Le dimanche matin
Je suis réveillé par une odeur de café et de pain grillé. Je suis seul dans le lit et jentends tout le monde discuter en bas dans le petit salon. Après une visite aux toilettes et à la salle de bain, je me décide à descendre à poil. Tout le monde, sauf Louise, est dans la même tenue.
-Ah enfin te voila, tu as le sommeil lourd.
-Je pense que jétais particulièrement fatigué, de plus jai eu droit à un petit bonus en pleine nuit.
-Café monsieur ?
-Noir avec du sucre, merci.
-Ca va mieux monsieur, vous ne ressentez plus rien ?
-Non, tout va bien, ne vous en faites pas Louise.
-Bon, aujourdhui matinée relaxe, il y a le sauna, le hammam et le jacuzzi, mais cet après midi, je vous propose une visite au club « Echange ».
Tout le monde est daccord et le petit déjeuner se termine joyeusement.
-Tu as un jacuzzi dans ta maison ?
-Oui, jacuzzi hammam et sauna, cest en sous sol viens, suis moi.
Nous descendons au sous sol et là, trône un superbe jacuzzi dans une pièce entièrement carrelée à la moresque avec sur la droite un hammam, sur la gauche un sauna et dans un angle une table de massage.
-Si tu veux un massage, Louise est une grande spécialiste.
— Dis-moi, quest ce que Louise ne sait pas faire ?
-Cest vraiment une perle et dune totale discrétion. Elle aime le sexe et est toujours prête à rendre service, tu vois ce que je veux dire. Elle est à notre service depuis la naissance de Sylvie, mais pour Sylvie cest sa grande sur et pour nous presque une fille. Elle fait partie de la famille. Bien que comme tu as pu le remarquer, elle tient ses distances. Il y a le sexe mais elle est quand même payée pour travailler chez nous.
Nous remontons, je vais dans ma chambre récupérer ma trousse de toilette et je pars pour une bonne douche et un lavement approfondi. En sortant de la salle de bain je vois Louise passer laspirateur dans la chambre.
-Ca me rappelle une certaine affaire dans un hôtel de New York.
-Sauf que moi je ne porterai pas plainte.
Je mapproche de Louise, elle se redresse, me fait face et déboutonne sa robe. Elle ne porte rien dessous.
-Ici, cest plus pratique.
Elle sagenouille et commence à me pomper le sexe, mais ce nest pas ce que je veux.
-Mettons nous sur le lit en position de 69 et agrémentons-le avec nos mains.
Elle me sourit, récupère sa robe par terre et en sort dune poche une petite fiole. Elle menduit le fion de son huile et en fait de même pour elle. Nous nous couchons en 69, jai son sexe à portée de bouche comme elle ma bite. Je commence à lui lécher la vulve tout en positionnant ma main droite sur sa rondelle. Son cul est très souple, jappui à peine quil aspire littéralement ma main. Je lenfonce pratiquement jusquau coude. De son côté, tout en me pompant la bite, elle recommence son jeux de pénétration successives mais va beaucoup plus vite car mon cul a gardé la mémoire des évènements de la veille. Au bout de 2 ou 3 minutes, sa main est au fond de mon cul et sagite frénétiquement. Elle est sur moi et dans cette position je ne peux pas insérer ma deuxième main. Je lui mordille un peu le clitoris tout en la pistonnant. Je sens que ma jouissance ne va pas tarder et je me laisse aller à cette montée du plaisir. A ma grande surprise, cest elle qui joui la première en me déversant un flot de cyprine dans la bouche, ce qui déclenche ma propre jouissance. De nouveau, je vois son visage extatique de la veille. Elle aime jouir et le montre.
Deux minutes plus tard, elle est rhabillée et fini de passer laspirateur. Je descends au rez de chaussé ou se trouve Charlotte. Luc et Sylvie sont partis faire des courses au village voisin.
-Ils en ont pour au moins 1 heure 30. Ca te dit un sauna.
-Je préfère le hammam.
-Pas de problème. Louise, tu descendras dans un quart dheure pour nous passer un gant de crin ?
-Très bien madame.
Nous descendons au sous sol et nous installons dans le hammam. La pièce est assez petite avec une sorte de table au milieu et des marches au fond. Charlotte me fait allonger sur la table sur le dos. Elle me prend la bite et commence à me masturber. Une fois quelle set bien raide, Charlotte monte sur la table, passe au dessus de moi et sassoie sur ma verge. Elle se sodomise. Je nai pas enculé de mec ou de nana depuis longtemps, car depuis un certain temps, dés que je mets une capote, je débande, et comme il nest pas question de baiser sans préservatif avec des gens plus ou moins connus, je mabstiens
-Moi aussi, jadore ça.
Elle se pistonne vigoureusement, je sens son cul se contracter et se détendre. Tout à coup, elle se dégage de ma bite, sen empare avec une main et la dirige vers son sexe. Elle sassoie dessus et se pistonne frénétiquement. Elle fini par jouir bruyamment. Elle se penche sur moi, toujours empalée et membrasse. Mon sexe glisse du sien, elle se couche à côté de moi. Nous restons ainsi sans bouger jusquà ce quarrive Louise. Elle sest déshabillée.
