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Un week end de folie – Chapitre 2




Je restais un moment comme çà, à le prendre en bouche, ou à appuyer du bout de ma langue sur le frein, ou sur le méat, comme j’aime à lui faire… et comme il a l’air d’apprécier à chaque fois que je lui fais.

Puis au bout d’un moment, je me couchais à moitié sur lui, les jambes repliées sous moi de chaque côté de ses hanches, ayant pris soin de caler avec mes fesses son sexe maintenant bien réveillé et bien raide juste derrière. Puis je commençais à me frotter le long de son membre.

Au bout d’un moment, j’enlevais ma culotte et j’allongeais mes jambes de part et d’autre des siennes et je continuais à loisirs ce petit traitement, je me déhanchais afin de le "masturber" avec mes fesses. Puis je le guidais en moi afin que je puisse m’empaler dessus et poursuivre enfin les choses sérieuses.

Au bout de 5 grosses minutes, il prit les choses en main, n’y tenant plus, et il nous fit rouler sur le côté, puis enfin, moi sur le dos, lui au-dessus…

Il avait vraiment l’air d’avoir apprécié son réveil d’après sa façon de me dire : "Je vais te bouffer !"

Et aussitôt dit, aussitôt fait. Il descendit entre mes jambes et s’occupa de mon sexe en moins de temps qu’il n’en fallait pour le dire. Sous ses coups de langue qui titillait mon clitoris, s’insinuait à l’intérieur de moi, me léchait, ou me lapait, je me tortillais de plaisir en respirant de plus en plus fort en m’accrochant aux draps.

Quand il me jugea prête, il me pénétra sans force mais d’un seul coup, ce qui provoqua toujours cette même sensation de plénitude en moi. Puis il prit son rythme et cette fois me fit l’amour plus tendrement, ce n’était pas de la baise pure et dure, comme j’aime la plupart du temps. Il alternait la cadence, de temps en temps, des vas-et-viens très lents et très profonds, et le reste du temps de grands coups de reins qui me percutent jusqu’au plus profond de moi-même. Il ne fallu pas longtemps à ce rythme pour que mon homme éclate dans sa jouissance et se vide en moi dans de longues saccades.

Une fois apaisé, il se leva, parti se rafraîchir un peu puis s’allongea, me donna un baiser, se tourna de son côté et s’endormi peu de temps après. Quand à moi, comme tous les week end, je suis sujette aux insomnies et notre demi-heure de baise n’avait en rien arrangé mon état… Moi, je n’avais pas terminé car je voulais me préserver pour le reste de la journée et rester ainsi en "éveil" si je puis dire… Toujours dans l’attente du moment opportun plus tard dans la journée pour terminer ce que j’avais commencé le matin même. (Ce qui s’avérera véridique ultérieurement).

Comme il m’était impossible de me rendormir, et que çà faisait maintenant 1h que j’étais réveillée, je décidais de me lever, de me rafraîchir également, de m’habiller et de m’installer silencieusement à l’ordinateur. Il était donc 4h30. Je restais seule jusqu’au petit matin, environ 7h30. Mon homme puis mes enfants se sont levés… Commence alors une matinée toute à fait normale dans une famille de 4… Enfin, pas tout à fait normale, non…

Çà aurait pu être une matinée toute à fait normale, si mon homme ne me jetait pas de temps en temps des regards pleins de sous-entendus. Je ne connaissais que trop bien ses intentions…

Il faut dire que mon homme est ce qu’on peut qualifier de "chaud lapin" et que même si sur le moment il semble avoir son compte, il est toujours prêt à remettre çà…

Je savais donc que trop bien que dans la journée on allait remettre çà, et çà n’était pas pour me déplaire. A un moment, il s’approchais discrètement de moi, et l’air de rien, malgré les enfants dans les parages, il me souffla à l’oreille d’aller mettre mes boules de geisha. Qu’il voulait que je sois prête à tout moment et que donc qu’il fallait que je reste constamment en "condition".

