Les quelques semaines qui suivirent, Arthur fut disponible quasiment tous les jours, et il put voir Lana chaque fois qu’il le voulait. Chaque rencontre était l’occasion d’unir leur corps. Lana pratiquait la fellation de manière systématique, parfois s’accompagner des pénétrations vaginales, anales ; même les deux. Les lieux et endroits qu’Arthur choisissait étaient insolites. Parfois la voiture, une clairière, un bord de rivière, une nuit dans une ruelle, un hall d’immeuble, ascenseur, un hôtel. Arthur s’acharnait à dénicher des lieux qui gardaient une certaine discrétion. Arthur avait ouvert un compte dans le salon de beauté, Lana avait reçu l’ordre de passer chaque fois que nécessaire. Il lui avait donné comme mission de garder sa peau la plus douce possible, et que son sexe soit le plus lisse. Lana s’y rendait très souvent, même pour un simple massage, et elle retrouvait Julie avec joie. Elles étaient devenues amies.
Lana avait la possibilité ainsi de pouvoir se confier sur sa relation. Julie, curieuse de nature, adorait écouter les histoires et les détails des rencontres de son amie.
Tu l’as vu hier ?
Oui, et il m’a encore fait prendre du plaisir.
Et comment a-t-il fait, cette fois ?
Il m’a prise par derrière contre un mur, et il a visité mes deux trous.
Tu as aimé ?
Oui, il est toujours délicat, même s’il finit toujours fort, j’ai encore fini avec plein de mon jus et de son sperme sur toutes les longueurs de mes cuisses.
Lana adorait raconter, elle avait l’impression de revivre une deuxième fois. Julie adorait écouter, elle avait l’impression de vivre par procuration. Les deux jeunes femmes sentaient leur ventre se chauffer pendant leur rencontre.
Parfois, Arthur se présentait au salon, Julie les laissait seuls ; et lorsque l’homme partait, elle retrouvait Lana allongée, détendue, souriante, et pouvait apercevoir du sperme sortir d’un orifice.
Un soir, Arthur et Lana dînaient ensemble dans un petit restaurant :
Arthur, je sais que je ne devrais pas faire de demande, mais tu pourrais penser à faire regarder ou participer Julie à une de nos rencontres, s’il te plaît ?
eh bien… te voilà qui oses devenir entreprenante ? Je vais y réfléchir. Mais sais-tu si elle serait d’accord ?
Non, je ne me permettrais pas de lui demander ! Mais à chaque fois que je lui parle de nous, je la sens comme troublée et envieuse…
D’accord, on verra.
Arthur échafauda donc un rendez-vous imprévu au salon de beauté. Il avait demandé à Lana de lui indiquer tous ses rendez-vous au salon, et de lui dire si Julie était bien présente.
Lana savait qu’un jour, Arthur se présenterait et qu’ils auraient l’occasion d’emporter dans leurs ébats la jeune Julie. Cela l’excitait, et chaque contact avec Julie lui faisait monter son désir.
Un soir de semaine, Lana se présenta au salon quelques dizaines de minutes avant la fermeture. Elle retrouva Julie, et les femmes se firent la bise. Lana passa au vestiaire, enfila le petit peignoir, envoya vite un message sur le portable d’Arthur, comme convenu, et fila retrouver sa masseuse pour le programme du jour.
Les deux femmes commençaient à discuter.
Dis-moi, au fait Julie, tu en es où de ton côté avec les mecs ?… ou les filles ? sourit Lana.
Oh, plutôt les mecs pour moi, mais ça serait plutôt le calme très très plat !!! se mit à rire Julie. J’ai toujours trop l’impression que c’est seulement mon corps qui les intéresse, alors que j’aimerai trouver aussi une vraie relation.
Mais tu sais que parfois, c’est pas mal de s’envoyer en l’air juste pour le plaisir de le faire ?
Oui, sans doute, mais je n’ai pas franchi ce cap, et je n’ose pas, j’aurai comme une désagréable sensation.
Il faut te lâcher, vraiment !
Peut-être que tu as raison, sourit Julie.
Julie abandonna un instant Lana. Il était l’heure de la fermeture. Lorsqu’elle arriva à la porte, elle s’ouvrit et Arthur entra.
Bonjour. Lana est là ?
Bonjour Monsieur. Oui, elle est allongée sur la table de massage. Vous pouvez aller la retrouver.
Merci, mais vous pouvez continuer votre massage ce soir.
Merci.
Le magasin fermé, ils rejoignirent tous les deux Lana qui étaient allongée sur le ventre, nue.
A l’entrée d’Arthur, elle se redressa et reçut un long baiser de son amant, et put se rallonger. Julie avait repris le massage.
Tous les trois avaient entrepris la discussion, et les sujets étaient très simples.
Arthur, resté debout, tournait autour de la table, laissant parfois sa main caresser Lana.
Lana se tourna pour permettre à Julie de lui masser devant. L’ambiance changea un peu, sans que personne ne le pressentît. Julie massait les jambes, Arthur s’était placé auprès de la tête de Lana.
Il tira soudain Lana de manière que sa tête bascula en arrière au-devant de la table. Julie s’arrêta et fit comme un signe de sa sortie de la pièce, elle avait senti qu’ils allaient passer à une autre forme de détente.
Non, restez, et continuez votre massage.
Julie hésita un instant, et reposa ses mains sur les cuisses de Lana. D’instinct, Lana écarta un peu plus ses jambes, faisant découvrir son sexe lisse et qui à s’ouvrir devant la vue de la masseuse.
