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Un sacré numéro, notre nièce – Chapitre 2




Dans le chaputre précédent : 

Après quelques ennuis d’ordre ménager, je découvrais ma nièce Nathalie allongée dans le lit avec mon épouse Mélanie…

Pendant que j’observe la scène, je suis pris d’une érection qui devient douloureuse, tant mes pensées deviennent de plus en plus vagabondes. Et soudain, je remarque que Nathalie, dans son sommeil, a passé son bras autour du corps souple et svelte de mon épouse ce qui provoque immédiatement un changement de position de Mélanie qui se trouve désormais, sur le dos, dévoilant ses deux seins magnifiques, superbement proportionnés et qui, de fait, peuvent aisément se passer de soutien-gorge, ce qui, je ne vous le cacherai pas, la rend très désirable lorsqu’elle ne porte aucun sous-vêtement et que le tissu du t-shirt ou du chemisier laisse poindre les tétons fièrement dressés.

Après quelques secondes, la main de Nathalie, machinalement sans doute, car elle dormait toujours, vient se poser sur le sein de Mélanie, ce qui provoque chez elle, une légère ondulation, que je connais bien car lorsque je lui prodigue quelques caresses, même les moins appuyées, tout son corps frémit ; elle est d’une telle sensibilité, qui se vérifie immédiatement, même si je me refuse à voir un geste délibéré de Nathalie de vouloir poser sa main sur le sein de sa tante Mais cette idée me traverse l’esprit et n’a pas pour conséquence de tempérer mon érection, bien au contraire.

Je n’y tiens plus et je descends la fermeture de mon jeans et j’extirpe, tant bien que mal, mon sexe de son carcan et je le prends en main, comme si je voulais le rassurer et me faire pardonner son emprisonnement

Le contact de la peau de Nathalie sur celle de Mélanie, le souffle de cette dernière dans le cou lui procurent un plaisir évident puisque mon épouse a glissé sa main gauche dans son entrejambe alors que la droite caresse son sein resté libre. Et j’entends sa respiration se faire plus saccadée, puis un murmure :

« François, François, c’est pas raisonnable, j’ai envie de dormir, hum, hummm… ! François ! »

Soudainement, Nathalie réveillée par ces paroles s’assied dans le lit, comme si elle avait vu le loup, visiblement surprise par la tournure des événements . Son soubresaut extirpe aussitôt Mélanie de son demi-sommeil et comprenant, l’une et l’autre, bien vite l’ambigüité bien involontaire de la situation, laissent exploser un rire aussi inattendu que violent.

Profitant de la violence sonore de leur réveil, je me réajuste, replace, à contrecur, ma verge dans son carcan et je feins, en pénétrant dans la chambre, le mari inquiet du pourquoi et du comment de ces rires si étranges.

Les voir, l’une et l’autre, assises dans mon lit, les seins à l’air, le sourire aux lèvres et leur mine réjouie, n’a pas pour effet de calmer mon désir. Mon sexe, s’il pouvait s’exprimer, hurlerait son envie de liberté. Mais, je ne dois pas oublier que Nathalie est notre nièce

Assis sur le lit, à côté de Nathalie, j’écoute attentivement Mélanie me raconter ce qu’elle a ressenti, croyant qu’elle avait fait un rêve érotique et qu’elle était tellement surprise par la présence de Nathalie dans son lit.

Je tentais, pour la rassurer, de lui demander :

« Et alors, ma puce, ce n’est pas si grave ! Nathalie n’est plus une enfant, elle peut comprendre comment fonctionne la libido d’une femme belle comme tout de surcroît !

‒ Oui, mais ça me gêne, me répondit-elle. Si ta sur venait à apprendre que notre nièce partage notre lit… !

‒ Et alors, enchaîna Nathalie, de sa voie douce et qui se veut innocente alors que l’on peut percevoir, dans ce filet de voix légèrement suave, une once de perversité, ce n’est pas la première fois que je couche, euh, je dors avec une femme !

‒ Oui, mais là n’est pas la question, Nathalie, tu es notre nièce !, fis-je pour tenter de ne pas trop effrayer mon épouse.

‒ D’accord, répondit Nathalie, c’est certain que ce serait plus grave si j’avais embrassé Mélanie ! »

Et joignant le geste à la parole, Nathalie se penche rapidement vers Mélanie, lui fait tourner la tête en prenant son menton avec deux doigts et lui glisse un léger baiser sur les lèvres entrouvertes de surprise de Mélanie.