Une demi-heure plus tard, c’était chose faite, je les portais en moi. J’étais habillée d’un haut noir moulant et d’un jean serré qui met bien mes formes en valeur. J’avais chaussé mes escarpins à talons aiguilles noirs.

Comme d’habitude, une fois les dessins animés du matin terminés, je mis de la musique. Et je m’occupais de la maison tout en me déhanchant au rythme de la playlist.

Comme souvent, mon homme vint se coller derrière moi, et tout en regardant si les enfants ne sont pas dans le coin, je fis exprès de me déhancher exagérément contre lui, faisant immédiatement pousser une belle bosse à son entrejambe.

Je pris appui sur la table de la salle à manger ou je restais en équilibre sur mes talons et je me frottais à lui, tout contre son érection qui mappuyais sur les fesses. Çà a duré quelques secondes, puis on s’est chacun écarté de notre côté.

La matinée à continué comme çà, des petits regards échangés, des frôlements,… Moi j’avais toujours les boules de geisha en moi ! Et mon homme voulu s’en assurer… En fait, il ne savait pas encore que je les avais. Alors que j’étais en cuisine en train de préparer le repas de midi pour son anniversaire (il m’avait demandé un riz cantonais), il vint se positionner derrière moi pendant que je découpais le jambon, et inséra par devant une main dans mon jean afin de vérifier si j’avais fait ce qu’il m’avait demandé… et il fut agréablement surpris ! Il profita de la situation et insinua un doigt en moi, je dus me contenir et rester de marbre car et d’une j’avais un couteau dans la main et de deux, nos enfants jouaient juste à quelques mètres devant nous… Il retira rapidement sa main et je pus enfin me concentrer sur la préparation du repas. On continuait donc notre jeu du chat et de la souris jusqu’au début d’après-midi, moment ou les petits allaient faire la sieste.

J’étais assise devant mon ordinateur, quand il vint vers moi pour me chauffer un peu, et devinant clairement ses intentions, je le laissais faire, il commençait à me caresser. Un peu plus tôt, j’avais du aller retirer mes boules de geisha, donc mon homme avait un accès direct à mon intimité. Il s’arrêta net et je le vis aller dans le réfrigérateur et ouvrir la petite partie tout en haut afin de prendre un glaçon.

Il revint vers moi et passa le glaçon sous mon haut, à l’intérieur de mon soutien gorge. Immédiatement, mes pointes se durcirent, la sensation était étrange, glacée mais pas désagréable. Il fit de même de l’autre côté. Puis m’ordonna de défaire mon jean. J’obtempérais immédiatement. Ouvrant mon jean, je le fis descendre ainsi que mon string jusqu’à mi-cuisses, toujours assise sur ma chaise. Là, il m’écarta les jambes, et passa le glaçon sur mon intimité… Je haletais tellement c’était froid et je dus garder mon sang froid afin de ne pas alerter les enfants.

Il continua ainsi un tout petit moment, afin de ne pas trop me laisser ainsi au contact du froid. Puis il plaça le glaçon dans sa bouche et pris aussitôt chacun de mes seins dans sa bouche l’un après l’autre, la sensation était vraiment agréable, même si très fraîche… Puis il défit son pantalon, et commença à sortir son sexe tendu par l’excitation, je pris aussitôt le glaçon et le mis dans ma bouche afin de le sucer un petit moment pour bien me rafraîchir afin de lui rendre la pareille. Je mis le glaçon dans un verre posé sur la table et entama une fellation plus que glacée. Au bout de quelques secondes, je repris le glaçon en bouche un petit moment afin de recommencer la même manuvre. Puis je repris goulûment ce sexe fièrement dressé devant moi.

Je jouais avec ma langue, la faisant courir tout le long depuis la base de sa tige jusqu’au gland rendu plus que sensible par tout ce petit jeu. De la pointe de ma langue, je titillais le frein, puis je repris depuis la base jusqu’en haut à nouveau. Puis je le pris à pleine bouche le plus loin que je pouvais, soit un peu plus des 2/3 de la longueur.

