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Mes études en métropole – Chapitre 2




Monsieur Édouard se montra particulièrement généreux après la prestation que lui offrit ma campagne. Je n’en revenais qu’un homme puisse donner autant d’argent pour du sexe. Il m’aurait fallu travailler certainement plus deux mois avec les pourboires pour récolter la même somme. C’était incroyablement grisant.

La semaine suivante, lorsque je rentrais à l’appartement après mes cours, je trouvais un écriteau sur notre porte « Je suis en rendez-vous ». Le message était clair. Monsieur Édouard devait être avec elle. Je pestais de ne pas être rentré avant qu’il n’arrive et pouvoir une nouvelle fois jouer les voyeurs. Je faisais contre mauvaise fortune bon cur, et descendait m’installer au café en face de notre immeuble afin de pouvoir surveiller sa sortie. J’essayais de bosser sur mes cours mais rien à faire. La dernière scène à laquelle j’avais assisté me revenait sans cesse en mémoire, avec en particulier le moment où Marine s’était mise à pomper Monsieur Édouard jusqu’à ce qu’il lui décharge tout son foutre dans la bouche et qu’elle avale tout sans en perdre une goutte.

J’attendais avec impatience de pouvoir monter la rejoindre mais les minutes s’égrainaient sans que je voie son client sortir de notre immeuble. Au bout d’une bonne heure, il apparaissait enfin pour s’engouffrer sans perdre de temps dans un gros 4X4 puis disparaître au coin de la rue. Je jetais un coup d’il sur ma montre, plus d’une heure s’était écoulée. Ça faisait quand même beaucoup. Je montais les escaliers songeur, me demandant ce qu’ils avaient bien pu faire pour que cela dure aussi longtemps. Je pressais le pas pour monter plus vite vers notre petit studio. Elle était là, sous la douche. Je la regardais. Elle était belle, belle comme le jour, belle comme un soleil. Je décidais de boire un verre d’eau en attendant qu’elle finisse et c’est là, qu’en approchant de l’évier que je vis dans la poubelle, un préservatif souillé de sperme. Ma petite femme arrivait déjà derrière moi, Je me retournais, elle me regardait avec un air grave qui me fit lui dire :

— Y’a un problème ? Ça ne s’est pas bien passé ?

— Si, si. Tout s’est très bien passé mais, il faut qu’on parle mon chéri.

— Tu m’inquiètes un peu tu sais.

— En fait, il s’est passé quelque chose que tu dois savoir.

Elle était visiblement préoccupée et n’avait sans doute pas remarqué que je m’étais intéressé quelques secondes plus tôt au contenu de notre poubelle. Elle m’embrasse mais me repousse gentiment lorsque j’essaie de l’enlacer, rajoutant :

— Il faut vraiment qu’on parle, tu sais.

Elle était belle ma petite femme et si j’étais rentré une heure plus tard, rien de ce qu’elle venait de faire n’aurait pu se voir après sa douche salvatrice.

— Dis-moi ce qui semble te préoccuper ma chérie. J’ai vu l’écriteau sur la porte en arrivant tout à l’heure. Je sais que Monsieur Édouard sort d’ici. J’ai attendu qu’il s’en aille dans le café d’en face. Il y a eu un problème ?

— Non, non. Au contraire, ça s’est très bien passé, même peut-être trop bien passé.

— Trop bien passé ?

Marine semble tout à coup hésiter. Elle réfléchit de longues secondes avant de se lancer. Elle n’ose pas soutenir mon regard quand elle m’annonce :

— Je ne sais pas ce qui s’est passé mais…

— Mais quoi.

— Monsieur Édouard m’a proposé une grosse rallonge si j’acceptais de le laisser me prendre. Quand il m’a vu hésité il m’a proposé une si grosse somme que j’ai accepté.

Je m’en doutais déjà en voyant le préservatif mais j’avoue que ça m’excitait de l’apprendre de sa bouche. Je lui demandais en feignant d’être un peu abattu par ce qu’elle m’apprenait, de me raconter comment ça s’était passé et elle me fit ce récit.

— Lorsque je suis rentrée des cours, Monsieur Édouard m’a téléphoné. Il devait partir pour plusieurs semaines et souhaitait me voir avant de s’en aller. Ce n’était pas prévu mais comme il avait été plus que généreux la dernière fois, j’ai accepté. Cinq minutes plus tard, il est arrivé. Il avait dû téléphoner du café en face sinon comment expliquer qu’il soit arrivé si vite.