« Plus grave, mais diablement agréable, crut bon de répondre mon épouse, passé le premier moment d’étonnement. Le goût et la douceur de ses lèvres est tout simplement divin ! Nathalie, veux-tu bien en faire profiter ton oncle François ? »

Bien que nous soyons très ouverts l’un envers l’autre, Mélanie et moi, sa proposition me laisse sans voix Et même si je voulais répliquer quoique ce soit, ce serait inutile, car Nathalie ne se fait pas prier Ses lèvres, collées aux miennes, me procurent une chaleur dans tout le corps, à en frissonner de plaisir. J’essaie bien de me dégager, mais les mains de Nathalie se sont rapidement posées derrière ma nuque pour me maintenir et je sens sa langue me pénétrer, cherchant ma langue pour les mêler l’une à l’autre et entamer une ronde aussi joyeuse que délicieuse.

Zut et zut, je décide de m’abandonner, ne pouvant plus résister aux charmes de ma nièce si prévenante. Mon épouse, à qui rien n’avait échappé, se met à genoux dans le lit, derrière le corps dénudé de Nathalie et lui dépose de multiples baisers dans le cou et le long de sa nuque, que la coupe "à la garçonne" de notre nièce, laisse dégagée.

Dans un même temps, alors que je regarde mon épouse prendre un plaisir évident à caresser, de ses lèvres, le haut du corps de Nathalie, je sens une main de Mélanie essayer de déboutonner mon jeans, ce qui n’est pas évident, puisque je suis toujours assis sur le lit.

Nathalie s’aperçoit des difficultés éprouvées par sa tante pour tenter de venir au secours de ma verge de plus en plus douloureuse, elle intime, à Mélanie, l’ordre d’arrêter.

Un court instant, j’ai pensé que Nathalie, dans un dernier sursaut de moralité, veut tout arrêter. Le doute ne s’est pas insinué très longtemps, puisque nous l’entendons nous annoncer qu’elle souhaite s’en charger, qu’elle rêve depuis très longtemps de voir à quoi mon sexe pouvait ressembler, comme si j’étais un cas particulier !

Elle me dit, tout simplement :

« François, mets-toi debout, ce sera plus facile pour moi. Puis ajouta, en regardant Mélanie dans les yeux, pour nous ! »

Ce qui provoque, aussitôt, un léger scintillement dans le regard de mon épouse. Je ne sais pas si elle a peur ne pas avoir sa part du gâteau, mais visiblement, elle est rassurée. Et pour témoigner sa reconnaissance envers sa nièce, de vouloir l’associer, elle se met à caresser doucement les seins de Nathalie, en les prenant l’un et l’autre dans la paume de ses mains, puis en pressant, entre le pouce et l’index, le bout de ses seins, devenus, par l’envie naissante, durs et proéminents, à tel point que c’est une invitation à les prendre en bouche. Dans la position où elle se trouve, Mélanie ne peut, toutefois, pas embrasser les seins de Nathalie, mais, devinant qu’elle aurait son heure, elle ne s’en offusque pas et, au contraire, s’applique à caresser les seins de Nathalie en n’hésitant pas, parfois, à descendre les mains le long de son ventre.

Pendant ce temps, Nathalie réussit à déboutonner mon jeans et baisse mon boxer, libérant enfin mon sexe dur et de taille plus que raisonnable. Pas très long, mais assez large pour procurer un plaisir certain à mes partenaires. D’ailleurs, en voyant la grosseur de ma bite, Nathalie ne peut empêcher un léger rictus, mêlant visiblement surprise, appréhension, mais aussi envie, car, ni une ni deux, elle prend mon dard dans sa main et le glisse dans sa bouche, ce qui ne manque pas de me troubler au plus haut point. Sa bouche est chaude, mais asséchée par son appréhension. Elle s’en rend très vite compte et, alors que d’aucune se serait sentie gênée de ce contretemps, claironne à qui veut l’entendre :

« Je n’ai pas assez de salive. Mélanie, viens, embrasse-moi ! »

Se tournant, légèrement, en direction de Mélanie, Nathalie l’a gratifie d’un baiser passionné, profond, sans pour autant lâcher mon sexe avec sa main. Les filles s’embrassent goulûment et les mains Mélanie explorent lentement, mais sans discontinuer, le corps de Nathalie. Sa main droite a une préférence pour le sein gauche de Nathalie, alors que sa main gauche se risque à descendre jusqu’au pubis de sa nièce, pubis entièrement épilé, ce qui est du plus bel effet et permet de voir le dessin de ses grandes lèvres qu’un doigt, agile et inquisiteur de Mélanie, est entrain d’écarter pour se glisser légèrement à l’intérieur de son intimité. Et, contrairement à la bouche de Nathalie, son intimité ruissèle de désir.

Me sentant délaissé, je leur dis, à toutes les deux, que puisque c’était comme ça, je vais trouver une meilleure façon d’humidifier mon sexe Ne sachant pas à quoi s’attendre, Nathalie et Mélanie arrêtent de s’embrasser pour mieux observer Et ma femme, qui n’est pas dupe et que je sais être une femme mouillant abondamment, comprend rapidement que j’entends la pénétrer pour profiter de sa cyprine qu’elle libère avec générosité. 

En moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire, je la pénètre violemment elle adore être prise comme une bête sauvage – et me trouve instantanément dans un fourreau fait de douceur, de chaleur et d’humidité permettant un pilonnage intensif et jouissif mais n’allons pas trop vite, tempérons nos ardeurs

Alors que j’entreprends quelques va-et-vient bien prononcés dans la chatte de Mélanie, Nathalie, reprend son baiser langoureux avec sa tante, tout en lui titillant le bout des seins, gonflés à bloc et soulevés à chaque mouvement de nos bassins. N’oubliant pas que le but de nos manuvres respectives est de redonner un peu de salive à Nathalie et d’humidifier mon sexe, les objectifs sont largement dépassés. Ma bite, à l’étroit dans le vagin de mon épouse, baigne dans une moiteur exquise et Nathalie, par les baisers prodigués, a retrouvé toute sa salive.

D’un regard complice, Nathalie me fait savoir son impatience de me reprendre en bouche. J’obtempère immédiatement en me retirant prestement de la chatte pourtant si accueillante de Mélanie. A peine ai-je eu le temps de me remettre debout que Nathalie happe mon sexe, se mettant à le lécher comme elle le ferait avec un sucre d’orge.

« Qu’elle est bonne, et avec l’odeur de Mélanie, hum, hummmm, c’est encore meilleur ! J’adore».

« Continue, plus vite, avec ta langue, ressors-la, vas-y ». Je devinais que, malgré toute sa bonne volonté, Nathalie n’étais pas experte en matière de fellation. Pour ne pas lui faire de la peine et pour en avoir le cur net, je lui demande 

« As-tu déjà goûté à la semence d’un homme ? » 

Plutôt que lâcher prise, Nathalie me répondit en hochant la tête horizontalement. J’étais quasiment certain qu’elle était novice dans l’art de sucer une bite, mais diantre, elle s’en tire pourtant bien. 

Afin de lui permettre de parfaire ses connaissances, je demande à Mélanie de s’approcher et de montrer à Nathalie comment s’y prendre. Elle ne se fit pas prier la garce Elle se plaça côte à côte avec Nathalie et, comme si elle voulait se faire pardonner de lui ôter son joujou, elle saisit le visage de Nathalie et l’embrassa à pleine bouche, mêlant une fois encore leur salive.

« Je vais te montrer, Nathalie, et tu verras, après quelques leçons, tu seras une experte et plus aucun homme ne pourra te résister »

« Tu sais bien, ma tante, que je ne me lasse pas d’apprendre et si je dois suivre des cours d’appui avec vous, ce sera avec plaisir »

Il n’en faut pas en entendre beaucoup plus pour m’exciter davantage. Surtout que Mélanie, en passant délicatement sa langue sur mon frein tout en prodiguant une caresse manuelle douce, mais ferme, me fait rapidement arriver à l’approche de la jouissance. Pour ne pas jouir trop rapidement, je détourne mon regard un instant et je vois le reflet de nos ébats sur le miroir de notre grande armoire, héritée de ma grand-mère. Le spectacle est divin. Voir ma femme me lécher la bite alors qu’elle est elle-même sous les caresses de sa nièce c’est trop bon.

« Nathalie, criai-je dans un dernier réflexe, je viens, je vais jouir »

« Regarde Nathalie, ajouta Mélanie, regarde comme la semence de François est abondante et bonne Tu pourras la goûter après ».

A peine eut-elle le temps de finir sa phrase que j’explosais en jets puissants dans sa bouche. Un, puis deux, trois soubresauts et je retirai mon sexe Le quatrième jet manqua la cible et finit sur la joue gauche de Mélanie. Le cinquième parvient à la commissure des lèvres.

Profitant de cette offrande, j’ordonnai à Nathalie :

« Vas-y ma chérie, goûte mon sperme ! Lèche le visage de Mélanie, nettoie la comme il faut ! »

D’abord prudente, Nathalie avança le bout de sa langue à la rencontre du liquide blanchâtre, accroché à la joue de Mélanie. Il ne lui fallu pas longtemps pour qu’un coup de langue plus assuré n’enlève totalement la tâche de sperme sur la joue de Mélanie Et la coquine avait l’air d’apprécier C’est alors qu’elle se mit à lécher la commissure des lèvres de sa tante, d’où perlait une autre part de ma jouissance. Du coup, je retirais mon sexe de la bouche de Mélanie de toute manière, il avait baissé pavillon et ne demandait qu’à se refaire une santé et comme la nature a horreur du vide, il fut vite remplacé par la langue curieuse et avide de Nathalie. Visiblement, elle y prenait goût. Et par chance, ma femme avait prévu le coup. Plutôt que d’avaler ma semence comme elle en a l’habitude, elle l’avait gardé en bouche, certaine qu’elle en ferait profiter sa nièce. Et profiter, ce n’est que le prénom C’était une véritable frénésie et les deux garces y prenaient goûts’échangeant à plusieurs reprises le reste de ma semence, jusqu’au moment où, n’y tenant plus, Nathalie avala le tout en exagérant légèrement le bruit de la déglutition, certainement pour me démontrer, avec une certaine perversité, qu’elle m’avait, en quelque sorte, dominé.