On a continué comme çà un moment, puis lui à son tour s’est accroupi entre mes jambes afin de me titiller avec sa langue, puis me pris la main pour m’emmener sur le lit. Cette fois-ci, c’est à mon cul qu’il en voulait…

C’est donc naturellement à 4 pattes que je me positionnais afin de lui exposer une vue directe et sur l’objet de ses désirs.

Tout doucement, il me caressait cet endroit si sensible dont il a parfois l’accès. Délicatement, il m’enduisait de lubrifiant tout autour de mon petit trou ainsi que sur son doigt afin de bien préparer l’intégralité de cet étroit conduit qui ne demandait qu’à être possédé par un membre vigoureux, dur et bien épais. Une fois bien préparé, il commença a pousser son gland devant l’entrée et doucement mais fermement, il s’introduisit à l’intérieur.

Le gland uniquement, en premier, le temps que je m’habitue à sa présence, que mon cul se fasse au forçage de ce passage si serré en temps normal. Puis lentement, les 1ers centimètres suivirent, la douleur était légère, étant donné que cette queue connait très bien cet endroit puisque visité de temps en temps. Il m’ordonna de me caresser le clito afin d’aider à me détendre un peu plus. Une fois la brûlure passée, il pu enfin introduire le reste de son membre qui m’écartait les chairs. Que c’était bon, cette sensation d’être remplie au plus profond de mon être… Et il commença à me pilonner, d’abord doucement, à ma demande, afin que mon cul soit entièrement dilaté à la taille de sa queue, puis il pu enfin se laisser aller à me baiser franchement.

Il ne nous a pas fallu longtemps pour qu’on prenne notre pied tous les 2, moi la première, lui quelques secondes après moi, se vidant ainsi dans mon cul.

Cette journée était loin d’être terminée pour mon plus grand plaisir… Nous avions dans le matin allumé la cheminée car dehors il pleuvait, et les températures étaient retombées à presque 1°, donc il ne faisait pas chaud dans la maison. On arrivait vite à des températures agréables, tellement que j’avais trop chaud avec mon jean et mon t-shirt à bretelles fines… Donc je me suis changée sans que mon homme s’en aperçoive, j’avais mis une robe légère en satin très douce, avec des bretelles très fines, on apercevait un peu le galbe de ma poitrine, et elle était assez courte (elle arrivait à mi-cuisses). J’avais aussi mis mes sandales ouvertes à talons hauts.

Autant vous dire que mon homme a apprécié ma nouvelle tenue ! Si bien qu’à un moment, il est venu vers moi, s’est accroupi à mes pieds et m’a enlevé immédiatement mon string. J’étais donc à nouveau parée si une nouvelle occasion se montrait.

L’après-midi a continué comme une journée de week end normale, mais plusieurs fois mon homme s’approchait vers moi afin de m’émoustiller, il relevait légèrement le bas de ma robe en prenant soin de vérifier si les enfants n’’étaient pas dans le coin, mais non, ils jouaient dans leur chambre.

A un moment, il me tira à lui, qui était assis sur le fauteuil du bureau, me fit passer mes jambes de chaque côté des siennes, toujours debout, puis commença à me caresser les fesses sous ma robe.

Puis il passait devant et sans ménagement il introduisit 1 doigt dans ma fente, puis immédiatement rejoint par un deuxième. Et il entama frénétiquement un vas-et-viens dans ma chatte déjà trempée par l’excitation de la situation. Il s’amusait aussi avec mon petit clito déjà très sensible par tout ce qu’on avait fait auparavant. Je me tortillais sur mes jambes, en me cramponnant d’un côté au bureau et de l’autre sur son épaule. Je n’avais qu’une envie, qu’il me prenne brusquement sur n’importe quelle surface de la maison, la table de la salle à manger, le fauteuil du bureau, par terre, peu importe… Mais c’était trop risqué !