Arthur ouvrit rapidement son pantalon, et glissa son sexe dans la bouche de sa partenaire. Ses mains attrapèrent les seins de Lana, et commencèrent à les masser, tirant en passant les tétons déjà gonflés et durs. Lana ne pouvait plus bouger, Arthur commençait à faire bouger son membre gonflant dans sa bouche. Julie n’osait pas regarder, et fixait ses mains qui glissaient sur les cuisses de son amie. Lana attrapa la main de Julie et la déposa sur son entrejambe humide. Julie se fixa, et leva les yeux vers Arthur qui hocha la tête, comme pour donner une autorisation. Julie commença à caresser ce sexe ouvert et mouillé.
Arthur avait son membre bien raide et enflé, mais il allait toujours plus loin ; la position de la tête de sa partenaire était parfaite. Lana suffoquait sous les coups d’Arthur. Il entrait au plus profond de la gorge et s’amusait à y marquer de longues secondes de pose. Ce qui faisait grogner et toussoter Lana, qui se trémoussait de tout son corps. Julie avait du mal à garder sa main posée sur l’entrejambe de Lana, et laissa entrer un doigt dans la vulve de son amie.
Lana appréciait malgré la dureté de la pose et de ce qu’il lui était imposé.
Arthur se retira, et vint se placer derrière Julie. Elle frémit en sentant le sexe de cet homme contre ses fesses. Il déboutonna la blouse de l’employée et la fit glisser au sol, Julie se retrouva en string, placée entre le couple. Son string glissa par terre.
Pendant que Lana s’était relevée, Arthur attrapa Julie et l’assit sur la table, lui écartant les jambes. Il se recula, laissant la place à Lana, qui docilement s’approchant, embrassant goulûment son amie, la caressant, descendant lui embrasser et lécher les seins. Puis se penchant, elle descendit sur le sexe couvert d’un léger duvet de poils. Arthur écarta les jambes de Lana, et entra sèchement dans ce vagin qu’il connaissait bien, maintenant.
Julie avait fermé les yeux, s’étant appuyé sur ses bras, penchée en arrière, elle se laissait dévorer par son amie. Lana passait sa langue entre les lèvres, faisant tourner sa langue à l’entrée de ce sexe de femme, et venant sucer ce clitoris. Elle sentait les coups de son amant qui avait décidé de la prendre sans ménagement. L’entrée du membre l’avait surprise, lui faisant pousser un petit cri, mais elle gémissait maintenant. Julie qui s’était enfin détendue se mettait aussi à respirer fortement et gémir.
Les deux femmes prenaient du plaisir. Elles sentaient la chaleur de leur sexe envahir leur bas-ventre et remonter dans tout leur corps.
Arthur allait de plus en plus fort dans le sexe de sa partenaire qui se cambrait sous les assauts. Il lui attrapa les bras et la redressa. Ils avancèrent de telle sorte que Lana se trouva face à son amie, bloquée et pénétrée par son amant. Julie se jeta sur la bouche de son amie, et prit les seins entre ses mains. Arthur continuait ses va-et-vient. Lana gémissait au bord d’une explosion de jouissance. Soudain, elle se mit à trembler, la respiration coupée de saccades de souffle, elle jouissait. Ses deux partenaires la tenaient fermement pour ne pas la laisser s’échapper au plaisir qui l’inondait. Elle poussa un cri avant que tout son corps se relâche.
Artur se retira de ce sexe détrempé, il fit signe à Julie de s’allonger au bord de la table de massage, et lui remonta les jambes.
Lana monte dessus lui faire lécher tout ton bon jus qui coule.
Sa partenaire monta aussitôt installer et écraser son sexe sur la bouche de son amie, qui se mit aussitôt à aspirer et lécher ce jus.
Arthur se pencha pour humidifier légèrement l’entrejambe bien ouvert de Julie. Il approcha son sexe dur et brillant et le fit entrer d’un trait dans le sexe de Julie, qui poussa un cri.
Arthur et Lana se faisaient face chacun à leur place. De temps à temps, ils se penchaient pour échanger un fougueux baiser. Arthur se mit à faire de très violent aller-retour dans Julie qui criait de son plaisir, sentant le bout de ce membre taper au fond de son ventre. Il y avait longtemps qu’elle n’avait ressenti cela. Arthur allait de plus en plus vite et fort. Pour éviter de trop crier, Julie enfonçait sa bouche dans l’entrejambe de Lana, qui inondait de son plaisir sa partenaire. Lana gémissait, elle allait jouir encore une fois, c’était certain.
Julie et Lana se contractèrent quasi en même temps, elles prenaient leur plaisir. Julie se mit à se cambrer et pousser un râle de jouissance. Lana enchaîna aussitôt dans un cri intense et long, sentant son sexe se décharger d’un long trait de cyprine dans la bouche de sa partenaire. Arthur qui continuant pendant ces quelques instants à pilonner, se retira soudainement, et sans rien dire, attrapa la tête de Lana, et vint l’enfiler au plus profond sur son sexe, pour se lâcher et venir de long trait de sperme, qui lui donna une nausée. Lana glissa rapidement de la table, pour embrasser Julie et partager cette semence mélangée de son propre jus.
Le baiser dura un long moment. Arthur avait déjà filé sous la douche, et se rhabillait déjà, quand les filles se séparaient.
Elles se rhabillèrent très rapidement, s’essuyant avec les serviettes proches.
Arthur et Lana embrassèrent la jeune Julie sur la bouche,
Merci Julie, à très vite. Je pense que tu vas pouvoir m’accompagner et m’aider auprès de Lana.
Julie rougit et les laissa partir.
…/…