Nous nous sommes couchés, tous les trois, dans le grand lit, pour nous remettre de nos émotions et, en ce qui me concerne, pour me remettre en état On a plus vingt ans 

Nathalie, le plus calmement du monde, nous posa la question 

« Je suis vraiment trop bien avec vous, mais ce n’est pas bien ce que nous avons fait, vous êtes ma tante et mon oncle tout de même ! »

Oh là là, me disai-je. Voilà qu’elle est prise de remords maintenant. Comment faut-il réagir pour ne pas risquer le scandale familial, ni même perdre à tout jamais ses instants merveilleux. Mais je n’eus pas besoin de réfléchir plus longtemps et c’est Mélanie qui fit preuve de plus de sang-froid sur ce coup-là 

« Ma chérie, as-tu aimé ce qui t’es arrivé ce matin ? Ne ressens-tu pas une certaine béatitude dans ton corps et ton esprit »

« Si, bien sûr, mais. »

« Mais quoi » se risqua Mélanie.

« Ben, c’est vrai que j’ai aimé t’embrasser, comme j’ai aimé sucer François et surtout te lécher et partager son sperme avec toi, mais »

« Mais quoi, vas-y Nathalie, dis-nous »

« Ben, je sens encore une gêne dans mon ventre » précisa-t-elle alors que ses joues, lisses et douces, se mettaient à rosir. 

« Attends, je vais voir ce dont il s’agit ». Et voilà Mélanie se plaça entre les cuisses de Nathalie et lui embrassa tendrement son pubis.

« C’est mieux comme ceci ? » lui demanda Mélanie

« Oui, oui, un peu »

En fait, la petite garce n’ayant pas pris son pied voulu nous le faire comprendre à sa manière, certes un peu enfantine, mais finalement assez efficace. Du moins, pour mon épouse qui ne fut pas dupe bien longtemps. Et encouragée par ce «un peu », Mélanie redoubla d’ardeur. 

Sa langue parcourt lentement la fente totalement lisse de l’intimité de Nathalie, partant du haut pour terminer à l’orée de son entrée secrète et encore inviolée. Ce traitement, tout en douceur, ne manquait pas de déclencher des gémissements de Nathalie. Elle aimait ça sans aucun doute. S’aidant de ses doigts, Mélanie écarte délicatement les lèvres de Nathalie et enfouit, avec vigueur, sa langue dans la chatte odorante et mouillée de Nathalie. Son goût semblait convenir à Mélanie tant elle essayait d’aller au plus profond de sa nièce. Elle profitait de caresser le clitoris de Nathalie et lui prodigua quelques instants plus tard une caresse buccale qui eut pour effet de libérer toute la tension de son corps. La jouissance de Nathalie fut totale et elle mouillait si abondamment que le visage de Mélanie en était tout trempé. 

« Merci ma tante chérie, c’était trop bon Je veux rester habiter chez vous, je vous aime trop ! »

« Ne t’emballe pas, Nathalie, lui répondis-je. Nous avons passé un excellent moment ensemble, comme jamais je n’aurai pu l’imaginer. Mais ne va pas trop vite. Tu dois aussi faire d’autres expériences avec des gens de ton âge. Mais, bien sûr, si tu le veux encore, nous serons toujours là pour toi de quelque manière que ce soit, me sentis-je obliger d’ajouter en lançant un clin d’il complice à ma jeune et merveilleuse épouse.

Après ces instants magiques passés à trois, un sommeil réparateur nous a permis de reprendre nos esprits et mettre de l’ordre dans notre tête. Quant à moi, à mon réveil, puis sous la douche, alors que je me remémorais ces instants merveilleux, j’étais partagé entre félicité et culpabilité. Félicité, parce que cette complicité avec Mélanie, que je n’imaginais malgré tout pas si libertine pour faire l’amour à sa nièce, et la perversité de Nathalie je me rappelle que c’est elle l’instigatrice de nos premiers ébats mais aussi culpabilité Ma nièce, la fille de ma sur. En homme responsable, je me suis dit qu’il faudrait en parler, tous les trois, pour éviter, tant que faire se peut, un traumatisme psychique de Nathalie. 

A suivre, en espérant avoir éveillé votre curiosité…

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