-Je commence par vous, madame.
-Non, commences par Jean, il faudrait le nettoyer un peu.
Charlotte se lève et va sinstaller sur les marches du fond de la pièce. Louise se penche sur moi, me gobe le sexe et le nettoie avec sa langue.
-Madame est toujours aussi bonne.
-Merci Louise.
-Retournez vous monsieur.
Je me mets sur le ventre. Elle enfile un gant et commence à me frotter les épaules, le dos, les fesses, les jambes et, après mêtre retourné, la face avant. Ce nest pas du tout agréable, mais cest fait pour enlever la crasse que les pores, en se dilatant, ont libérée. Cela dure un bon quart dheure.
-Maintenant sous la douche.
Je vais sous la douche, jappuis sur le bouton minuteur, leau est glacée, mais Louise me frotte partout avec ses mains pour enlever toutes les traces de crasse. Quand je lui fais face, elle insiste un peu trop sur mon sexe et jen profite pour memparer de ses seins et lui pincer un peu les tétons. Elle me sourit et je me penche pour les mordiller.
-Quand tu auras fini avec Jean, je suis prête.
Cest Charlotte qui sest allongée sur la table et attend son tour. Louise me laisse, enfile de nouveau le gant et commence à frotter Charlotte. Je suis assez excité par le traitement que je viens de subir et je mapproche de Louise par derrière. Je lui prends les hanches et pose ma langue sur sa rondelle. Je sens que ça lui plait, alors je pousse ma langue au maximum en écartant ses fesses pour pénétrer le plus profond possible. Louise a de petits mouvements des fesses pour augmenter leffet de ma caresse. Elle me fait redresser et avec sa main non gantée, elle attrape mon sexe et le présente devant son fion. Je donne un petit coup de rein et je menfonce dedans comme dans du beurre. Son anus est trop souple pour une bite de la taille de la mienne, je sens quelle en veut encore plus alors, je me retire et je positionne mes doigts en pointe, les présente sur son fion et je pousse doucement.
-Vous pouvez y aller, je me suis préparée.
Comme hier, et sans gel ou produit facilitant la pénétration, ma main ma aucune difficulté à transpercer son sphincter. Je la pistonne à sec, seule ma salive a un peu lubrifié son anus. Mes va et vient sont de plus en plus rapide. Louise résiste le plus possible à la jouissance mais au bout dun long moment, elle cède et éclate dans un violent orgasme. Sa tête tombe sur les fesses de Charlotte.
-Excusez-moi, madame, mais cétait trop fort.
-Tu nas pas à texcuser, tu peux comme tout le monde profiter de tels moments, tu fais partie de la famille. Mais cela ne tempêche pas de terminer ce que tu as commencé.
Je libère le cul de Louise et vais massoir sur les marches. Cinq minutes plus tard, Charlotte est sous la douche froide sous les mains de Louise qui, tout en la nettoyant, sattarde beaucoup sur son entrejambe, à tel point que soudain Charlotte pousse un cri de jouissance.
La chaleur de hammam devient à peine supportable et nous décidons daller nous relaxer dans le jacuzzi. Louise nous quitte, elle doit vaquer à ses occupations.
Nous entrons dans le jacuzzi, leau est à une température assez élevée, mais le corps shabitue très vite et nous pouvons nous relaxer. La main de Charlotte atterrit comme par miracle sur ma bite. Elle me masturbe doucement.
-Tu nas pas joui dans le hammam, cest ton tour.
Elle glisse ses mains sous mes fesses et me soulève jusquà ce que ma bite émerge. Elle se met entre mes jambes, les passe sur ses épaules et me gobe le sexe, sa langue me titille le gland, une main me masse les couilles et lautre mexcite lanus. Je ne résiste pas longtemps à ce traitement et jexplose dans sa bouche. Charlotte avale tout en me regardant.
— Par mesure dhygiène, on ne doit pas laisser la moindre goutte de sperme dans le jacuzzi, mais cest une précaution que jadore. Au fait, on ta déjà dit que ton sperme était un peu salé.
-Oui, je sais, pourtant je naime pas le sel et jen utilise très peu.
Nous restons encore une dizaine de minutes dans le jacuzzi puis Charlotte appelle Louise.
-Tu peux descendre sil te plait, jaimerais que tu fasses un massage californien à Jean.
-Je vous demande cinq minutes, je termine et jarrive.
-Je te laisse, je dois préparer la sortie de cet après midi. Louise va descendre, installe toi sur la table de massage.