Il m’a demandé s’il pouvait prendre une douche, prétextant ne pas avoir eu le temps de le faire avant de passer me voir. Comme je venais d’arriver, on a pris une douche ensemble. Il a insisté pour me savonner et moi je lui ai rendu la pareille. Finalement, il m’a fait jouir une première fois avec ses doigts sous la douche et moi, je l’ai sucé comme la dernière fois. Il a joui dans ma bouche. J’ai tout avalé. C’était bon. Je pensais qu’il en avait assez mais en fait, il était super en forme. Il s’est mis à me caresser pendant que nous nous séchions puis il m’a prise dans ses bras pour se diriger vers notre lit où il m’y a déposé délicatement, en m’ouvrant largement les cuisses comme s’il voulait se contenter d’admirer mon châton en le caressant. Je l’ai laissé faire et là, il s’est penché vers moi en commençant à me faire des bisous sur le ventre en descendant petit à petit vers ma fente. C’était agréable et encore plus quand sa langue s’est glissée dans les replis de ma petite chatte. J’ai commencé à gémir quand il s’est attaqué à mon clito. Tu sais comme j’adore être sucée. L’envie qu’il me fasse jouir encore m’a prise aux tripes lorsque j’ai senti un de ses doigts s’enfoncer en moi. Quand un deuxième l’a rejoint, j’ai relevé mes jambes pour les replier sur moi. Il m’a mis un 3ème doigt, c’était trop bon. J’ai commencé à jouir en lui demandant de ne pas s’arrêter, qu’il me faisait trop de bien. Il m’a pistonné un long moment en réussissant à me faire jouir une 3ème fois.

Quand j’ai ouvert les yeux, il m’avait rejoint sur le lit. Il était complètement nu. C’est là qu’il m’a demandé de le laisser me prendre. Il avait déjà repris de la vigueur et bandait ferme. Je sentais son sexe dur contre ma cuisse tandis qu’il me caressait le ventre et les seins. J’étais encore dans l’euphorie des jouissances qu’il m’avait procuré et je dois t’avouer que même s’il ne m’avait proposé cette grosse d’argent, je crois que je l’aurais laissé faire. Je l’ai attiré sur moi en signe de réponse puis j’ai écarté les jambes. Il s’est mis à genoux entre mes cuisses en admirant ma chatte qu’il n’avait jamais cessé de caresser. J’étais inondée de mouille. C’était incroyablement excitant de savoir que dans quelques secondes, un autre sexe que le tien allait s’enfoncer dans ma chatte. Les battements de mon cur résonnaient dans mes tempes comme si c’était la première fois qu’un sexe allait s’enfoncer dans mon ventre. Je l’ai laissé s’allonger sur moi. Je sentais qu’il s’aidait d’une de ses mains pour trouver l’entrée de ma vulve mais n’y arrivait pas. Sans doute l’excitation trop forte le rendait fébrile. J’ai saisi moi-même son sexe pour le placer dans l’entrée. Il s’est mis à respirer encore plus vite. C’était incroyablement excitant. Il m’a alors regardé dans les yeux en me demandant s’il pouvait y aller. Je l’ai tutoyé pour lui dire :

— Vas-y. Mets-là moi bien au fonds. J’ai envie moi aussi.

Il s’est laissé retombé sur moi. Son sexe s’est enfoncé doucement dans mon ventre. C’était bon. Il essayait de me soulager de son poids en s’appuyant sur ses avant-bras mais curieusement, j’ai eu envie de sentir le poids de son corps sur le mien. Je lui ai dit de se laisser aller. Il m’écrasait, j’avais du mal à respirer et pourtant, ce sentiment d’impuissance, de soumission a encore augmenté mon excitation. Quand il a commencé à coulisser dans mon ventre, j’ai commencé à gémir de plus en plus fort, en lui demandant de ne pas arrêter, que c’était bon. Je ne me reconnais plus. Je n’étais plus qu’un sexe.

Il m’a pilonné pendant un long moment. Il était doux. J’ai joui deux fois avant qu’il n’éjacule dans le préservatif que je lui avais demandé d’enfiler. Ensuite on est resté un long moment soudés l’un à l’autre, lui pour récupérer de cette longue chevauchée, moi pour essayer de mettre un peu d’ordre dans mon esprit.

Quand il s’est dégagé, il m’a présenté son sexe à la bouche après avoir ôté son préservatif, en me demandant de le sucer. J’ai accepté une nouvelle fois. J’ai l’impression que j’aime en fait être dominée. J’aime l’impression de ne pas avoir le choix. Ça me fait un peu peur mais j’ai l’impression que je pourrais pas me passer de cette façon nouvelle d’avoir du plaisir.

Je l’écoutais me raconter son histoire, le sexe tendu à m’en faire mal dans mes jeans ultra serré. Marine s’en aperçut tout à coup. Elle m’en fit la remarque et je ne pus que lui avouer que ce qu’elle m’avait raconté était le récit le plus excitant que j’avais jamais entendu de sa bouche.

Elle m’avoua alors que Monsieur Édouard lui avait aussi demandé si elle serait d’accord la prochaine fois, qu’il la prenne sans préservatif car il avait une folle envie de sentir la douceur de son ventre. Je ne répondais pas mais je savais qu’après son prochain passage, je la retrouverais, son ventre rempli du sperme de Monsieur Édouard.

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