Printemps 1993 , nous allions vers la fin de notre 4e année de vie en couple , ma mère venait d’avoir 45 ans et j’allais sur mes 22 ans . Elle n’avait pas changé depuis notre première fois ; on aurait dit que le temps n’avait pas d’emprise sur elle .

Devant la télé , enlacés sur le canapé , bien calés entre les coussins sous un plaid , elle rayonnait , bien dans sa peau .

Ce fut une soirée de confidences . Sans trop savoir pourquoi , posant sa tête sur mon épaule ma mère me demanda :

" Tu te souviens de notre première fois ? "

" Comment oublier un moment pareil " lui répondis je ; elle me confia qu’elle était persuadée ce jour là que je n’étais plus vierge depuis longtemps .

En effet , après mes 16 ans j’avais eu une petite copine de mon âge , ma mère nous ayant vu échanger quelques baisers avait pris l’initiative de m’acheter une boîte de préservatifs pour au cas où , sans pour cela faire la curieuse par la suite . Je racontai à ma mère que la seule chose que j’avais pu faire avec elle c’était de l’avoir pelotée , et encore par dessus son chemisier , j’avais aussi essayé de glisser ma main entre ses cuisses mais elles étaient serrées comme des pinces , sans même pouvoir atteindre sa culotte et que tellement excité j’avais éjaculé dans mon slip , que les préservatifs n’avaient jamais servis .

Jamais je ne me serai imaginé vivre un moment aussi intense avec elle cet après-midi là , moment qui se renouvelait chaque jour depuis . Ma mère me dit aussi n’avoir pas pensé un seul instant qu’une telle relation puisse exister entre nous ; c’est en me sentant éjaculer que tout à basculé , aucun homme ne lui avait fait ressentir une telle sensation . Dès notre première nuit elle a été sûre de ses sentiments pour moi . Sur le plan sexuel elle me confia qu’avant moi elle n’avait pas senti le sexe de mon père venir au fond d’elle , et encore moins ses éjaculations malgré avoir été enceinte deux fois . Cela a été la dernière fois où nous avons parlé de mon père dans le cadre de notre relation . La fois suivante a été début 1997 lorsqu’une cousine de mon père nous téléphona pour nous annoncer son décès du à une cirrhose du foie ; ce qui ne nous étonna pas ma mère et moi .

J’ai senti ce soir là que ma mère avait un besoin de parler intimement plus que d’habitude de notre relation . Elle a dit être heureuse que notre couple ait passé le cap des 3 ans sans problème et se serra encore plus contre moi . Je lui ai tendu la perche et posé la question : " c’est quoi exactement le cap des 3 ans ?"

Elle m’expliqua que c’était un peu une période charnière dans la vie d’un couple où pouvait commencer une certaine désunion et aboutir à une séparation . C’était peu après les 3 premières années de mariage avec mon père que le manque d’intérêt et son manque de désir de lui s’était progressivement installé pour aboutir au résultat que je connaissais . Mon père ne s’intéressant à elle que pour satisfaire ses envies plus ou moins régulièrement . Très vite elle avait fait semblant pour être tranquille ; alors que depuis notre premier rapport avec moi elle jouissait ; que pendant notre première année nous avions sans doute eu plus de rapports intimes qu’elle en 20 ans de mariage avec mon père .

Pour la rassurer je pris sa main gauche , lui montrai l’anneau que je lui avais offert pour notre premier anniversaire de vie commune , lui ai confié que si nous ne pouvions pas faire d’enfant , cela ne changeait rien à mes sentiments envers elle , je l’aimais .