Je minstalle sur la table de massage sur le ventre et me laisse aller à la somnolence. Une musique douce me tire de ma torpeur et je sens les mains de Louise enduite dhuile sur mon dos. Cest plus une caresse quun massage, ses mains parcourent mon corps de haut en bas et nexcluent aucun cm2 de mon corps. Petit à petit elles se concentrent sur mes fesses, un pouce glisse entre elles et me titille lanus. Jai un petit mouvement des reins ce qui incite Louise à continuer. Elle fait couler de lhuile entre mes fesses puis, un doigt vient prendre possession de ma rondelle. Louise me prépare comme la veille, mais avec lentrainement, les préliminaires sont plus courts et en deux minutes sa main me possède entièrement. Elle me pistonne, le poing fermé, en enfonçant son bras pratiquement jusquau coude. Ses mouvements sont lents et amples, je soulève mes fesses pour lui donner plus damplitude. Elle accélère et je sens monter en moi cette jouissance profonde de la veille. Petit à petit, mon corps sélectrise, de la plante des pieds en remontant doucement vers le cerveau. Mon ventre se crispe, mon cur accélère et tout à coup cest léblouissement, léclair, mon corps explose mais contrairement à hier, jinonde la table de massage de mon sperme. Louise ralenti doucement ses va et vient, simmobilise et retire sa main doucement. Je sens mon cul se refermer doucement, la langue de Louise me lèche lanus jusquà sa complète fermeture.
-Cest de plus en plus facile monsieur.
-Oui, grâce à vous.
-Si jai bien compris, vous avez un gode gonflable, pourquoi ne faites vous pas comme moi le soir ?
-Parce que je ne vis pas seul et la personne qui vit avec moi ne connait pas mon goût pour la sodomie. Cest pour ça que je laisse tous mes godes dans le sud, je ne men sers que pendant sept mois de lannée, pendant la saison.
-Dommage, alors, venez plus souvent ici, je suis sûre que monsieur ne demande que ça.
-On verra.
-Retournez-vous sil vous plait.
Je me retourne, louise change le papier de la table, me lèche le ventre taché de mon sperme, lenduit dhuile et recommence son massage. Un quart dheure plus tard, ses mains se retrouvent sur mon sexe qui recommence à prendre de la vigueur. Jentends des pas descendre lescalier, cest Luc qui arrive des courses.
-Alors Jean, que penses-tu des talents de Louise.
-Vraiment exceptionnels.
Luc remarque que je commence à bander et fait un signe à Louise. Il se déshabille, se met de lhuile sur le fion et vient vers la table. Il lenjambe, remonte le long de mes jambes pour positionner son cul au dessus de ma bite. Louise se saisi de ma verge et la dirige vers la rondelle de Luc qui descend doucement dessus. Il sempale complètement. Décidément, après la femme, lhomme.
-Putain, une bonne queue dans le cul ça fait du bien.
-Profites en, cest rare.
Il monte et descend tout dabord doucement pour accélérer le mouvement jusquau moment ou ny tenant plus je me vide dans ses entrailles. Cest la première fois que je joui dans un cul sans préservatif. Luc se redresse et joui à son tour. Il reste un petit moment immobile, puis se dégage et redescend de la table.
-Dommage quon ai pas fait ça quand on était au collège.
-On était peu être un peu jeune, on découvrait.
-Certainement, nous ne pensions quà nous toucher la bite. Bon, je remonte je vais aider les femmes. Louise, prend ton temps avec Jean.
-Très bien monsieur.
Louise me remet de lhuile sur le corps et reprend son massage. Ses mains parcourent mon corps de haut en bas en appuyant doucement ce qui a pour effet de me relaxer au maximum. Je fini par être sur le point de mendormir quand Louise sarrête et me libère.
-Jespère que ça vous a fait du bien.
-Excellent Louise, excellent. Merci encore. Dites, vous avez lair dêtre très bien ici.
-Ca on peut le dire. Jadore monsieur et madame, cest dommage quils soient divorcés, mais vous voyez, ils sentendent encore très bien sur le plan du sexe. Je fais partie de la famille, je suis entré à leur service 6 jours avant la naissance de Sylvie, javais 17 ans, cest un peu ma petite sur.
Elle se retourne et se dirige vers lescalier, jadmire encore une fois ses fesses qui ondulent devant moi. On en mangerait.
Un petit moment plus tard, je remonte dans la cuisine ou se trouvent Luc et ses femmes. Sylvie porte une mini robe assez ample et très sexy. Dés quelle se déplace un peu, sa robe vole et découvre le haut de ses jambes à la limite des fesses. Je vois quelle ne porte pas de culote.
-Tu es sortie comme ça ?
-Oui, jaime voir létonnement des mecs que je croise, sans parler de la tête des femmes. Mais je ne mhabille jamais comme ça dans le village, nous avons été à lhyper marché à 20 km dici.
-Ok, je comprends mieux. Je vais prendre une douche.
Je monte dans ma chambre pour prendre ma douche et faire un brin de toilette. Quand je redescends, le repas est prêt et tout le monde passe à table. A la fin du repas, Luc annonce le programme.
-Départ à 16 heures pour la boite. Personnellement, je vais faire une sieste, je conseil à tout le monde den faire autant. Et quand je dis sieste, ce nest pas avec le terme « crapuleuse ».
Tout le monde va rejoindre sa propre chambre et je sombre dans un sommeil réparateur.
La sortie fut très intéressante, mais ceci est une autre histoire
