-Tu crois ?

-Jen suis sûrviens.

Anaïs se leva et vint planter son jeune corps de gamine devant moi tenant dans sa main les pans de son peignoir. Je la regardais. Elle était belle et désirable. Je mavançais un peu dans mon fauteuil et je lui pris la main qui tenait son peignoir fermé. Elle semblait ne pas vouloir le lâcher..

-Laisses moi faire

-Et si Désiré revenait ?

-Non. Ils vont coucher dans leur famille

Jécartais le peignoir, délivrant à ma vue son corps splendide, ses deux petits seins à la pointe dressée, son ventre d,une douceur satiné,plat, qui descendait vers un pubis parfaitement entretenu et ses deux longues jambes sur lesquelles je fantasmais si souvent.

« Tu es vraiment belle Anaïs

Je regardais cette petite touffe surplombant lentrée de son sexe dont je voyais les grandes lèvres gonflées par le plaisir.

Je lattirais un peu plus vers moi, au point de coller mon visage sur son ventre. Elle se laissa faire. Je fis descendre le peignoir à ses pieds la dénudant complètement. Jembrassais son nombril. Je revoyais la scène inimaginable avec le jeune mauricien. Jimaginais son maigre sexe entrant dans le plus intime de son corps.

Mes deux mains se posèrent sur chacune de ses fesses. Jen appréciais la fermeté. Puis jécartais les deux globes de façon indécente et mon index alla jusquà son anus que je flattais doucement.

A ce contact, jentendis un léger soupire dAnaïs. Je lintroduisis lentement. Elle se laissait faire. Je commençais à faire de petits va et vient tout en embrassant son ventre. Je passais mes deux mains jointes entre ses cuisses quelle gardait serrées. Je remontais vers son sexe adorable. Elle ne put sempêcher décarter ses deux grandes jambes me permettant darriver à son puits damour. Il était humide , onctueux. Jintroduisis un doigt dans sa vulve arrachant un léger cri et un mouvement de son bassin.

-Cest sensible ?

-OU..ouuuii

Son sexe était facile daccès. Je compris que la relation quelle avait eu avec ce garçon avait fait son effet. Je sortis mon doigts de son sexe, il était gluant et chaud. Je le portais à mon nez pour en sentir les effluves.

-Dis moi Anaï,s ton sexe sent le spermequas-tu fait ?

-Moi rien..pourquoi ? Cest ma mouille tout simplement.

-Avec qui as-tu fait lamour ?

-Personnepourquoi ?

-Cette odeur cest celle du sperme dun homme dans le sexe dune femmeje ne me trompe jamais.

-Ben

-Ben quoi avec qui as-tu fait cela ?

-Tes pas jaloux jespère ?

-Non, mais je veux que tu me dises avec qui ?

-Un homme sur la plage ?

-Comme çatu te ballades et tu tenvoies en lair à ton âge avec nimporte qui ! Tu aimes autant le sexe que cela ?

-Je prends la pilule sur les conseils de maman je ne prends pas de risques !

-Certes cest bien mais te faire enfilerpar nimporte qui

-Jai le droit de faire ce que je veux non ?

-Alors dis moi ce nest pas avec ton copain Singinsham ?

-Tu as vu son âge !

-Il n y a pas d âge pour faire des câlins ! Alors ?

-Alors ouisi tu veux tout savoir !

Je remettais mon doigt dans sa chatte, comme une provocation. Je la sentais shumidifier de plus en plus et en la branlant ainsi, jentendais très distinctement les floc floc que cela faisaient.

-Tu es très excitée à ce que je constate. !

Anaïs gémissais de plus en plus sous ma caresse. Mon doigt baladeur avait lair de lui procurer du plaisir.

-Tu as fait quoi avec lui ?

-Tu es curieuxcest mon secret quand même !

-Tu as pris ton pied ?

-Oui et je lai dépucelé si tu veux tout savoir !

-Tu las sucé comme moi ?

-Oui, mais je préfère ton sexe ! Il est beaucoup plus gros que celui de Singi

-Il a le même gout que le mien ?

-Cest pas pareille

A cet instant de mon excitation javais envie de la pénétrer, de glisser en elle, de la prendre dans mes bras .Je descendis la fermeture éclair de mon pantalon, que jabaissais à mes pieds ainsi que mon caleçon.

Mon sexe dressé lui semblait énorme. Elle le fixait avec surprise et devait se dire que par rapport au petit mauricien

Je lattirais vers moi toujours en embrassant son ventre. Elle sapprocha sans résister.

« Vienslui dis je, mets tes jambes comme cela.

Elle vint mettre ses jambes de chaque côté des miennes de telle façon que son sexe se positionna au dessus du mien. Jécartais ses fesses, jintroduisis à nouveau un doigt dans son petit trouelle frissonna.

« Viens sur moi et entres moi dans toi !