Elle avait toujours la tête sur mon épaule , entre le pouce et l’index j’ai pris son menton , l’ai regardée , dans ses yeux verts j’ai lu l’amour qu’elle me portait . Nos lèvres se sont jointes et je l’ai embrassée longuement . Ma main droite a quitté son menton , glissé sous le plaid dans l’échancrure de son peignoir et refermé sur son sein . Nous étions les yeux dans les yeux . Je palpais son sein délicatement , le bout était dur , je suis passé à l’autre , tout aussi ferme . Elle respirait lentement , j’ai caressé son flan , sa hanche , son ventre jusqu’à sa toison . Je connaissais le corps de ma mère de façon intime depuis plus de 3 ans , mais c’était comme si je la découvrais pour la première fois . Dans mon pyjama sa main s’était refermée sur mon sexe en érection et me pétrissait amoureusement .

"Chéri , viens on va se coucher " me murmura-t-elle comme si nous n’étions pas seuls . Elle s’était enfouie sous les draps ; retirant mon t-shirt et mon pyjama elle a vu dans quel état j’étais . Collés l’un à l’autre nous nous caressions , les doigts dans son sillon son fourreau débordait de mouille. Je lui ai demandé de me prendre un peu dans sa bouche , sa tête a disparue sous les draps pour m’offrir les caresses chaudes et humides de sa bouche , un vrai délice . J’ai interrompu ses caresses , elle s’allongea et m’attira sur elle . Les yeux dans les yeux je me suis glissé au plus profond d’elle , quand elle a senti mon gland à l’entrée de son utérus elle a poussé un profond soupir . Au fil du temps j’avais appris à me retenir pour faire durer le plaisir quand il montait . Elle m’embrassait dans le cou en murmurant des " je t’aime mon chéri " . Nous faisions l’amour tout en douceur et en tendresse . Je lui ai dit que je commençais à ne plus pouvoir me retenir et ne pourrai plus lui résister longtemps . Elle m’a serré dans ses bras , son ventre a commencé a monter et descendre , après quelques va et vient j’ai craqué quand dans mon oreille elle m’a dit :

"Chéri je suis à toi , je me sens à toi depuis la première fois , je t’aime , je suis ta mère et aussi ta femme "

Planté au fond de son ventre j’ai joui comme un fou en lui disant " maman je t’aime !" . Ma semence a jailli , elle a soulevé son ventre en disant plusieurs fois : " oui chéri ! oui chéri ! "; elle a joui aussi . Ses mains plaquées dans mes reins elle m’a gardé en elle jusqu’à ce que je perde ma raideur , nous nous somme câlinés , caressés , embrassés . Nos sentiments étaient encore plus forts . Pris d’une nouvelle érection je l’ai reprise , instinctivement dès qu’elle a senti ma jambe par dessus la sienne elle s’est ouverte et offerte . Le sexe dans son sillon je cherchais l’entrée de sa grotte , me serrant contre elle murmura amoureusement " je suis à toi mon chéri , prends moi comme tu veux " , et nous avons refait l’amour .

Pendant nos rapports intimes c’était déjà une profusion de mots d’amour , mais cette nuit là cela a été un débordement . Il faisait jour , collé contre moi dans mes bras , la lueur qui brillait dans ses yeux en disait long sur ce qu’elle ressentait . Elle m’enjamba , se planta sur mon érection matinale jusqu’à la garde ; comme un cavalier sur sa monture elle m’a chevauché .Son ventre a ondulé de plus en plus vite , serrée dans mes bras , le visage dans mon cou elle a joui très fort . Remise de ses émotions elle s’est retirée , m’a pris par la main jusque dans la salle de bain , penchée sur le rebord de la baignoire elle m’a invité à soulager mon érection en la prenant par derrière .

Depuis le début de notre relation j’avais vu ma mère tourner progressivement la page sur sa vie avec mon père , depuis cette nuit je crois qu’elle en avait clos le chapitre , jeté le livre aux oubliettes et ouvert un nouveau livre sur nous .

S’il y a eu une nuit où j’ai pu avoir le regret de ne pas avoir mis ma mère enceinte à cause de son problème de santé , c’est bien cette nuit là en réalisant tout ce que j’étais devenu pour elle et ce qu’elle était devenue pour moi .

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