Ce jour-là, comme de temps à autre je discutais en compagnie de maman, elle s’occupait de ses tâches ménagères avec beaucoup de ferveur, et nous faisions part de l’actualité du moment. Et comme bien souvent nous plaisantions beaucoup sans aucun mal.
J’avoue que son style de tenue vestimentaire ne pouvait pas me laisser indifférent bien longtemps. En soubrette avec tout ce qu’il faut dessus et dessous et en noir et blanc. Au cas où elle avait le besoin de se pencher en avant, on apercevait obligatoirement ses jolis seins qui laissent beaucoup de sensations visuelles.
Des pensées s’installaient en moi, des envies subites, des désirs communs et habituels puisque c’est notre relation amoureuse. Notre moment de conversation demeurait, bien sûr ceci était très agréable puis surtout naturel.
Terminant son activité, elle a ressenti le besoin de s’asseoir et me rejoignais paisiblement sur le canapé. Elle me racontait ses journées, et je faisais pareil. La discussion dura une bonne vingtaine de minutes qui me paraissait des heures interminables, pas parce que ce n’était pas du tout intéressant, mais j’avais grandement envie d’elle, de nous deux, et je bandais si fort que je ne tenais plus.
Elle cessait de parler et me souriait tendrement en me fixant droit dans les yeux sans bouger, son regard éclatant brillait de mille feux et faisait sentir avec émotion la passion de l’union complice de nos deux corps.
Elle me dit alors que je lui faisais ressentir pas mal de choses, qu’elle était fière de moi, je rougissais devant cette si jolie silhouette mais j’étais de plus en plus gêné par la bosse sous mon ventre, et elle s’en aperçut assez rapidement d’ailleurs. Quelle chaleur d’un coup, certainement des pensées et désirs communs s’installant dans nos esprits respectifs.
Elle remarquait la taille imposante qu’avait pris ma queue, difficile de réagir autrement, et continuait tranquillement à me sourire.
— Calme-toi mon chéri, à cette allure tu ne vas pas pouvoir tenir, déshabille-toi mon bébé
Nu je me plaçais tout près de maman qui m’offrait de tendres baisers. Ses caresses depuis le haut de mon torse passant par mes fesses et parvenant à ma queue me rendaient fou de plaisir. Je suçais ses tétons avec délicatesse dans une ambiance moite et une certaine électricité qui remplissait mon corps et le sien aussi, sans le moindre mot de l’un ni de l’autre. L’expression des regards suffisait amplement.
Maman continuait à me caresser, et démarrait une masturbation lente et magique. Ma main passait régulièrement avec douceur sur sa jolie chatte, son souffle de plaisir commençait à s’entendre. J’entrais un doigt puis deux dans son vagin, elle mouillait comme les chutes du Niagara, c’était simplement incroyable en si peu de temps. J’agissais doucement, c’était trop bon mes doigts en elle pendant que sa bouche avait totalement pris possession de mon sexe.
— Oh oui maman c’est trop bon continue s’il te plait
— Je ne veux plus que tu m’appelles ainsi, je suis ta chérie, et toi tu es mon homme
Bien évidemment elle avait entièrement raison sur ce point de vue-là, malgré que ce soit une relation interdite, tabou, politiquement incorrecte, et donc faite à l’abri des regards ce qui est logique à vrai dire.
Oui une vraie histoire d’amour sincère entre une mère et son fils, et la suite arriva à grands pas.
Elle était pleine de plaisir et se plaçait donc en 69, nous gémissions tous les deux. Elle suçait trop bien, si parfaitement que je n’allais pas tarder à venir dans sa bouche, je le sentais, il n’y avait aucune autre alternative.
— Ne bouge pas chéri s’il te plait ce n’est pas terminé
— Oui mon amour, mais ne tarde pas trop
Effectivement je restais de la sorte sans esquisser le moindre geste, sans dire un mot, et elle non plus à part quelques mouvements pour changer sa position et ainsi me faire venir en elle, ce qui n’était pas pour me déplaire loin de là.
Mais cela se faisait de plus en plus pressant et pas que pour moi. Le final ne devait pas tarder à arriver sous forme d’une explosion de jouissances intimes partagées pour notre plus grand bonheur, celui qui illumine notre couple et entretien la base de notre amour sereinement.
Puis elle me monta tendrement dessus tel un chevalier sur sa monture et bougea fortement, ce fut alors de grands cris que j’entendis, elle aussi n’en pouvait plus de cet accouplement et voulait plus que tout libérer ce trop plein d’énergie au service de notre amour. C’était si fou mais véridique, je n’avais jamais connu autant d’intensité et d’attention avec une autre personne dans toute ma vie.
Pour moi c’était comme si je n’avais jamais eu d’amour réel auparavant, juste des choses éphémères, alors que si justement j’avais déjà connu cela par le passé avec plus ou moins de bonnes ou mauvaises expériences à la clef.
Mais là ce n’était pas vraiment pareil, et pas spécialement à cause de la nature de cette relation interdite.
Dans un ultime cri bruyant qui inonda la pièce, elle cessa tout mouvement et me griffa le dos en hurlant, nos deux corps respectifs ne faisant plus qu’un, j’ai pu ainsi chaudement me libérer au fond de son vagin bouillant un torrent d’amour qui ne demandait qu’à se répandre rapidement.
— Je suis si heureuse avec toi en amour
— Moi aussi ma chérie et j’en suis fier
Un peu plus tard après une bonne douche commune ou nous nous sommes juste embrassé et légèrement caressé, il a bien fallu que je reprenne le chemin du retour, celui de mon appartement à une trentaine de kilomètres de là, de cette personne que j’aime le plus au monde, et qui fait de moi le plus heureux et le plus comblé des hommes.