Elle saccrocha à mon cou et lentement alors que je maintenais mon sexe droit elle descendit doucement. Mon gland buta contre sa chatte détrempée. Cétait bon, soyeux, chaud. Mon gland entièrement décalotté sintroduisit dans son ventre, sans difficulté car dans cette position elle était très écartée. Elle poussa un cri, lorsquelle l entra entièrement venant buter contre le fond de son vagin. Cétait divin.

Puis, je mis mes deux mains sous ses fesses afin de faciliter le mouvement. E lle se balança alors sur mon sexe, le faisant presque sortir, puis lengloutissait à chaque fois. Mon index ne quittait pas son anus. Cette fille était divine, à son âge elle apprenait très vite les phases essentielles des jeux de lamour.

Elle couinait de plus en plus, toujours accrochée à mon cou. Javais trop envie delle. Je sentais mon sexe bouillonner, des pulsions par milliers . Anaïs au comble de son plaisir eut un orgasme en sécrasant sur mon sexe, bouche ouverte les cheveux devant les yeux, haletante, tétanisée pantelante.

Après avoir repris ses esprits, elle se remit en action engloutissant dans sa chatte mon sexe gonflé près à exploser de plaisir. Je sentais monter en moi un roulement de bonheur

-Je viens chérieje vienscontinues, jai trop envie de toi !

Comme dans une chevauchée fantastique , excitée par le fait quelle savait que jallais jouir elle sactiva encore plus, dans des râles rauques pour une si jeune filleJe voulus retarder lexplosion mais ce fut vain. De grands jets de sperme envahirent son vagin déclenchant un second orgasme aussi violent que le premier. Nous restâmes ainsi accrochés, lun à lautre, reprenant notre souffle avec difficulté.

Je retrouvais dans cet orgasme la sérénité que javais perdue depuis les ébats dAnaïs avec son petit mauricien.

-Javais tant envie de toi mon ange

-Moi aussi, javais envie de toi

-Tu préfères qui ? Ton mauricien ou moi ?

-Les deux mexcitent

-Tu recommenceras avec lui ?

-Si tu le veux ! Jai tant envie dexpériences tu comprends ?

Mon sexe toujours planté en elle, nous nous embrassâmes fougueusement. Nos langues semmêlaient senroulaient, se suçaient.

-Je couletu ne sens pas ?

— Je tapprendrai plein de choses encore

-Je veuxjen veuxjen veuxje veux du sexe, jaime trop cela !

-tu en auras je te le promets !

-Tu sais pas quoi ?

-Non ?

-Si nous allions nous baignertu es tout poisseuxbeurk beurk

-Okayje messuie et jarrive.

Elle se leva, prit la robe de chambre et sessuya devant moi son entrejambe, où du sperme coulait et de sa chatte dilatée.

-Je veux que tu me racontes toutes tes aventures dans les détails promis ?

-je te le promets que si tu nes pas jaloux ?

Elle senfuit en courant vers la varangue et je la vie disparaître en direction de la piscine.

Deux jours passèrent sans que rien narriva.

  Anaïs allait se bronzer sur la plage, moi je réglais quelques papiers dune succession. Je devais me déplacer assez souvent à Curpipe et à Port Louis. Nous avions passé un pacte avec Anaïs .Si daventure nous avions une liaison avec quelquun, nous nous étions promis de tout nous raconter. Je savais quAnaïs ne me mentirait plus du fait de notre complicité .

Le vendredi Anaïs mavertit que loncle de son copain, lui proposait une sortie en mer et daller plonger dans un endroit paradisiaque de lile Maurice, que lon appelle « lAquarium » ! Elle me demanda lautorisation que je lui accordais.

Elle me proposa de laccompagner, mais ce jour là je devais chercher à laéroport un ami denfance qui venait comme chaque année passer quelques jours avec moi. Il avait 4 ans de moins que moi, mais notre amitié navait jamais failli.

Je lui demandais si elle avait revu son petit mauricien, elle me dit que oui mais que rien ne sétait passé entre eux.

Elle se prépara de bonne heure et armée de son sac de sport, elle se dirigea vers larrêt de bus de Mont Choisy. Elle avait rendez-vous à Péreybeire, sur le port.

Je nétais pas tranquille. Après avoir vérifié que nos téléphones portables fonctionnaient bien, nous nous fîmes la promesse de nous appeler en cas durgence. Elle avait mis son maillot rouge sous son éternel short blanc. Avant de partir elle se jeta sur moi et nous nous embrassâmes dans un long baiser. Jappréciais la chaleur de sa bouche.

-Allez files maintenant, où tu vas encore me donner des idées !

-Ce soirce soir je veux que.

-On verra cela ce soir. Allez files !

