutre que je venais dy mettre, Sylvie jouit encore deux fois avant de me demander darrêter.
Nous sortîmes des toilettes et rejoignîmes les voitures, garées côte à côte, Germaine dit à Sylvie « si tu veux, vu lheure quil est, on se suit et on sarrête pour manger ensemble vers 12h30, comme ça on pourra discuter », Sylvie lui sourit « jallais vous le proposer, de toutes manières il faut que jappel mon mari, quand je suis sur la route, il ne vit plus et depuis que je suis enceinte, jai limpression dêtre un morceau de sucre, comme ça jen profiterais pour lui expliquer mon retard, et puis avant de reprendre la route, il faudra que je fasse encore un gros pipi certainement, tu me prêteras bien ta ptite fille pour messuyer ».
Germaine éclata de rire « enfin de compte, enceinte mais salope tout de même, au fait tu vas jusquoù ? En région parisienne ? »
Sylvie avec un sourire « décidemment, tu lis mes pensées, jallais te demander si on pourrait se revoir, je vais en Seine et Marne, juste à la limite du 93, à Villeparisis, et oui je suis une salope, un peu refoulée depuis mon mariage, jaime mon mari, mais il est très classique, par contre cest la première fois depuis 6 ans que je le trompe, mais cétait tellement bon, que jai vraiment envie de recommencer avec vous deux, si vous le voulez bien »
Germaine lui dit que ce serait avec plaisir, et moi, je ne disais rien, mais je nen pensais pas moins. Nous reprîmes la route et vers 12h30, nous nous arrêtâmes dans un relais où il y avait un restaurant.
Lorsque nous nous installâmes à table, Germaine se mit en face de Sylvie pour discuter et je me mis à côté delle, à la table den face, un couple de personnes âgées, la soixantaine, et tous les deux sur leur 31.
Le monsieur, en costume 3 pièces avec un nud de papillon, et la dame en robe, ils étaient assis côte à côte, jétais assis juste en face du mari, et je vis rapidement quil navait dyeux que pour ce quil voyait sous notre table, à savoir mes jambes, voyant cela, je décidais de mamuser un peu, et jécartais doucement mes cuisses, il ne pouvait pas voir mon sexe qui était bien rangé sur le côté, par contre, il voyait très bien, mes cuisses et, maintenant que javais les jambes écartées, certainement un peu de mon string.
Germaine saperçu que lhomme me regardait, elle se recula un peu pour regarder sous la table puis se penchant vers moi, elle me dit « dis donc salope, tu es entrain dexciter le vieux den face, tu ne peux pas ten empêcher hein », puis sadressant à Sylvie elle lui raconta ce quelle venait de constater, cette dernière fit semblant de faire tomber sa serviette et me dit « viens la ramasser, et tu tarranges pour montrer ton ptit cul à ce vieux cochon », Germaine rigola « voilà, une bonne idée », je me levais et faisant le tour de la table, je mapprochais de Sylvie et me penchait en avant pour ramasser sa serviette, en faisant cela, joffrais au regard de lhomme, mes cuisses nues et mon cul sanglé dans son string. Lorsque je regagnais ma place, le visage de lhomme avait viré au rouge, nous entendîmes sa femme lui dire « je vais aux toilettes, va payer pendant ce temps » puis elle se leva et quitta la table.
Germaine sourit et dit « si tout se passe bien, on mange gratos mes chéries », puis elle se leva et se dirigea vers la table voisine.