On a joué comme çà pendant quelques minutes, en vérifiant si les enfants n’étaient pas là. Puis on a tout stoppé d’un coup. On remis encore à plus tard notre petit manège, gardant ainsi toute la tension entre nous en suspens, afin de la faire grandir encore…

Moi, je m’efforçais de faire comme si de rien n’était et retournais donc à mes occupations alors que mon plus petit vient nous voir pour jouer vers nous. Les regards échangés avec mon homme en disaient longs, vivement la prochaine fois… qui ne fut venue que le soir même…

20h30. Je m’étais changée pour me mettre plus à l’aise pour le soir, j’avais revêtu un t-shirt un peu ample et un pantalon décontracté, j’étais nue sous mon t-shirt. Vu que j’étais levée depuis 4h30 à cause de mon insomnie, la fatigue de la journée s’était bien fait ressentir d’un coup, et je m’étais allongée sur le canapé.

Mon homme est venu se mettre près de moi et feignant l’innocence, se rapprochait tout doucement de moi. Passant ses bras sous mes cuisses, il les écarta et colla sa bouche tout contre mon entre-jambe. Pour l’amuser, je lui lançais qu’il allait me tuer si il continuait, j’étais vraiment épuisée de la journée et je n’avais qu’une envie… dormir.

Mais je le laissais faire tout de même, je me suis dit que c’était encore son anniversaire et qu’il avait droit d’en profiter un peu plus que d’habitude (chaque week end, on fait l’amour/baise au moins 2 fois, voire plus certaines fois…)

Il continuait donc de me prodiguer un cunnilingus par-dessus le pantalon qui ne tarda pas à valdinguer à l’autre bout du canapé, puis il écarta ma culotte sur le côté afin de plonger dans mon intimité. Je gémissais et me tortillais sous ses coups de langue qui jonglait entre mon clito et mon vagin.

Puis rapidement il se mit au-dessus de moi pour me prendre pour la dernière fois de la soirée. Et commença ses vas-et-viens en moi. Il se déchaînait à grands coups de queue pour mon plus grand plaisir encore une fois. Il me limait pendant au moins 15 bonnes minutes, puis il voulu changer de position, donc il ouvrit la partie couchette du canapé et il s’allongea sur le dos, Je me mis donc à califourchon sur lui, et commença à bouger. Puis je me penchais en avant, lui attrapais son membre bien gonflé et palpitant et l’inséra en moi. Je pris bien soin de m’assurer qu’il était bien au fond. S’entamait de longs mouvements de mon bassin, j’effectuais des rotations tout autour de sa queue bien ancrée en moi, je contractais mes muscles afin de bien lui la serrer. Puis j’alternais, je changeais de rythme, de haut en has, de bas en haut… d’abord doucement, puis plus rapidement…

Je me déchaînais sur lui. A un moment, il voulait me voir me masturber, donc j’étais toujours au-dessus de lui, je remontais légèrement vers sa bouche, lui, passait ses bras sous mes jambes de façon à ce que je ne vois plus que sa tête dépasser au-dessous de moi.

Avec mon majeur, j’effectuais de légères pressions sur mon clito tout en faisant des rotations sur celui-ci, lui de son côté, me bouffait le minou tout en se branlant frénétiquement. Je passais de temps en temps la tête par dessus mon épaule afin de le regarder faire, çà me plait de le voir se donner du plaisir. Après de longues minutes, il se plaça derrière moi, je continuais toujours à me caresser, lui s’inséra brutalement en moi et me pistonna tout en enfonçant un doigt dans mon cul.

Ce qui m’amena très rapidement au plaisir extrême, mon homme continuait à me donner de grands coups de butoir et c’est peu de temps après qu’il s’abandonna lui aussi et déchargea au fond de moi…

Et c’est ainsi que, épuisés, nous avons terminé ce week end de baise… FIN !

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