Je la regardais partir, me disant que cette jeune fille gracile qui aurait pu être ma petite fille avait complètement bouleversé ma vie à Villa Cannelle. Jamais une telle occasion ne pourrait se reproduire, alors autant en profiter.

Le soir, alors que le soleil disparaissait derrière lhorizon, je navais pas eu de nouvelles dAnais de la journée. Je commençais à minquiéter.

Voila trois fois que je lappelais sur son portable. Elle ne me répondait pas. Elle aurait dû être de retour, depuis au moins deux heures. La marée ne permettait pas de retour au-delà de cette heure. Je me demandais si je nallais pas faire un tour au port.

Alors que je cherchais les clés de ma voiture, je vis Anaïs entrer par le petit portail de la plage son sac de sport sur les épaules

-« Tu mas fait peur.tu rentres tard ? Jai essayé de tappelerPourquoi ne mas-tu pas répondu ?

-Mon portable est tombé à leauDésolée !

Je regardais sa mine déconfite.

-« Ça vatu as passé une bonne journée ?

-Bof ! je te raconteraiJe vais me prendre une bonne douche cela me fera le plus grand bien.

-Tu as lair bizarre ! Tu es sûr que tu vas bien ?

-Oui oui

-Tu as plongé ?

-Bien entenduJe te raconterai.

-Je te prépare un bon punch. Tu en as besoin

-Daccord.

Jentendis la douche couler longtemps et je me dis quAnaïs avait certainement des choses à me raconter. Jallais dans sa chambre sur le lit son sac de sport était posé et instinctivement je louvris.

Anaïs laissait toujours leau couler sur son corps. Ma surprise fut totale lorsque je tombais dans le sac, sur son maillot de bains rouge déchiré, tout au moins la culotte. Je remis tout en place et retournais dans le salon. Linquiétude me gagnait. Que sest-il passé ?

Jentendis la porte de la douche claquer. Anaïs se décidait enfin à quitter la salle deau. Dix minutes après, elle vint me rejoindre dans une robe longue presque transparente. Je devinais sa silhouette gracile à travers le tissus fin. Elle avait les cheveux mouillés coiffés en arrière, de larges cernes sous les yeux.

-« Assieds toi. Je tai préparée un punch dont tu men diras des nouvelles

-Tu es gentil !

-Alors ça va ?

-Ouais.

-Tu as lair fatiguée ? Cest la plongée qui ta mis dans cet état ?

-Non.

-Toi.Tu as quelque chose à me raconter !

-Pas maintenant.

-Alors comment le trouves tu, ce punch ?

-DélicieuxMais tu as mis une sacré dose de rhum !

-Tu oublies que lon est à lIle Maurice chérie !

-Dis moi Jessey..Que suis-je pour toi ? Une petite jeune que tu sautes ?

-Pourquoi me demandes-tu cela ?

-Parce que je ne sais pas Et puis merde !

-Tu en as un langage ce soir ! Quas-tu ?

-Réponds à ma question sil te plait !

-Jeje ne sais pas quoi te répondreDepuis que tu es là, à Villa Cannelle, tu as bouleversé ma vie !

-Sexuelle ?

-Est-ce le langage dune fille de 16 ans ?

-Bientôt 16 sil te plait !

-Tu es bien agressive ! Ai-je dit ou fait quelque chose qui te choque ?

-Nonnon pardonnes moi, avant mes règles, je suis souvent comme cela

-DiableMais parles moi de ta journée

-Sais pas !

-Sais pas quoi ?

-Sais pas, si jai envie de te parler !

-Alors ne men parles passi cest cela qui te perturbe

-Suis ta pute ?

-Comment vas-tu là ? Tai-je payée pour être une pute ? Non que je sache

-Mais tu nas aucun sentiment ?

-Que veux-tu dire par là ?

— Allez laisses tomber je délire !

-Tu sais notre différence dâge est importante..toi 18 ans en pleine jeunesse et moi 62 !

-Tu sais très bien que tu ne les fais pas ! Tu es un bel homme

-Cest gentilje mentretiens.

-Ton corps est superbe pour ton âge ! Côté sexe tu bandes comme un âne !

-Merci de la comparaisonCest toi, qui me fait cet effet !

-Comment cela ?

-Tu as un très beau corps. Tu es une belle jeune fille que lon aime séduire.

-Tu avoues mavoir séduite ?

-Maurais tu fais lamour autrement ?

-Nontu es sexy !

-Jai droit à de super compliments ce soir

-Cest comme ça.. Cherches pas !

-Avoues, que ce nest pas commun, une relation entre deux personnes à des âges si opposés

-La baise na pas dâge !

-Je trouve ton langage un peu vulgaire ce soir.

-Suis énervée

-Tu maurais dit le contraire que je ne taurais pas crue.

-.

-Tu ne veux pas me raconter ta journée ?

-Sers moi un autre punch, tu veux bien ?

-Tu vas être pompette

a suivre

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